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Étude théorique de la relaxation par les collisions résonnantes pour une transition S-D

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(1)

HAL Id: jpa-00208403

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00208403

Submitted on 1 Jan 1976

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Étude théorique de la relaxation par les collisions résonnantes pour une transition S-D

G. Meunier

To cite this version:

G. Meunier. Étude théorique de la relaxation par les collisions résonnantes pour une transition S-D.

Journal de Physique, 1976, 37 (2), pp.65-70. �10.1051/jphys:0197600370206500�. �jpa-00208403�

(2)

ÉTUDE THÉORIQUE DE LA RELAXATION

PAR LES COLLISIONS RÉSONNANTES POUR UNE TRANSITION S-D

G. MEUNIER

(*)

Laboratoire de

Spectroscopie

Hertzienne de l’Ecole Normale

Supérieure (**)

et Université Paris

VII, 2, place Jussieu,

75221

Paris,

France

(Reçu

le

10 juillet

1975,

accepté

le 30

septembre 1975)

Résumé. - L’étude théorique de la relaxation par des collisions résonnantes est étendue au cas

des collisions entre un atome dans un niveau excité D et un atome du même élément dans son niveau fondamental S.

Après

une discussion sur le choix du

potentiel

considéré

(quadrupôle-quadrupôle

en R-5 et

dipôle-dipôle

au 2e ordre avec un niveau P intermédiaire en

R-6),

on donne la valeur

des différents taux de relaxation et de transferts à partir d’un calcul numérique de la matrice de collision

semi-classique.

Une

application

au cas de

quelques

alcalins donne une idée de l’ordre de

grandeur des sections efficaces de ces collisions

(10-14-10-13 cm2).

Abstract. 2014 The theoretical study of the relaxation by resonant collisions is extended to the case

of collisions between an atom in a D excited state and an atom of the same element in its S fun- damental state. After a discussion about the choice of the

potential

considered

(the R-5 quadrupole- quadrupole

term and the R-6 second order

dipole-dipole

term

taking

into account a P intermediate

state), the values of relaxation and transfer rates are obtained from a numerical calculation of the semi-classical collision matrix. These calculations are

applied

to the case of some alkalis and an

estimate of the size of the cross-section is obtained

(10-14-10-13 cm2).

Classification

Physics Abstracts

5.280

1. Introduction. - Le traitement des collisions r6sonnantes entre un atome excite et un atome du meme element dans 1’6tat fondamental a

g6n6rale-

ment 6t6 effectu6 pour des transitions

dipolaires 6lectriques

entre un 6tat fondamental S et un etats excite P

[1, 2, 3, 4]. Reprenant

la theorie

developpee

par Omont

[1, 2]

dans ce cas, nous

l’appliquons

ici

aux collisions entre un atome dans son etat fonda- mental S et un atome du meme element dans un 6tat excite D.

Nous supposons que la distance entre les atomes reste suffisamment

grande pendant

la dur6e de la collision pour que le

potentiel

d’interaction ait pour termes

pr6pond6rants

les termes

multipolaires

elec-

triques.

Ces termes peuvent

agir

au

premier

ordre ou à

des ordres

plus eleves,

ce

qui represente

le passage du

syst6me

par des 6tats virtuels intermediaires

[1].

Dans le cas

present,

les termes d’ordres les

plus

bas

sont le

potentiel quadrupôle-quadrupôle V,

en R - 5

et le

potentiel dipole-dipole

au deuxi6me ordre

VD

en R - 6. Le traitement

general

de 1’effet simultan6 des deux

potentiels exigerait

un calcul

num6rique

pour

chaque

valeur du rapport de ces deux

potentiels ;

mais l’un d’eux est en

general beaucoup plus impor-

tant que 1’autre. De ce fait nous traitons de

faqon separee

les deux cas ou chacun de ces deux

potentiels agit

seul.

2.

Expression

des

potentiels.

- Le

potentiel

qua-

drupôle-quadrupôle

s’6crit sous la forme

[5] :

R

est Ie vecteur unitaire

port6

par I’axe

joignant

I’atome 1 A I’atome

2,

R est leur

distance, A?(i)

est

(A

un facteur

pr6s)

la composante tensorielle irr6- ductible d’ordre

Q

du moment

quadrupolaire

6lec-

trique

de l’ atome i :

ou la somme s’etend sur les electrons de 1’atome i.

(*) Actuellement : Laboratoire de Spectrometrie Ionique et Mol6culaire, Universite Claude-Bernard, La Doua, Villeurbanne, France.

(**) Associe au C.N.R.S.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphys:0197600370206500

(3)

66

Le

potentiel dipole-dipole

au deuxieme ordre s’ecrit :

ou

V,

est le

potentiel dipole-dipole

en

R - ’; I IS, 2D >

est 1’6tat ou 1’atome 1 est dans le niveau

S, I’atome

2

dans le niveau

D ; I I i, 2 j >

est un 6tat

intermédiaire ;

AEij

est la différence

d’6nergie

entre

I’état 1 S, 2D >

et

1’6tat I I i, 2 j > :

L’expression (3) représente

le terme direct du

potentiel (1’excitation

n’est pas

6chang6e

entre les

deux

atomes),

tandis que

1’expression (4) repr6sente

le terme de transfert

(1’excitation

est

echangee).

La forme de ce

potentiel depend

fortement des 6tats intermediaircs consid6r6s dans le calcul. Dans le cas

des

alcalins, auquel

nous nous sommes

particuli6re-

ment

int6ress6s,

la force d’oscillateur relative au

niveau fondamental S est presque enti6rement concen-

tr6e dans la transition entre cet 6tat S et le

premier

niveau P. De

plus

dans un certain nombre de cas

1’energie

de 1’etat ou les deux atomes sont dans ce

niveau P est tres voisine de celle des 6tats initiaux et finaux

(AEij petit).

Dans ces

conditions,

le niveau i dans les

expressions (3)

et

(4)

est de

facon pr6domi-

nante le

premier

niveau P. 11 en est de meme du

niveau j

dans le terme de transfert

(6q. (4)),

mais pas

dans le terme direct

(6q. (3)).

Par

consequent

dans ce

cas, le terme de transfert du

potentiel dipole-dipole

au deuxi6me ordre peut s’6crire

légitimement :

Une ecriture

analogue

du terme direct se

justifie

assez mal.

Nous avons

cependant pris

cette

expression :

particulierement simple,

afin d’6valuer l’ordre de

grandeur

de la

probabilite

de transfert par un calcul

analogue

a celui que nous avions effectu6 pour le

potentiel quadrupôle-quadrupôle.

Mais il est bien

clair que les valeurs obtenues dans ce modele pour

les ,

I

taux de

relaxation,

sans transfert

d’excitation,

ne peuvent pas etre

significatives;

leur valeur est certai- nement

plus grande

en

pratique

car AE n’est

jamais

assez

petit

pour que

1’expression (6)

soit le terme

preponderant

du

potentiel

en R -6

Par

exemple

dans le cas du niveau 4d du sodium

une evaluation

rapide

du

potentiel

total

en R-’

à

1’aide de fonctions d’onde coulombiennes

(cf.

par

exemple [9])

montre

qu’il

est environ 15 fois

plus grand

que le

potentiel

de

1’expression (6)

ou l’on

prend

le niveau

3p

comme niveau interm6diaire

(AE =

613

cm-1).

La contribution essentielle a ce

potentiel

total

provient

des termes ou 1’6tat interme-

diaire j est

l’un des 6tats

5p,

4f ou

5f ;

la force de raie S

(c’est-a-dire

le carr6 de 1’616ment de matrice r6duit du

dipole electrique)

de la transition entre chacun de ces

etats et 1’6tat 4d est en effet

probablement

au moins

100 fois

plus grande

que celle de la transition

3p-4d,

alors que 1’ecart

d’6nergie AE;

est

compris

entre

16 500 et 19 500

cm -1.

Afin

d’all6ger 1’expos6

nous

n’exposons

les

grandes lignes

du calcul que dans le cas du

potentiel quadru- p6le-quadrup6le.

3. Modile de la collision. - Nous supposons que le mouvement des deux atomes peut etre decrit

classiquement

avec une

trajectoire rectiligne.

Cela

est

justifie

si les sections efficaces calculees sont

plus grandes

que la section efficace

cin6tique.

Dans ce cas

nous pouvons aussi considérer que les fonctions d’onde des deux atomes ne se recouvrent pas et il est inutile de

sym6triser

les fonctions d’onde.

Dans ces

conditions,

avec les notations

repr6sent6es

sur la

figure 1,

les

equations

d’evolution s’6crivent en

representation

d’interaction

(h = 1) :

FIG. 1. - Schema de la collision.

ou

Ai

et

A2

sont les vecteurs a

cinq

composantes

repr6sentant

les

projections

de 1’etat du

syst6me

sur

les 6tats ou l’atome

1,

ou l’atome

2,

est excite seul.

(4)

Ce

syst6me

peut s’ecrire aussi :

t/J

est

I’angle

entre le

paramètre d’impact

b et R

(cf. Fig.1),

q est un

paramètre représentant

la force de la collision :

I - I

avec

Fe(r)

et

Ff(r)

6tant les fonctions d’onde radiales de 1’6tat excite

(L

=

2)

et de 1’etat fondamental

(L

=

0),

v est la vitesse relative des atomes et

U(ql)

est une

matrice d’ordre 5. Dans la base standard d’axe Oz

perpendiculaire

au

plan

de collision

(Fig. 1),

cette

matrice a pour

expression :

Soit 8 =

S, S2

la matrice de collision decrivant

S2 S1

1’evolution du

syst6me

entre t = - oo et t = + oo,

ou t/J = - n/2 et ql =

+

Tc/2.

Du

syst6me (8),

on

deduit les matrices

=

Sl

±

S2 qui

ont les pro-

pri6t6s

suivantes :

- L’herm6ticit6 de la matrice U entraine l’unitarit6 des matrices

S±.

- Comme la trace de U est

nulle,

les matrices

St

sont unimodulaires.

- La

sym6trie

par renversement du

temps

rend les matrices

St sym6triques.

On

peut

écrire

St

sous la forme d’un

produit

de deux

matrices

S(+) S(-)

ou

8;) représente

l’évolution

entre t/J = - n/2 et ql

=

0,

et

S (+) entre 4(

= 0 et

03C8 _

+

n/2.

La

sym6trie

par renversement du temps

nous donne la relation :

La rotation L de

c/2

autour de Ox rend la matrice U r6elle. Ceci nous donne la relation :

Par

consequent

pour calculer

S,

et

S2 numeriquc-

ment a

partir

des

eq. (8)

et

(9),

il nous suffit de calculer

s(+ ),

par

exemple,

ce

qui abr6ge

le temps de calcul.

4.

Moyenne

sur les collisions. -

Une

fois calcul6 1’effet des collisions de

caractéristiques donn6es,

il

nous faut calculer 1’effet moyen de ces diverses colli- sions. Utilisant la m6thode et les notations d’Omont

[2],

nous nous

plarons

dans le cas d’une

sym6trie sph6rique

du

probl6me

et nous faisons tout d’abord une moyenne

sur les

angles

de la

collision, puis

sur le

paramètre d’impact.

On caractérise 1’effet moyen des collisions de meme valeur de

b let

de v par les coefficients

nk

d6finis par la relation :

On obtient finalement les taux de relaxation des moments

2k-polaires

de 1’atome initialement excite

gk(1)

ou les taux de transfert

gk(2)

en

integrant

ces

quantités

sur le

paramètre d’impact

b :

ou

avec

N2

est la densite des atomes initialement dans 1’6tat fondamental.

Les divers taux de relaxation et de transfert ne

dependent

de l’observable considere que par le coeffi- cient purement

num6rique Kk(i).

