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Étude au spectromètre à scintillation des rayonnements du 65Zn

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Academic year: 2021

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(1)

HAL Id: jpa-00234732

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Submitted on 1 Jan 1953

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Étude au spectromètre à scintillation des rayonnements

du 65Zn

Nils Perrin

To cite this version:

(2)

273

il semble exister une très

légère

variation de la vitesse en fonction de la

fréquence,

la vitesse

augmentant

avec la

fréquence.

Manuscrit reçu le 27 février.

[1]

LACAM A. et NouRy J. - C. R. Acad.

Sc.,

1953,

236, 362.

[2]

LACAM A. et NouRY J. - C. R. Acad.

Sc.,

rg53,

236,

589.

[3]

MICHELS, LUNBECK R. J. et WOLKElls G. J.. - Van der

lvaals Fund, no 10 l. ,

ÉTUDE

AU

SPECTROMÈTRE

A SCINTILLATION DES RAYONNEMENTS DU 65Zn

[1]

Par

Nils

PERRIN,

Institut du Radium, Laboratoire Curie.

Appareillage.

-- Le

spectromètre

comprend

essen-tiellement un cristal

cylindrique

de 1 Na 1~1

(d

= 2 cm,

h =

i,4

cm)

monté sur un tube E.M.1. 5311. Les

impulsions

sont

amplifiées

dans un

amplificateur

2 Mc C. E. A. et

analysées

par un sélecteur à un

canal C. E. A.

Principe

de la mesure. - On a utilisé au cours

des mesures

uniquement

les

pics correspondant

aux rayons ;

qui perdent

toute leur

énergie

dans le cristal. Pour mesurer le

rapport R

= du

15 Zn,

on a

comparé

le

rayonnement

gamma émis par ce corps au

rayonnement

gamma émis par 22Na. Dans les deux -sources, les

positons

étaient

complètement

annihilés

dans

5/10

de millimètre de Pb. Le

rapport

de l’aire du

pic correspondant

au ; de i, i i MeV à l’aire du

pic correspondant

aux ~/ d’annihilation pour le 6JZn

comparé

au même

rapport (aire

du

pic

~I’ de 1,29 MeV sur aire du

pic

des "(

d’annihilation)

pour le 22Na donne directement R pour le 65Zn en

prenant -,.}~

= ~ I

pour le 22Na.

jj

Il s’introduit une erreur du fait de la différence

de rendement du

compteur

pour I et

1,28

MeV. Les rendements absolus sont difficiles à

connaîtrc,

mais on

peut

mesurer leur

rapport

à l’aide du

rayon-nement du 59 Fe dont le schéma de

désintégration

bien connu

[2] comprend

deux y de

1,1 et

z,2g MeV.

Toutefois,

l’analyse

du

spectre

de 59Fe

présente

une difl’zculté : à cause du

pouvoir séparateur

limité du

spectromètre,

les deux

raies

,, ne sont pas

complè-tement

séparées; cependant

comme on ~connaît

bien la forme d’un

spectre

"{ de 1,29 MeV

(22Na),

on

peut

par soustraction de ce

spectre

obtenir le

spectre

du ;

de 1,1 z MeV avec une bonne

précision.

Résultats et discussion. - Le

rapport

des aires des deux

pics

de

1,1 et

l, 29 MeV du 59Fe

multiplié

par le

rapport

des intensités de ces deux raies

(z,2g

à

o,ofi)

donne pour le

rapport

des rendements :

(3)

274

et pour ,

Une

première

série de mesures effectuées avec une résolution inférieure pour le

spectromètre

et un cristal

plus petit (1 cm3)

avait donné

J 8 == ~

[3].

L’erreur

principale provient

de la mesure de l’aire

du

pic correspondant

au °,~ d’annihilation du

Cette aire obtenue par soustraction d’un fond continu

Compton très

important, provenant

des X de r, 11 1 JB1e BT

varie suivant la forme

adoptée

pour ce fond continu

d’à peu

près

6 pour 100. Ces mesures seront

prises

avec une forme de

spectre Compton

donnée par le

rayonnement

",, de

1,08

MeV du Rb

qui

n’émet pas de

positions.

En

outre,

on met en évidence dans sape le

rayon-nement y

de l’ordre de 190 keV étudié par

Metzger [2]

et d’une intensité de l’ordre de 3 pour I oo. L’étude de

ce

rayonnement

et la

comparaison

avec le ~ 63 Zn

permet

d’afilrmer que le

rayonnement

"( de 200 ke ,r du 65Zn

signalé

par Cohn et Kurbatow

[4]

s’il existe

a une intensité inférieure à

quelques

io-3 de celle

du y

,, de I, i MeV.

Remarque. -

Les sources, en provenance du

synchrocyclotron

d’Amserdam,

ont été

purifiées

par

chromatographie

sur

papier

par MM. Bouissières

et Lederer. ’

Manuscrit reçu le 28 février.

[1]

Voir surtout :

MAJOR J. K. - Thèse, Paris,

1952.

TO’VNSEND J. - Thèse, Washington,

University

Sain-Louis,

1951.

YUASA T. - C. R. Acad.

Sc.,

zg52, 23~,

ooo.

[2]

METZGER F, R. -

Phys.

Rev., z g5 ~, 88, 1 360.

[3]

BouCHEZ R, et PERRIN N. - Communication au

Congrès d’Amsterdam,

septembre zg52.

1] CoHx R. A. et KupBAToBB J. D. - Phys. ig5o, 78, 3 68 A. ABSORPTION INFRAROUGE DE N2 ET O2 INDUITE PAR LES FORCES

INTERMOLÉCULAIRES

Par MM. R.

COULON,

B.

OKSENGORN,

St. ROBIN et B.

VODAR,

Laboratoire des Hautes Pressions

(Bellevue).

Dans une

précédente

Note

(J. Physique

Rad.,

rg53,

14,

63),

nous avons

comparé

des résultats

expérimentaux

obtenus par nous à des

pressions

élevées avec les résultats obtenus à des

pressions

plus

basses par d’autres

auteurs;

il nous

paraît

utile de

préciser quelques points.

Dans

cette

Note,

nous avons utilisé la

quantité

s, définie par

l étant

l’épaisseur

de

l’absorbant,

(que

nous avons, par erreur,

désignée improprement

par « coefficient

d’absorption »)

et nous avons admis cette même définition

pour

les résultats des autres auteurs. Si

ceux-ci ont utilisé comme définition de leur coeffi-cient

d’absorption

la

quantité

plus généralement,

admise 5 dans ces

conditions,

la

pente

de

la courbe III

( fig. 2)

devrait être divisée par

2,3,

ce

qui

améliorerait la concordance entre nos résultats et ceux obtenus à basse

pression.

Avec

N 2’

dans notre calcul du coefflcient

d’absorption

spécifique

intégré (I,2. IO-4 cm-1jcmjamagat2),

nous avons

éga-lement utilisé la définition

(1).

,

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