HAL Id: jpa-00239094
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Submitted on 1 Jan 1890
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A. WINKELMANN. - Die Bestimmung von Dielectricitätsconstanten mit Hülfe des Telephons ( Détermination des constantes diélectriques au moyen du
téléphone); Wied. Ann., t. XXXVIII, p. 160; 1889
C. Daguenet
To cite this version:
C. Daguenet. A. WINKELMANN. - Die Bestimmung von Dielectricitätsconstanten mit Hülfe des Tele- phons ( Détermination des constantes diélectriques au moyen du téléphone); Wied. Ann., t. XXXVIII, p. 160; 1889. J. Phys. Theor. Appl., 1890, 9 (1), pp.253-254. �10.1051/jphystap:018900090025302�.
�jpa-00239094�
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la dilatation du quartz, en adoptant les nombres de M. Fizeau; les
mesures faites jusqu’ici se rapportent à diverses sortes de verres.
Nous donnons, dans le Tableau suivant la désignation sommaire
des verres et les deux coefficients de la formule de dilatation :
GH.-ED. GUILLAUME.
E. FLEISCHL von MARXOW. 2014 Ueber die zweckmässigste Herstellung mono-
chromatischen Lichtes (Sur la meilleure manière de produire de la lumière monochromatique ) ; Wied. Ann., t. XXXVIII, p. 675; I889.
L’auteur recommande d’employer le bromure de sodium au lieu
du chlorure. La lumière, dans des circonstances semblables, est
environ neuf fois plus intense, et l’on évite le décrépitemenu parfois très gênant dans l’emploi du chlorure.
CH.-ED. GUILLAUME.
A. WINKELMANN. 2014 Die Bestimmung von Dielectricitätsconstanten mit Hülfe des Telephons ( Détermination des constantes diélectriques au moyen du télé- phone); Wied. Ann., t. XXXVIII, p. I60; I889.
L’appareil est un condensateur formé de deux plateaux de
cuivre P et Pl de 1 gCID de diamètre, portés chacun par une colonne de bois mobile sur une règle graduée horizontale, et d’un troisième
plateau Q de 10~~ maintenu par un support isolant fixe entre
P et P’; ce plateau est réuni au pôle d’un appareil d’induction dont l’autre pôle communique avec le sol. Si l’on fait communiquer
Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018900090025302
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P avec le fil d’un téléphone, on peut facilement y constater les
mouvements électriques, il suffit même de laisser pendre le fil à
une petite distance du plateau pour entendre un son; mais il est
préférable de relier le téléphone aux plateaux P et I’~. On trouve
par tâtonnemen t une position des plateaux telle que le son passe par un minimum ; cette position est d’autant mieux déterminée que P et P’ sont plus rapprochés de Q. On intercale ensuite entre
P et Q le diélectrique que l’on veut étudier, on déplace P’ de
manière à ramener le son au minimum, et de ce déplacement on
déduit facilement la constante cherchée.
Des expériences préalables faites sur diverses espèces de verre, l’ébonite, la paraffine, la gomme laque, ont donné des résultats suffisamment, d’accord avec ceux indiqués par d’autres observa-
teurs pour qu’on puisse en conclure l’exactitude de la méthode (1).
L’appareil d’induction faisait trois cent quarante interruptions
environ par seconde; avec un nombre d’interruptions plus grand,
le son n’était pas net dans le téléphone.
Pour les liquides, on emploie une c uve de verre de 2 1’-’de côté,
de ~’n~‘ d’épaisseur, on établit la position des plateaux quand la
cuve est placée entre P et Q, puis on la remplit de liquide et l’on règle de nouveau la position des plateaux. Après une correction
nécessitée par la déformation de la cuve résultant de la pression
du liquide sur les parois, on trouve comme valeurs moyennes :
Ces nombres sont voisins de ceux donnés par d’autres physi- ciens ; en particulier, la valeur 2~zi. pour l’alcool éthylique diffère
peu de celle 26, 5 déduite par Cohn et Arons d’une méthode plus précise; la différencie s’explique d’autant plus facilement que la sensibilité de la méthode actuelle diminue à mesure que la valeur de la constante augmente. C. DAGUENET.
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