• Aucun résultat trouvé

L ERDRE LES FILLES DE. Sous la direction de François-Jean, professeur en charge des projets tuteurés et Sébastien Jacotin, enseignant et tuteur.

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "L ERDRE LES FILLES DE. Sous la direction de François-Jean, professeur en charge des projets tuteurés et Sébastien Jacotin, enseignant et tuteur."

Copied!
29
0
0

Texte intégral

(1)

LES FILLES DE

L’ERDRE

Rapport de projet tuteuré de deuxième année • MARS 2018

De gauche à droite : Laurie DZIMIRA, Morgane LE CORRE, Justine GUINEFOLLEAU et Nina NAULLEAU.

Sous la direction de François-Jean, professeur en charge des

(2)

Mots-clés : Syndicat mixte EDENN, projet tuteuré, don- nées scientifiques et tech- niques, Erdre, vidéos.

Ce rapport de projet tuteuré rend compte du travail que des étudiantes de deuxième année en DUT Informa- tion et Communication, option com- munication des organisations, ont mené en collaboration avec le syndicat mixte EDENN dans le cadre des projets tuteurés du mois de mars 2017 au mois de mars 2018.

Il expose la mise en oeuvre des diffé- rentes missions, les problèmes ren- contrés lors de la première année et le déroulé de leur travail lors de cette deu- xième année. La principale probléma- tique de l’EDENN est de rendre attrac- tives les informations qu’elle diffuse.

En effet, le syndicat travaille sur des données scientifiques et techniques et peine à rendre son travail accessible au grand public. Pourtant, la qualité de l’eau de l’Erdre et la survie des espèces qui y vivent sont des enjeux d’intérêt général. Ce rapport retrace les deux an- nées du groupe d’étudiantes en charge de ce projet tuteuré ainsi que les solu- tions qu’elles ont proposées.

Divisé en trois parties, il expliquera tout d’abord le déroulé de la première année et les livrables réalisés. Ensuite, il abor- dera les projets, principalement audio- visuels, de cette deuxième année ainsi que l’évolution des connaissances des étudiantes pour une meilleure com- préhension du sujet. Il exposera enfin, les impressions et conclusions des étu- diantes, les points forts et faibles de ce projet tuteuré selon elles ainsi que le point de vue de leur commanditaire, la

ÉDITO

(RÉSUMÉ DOCUMENAIRE)

Nous tenons tout d’abord à remercier l’équipe de l’EDENN, ainsi que Michelle DARABI, pour leur accom- pagnement et leur patience tout au long de ce projet.

Nous sommes très reconnaissantes pour le temps qu’ils nous ont accordé et pour les précieux conseils qu’ils nous ont livrés sur le monde professionnel.

Nous adressons nos remerciements à Sébastien JACO- TIN, notre tuteur, pour avoir su relancer et clarifier le projet pour que nous puissions l’apprécier au mieux.

Nous exprimons notre gratitude à François POUPET pour ses conseils et son aide quant à la réalisation des vidéos dans le cadre de ce projet tuteuré.

Notre reconnaissance va aussi à Sandra MELLOT, ensei- gnante en gestion de projet en 2016/2017, ainsi que David DEMARTIS, son successeur temporaire, pour leur suivi et leur aide au lancement et à la réalisation de ce projet.

Notre gratitude va à François-Jean GOUDEAU, pour sa disponibilité et son implication et pour avoir su dyna- miser le concept des projets tuteurés.

Merci également à Mathilda PRAUD pour nous avoir prises en photo afin d’illustrer ce rapport.

Enfin, nous remercions chaleureusement nos fidèles amis pour leur soutien et leurs encouragements.

REMERCIEMENTS

(3)

INTRODUCTION

PAGE 1

1. PREMIÈRE ANNÉE : DÉ- COUVERTE DU CONTEXTE

PAGE 1

1.1. L’EDENN en 2017

PAGE 1

1.2. La demande initiale

PAGE 1

SOMMAIRE

1.3. Les missions finales

PAGE 1

2. UNE POURSUITE DU PROJET PLUS CONCRÈTE

PAGE 1

2.1. Une meilleure compré- hension de l’envrionnement

PAGE 1

2.1.1.

Une organisation efficace PAGE 1

2.1.2.

Une structure mieux cernée PAGE 1

2.2. Un résultat final sous forme de deux vidéos

PAGE 1

2.2.1.

Une première vidéo sur les cyanobactéries

PAGE 1

2.2.2.

Une seconde vidéo sur l’EDENN et son évolution PAGE 1

3. UNE CONDUITE DE PRO- JET BÉNÉFIQUE

PAGE 1

3.1. Ce que le projet nous a apporté

PAGE 1

3.2. Le ressenti de l’EDENN

PAGE 1

CONCLUSION

PAGE 1

BIBLIOGRAPHIE

PAGE 1

ANNEXES

PAGE 1 Notre équipe. Photo prises pas nos soins.

(4)
(5)

L

’EDENN est un syndicat mixte, c’est-à-dire une structure publique qui travaille en coopération avec d’autres structures publiques dans le but de coordonner les usages de l’Erdre navigable et naturelle.

L’Erdre s’étend sur cinquante-trois communes différentes, ce qui nécessite une structure de médiation entre toutes ces collectivités pour coordonner leurs actions. Les enjeux de l’EDENN s’articulent autour de trois thématiques : l’eau, la biodiversité et les usages. Malgré leurs objectifs d’intérêt général, le syndicat mixte peine à se faire connaître et à sensibiliser la population nantaise à leur cause. Leur problématique est donc de rendre accessible un sujet scientifique et technique à de nombreux publics, tous bien différents les uns des autres.

C’est dans ce contexte que l’EDENN a fait appel à un projet tuteuré au sein de l’IUT Information et Communication de La Roche-sur-Yon. Nous avons donc répondu présentes, sûres que ce projet nous apporterait de nombreuses compétences et une certaine polyvalence. Lors de nos premiers échanges, les missions qu’ils voulaient nous confier n’étaient pas vraiment définies, tant pour eux que pour nous. La compréhension du sujet du syndicat mixte a également été un obstacle. Ainsi, le lancement du projet a été long à mettre en place.C’est ce que nous aborderons dans la première partie du rapport.

Par la suite, le projet a pris une tournure différente. En effet, après que certains événements ne purent avoir lieu, notre projet tuteuré s’est transformé en un projet principalement audiovisuel. De nou- velles attentes sont donc nées. Aussi bien pour nous que pour les membres du syndicat mixte. Ainsi, nous exposerons dans la deuxième partie de ce rapport, la renaissance du projet et les nouveaux objectifs, sans oublier la mise en place et le déroulé de cette nouvelle année sous le signe de productions audiovisuelles périlleuses.

Dans la dernière partie du rapport, nous vous raconterons l’histoire des filles de l’Erdre, quatre étu- diantes lancées dans un projet inconnu qui ont su répondre aux attentes de leur commanditaire et déve- lopper leurs compétences. Ainsi, vous apprendrez que, sur le chemin semé d’embûches d’un projet tuteu- ré, peuvent se créer des liens et une méthode de travail bien particulière. Chacune vous rendra compte de ses attentes, de ses réussites et de ses écueils tout au long de ce projet tuteuré. Vous pourrez également lire les impressions et le bilan de Michelle DARABI, directrice de l’EDENN, à la suite de ce projet tuteuré qui était pour eux, un premier essai.

INTRODUCTION

(6)

L

a première année a été un saut dans l’inconnu pour tout le monde : pour nous ainsi que pour l’équipe de l’EDENN. Chacun a été plongé dans un univers totalement méconnu, plutôt compliqué, qui n’a pas été évident à cerner. Nous avons dû consacrer beaucoup de temps à la compréhension de ce nouvel environnement et du fonctionnement de la structure qu’est l’EDENN. Le lancement de ce projet a donc été quelque peu difficile.

L

’EDENN, comme rappelé dans l’introduction, est un syndicat mixte. Ce statut lui confère un fonctionnement particulier. En effet, le syndicat mixte permet à plusieurs collectivités, telles que des communes ou des départements, ou encore à des établissements publics, de s’associer entres eux dans le but de gérer une cause commune : ici, le bassin versant de la rivière Erdre. Ainsi, ce statut fait de l’EDENN une structure “exécutrice” et non “décisionnaire”. C’est-à-dire qu’elle met en œuvre les décisions prises par un groupe d’élus issus des collectivités et établissements adhérant au syndicat mixte, lors de conseils d’administrations. Ces élus sont différents des salariés de l’EDENN. Leur élection s’effectue à l’issu d’un vote réalisé par les membres, à l’occasion d’une assemblée, d’un comité syndical. Ces élections interviennent lorsque de gros changements surviennent au sein de l’EDENN et de son fonctionnement comme lors de la fin du mandat de l’ancienne présidente en 2013, des élections départementales en 2014, ou récemment, de la modification des statuts du syndicat mixte.

Telle que nous l’avons connue lors de notre prise en charge du projet l’année dernière, l’EDENN était composée de trois EPCI (Établissements Publics de Coopération Intercommunale) : la Communauté urbaine de Nantes Métropole, la Communauté de communes du pays d’Ancenis, la Communauté de communes Erdre et Gesvres, et également de la commune de Saffré ainsi que le département de la Loire- Atlantique. Seulement, à cette période, l’EDENN était en pleine restructuration. En effet, la sortie du syndicat mixte de la commune de Saffré et du département de la Loire-Atlantique était prévue dans les prochaines mois, nécessitant une importante réorganisation. Ce réaménagement exigeait d’y consacrer beaucoup de temps. Il n’était donc pas évident pour nous, comme pour l’EDENN, de nous intégrer durant cette période agitée. Ces changements ont par conséquent eu lieu et la structure est peu à peu entrain de se les approprier. Des collectivités ont donc quitté le syndicat mixte. Cependant, d’autres l’ont rejoint.

Effectivement, de nouvelles organisations et collectivités ont rallié l’EDENN. Tout d’abord, cette dernière a fusionné avec le Syndicat Intercommunal Erdre 49. De plus, deux nouveaux EPCI du Maine-et-Loire rejoignent les trois EPCI de Loire-Atlantique en tant que nouveaux adhérents : Anjou Bleu Communauté et la Communauté de communes Vallées du Haut Anjou. Ces introductions de nouvelles structures ont ainsi nécessité une adaptation de la part de l’EDENN afin de les accueillir et d’apprendre à collaborer avec ces nouveaux adhérents. Une grande partie de ce processus s’est déroulée durant la totalité de notre projet tuteuré, c’est pourquoi il n’a pas toujours été aisé pour l’EDENN et pour nous de gérer ce-dit projet.

D

e façon très simple, l’objectif était de parvenir à rendre attractif un sujet qui n’est pas à la portée de tous les publics, car très technique et scientifique. Cela consistait donc à le rendre davantage accessible et compréhensible.

Le projet a tout d’abord été présenté comme étant très polyvalent et alliant différents aspects de la communication. Il devait comprendre plusieurs missions et de nombreuses tâches devaient être réalisées.

1. PREMIÈRE ANNÉE :

DÉCOUVERTE DU CONTEXTE

1.1. L’EDENN en 2017

1.2. La demande initiale

(7)

À l’origine, ce projet tuteuré avait pour ambition d’être l’un des plus diversifié et varié. C’était celui pour lequel les missions confiées aux étudiants qui en seraient en charge étaient les plus vastes et abondantes.

En effet, le projet tuteuré EDENN devait comporter de l’événementiel, de la rédaction d’articles, de l’audiovisuel, éventuellement du community management ou bien de la création de supports print, etc.

Nous devions participer à l’organisation d’une conférence au sujet de l’Erdre et de son environnement : la Conférence des acteurs de l’Erdre. Cette dernière est organisée de façon régulière par l’EDENN qui la souhaitait, cette année, très ludique et originale. Cet événement devait être l’épisode important de cette première année. L’idée qu’il se déroule sur un bateau ou bien celle de la présence d’une troupe de théâtre étaient évoquées. Concernant la rédaction d’articles, il était envisagé que nous rédigions de courts articles, par exemple à destination du site internet, des réseaux sociaux ou encore dans le but de les proposer à la presse locale. La volonté derrière cela était de rendre les contenus produits par l’EDENN moins techniques et plus abordables. Quant à l’audiovisuel, il n’y avait pas nécessairement d’éléments arrêtés. L’idée principale était tout de même que nous réalisions un teaser au sujet de la Conférence des acteurs de l’Erdre et il avait également été pensé que nous pourrions réaliser des vidéos 360° à propos de l’EDENN, leurs actions, son fonctionnement, la faune, la flore, etc. Enfin, il y avait aussi le souhait que nous publions des contenus sur leurs réseaux sociaux et éventuellement que nous réfléchissions à des supports print.

Cependant, l’ambition était un peu trop importante du côté de chaque partie. La plupart des missions envisagées n’ont pas pu être mises en œuvre. Il y a de nombreuses raisons à cela. Dans un premier temps, après une longue période d’incertitude, il a finalement été confirmé que la Conférence prévue n’aurait pas lieu. Compte tenu de la réorganisation interne que subissait l’EDENN, ils étaient dans l’impossibilité de l’organiser dans de bonnes conditions afin d’en faire un événement réussi. Toutefois, le plus gros problème a été l’incompréhension qu’il y a eu dès le début du projet et qui s’est installée des deux côtés. Les conditions de déroulement de ce projet ont été confuses en ce qui concerne l’équipe de l’EDENN. Cette dernière avait compris que nous pourrions nous rendre quasiment tous les jeudis dans leur locaux afin d’y réaliser les missions prévues. Cependant, la structure étant située à Nantes, il nous était impossible d’effectuer le trajet toutes les semaines, et il en était de même pour les membres de l’EDENN.

Ce qui était initialement prévu a donc été compromis car les missions ne pouvaient pas se dérouler dans les mêmes conditions et il n’était pas facile de les réaliser à distance. Ce manque de clarification a ainsi perduré pendant quelques temps lors du début du projet tuteuré et a entraîné une période de confusion où il était compliqué d’avancer et d’obtenir des missions concrètes. De plus, Michelle DARABI, la directrice de l’EDENN, pensait vraiment pouvoir nous confier de nombreuses tâches à réaliser. En effet, le syndicat mixte ne possède pas une personne dédiée exclusivement à la communication. L’intégralité de leurs supports print sont réalisés par un prestataire extérieur. Un léger quiproquo était donc présent quant au fait que nous pourrions éventuellement faire ce travail, dans une moindre mesure. C’est pour cette raison que les idées de missions à accomplir ont été trop nombreuses et floues au commencement. Finalement, personne n’était en mesure de se retrouver parmi les attentes importantes des deux équipes. Il a donc été impératif de se recentrer et de faire une mise au point sur ce qui pouvait être réalisé ou non dans le but que ce projet soit utile et aboutisse à des résultats satisfaisants chacune des parties. Ceci ayant été fait, des missions plus concrètes et précises ont pu nous être fournies et nous avons été définitivement lancées dans ce projet tuteuré, bien que nous ayons commencé par avancer « à tâtons » et pour lequel la mise en route a été quelque peu hésitante.

L

ors de notre première année, nous avons donc eu deux missions à exécuter. Nous étions particulièrement en lien avec Aurélie BOUFFET, chargée de mission contrats territoriaux bassin versant, et très peu avec Michelle DARABI, très occupée par la réorganisation. On nous a tout d’abord demandé de procéder à une analyse des réseaux sociaux que possède l’EDENN. Nous avons donc réalisé un tableau de synthèse afin de rendre compte, à notre niveau, de l’efficacité et de la visibilité de leur présence sur Internet ainsi que de La Feuille de l’Erdre, un document papier qu’ils éditent environ une fois par an. (Cf annexe 1) Dans ce tableau, tout n’y est pas forcément indiqué, il manque sûrement des éléments ou d’autres que l’on aurait

1.3. Les missions finales

(8)

pu davantage développer. Le résultat est simplement le reflet de nos avis personnels et des connaissances que nous avons acquises lors de nos cours en DUT. Pour la présentation des éléments que nous avons relevés, nous avons donc opté pour une présentation sous forme de tableau. (Cf annexe 2) Nous avons choisi de ne pas y présenter uniquement ce que nous constations sur leurs réseaux et La Feuille de l’Erdre, mais aussi d’aller un peu plus loin et de proposer des solutions à l’analyse que nous avons effectuées. Les tableaux de synthèse de cette analyse sont donc composés des points positifs que nous avons constatés, des points qui nous semblaient négatifs et enfin, d’une proposition de solutions qui nous paraissaient appropriées pour l’amélioration des points négatifs.

Ensuite, nous avons été sollicitées pour renouveler les fiches actions concernant la rivière de l’Erdre afin de les rendre plus attrayantes. Ces dernières présentent au public les actions menées ou bientôt mise en œuvre par l’EDENN, en développant les objectifs et le financement, autour de quatre thématiques : les milieux aquatiques, la qualité de l’eau, la cohérence l’organisation et les inondations et la gestion quantitative. Pour la réalisation de ces fiches, nous devions conserver la charte graphique des anciennes pour garder une cohérence. Nous avons eu certaines difficultés pour comprendre le résultat attendu et réaliser des fiches uniformes. En outre, nous devions les faire sur InDesign et nous ne maîtrisions pas toutes très bien le logiciel. Cela nous a néanmoins permis de nous familiariser avec ce dernier. Cependant, en raison de notre manque d’expérience, le résultat final n’était pas à la hauteur des espérances de l’équipe de l’EDENN et nos fiches actions ont dû être retravaillées par la suite. (Cf annexe 3)

Ces missions n’ont donc pas toujours été évidentes. Elles étaient un peu redondantes et ne faisait pas beaucoup appel à notre créativité. Ce ne sont, certes, pas les tâches les plus intéressantes, les plus épa- nouissantes, ni les plus formatrices, mais elles nous ont permises de constater les exigences d’un comman- ditaire et l’importance de les respecter, les difficultés à réaliser un travail de groupe, car toutes les fiches par exemple, devaient être similaires et avoir la même unité. Cela nous a permis de commencer à apprendre à travailler ensemble, à nous écouter et à comprendre la façon dont chacune fonctionnait. Ces deux pre- mières missions ont finalement été bénéfiques et enrichissantes. Ce n’était donc pas particulièrement une mauvaise chose qu’elles soient de petite ampleur, plutôt que d’avoir une mission très importante dès le début. Grâce à ces deux « petites » missions, nous avons pu nous lancer dans le projet et commencer à tra- vailler en équipe, à nous coordonner, à nous répartir des tâches. Ainsi, en respectant les consignes de notre commanditaire et en apprenant à travailler en équipe, nous nous sommes professionnalisées en douceur pendant cette première année de projet tuteuré.

(9)

E

n nous replongeant dans le projet tuteuré en septembre, après les vacances d’été, nous étions plutôt confuses quant à la suite. Nous étions supposées réaliser une vidéo dans le cadre d’une convention sur le thème de l’Erdre. Mais nous ne savions toujours pas quand aurait lieu cette conférence, qui a finalement été annulée. Cependant, après un rapide bilan avec Sébastien JACOTIN, notre tuteur, nous avons convenu d’une redéfinition des missions. Michelle DARABI, notre commanditaire et Sébastien JACOTIN se sont ainsi entretenus et se sont accordés pour nous lancer sur une série de courtes vidéos. La deuxième année de projet tuteuré était donc lancée.

U

n projet a un double caractère, il est à la fois fédérateur et universel. “Fédérateur, car il permet de faire partager un même objectif à une équipe conduite par un leader, le chef de projet. Univer

sel, car il porte en lui un message qui traverse les cultures et les époques.” note de bas de page ? auteur

? (Conduire un projet) Différentes structures sont possibles pour mettre en place et construire le projet.

Dans une entreprise, on pourrait opter pour une structure “métier”. C’est-à-dire qu’on aurait des équipes permanentes qui prendraient en charge le projet. Il s’agit alors d’une structure hiérarchique. Les objectifs sont concrets, explicites et stables. Tandis que, dans notre cas, nous avons opté pour une structure “projet”.

Les équipes étaient temporaires, c’est-à-dire que selon le projet, chacune de nous n’exerçait pas la même fonction que sur un projet précédent, par exemple. Nous avions ainsi une organisation fonctionnelle. Les objectifs étaient souvent hypothétiques et variables en fonction de la mission (Cf. Conduire un projet et littérature grise). C’est donc la structure qui nous correspondait le mieux pour notre mode de travail. De plus, ces deux années de projet tuteuré ont été quelque peu instables et pas toujours très simples à gérer.

En effet, comme nous l’avons déjà précisé, l’EDENN était un nouveau projet à entrer en collaboration avec notre département Information et Communication. C’est la raison pour laquelle la première année a été un peu confuse pour nous. En outre, notre changement de tuteur nous a quelque peu perturbées au début du projet quant au suivi de nos missions. De retour en deuxième année, nous avons appris le départ de Manon GANCI qui faisait partie de notre groupe de projet tuteuré. Nous avons ainsi dû nous ajuster et nous organiser différemment. À cela s’est ajouté l’arrivée de David DEMARTIS suite au départ de Sandra MELLOT.

Nous avons pris le temps d’échanger avec lui lors de rendez-vous pour lui faire part de notre projet, de nos idées mais aussi de nos difficultés. Cependant, ce dernier a également décidé d’arrêter d’enseigner à l’IUT.

C’est alors que Jean-François GOUDEAU1 est arrivé et a pris en charge les projets tuteurés. Ces différents changements ont fait que nous n’avions pas de chef de projet fixe pour nous accompagner durant ces deux années. Heureusement, nous avons pu compter sur l’aide et le soutien de notre professeur tuteur, Sébastien JACOTIN. Cette instabilité nous a, toutefois, permis de gagner en autonomie et en professionnalisme.

Grâce à la première année nous avons pu trouver une organisation qui nous convienne. L’année dernière, nous avons dû réaliser un PERT ainsi qu’un GANT alors que cette année, nous avons procédé différemment. Nous avons préféré, simplement, faire un rétroplanning et le suivre chaque semaine en l’adaptant selon nos productions et réalisations. Nous prévenions Michelle DARABI, notre commanditaire, à l’avance, des dates auxquelles nous rendrions nos livrables en fonction de leur demande.

1 Oui oui, on sait bien que c’est François-Jean GOUDEAU, on voulait juste s’assurer que vous suiviez encore.

2. UNE POURSUITE DU PROJET PLUS CONCRÈTE

2.1. Une meilleure compréhension de l’environnement

2.1.1. Une organisation efficace

(10)

2.1.2. Une structure mieux cernée

“S

i les structures administratives ont connu de grands changements ces dernières décennies, les structures territoriales ont aussi été modifiées, augmentant le nombre de collectivités amenées à communiquer ainsi que l’intensité de la communication liée à ces changements (information des citoyens, développement d’une nouvelle identité, etc.).” La création de nouvelles structures ou l’attribution de nouvelles tâches à des structures existantes a de fortes implications au niveau de la communication. Il est important d’en informer les citoyens et les entreprises, de se développer une nouvelle identité, de construire sa légitimité et de développer un positionnement économique et résidentiel. (Com des organisations publiques)

En ayant mieux compris le fonctionnement de l’EDENN et en ayant conscience de la problématique du syndicat mixte, à savoir, comment communiquer de manière à rendre un sujet scientifique et technique, attractif, nous avons fait une veille et étudié leur présence sur le web. Nous nous sommes rendu compte que l’EDENN a un rôle de structure de conseils par rapport à l’Erdre et ainsi, pourrait être davantage citée et présente. En effet, la dernière apparition de l’EDENN dans la presse sur internet date du 30 septembre 2017 sur le site Actu.fr (Cf annexe 4). Nous avons également pu remarquer que le syndicat mixte est, pour le plus souvent, présent sur le site internet du quotidien Ouest-France. (Cf annexe 5)

Dans son ouvrage Communication des organisations publiques, Martial PASQUIER, professeur à l’Institut de hautes études en administration publique et vice-recteur de l’Université de Lausanne, explique le principe de la communication publique. Cette dernière constitue un lien fort entre les institutions et leurs usagers, non pas pour prouver ou détailler une action ou une décision, mais pour la faire comprendre, dans son ensemble, pour le bien de la collectivité. Il s’agit avant tout d’un outil de cohésion sociale et de transmission d’un message commun. Il montre que le principe est différent de celui du secteur marchand.

En effet, dans le cas des organisations publiques, il n’y a pas de clients à convaincre ou de concurrents à éloigner, mais bien de citoyens à qui l’on donne un droit de regard sur les décisions prises pour le bien- être collectif. Ainsi, il faut être en mesure de savoir communiquer, d’utiliser les bons outils, les bonnes approches.

Dans le cas de l’EDENN, il s’agit d’informer à deux niveaux. D’une part à ceux qui interviennent directement sur l’Erdre, et d’autres part à tous les autres publics, les particuliers. L’EDENN vend bien des messages et non pas un produit. Son rôle est de mettre en avant les enjeux, les milieux, les espèces, etc.

Martial PASQUIER évoque également les outils de communication, dont les médias électroniques. L’EDENN l’a bien compris, ils sont aujourd’hui indispensables. Déjà, bien avant que nous n’intervenions au sein de syndicat mixte, l’équipe avait créé un site internet très complet, ainsi que des comptes Facebook et Twitter.

Ils nous ont ainsi naturellement tourné vers ces nouveaux outils et proposé de réaliser de courtes vidéos pour leur compte Facebook. “Les médias électroniques, et principalement Internet, représentent à la fois un nouveau support de la communication, de nouvelles relations entre les participants à la communication (rapidité, universalité) et de nouveaux contenus possibles surtout en matière de communication publique (nouvelle combinaison de textes, d’images et de sons).

Les réseaux sociaux sur Internet constituent un nouveau vecteur de la communication qu’il convient d’utiliser avec une certaine prudence. Tout en devant être pris en compte pour transmettre rapidement certaines informations importantes ou dans le cadre de débats concernant l’ensemble de la population, ces outils doivent éviter les pièges liés à la transmission d’informations non vérifiées, partielles ou pas cohérentes par rapport à l’émetteur et réduisant la crédibilité et la réputation de l’organisation.” (Com.

Publique)

(11)

N

otre mission pour notre deuxième année de projet tuteuré consistait donc à réaliser une vidéo sur les cyanobactéries afin d’expliquer au grand public, et particulièrement aux jeunes, ce qu’était cette bactérie, ses origines ainsi que ses conséquences. En effet, une des missions principales de l’EDENN étant la préservation de la qualité de l’eau, il était important à leurs yeux de sensibiliser à ce sujet et de communiquer sur les actions menées. La vidéo semblait alors être le moyen idéal de traiter le sujet : c’est un média qui permet de vulgariser des données scientifiques pour les rendre accessible à un public large tout en étant bien plus ludique qu’un long texte et, par conséquent, bien plus attractif. De plus, la vidéo avait pour destination les réseaux sociaux pour être la plus visible possible. Notre contrainte principales était donc de faire une vidéo la plus courte possible tout en conservant le maximum d’informations utiles contenues dans l’interview de Michelle DARABI que nous avons réalisée à la demande de l’équipe de l’EDENN. Mais avant de commencer le tournage et le montage, un autre travail primordial nous attendait en amont.

Nous voilà donc plongées dans nos recherches sur les cyanobactéries pour comprendre au mieux toute la complexité de cette bactérie, échangeant régulièrement par mail et par téléphone avec Michelle DARABI et Cédric BARGUIL. Nous souhaitions également vérifier notre bonne compréhension des informations ainsi préparer les questions de l’interview de Michelle DARABI ou de Cédric BARGUIL et fixer ensemble la date du tournage. Les cyanobactéries étant visibles sur l’eau jusqu’à la mi-octobre, nous étions censées faire la captation vidéo le 10 octobre. Malheureusement, un empêchement de l’équipe repoussa le rendez- vous jusqu’au 7 novembre, date à laquelle les cyanobactéries ne recouvraient plus l’Erdre. N’ayant pas d’autres solutions nous avons accepté et avons terminé de peaufiner notre storyboard. Bien que nous n’ayons pu faire de repérage plus tôt sur les rives de l’Erdre, nous avons imaginé à peu près quels plans nous pourrions filmer et le déroulé de la vidéo.

Nous voilà donc sur la route de Nantes un 7 novembre 2017 à 7h15 pour rejoindre Cédric BARGUIL, le coffre plein de matériel audiovisuel. Comme promis, ce dernier nous emmène sur sa barque. Et c’est alors que nous voguons sur l’Erdre, la caméra passant de genoux en genoux, par un doux soleil et 0°C. Emmitouflées dans nos manteaux, écharpes, bonnets et gants, nous nous émerveillons devant les beaux paysages que nous découvrons. Mais plus le temps passe, plus le ciel se couvre et plus nous avons froid. Voilà maintenant deux bonnes heures que nous naviguons et, bien que nous continuons de filmer, nos pieds et nos mains gelés ne rêvent que de rentrer au chaud se reposer. C’est finalement au bout de la troisième heure que nous amarrons sur la rive d’où nous étions parties. Malheureusement, nous n’avons pu avoir les images des prélèvements de l’eau. Cependant, une captation de la manipulation avait déjà été faite dans l’été avec une superbe lumière et une excellente qualité. Un problème de moins donc à régler lors du montage. Durant ces trois heures, les eaux de l’Erdre, la faune et la flore sont passées devant nos yeux. Entre brume et ciel bleu, cette matinée frileuse nous a permis de capturer de nombreuses et magnifiques images présentes dans nos deux vidéos. N’ayant pas eu le temps lors de cette matinée pour interviewer Cédric BARGUIL, nous avons recontacté Michelle DARABI pour qu’elle vienne nous rendre visite à l’IUT afin de lui poser toutes nos questions face caméra. C’est ainsi que le jeudi suivant, notre commanditaire eu l’amabilité de faire le déplacement jusqu’à La Roche-sur-Yon. Nous sommes toutes installées sur l’Agora, une structure en bois au milieu du campus pour avoir de plus belles images. [NDLR : quand on film en extérieur, toujours prendre un micro cravate, ça évite des heures de retouches sonores pour atténuer le bruit du vent et rendre le discours plus clair].

2.2. Un résultat final sous forme de deux vidéos

2.2.1. Une première vidéo sur les cyanobactéries

(12)

L’étape la plus fastidieuse fût celle du montage. En effet, nous nous retrouvions avec plus de 15 minutes d’interview pour une vidéo qui n’était pas censée dépasser les 3 minutes. Nous avons donc mis plusieurs séances à couper et recouper l’interview pour garder les informations les plus importantes tout en maintenant un discours naturel et fluide. S’en sont suivies plusieurs heures ponctuelles de retouche sonore pour améliorer la qualité de la voix et réduire le bruit du vent tout en fluidifiant l’enchaînement des capsules sonores. La partie la plus simple mais également la plus agréable fût le montage visuel. