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Sur les variations séculaires de l'inclinaison magnétique dans l'antiquité

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Academic year: 2021

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HAL Id: jpa-00240420

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00240420

Submitted on 1 Jan 1899

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Sur les variations séculaires de l’inclinaison magnétique dans l’antiquité

Folgheraiter

To cite this version:

Folgheraiter. Sur les variations séculaires de l’inclinaison magnétique dans l’antiquité. J. Phys. Theor.

Appl., 1899, 8 (1), pp.660-667. �10.1051/jphystap:018990080066001�. �jpa-00240420�

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effet, en parcourant le tableau numérique des intensités, que toutes les raies de haute température sont affaiblies par l’étincelle oscillante et que, par contre, les raies qui sont vives dans l’arc restent égale-

ment vives en employant la self-induction. Cette méthode d’observer les spectres, permettant d’éliminer complètement les raies de l’air

(qui nuit tant à la pureté des spectres), pourrait rendre des services réels à l’analyse des métaux; son emploi est des plus simples : il suffit,_ en effet, d’avoir une bobine de fil bien isolé, contenant de

20 à 50 tours et ayant 20 à 30 centimètres de diamètre pour rendre l’étincelle suffisamment oscillante et obtenir les résultats que nous

avons énumérés plus haut.

SUR LES VARIATIONS SÉCULAIRES DE L’INCLINAISON MAGNÉTIQUE

DANS L’ANTIQUITÉ (1);

Par M. FOLGHERAITER.

o

Les observations que nous possédons sur la valeur de l’inclinaison

magnétique embrassent une période de trois siècles au plus.

L’exactitude des premières observations est assez douteuse ; on peut toutefois affirmer, avec quelque certitude, que l’inclinaison dans

l’Europe occidentale est allée en augmentant pendant le XVIIe siècle,

pour atteindre un maximum vers sa fin et passer ensuite à une

pliasse de diminution, qui continue encore de nos jours. L’usage de

la boussole dans la nayigation, qui remonte au xme siècle, prouve, du reste, que depuis ce temps l’inclinaison n’a pu atteindre à Paris

ou à Londres une valeur beaucoup plus grande que la valeur maxi-

mum connue; car les navigateurs des mers du Nord eussent

rencontrer des variations très rapides de la déclinaison, comme on

les observe en passant près du pôle magnétique.

Les formules empiriques, qui expriment les valeurs des éléments du magnétisme terrestre en fonction du temps, et dont les coefficients

.

ont été calculés d’après les observations, ne peuvent s’appliquer à

des époques quelque peu éloignées des limites des observations mêmes.

(1) Extrait des Archives des Sciences physiques et naturelles, 4e période, t. VIII,

p. 5; juillet 1899.

-

Voir aussi Rendiconti della R. Accaden2Ïa dei Lincei, Classe Scienze lisiche, ecc., Serie :).1, vol. V, sem. 1896, pag. 66, 121, 199, 242 et 293;

-Idem, vol. VI, sem. 1891, pag. 64;

-

IdeJn, vol. V1II, sem. 1899, pag. 69, 121, 116 et 269.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018990080066001

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661 Dans ces conditions, toute tentative d’étendre nos connaissances de l’histoire magnétique de la Terre doit être accueillie avec quelque

intérêt.

J’ai fait connaitre, dans les publications de l’Académie Royale des Lyncées à Rome, une méthode, qui m’a conduit à des conclusions

assez précises sur la valeur de l’inclinaison en Italie et en Grèce

quelques siècles avant Jésus-Christ; qu’il me soit permis de présen-

ter ici un résumé de mes recherches.

Principe cle la méthode.

-

Si l’on prend un cylindre ou bien un

vase de forme quelconque, en argile, et qu’on le porte à une tempé-

rature élevée (vers 800°), on observe qu’après refroidissement le

vase de terre cuite est devenu un aimant permanent, dont la distri- bution magnétique est celle qu’il a acquise par induction du champ

terrestre pendant le refroidissement mème.

FIG. 1.

Supposons à présent que nous connaissions la position exacte du

vase pendant la cuisson par rapport à des coordonnées terrestres, et

que nous puissions déterminer la magnétisation induite par un champ

uniforme sur un vase de la forme donnée, mais d’orientation quel-

conque par rapport à l’axe du champ. Il est clair que l’examen de l’état magnétique du vase cuit pourra nous renseigner exactement

sur la direction du champ terrestre par rapport aux coordonnées choisies. Un vase étrusque, par exemple, est précisément d’argile cuite, et par conséquent la détermination expérimentale de sa distri-

bution magnétique conduit à la connaissance de la direction du

champ terrestre inducteur à l’époque de la cuisson.

Voilà le principe très simple de ma méthode, que deux cas

extrêmes vont illustrer encore mieux.

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Un cylindre creux est exposé en position verticale à la cuisson pen- dant que la direction du champ terrestre est verticale ou horizontales.

Dans le premier cas nous obtiendrons un aimant avec deux polarités

constantes le long des bords de chaque base. Dans le second cas,

nous aurons sur les deux bases la même distribution magnétique depuis un maximum S jusqu’à un maximum N de signe contraire,

en passant par zéro. L’on voit qu’un simple examen du vase, pourvu que l’on soit sûr de la verticalité de l’axe pendant l’aimantation, permettra de décider, si l’inclinaison était nulle ou de 90°. Ainsi l’examen des terres cuites anciennes permet des conclusions sur

I’inclinaison au temps de leur fabrication.

Condition d’applicabilité de la méthode. - Ma méthode repose

sur deux données dont il faut d’abord prouver la certitude.

10 La distribution magnétique propre du vase n’a pas changé depuis l’instant de son refroidissement.

Il serait en effet à craindre que la magnétisation des terres cuites

anciennes n’ait suivi depuis leur cuisson les variations du champ

terrestre. Or il n’en est pas ainsi.

On peut facilement s’assurer, par l’expérience, qu’un changement magnétique permanent ne peut s’obtenir qu’avec des champs externes

très puissants, qui n’ont certainement pas pu se produire à la surface

terrestre, ou bien à des températures très élevées, et l’on sait que les conditions climatologiques de la Terre ont peu changé depuis les époques historiques.

Mais il y a des preuves plus directes.

Si l’on examine avec une simple aiguille les briques qui font encore partie d’anciennes constructions romaines, et qui ont donc conservé la même position depuis près de vingt siècles, on constate aisément

que leur orientation magnétique est absolument individuelle : c’est- à-dire qu’elle change d’une brique à l’autre.

On se l’explique facilement. Dans la construction du mur les

briques ont été placées l’une sur l’autre, indépendamment de la posi-

tion qu’elles avaient eue dans le four, lors de la cuisson. Mais en

même temps nous avons ici la preuve que le champ terrestre n’a pu

opérer aucun changement sur le magnétisme déjà acquis par les

briques; sinon, celles-ci devraient présenter toutes la même orienta- tion magnétique, étant examinées à leur place.

Des excavations faites en 1883 à Arezzo, pour la fondation d’une

maison, ont mis à jour une grande quantité de terres cuites entassées,

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c’est-à-dire vases et formes de vases (matrici), entiers ou en frag-

ments, non seulement de la même époque - un siècle avant Jésus-

Christ - mais portant aussi gravée la même marque de fabrique.

Or l’examen des vases entiers, des fragments, des vases recom- posés en collant ensemble leurs débris retrouvés, donne toujours la

même orientation magnétique par rapport à l’axe du vase. Si l’on pense que les fragments et les vases sont restés enfouis pêle-mêle

sous le sol depuis un temps qui remonte à leur fabrication ou à peu

près, on pourra bien conclure que la terre cuite conserve la magné-

tisation acquise, avec un degré de ténacité que nous ne pouvons affirmer pour aucune antre substance, y compris l’acier.

2° La position que les vases ont eue pendant la cuisson est connue.

Bien des vases laissent, il est vrai, des doutes sur la position qu’ils pouvaient avoir dans le four ; mais il en est d’autres qui n’admettent

qu’une seule position. Je veux citer ici seulement les vases qui sont

riches en ornements et figures latérales, qui ont un bec très relevé

ou encore une anse sur la bouche.

Ces vases ne peuvent avoir été cuits que dans une position verti-

cale et avec le fond en bas ; il n’est pas nécessaire de se connaître dans l’art du potier pour en convenir.

É4 tude expérimentale des vases cuits en position vai-iable.

-

La

partie expérimentale de mes recherches se compose de deux par-

ties, dont la première a consisté à cuire dans un four expressé-

ment construit

-

c’est-à-dire absolument exempt de fer - des vases

d’argile de formes très différentes et en position variable, mais exac-

tement connue par rapport à la verticale et, par conséquent, à la

direction du champ terrestre. En second lieu, il s’agissait de passer à un examen magnétique du vase pour établir, si de la connaissance de la distribution magnétique on pouvait, par des suppositions conve- nables, remonter par le calcul à l’angle formé par la direction du

champ avec l’axe du vase. Les résultats du calcul pouvaient ainsi

être immédiatement contrôlés.

