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14 : Structures algébriques appliquées à l’arithmétique

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Academic year: 2022

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(1)

Lycée Louis-Le-Grand,Paris Pour le 04/03/2021 MPSI 4– Mathématiques

A. Troesch

DM n

o

14 : Structures algébriques appliquées à l’arithmétique

Correction du problème 1– Nombres de Carmichael Partie I – Structure du groupe pZ{pZq˚

1. Soit pour toutpPP,

αp

$

&

%

vppaq sivppaq ěvppbq

0 sinon et βp

$

&

%

vppbq sivppaq ăvppbq

0 sinon

On posea1“ź

pPP

pαp etb1“ź

pPP

pβp. On a alors a1^b1“1,a1|aetb1 |b. De plus :

a1b1“ź

pPP

pmaxpvppaq,vppbqq soit: a1b1“a_b .

On considère alors x1“xa{a1 et y1“yb{b1 , qui sont bien d’ordrea1 etb1respectivement.

2. CommeGest abélien, on apx1y1qa1b1 “ px1a1qb1py1b1qa1“1. Ainsi, en notantc l’ordre dex1y1, on ac|a1b1. Par ailleurs,px1y1qc“1, doncpx1qc“ py1q´cP xxy X xyy. NotonsH “ xx1y X xy1y. CommeH est un sous-groupe dexxyet dexyy, l’ordre deH divisea1 etb1. Puisquea1 etb1 sont premiers entre eux,H “ t1u; Ainsi,px1qc“1 etpy1qc“1, de quoi on déduit quea1|cet b1|c. Commea1 etb1 sont premiers entre eux,a1b1|c.

Ainsi, x1y1 est d’ordrea1b1“a_b.

3. Soit ωpGqle ppcm des ordres de tous les éléments deG. En notant x1, . . . , xn les éléments deG eta1, . . . , an

leurs ordres, on montre sans problème par une récurrence immédiate basée sur la question précédente, que pour toutkP v1, nw, il existe un élément d’ordrea1_ ¨ ¨ ¨ _ak.

En particulier, pourk“n, il existe un élémentgPGd’ordreωpGq.

Par définition, pour tout g P G, l’ordre de g divise ωpGq, donc gωpGq “ 1. Donc ωpGq ě mintk P N˚ | @g P G, gk“1,u.

De plus, l’existence deg d’ordreωpGq, assure que pour toutkP v1, ωpGq ´1w,gk ‰1, donc ωpGq ď mintkP N˚ | @gPG, gk “1,u.

Les deux inégalités amènent : ωpGq “mintkPN˚| @gPG, gk “1,u.

4. Tout élément non nul deZ{pZest inversible (carFpest un corps). On rappelle que cela provient d’une relation de Bézout entreknon divisible parpetp: on trouve un inverse deken réduisant l’égalitéuk`bp“1 modulo p.

Ainsi,pZ{pZq˚“Z{pZzt0u, donc son ordre estp´1.

5. SoitP PFprXsle polynôme à coefficients dansFp défini par : PpXq “XωpGq´1.

Pour toutξPG,xξ “1, par définition de l’exposant. Donc Ppξq “0. D’après le point admis plus hautPpXq est divisible parX´ξq. ÉcrivonsPpXq “ pX´ξqQpXq.

Soitξ1 ‰ ξ. On a alorsPpξ1q “ 0, donc pξ´ξ1qQpξ1q “ 0. Comme ξ´ξ1 “0 et que Fp est un corps (donc intègre), on en déduit queQpξ1q “0, et donc qu’on peut factoriserQparpX´ξ1q.

En continuant de la sorte (par une récurrence immédiate), on en déduit que P est divisible par ź

ξPG

pX´ξq

(2)

6. L’examen des degrés nous assure alors, puisque P n’est pas le polynôme nul, que ź

ξPG

pX´ξq ďdegpPq, donc que p´1ďωpGq.

Comme par ailleurs, pour toutxPG, x1 “1 (d’après Lagrange), on en déduit, d’après la question 3, que ωpGq ďp´1.