Sur la

figure

2 nous

montrons, comme

exemple,

la courbe donnant les variations avec

q-’12

de la

probabilite

de

disparition

de

1’alignement

de l’atome

1, n2(1).

L’allure de cette courbe est la meme que celle

qu’on

rencontre pour d’autres types de

potentiels (cf.

par

exemple [2]

et

[8]).

(5)

68

FIG. 2. - Variation avec le parametre

q - ’1’(ocb’)

(6q. (10) et 6q. (18))

du coefficient I12 (1), probabilite moyenne de destruction de 1’ali- gnement de l’atome initialement excite (potentiel quadrup6le-

quadrup6le).

En

particulier

la

presence

de nombreux sous-niveaux

d’6nergie

entraine pour les

petites

valeurs de b une

structure

compliquee

des oscillations

qui remplace

les oscillations

regulieres qu’on

rencontre dans les cas

plus simples

comme dans le modele de

dephasage

de

Weisskopf

ou

1’6change

r6sonnant de

charge.

Avec

ce choix

d’abscisse,1’aire

de la surface situ6e sous la courbe est

6gale

au coefficient

K2(1) (taux

de relaxation de

l’orientation).

La courbe en

pointilles represente

une

approximation analytique simple

ne necessitant pas de calcul

num6rique

sur ordinateur

[6, 2] :

- Pour les collisions

6loign6es (q 1)

ou le

potentiel

d’interaction est

faible,

nous utilisons un

d6veloppement

de

perturbations

au deuxieme ordre

(approximation asymptotique).

- Pour les collisions

rapproch6es (q > 1)

nous

utilisons une

approximation adiabatique

a l’ordre 0

en ne

gardant

que la

partie diagonale

du

potentiel

d’interaction dans le referentiel toumant.

Nous donnons dans le tableau

I,

les valeurs des coefficients

Kk(i).

Remarques.

-

17k(l

+

2) = II k( 1 )

+

nk(2);

Kk(1

+

2)

est

l’intégrale

de

17 k(l

+

2).

Ces coefficients sont les seuls que l’on

puisse

observer si les atomes 1 et 2 sont

identiques.

efK2(1)

et

efK2(2) correspondent

aux taux de

relaxation et de transfert de la cohérence

optique qui

interviennent en

particulier

dans les transitions 4 deux

photons

entre les etats S et D consideres.

efK2(2)

est ici

imaginaire,

ce

qui represente

un

déplacement

de cette

cohérence

optique.

Les colonnes

A,

B et C

representent

trois

approxi-

mations differentes. Dans les

approximations

A et -B

TABLEAU I

Valeurs des

coefficients Kk(i)

(potentiel quadrupôle-quadrupôle : eq. (17)

et

(18))

nous avons

integre num6riquement

les valeurs

17 k(i)

obtenues

pr6c6demment

par ordinateur pour

et pour q

10 - 2

nous avons

int6gr6 l’approximation asymptotique.

Mais pour q >

25,

nous avons fait deux

hypotheses

distinctes :

*

Approximation

A : nous prenons pour valeur des 1I

l’approximation adiabatique.

*

Approximation

B : nous supposons que la collision est totalement efficace : tous les moments

multipolaires

sont

d6truits,

1’excitation se retrouve dans la meme

proportion

sur les deux atomes. Cette

hypoth6se

se

justifie

dans une certaine mesure

puisque

le

potentiel

d’interaction est mal connu pour les faibles

parametres d’impact.

Dans

1’approximation C,

nous n’utilisons pas les valeurs

num6riques

obtenues par

ordinateur,

mais

nous

int6grons simplement l’approximation asympto- tique pour q K qi

et

1’approximation adiabatique pour q >

qi, avec qi choisi de telle

fagon

que pour q = ql les valeurs des deux

approximations

soient

6gales (cf. Fig. 2).

5. Potentiel

dipole-dipole

au deuxikme ordre avec un

niveau P intermediaire presque resonnant. - Le calcul est

analogue

au

precedent.

On obtient pour les taux de relaxation et de transfert les resultats suivants :

(6)

e est la

charge

de

l’électron,

m sa masse,

Asp

et

ÅPD

sont

les

longueurs

d’onde des transitions S-P et

P-D, fsP

et

/pD?

les forces d’oscillateur

(d’absorption)

corres-

pondantes.

Les coefficients

K’k(Z)

sont donnes dans Ie tableau

II,

avec les memes

approximations

que

precedemment.

TABLEAU II

Valeur des

coefficients, K’k(i)

(potentiel dipole-dipole

au 2e ordre :

éq. (19))

Remarque.

- Si l’on

remplace

le niveau excit6 D par un autre niveau S

(note S’),

les taux de relaxation se

calculent exactement

(avec

le meme modele pour le

potentiel

en

R - 6) ;

on trouve

(8) :

avec

6. Valeurs

num6riques

dans le cas de

quelques

alcalins. - Les valeurs

num6riques

des taux de

relaxation et des sections efficaces

correspondant

aux

deux interactions consid6r6es sont

port6es

dans le

tableau III pour

quelques

niveaux des alcalins. Les

valeurs des moments

quadrupolaires etectriques (6q. (11))

utilises ont ete calcul6es par E. Luc

(1).

Ces valeurs

numeriques

permettent d’avoir une idee sur les ordres de

grandeur

des effets a attendre pour les deux types d’interaction

consideres ;

on voit

qu’elles

conduisent a des

paramètres

de collision

comparables

et

qui

peuvent

prendre

des valeurs considérables : les sections efficaces par

exemple depassent

dans les cas extremes

10-13 cm2,

valeur

typique

des collisions risonnantes avec une interaction

en

R -3

pour des forces d’oscillateur assez faibles

(transition

6

’SO-6 3P

1 de

Hg

par

exemple).

Cela est

du au caractere

particulier

de l’interaction entre deux

alcalins,

et

sp6cialement

a leur tr6s

grande polarisa-

bilit6. 11 ne faut pas oublier que ces valeurs sont seulement une limite inferieure pour les taux de relaxation proprement

dits, gk(1).

La valeur exacte

correspondant

pour 1’essentiel a la totalite de l’inte- raction en

1 /R 6

est certainement nettement

plus grande [7].

N6anmoins on peut considerer que ces

valeurs foumissent une evaluation correcte de l’ordre de

grandeur

de la

probabilite

de transfert

(2) ;

on voit

que selon les cas ce transfert sera determine essen-

tiellement soit par le

potentiel quadrupôle-quadrupôle

soit par le

potentiel dip6le-dip6le en R - 6.

(1) Luc, E. Communication priv6e.

(2) 11 faut souligner aussi que si 1’approximation de trajectoire rectiligne est certainement excellente pour q N 1 avec les modeles de potentiel utilise, il peut etre necessaire de reconsiderer sa validite pour calculer les taux de transfert d’excitation en presence d’un potentiel en 1 /R 6 plus realiste.

TABLEAU III

Taux de relaxation et sections

efficaces correspondantes

pour

quelques

alcalins

, 1t. T

(7)

70

Les

grandes

valeurs de ces sections efficaces per- mettent de penser que 1’etude

exp6rimentale

de la

relaxation des

premiers

niveaux D des alcalins par ce

type de collisions n’est pas hors de

port6e.

11 faut certes

s’attendre a des difficultes causees pour le sodium par

exemple

par la necessite de travailler a une

pression supérieure

a

0,1

torr. Mais le

d6veloppement

des lasers

accordables et

sp6cialement

de 1’excitation a 2

photons

devrait faciliter ce type d’6tude.

Remerciements. - Je remercie A. Omont pour

son constant intérêt

pendant

ce

travail,

ainsi que

J.-P. Descoubes pour ses nombreuses remarques.

Bibliographie [1] OMONT, A., J. Physique 26 (1965) 26.

[2] OMONT, A., Thèse, Paris (1967).

OMONT, A. et MEUNIER, J., Phys. Rev. 169 (1958) 92.

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