Supposons, d’abord, que le vase soit un cylindre creux, cuit avec

son axe vertical, pendant que la direction du champ terrestre fait

l’angle r 2 - t avec la verticale.

Nous admettrons que sur les contours des deux bases on ait une

distribution de masses magnétiques due à la simple superposition

de deux autres dislributions : dont l’une est produite par la compo-

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sante verticale v du champ terrestre, l’autre par la composante hori-

zontale h.

Pour fixer la position d’un point sur le contour, nous donnerons la distance azimutale o du plan qui passe par ce point et par l’axe du

cylindre, avec le plan méridien, c’est-à-dire celui qui contenait ori-

ginellement l’axe du cylindre et la direction du champ terrestre.

Nous supposerons encore que les masses magnétiques dues à la

composante llorizontale, et qui se trouvent en deux éléments diamé- tralement opposés de la même base, soient de signes contraires. (La

manière la plus simple d’exprimer analytiquement cette supposition

est d’admettre que la masse magnétique sur chaque élément du

contour est représentée, à un coefficient de proportionnalité près,

par l’expression ± v + h cos p, le double signe se rapportant aux

deux bases.)

Si l’on connaissait donc la masse magnétique distribuée sur un

élément quelconque du contour et sur l’élément diamétralement

opposé, la somme des deux valeurs donnerait une mesure de la

composante verticale, la différence une mesure de la composante horizontale, si l’on tient compte de l’angle azimutal des deux points.

L’examen magnétique du cylindre se faisait de la manière suivante : le cylindre était tenu horizontal dans la direction est-ouest couché

sur sa génératrice la plus basse. Près de l’extrémité de cette géné-

ratrice et sur son prolongement était une petite aiguille magnétique,

dont on suivait les déviations angulaires avec échelle et miroir, lorsque, en faisant tourner le cylindre, on venait à le déplacer angu- lairement de valeurs successives données.

Si l’on pouvait admettre que les déviations de l’ai guille donnent

une mesure de la masse située sur le point du bord le plus bas, on aurait, comme j’ai dit plus haut, par la somme de deux déviations

correspondant à deux points diamétraux une mesure de la compo- sante verticale (2v) ; par leur différence, une mesure de la composante horizontale (2h cos p) ; d’où l’on pourrait déduire la tangente de l’angle d’inclinaison (tgi = v : h) ; la section méridienne serait carac-

térisée par les déviations maximum de côté et d’autre.

Mais il est nécessaire d’apporter une correction, due à ce que

l’aiguille ressent non seulement l’action de la masse située sur le

point le plus rapproché, mais aussi l’action de tous les autres points

des contours des deux bases.

Si, à présent, on pouvait rigoureusement admettre que la distribu-

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665 tion se réduit à des masses situées sur les points du contour et selon

la loi susdite, cette correction ne serait pas difficile à apporter en déterminant les dimensions du vase et sa position par rapport à

l’aiguille; mais j’ai vu que, dans la pratique, il suffit de tenir compte des masses situées sur certains points de l’une et de l’autre base.

Toute cette manière de calculer le rapport des deux composantes

est bien de caractère empirique; mais il s’agissait justement de

trouver une méthode que l’expérience justifiât, vu que le problème théorique de l’induction d’un vase situé dans un champ magnétique

est absolument inaccessible à nos moyens analytiques.

Or, justement, en observant les déviations pour un grand nombre

de points sur les deux bases avec des formules obtenues comme je

l’ai exposé, je suis arrivé à des valeurs de l’angle entre l’axe du vase

et l’axe du champ, qui ne différaient de la valeur vraie que d’un

degré ou d’un degré et demi au plus.

Il faut ajouter que j’ai opéré avec des vases de formes diffé- rentes du cylindre, et qui resseinblaient à celles des vases anciens,

que j’allais examiner dans la suite; et, en inclinant convenablement les vases dans le four, j’ai donné difféi°entes valeurs à l’angle de l’axe

du vase avec le champ ; ce qui revenait à faire changer la valeur de l’inclinaison en supposant toujours le vase vertical.

J’insisterai encore sur la nécessité d’examiner successivement les deux bases par la même raison, qui constitue la difiiculté des mesures

magnétiques terrestres par déflection ; je veux dirè l’induction tem-

poraire du champ terrestre pendant la mesure. Aussi la valeur de l’inclinaison, que l’on aurait en examinant seulement une base, est

très incertaine.

Les longues et pénibles recherches préliminaires, dont j’ai exposé

ici seulement les résultats, m’avaient désormais mis en possession

d’une méthode d’examen magnétique, et de formules, qui me permet_

taient de déduire l’angle d’inclinaison. Aussi je suis passé à l’étude

des vases anciens, d’époque bien déterminable.

Résultats des observations SUY’ les vases anciens.

-

J’exposerai

brièvement ici les conclusions auxquelles je suis arrivé, en renvoyant

à mes publications originales le lecteur désireux de détails.

De l’examen des vases étrusques, qui sont conservés au Musée de

la Villa Giulia, à Rome, et de la riche collection privée du comte Faina, à Orvieto, il résulte que :

Au VIlle siècle avant l’ère chrétienne, l’inclinaison magnétique

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dans l’Italie centrale avait une valeur très petite, et, de plus, elle

était australe (c’est-à-dire que l’extrémité la plus basse d’une aiguille magnétique aurait été non le pôle nord, comme à présent, mais le pôle sud); deux siècles plus tard, l’inclinaison avait une valeur très sensiblement nulle.

De l’examen des vases étrusques conservés au musée d’Arezzo, il

résulte que :

L’inclinaison dans la première moitié du 1er siècle avant l’ère chré- tienne avait, à Arezzo, à peu près la même valeur qu’aujourd’lmi ;

Des vases contenus dans le Musée de Naples, que :

A Pompéï, ou plus précisément dans l’endroit de fabrication des

vases pompéiens, l’inclinaison magnétique avait, peu avant la des- truction de la ville (79 ans après J.-C.), la valeur de 66°.

L’examen des vases attiques et corinthiens conservés dans les Musées de Florence, Naples et Syracuse, m’a conduit aux résultats

ivants :

Dans la période des premiers vases corinthiens et des attiques à figures noires sur fond rouge l’inclinaison était australe (vile siècle

avant J.-C.).

FIG. 2.

Peu après, peut-être au commencement du vie siècle, l’inclinaison était nulle et devint, après, boréale. Près de la fin de la période de

fabrication des vases attiques (fin du Ve siècle avant J .-C.), l’inclinai-

son était de près de 20° et boréale.

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Il restait à connaître les variations de l’inclinaison entre le ve ei le 1er siècle, et j’ai espéré pouvoir utiliser les vases de la Campanie, de l’Apulie et de l’Etrurie. Malheureusement mes observations n’ont conduit qu’à une discussion sur les données des archéologues ; l’époque précise de la fabrication des vases qui nous sont restés

n’est pas connue avec une précision suffisante.

La courbe (fig. 2) représente à peu près, et comme une première approximation, les variations de l’inclinaison dans une période de

neuf siècles, c’est-à-dire. depuis 800 ans avant Jésus-Christ jusqu’à

la fin du 1er siècle après Jésus-Christ.

Dans le vie siècle avant l’ère chrétienne, l’équateur magnétique passait par l’Italie centrale. On voit aussi que les oscillations de

l’aiguille d’inclinaison, si ces oscillations existent, ont une amplitude

très considérable.

Mes recherches ont porté, comme on l’a vu, sur la connaissance d’un seul élément du magnétisme terrestre. Mais il n’est pas inutile d’observer que, si l’on pouvait retrouver des fours à briques anciens et intacts, une maison en briques, qui ait été exposée à un grand incen-

die d’une époque connue, on pourrait facilement connaître aussi la va-

leur de la déclinaison en faisant des mesures tout autour de l’édifice . On pourrait espérer aussi arriver à quelque conclusion sur l’in- tensité du champ terrestre en recuisant des vases anciens et en comparant les intensités de magnétisation acquise, ancienne et actuelle; mais des mesures sur des vases cuits et recuits à plusieurs reprises m’ont montré que cette méthode conduirait à des résultats

trop incertain s .

REVUE DES TRAVAUX FRANÇAIS;

Comptes rendus de l’Académie des Sciences, 1898.

A. PÉROT et Cti. FABRY. - Sur une nouvelle méthode de spectroscopie interfé-

rentielle et sur un spectroscope interférentiel.

-

C. R., t. CXXVI, p. 34 et p. 331.

A. PÉROT et CH. FABRY. - Étude de quelques radiations par la spectroscopie interférentielle.

-

P. 407.

La méthode d’étude des radiations complexes par les larnes minces

argentées (1) a été appliquées au cas des radiations qu’ont employées

( 1) Voir J. de Pliys., 3, série, t. VII, p. 317; 1898 : FABHY et PÉROT, Électromètro

absolu, pour petites difféJ’ences de potentiels.

--

La séparation des radiations voi-

sines par les lames minces argentées est exposée aux pages 324 et 325.

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