Ainsi, p´1“ωpGq.

7. On déduit alors de la question 3 qu’il existe un élément gd’ordrep´1, ce qui équivaut à dire queG“ xxy.

Ainsi, Gest cyclique d’ordrep´1.

Partie II – Stucture des groupespZ{pnZq˚

1. Il s’agit encore d’une relation de Bézout : k est inversible modulopn ssi il existe uPZ tel queku”1 rpns, ssi il existeuet v dansZtels que ku`pnv“1, ssiaet pn sont premiers entre eux, ssi pne divise pask . 2. Le nomrbe de diviseurs depdansv1, pnwest p1, donc, d’après la question précédente, le nombre d’éléments

inversibles deZ{pnZestpn´p1, soit :

|pZ{pnZq˚| “ϕppnq “p1pp´1q.

3. SoitaPZ, etmPN˚. D’après la formule du binôme, p1`pmaqp

p

ÿ

k“0

ˆp k

˙ pmkak.

Pour toutkě2,mkě3měm`2(carmě1). De plus, pourk“2, ˆp

k

˙

est divisible parp(carkP v1, p´1w puisquepě3 par hypothèse ; plus simplement

ˆp k

˙

“ ppp´1q

2 , etp´1est pair), et2měm`1. Ainsi, pour k“2,

ˆp k

˙

pmk est divisible parpm`2. On en déduit que

p1`pmaqp”1` ˆp

1

˙

pma”1`apm`1rpm`2s.

4. On raisonne par récurrence, en notant pour mPN˚,Ppmqla propriété :

@aPZ, p1`paqpm ”1`pm`1arpm`2s.

‚ Initialisation : pourm“0, c’est une évidence, puisquep1`pqp0 “1`p.

‚ Hérédité : SoitmPN. SupposonsPpmq. Nous avons alors :

p1`paqpm`1“ pp1`paqpmqp.

Or, d’après l’hypothèse de récurrence, il existebPZtel quep1`paqpm “1`pm`1a`pm`2b.On a donc p1`paqpm`1“ p1`pm`1pa`pbqqp.

On applique la question précédente au rangm`1ě1:

p1`pm`1pa`pbqqp”1`pm`2pa`pbq rpm`3s, puis :

p1`paqpm`1 ”1`pm`2arpm`3s.

Il s’agit là dePpm`1q.

‚ Ainsi, d’après le principe de récurrence, on peut conclure que :

(3)

5. On a, d’après la question précédente (qu’on peut appliquer pour n´1carně2), p1`pqpn´1 ”1`pn rpn`1s donc: p1`pqpn´1 ”1 rpns.

On en déduit que l’ordreade1`pdivisep1. Il existe doncαP v1, n´1wtel quea“pα(αne peut pas être nul car1`p‰1dansZ{pnZ). Or, la question précédente amène aussi (au rangn´2ě0) :

p1`pqp2 ”1`p1 rpns donc: p1`pqp1 ı1 rpns.

Ainsi,ane divise pasp2, doncαąn´2. On a doncα“n´1, et a“p1. Ainsi, 1`pest d’ordrep1danspZ{pnZq˚ .

6. Soit x P Z tel que sa classe xmodulo psoit une racine primitive modulo p. Ainsi, xest d’ordre p´1 dans pZ{pZq˚. Considéronsx˜la classe de xmodulopn. Commexest premier avecp(carxest inversible),xest de même premier avecpn. Doncx˜P pZ{pnZq˚. L’ordre de ce groupe étantpnpp´1q, l’ordre dex˜ divisepnpp´1q, d’après le théorème de Lagrange. Soit a l’ordre de x. Il existe donc˜ α P v0, nw et m divisant p´1 tel que a“pαm. On a alors

xpαm”1 rpns donc: xpαm”1rps.

Puisque x est d’ordre p´1, on en déduit que p´1 divise pαm, et étant premiers avec pα, il divise m. Par conséquentm“p´1.

Ainsi,x˜ est d’ordrepαpp´1q, donctildexpα est d’ordrep´1. Il existe donc un élément d’ordrep´1danspZ{pnZq˚ .

7. pZ{pnZq˚ contient un élément d’ordrep´1, et un élément d’ordrep1. Par conséquent p´1 et p1 étant premiers entre eux, il découle de la question I-2 quepZ{pnZq˚contient un élémentyd’ordrep1pp´1q. Comme il s’agit là de l’ordre du groupepZ{pnZq˚, on en déduit quey engendrepZ{pnZq˚.

Ainsi,pZ{pnZq˚ est cyclique d’ordrep1pp´1q.

Partie III – Cas despZ{2nZq˚

1. On suppose n ě 3. On note G “ pZ{2nZq˚, H l’ensemble des classes modulo 2n des entiers k congrus à 1 modulo4, et etK“ pt´1,`1u,ˆq.

(a) On aH ĂGcar les éléments deH sont représentés par des entierskimpairs, donc premiers avec2n, donc inversibles modulo 2n. De plus :

‚ 1”1r4s, donc 1PH :H contient le neutre depZ{2nZq˚.

‚ Soit het k dansH, représentés par des entiers xet y de Z. On a doncx”1 rHset y ”1 r4s, donc xy”1r4s, donchkPH.

‚ Soit hP H représenté par x. Commex est impair, donc premier avec 2n, x est inversible modulo2n. Soity PZ un inverse modulo2n de x. On a alorsxy ”1r2nset commeně3,xy ”1 r4s. Or, comme x”1r4s, on a xy”y r4s, doncy”1r4s. Ainsi,yPH.H est donc stable par inversion.

On en déduit que H est un sous-groupe deG. Son ordre est clairement 22 . (b) Il n’est pas dur de vérifier queK est un groupe (version multiplicative deZ{2Z).

On définitϕdeHˆK dansGpar :

ϕph, kq “hk.

‚ Comme hest inversible modulo2n ainsi que k(égal à 1 ou´1), il en est de même de hk. Ainsi, ϕest bien à valeurs dansG.

‚ Soitph, kqet ph1, k1qdes éléments deHˆK. On a alors

ϕpph, kq ¨ ph1, k1qq “ϕphh1, kk1q “hh1kk1 “hkh1k1“ϕph, kqϕph1, k1q, puisque Gest abélien. Ainsi,ϕest un morphisme.

(4)

‚ Soit ph, kq P Kerpϕq. On a donc hk “ 1 dans Z{2nZ. Comme k “ 1 ou k “ ´1, on en déduit que h“1ou h“ ´1dansZ{2nZ. Comme ně2, on peut réduire modulo 4. Commehsoit être représenté par un élément congru à 1 modulo 4, on en déduit qu’on a nécessairementh “1, puis k “ 1. Ainsi, Kerpϕq “ tp1,1qu, donc ϕest injective.

‚ Gest de cardinal21(représenté par les entiers impaires dev2,2nw, ainsi queHˆK. Ainsi, l’injectivité et l’égalité des cardinaux finis amènent le fait queϕest bijective.

‚ On en déduit que ϕest un isomorphisme . (c) On montre par récurrence surně3la propriété

Ppnq: 52n´3 ”1`21r2ns.

‚ Initialisation : Pour n“3, c’est trivial :5”1`4r8s.

‚ Hérédité : Soitně3 tel quePpnqsoit vrai. Il existe alors atel que 52n´3 “1`21`a2n“1`21p1`2aq.

En élevant au carré et en développant le carré de droite, il vient : 52

2

“1`2np1`2aq `222p1`2aq2.

Or,ně3, donc2n´2ěn`1. On en déduit alors que 52n´2 ”1`2n r2n`1s, ce qui est exactementPpn`1q.

‚ On déduit du principe de récurrence que

@ně3, 52n´3 ”1`21 r2ns .

CommeH est d’ordre22, le théorème de Lagrange nous affirme que l’ordre de 5 (ou plutôt de sa classe dans H) est une puissance de 2, inférieure à22. Comme52n´3 ı1 r2ns d’après la question précédente,

l’ordre de5 ne peut alors qu’être22 .

(d) On déduit de la question précédente queH est cyclique d’ordre22, donc isomorphe àZ{22Z(remarquez que cet isomorphisme nous fait passer d’une notation multiplicative à une notation additive). On a déjà remarqué queK est isomorphe àZ{2Z.

Donc, d’après la question 1(b), pZ{2nZq˚ est isomorphe àpZ{2Zq ˆ pZ{22Zq

Ce groupe n’est pas cyclique . En effet, pour toutx“ py, zqdans ce produit cartésien, 22x“ p22y,22zq “ p0,0q,

donc il n’existe pas d’élément d’ordre21(l’ordre maximal ne pouvant excéder22, égal d’ailleurs à cette valeur).

2. ‚ Casn“1: le seul élément inversible de Z{2Zest 1, donc pZ{2Zq˚ “ t1u (groupe trivial)

‚ Casn“2: les éléments inversibles deZ{4Zsont1et3. Donc pZ{4Zq˚ est d’ordre 2, donc isomorphe àZ{2Z.

Partie IV – Nombres de Carmichael et indicateur de Carmichael

1. ‚ Soit ně 2; Commeϕpnq est l’ordre de pZ{nZq˚ (encore Bézout comme en II-1), l’ordre des éléments de pZ{nZq˚ diviseϕpnq(théorème d’Euler), donc leur ppcm aussi.

Ainsi pour toutně2, λpnqdiviseϕpnq.

‚ Siλpnq “ϕpnq, alors d’après le rappel en début de partie, il existe un élémentxd’ordreλpnq, donc d’ordre ϕpnqdanspZ{nZq˚. Pour des raisons de cardinalité, on a alorspZ{nZq˚ “ xxy, donc pZ{nZq˚ est cyclique .

‚ Réciproquement, si pZ{nZq˚ est cyclique, il existe un élément d’ordre ϕpnq, donc ϕpnq divise λpnq par

(5)

‚ Ainsi,λpnq “ϕpnqsi et seulement sipZ{nZq˚ est cyclique.

2. ‚ Si nest premier, alors λpnq “ϕpnq (carpZ{pZq˚ est cyclique), et ϕpnq “n´1. Ainsi, λpnqne divise pas strictementn´1.

‚ Supposons alors que λpnqdivise strictement n´1. La remarque qui précède permet déjà d’affirmer quen n’est pas premier. De plus, pour tout x premier avec n, x est danspZ{nZq˚, donc son ordre divise λpnq (définition deλpnq), donc aussin´1, par hypothèse. Ainsi,x1“1, soitx1”1rns.

On en déduit quenest un nombre de Carmichael.

‚ Réciproquement, supposons quenest un nombre de Carmichael. Alors pour toutxpremier avecn,x1“1, donc l’ordre dexdivisen´1. Ceci étant vrai pour tout élément depZ{nZq˚, le ppcm des ordres des éléments de ce groupe divise aussin´1, soitλpnqdivisen´1.

De plus, on ne peut pas avoir égalité, car cela impliquerait queϕpnq ěn´1, puisϕpnq “n´1, donc que tout nombre dev1, n´1w est premier avecn, donc quenest premier, ce qui est exclus par définition pour un nombre de Carmichael.

‚ Ainsi, nest de Carmichael si et seulement siλpnqdivise strictementn´1. 3. Soitn“

k

ź

i“1

pαii, avecαiě1 etkě1.

‚ Le théorème chinois nous permet d’affirmer que

Z{nZ“Z{pα11Zˆ ¨ ¨ ¨ ˆZ{pαkkZ.

On montre sans difficulté qu’on a alors :

pZ{nZq˚“ pZ{pα11Zq˚ˆ ¨ ¨ ¨ ˆ pZ{pαkkZq˚.

‚ Il existe danspZ{pαiiZq˚un élément d’ordreλppαiiq(question I-3), donc en itérant I-2, il existe danspZ{nZq˚ un élément d’ordreµ“λppα11q _λppα22q _ ¨ ¨ ¨ _λppαkkq. Doncµdiviseλpnq.

‚ Récirproquement,µest un multiple de chaquepαii, donc pour toutiP v1, kw, et toutxdansZ{pαiiZ, l’ordre dexdiviseµ, doncxµ“1. Ainsi, pour toutpx1, . . . , xk danspZ{pα11Zq˚ˆ ¨ ¨ ¨ ˆ pZ{pαkkZq˚, on a :

px1, . . . , xkqµ“ pxµ1, . . . , xµkq “ p1, . . . ,1q.

Donc l’ordre de tout élément depZ{nZq˚ divise µ, doncλpnqdiviseµ.

‚ On en déduit que

λpnq “µ“λppα11q _λppα22q _ ¨ ¨ ¨ _λppαkkq.

4. Les parties précédentes nous apprennent que sipest un nombre premier impair,λppαq “ϕppαq “pα´1pp´1q (carZ{pαZest cyclique), et que pour p“2,λp2αq “2α´2siαě3,2α´1 siα“1ouα“2(ce qui correspond aussi à l’expression obtenue pourpą2). Ainsi :

‚ sivpp2q ď2 (donc si8 ne divise pasn), on a :

λpnq “ ppα11´1pp1´1qq _ ppα22´1pp2´1q _ ¨ ¨ ¨ _ ppαkk´1ppk´1qq.

‚ sivpp2q ě3 (donc si8 divisen), en stipulant quep1“2, on a :

λpnq “2α1´2_ ppα22´1pp2´1qq _ ¨ ¨ ¨ _ ppαkk´1ppk´1qq. 5. ‚ Si nest un nombre de Carmichael, il est composé par définition.

Par ailleurs, λpnq divise n´1, donc pour tout i P v1, pw, λippαiiq divise n´1, et l’expression de λippαiiq montre que siαi ą1, alorspi divisen´1 (y compris pourp“2, en distinguant les cas α“2et aě3).

Or, commepidivisen, ceci n’est pas possible. Par conséquent,αiď1. Par conséquent,nn’a pas de facteur multiple.

On a donc pour tout iP v1, kw,λppαiiq “pi´1 (y compris si pi “2), et λppαiiqdivise n´1, donc pi´1 divisen´1.

(6)

‚ Réciproquement, sinest composé, sans facteur multiple et si pour toutpfacteur premier den,p´1divise n, alors, en écrivantn“p1¨pk avec les pi premiers deux à deux distincts, on a

λpnq “ pp1´1q _ ¨ _ ppk´1q.

Or chacun des pi´1 divise n´1, donc leur pgcd aussi. On en déduit que λpnq divise n´1. On a déjà montré qu’on ne peut avoir l’égalité que sinest premier, ce qui est exclus ici. Ainsi,λpnqdivise strictement n´1.

Ainsi, nest de Carmichael ssi tout facteur premier pdenest simple et vérifiep´1|n´1.

6. On a 561“3ˆ11ˆ17, donc il est composé, sans facteur multiple. De plus on vérifie facilement que2,10 et 16divisent560, doncnest de Carmichael.

7. La réciproque résulte du fait que si a est premier avecn, il est inversible modulo n, donc on peut simplifier para.

Dans le sens direct, sinest de Carmichael, l’égalité est trivialement vérifiée par définition pour lesapremiers avecn, et il faut l’obtenir pour les autres valeurs de a. C’est en fait une conséquence du théorème chinois. On écritn“p1¨ ¨ ¨pk(lespiétant deux à deux distincts carnest de Carmichael), et on considèreaPZ, etiP v1, kw

‚ Si a^pi “1, alors api´1 ”1 rpis d’après Fermat, donc, comme pi´1 divise n´1, a1 ”1 rpis, puis an”arpis.

‚ Sia^pi‰1, alorspi|a, donca”0|p1s, doncan ”a”0 rpis.

Par conséquent, pour toutiP v1, kw,an”arpis. Lespiétant des premiers 2 à 2 distincts, ils sont 2 à 2 premiers entre eux, et, sachant quen“p1¨ ¨ ¨pk, le théorème chinois permet de conclure que an”arns.

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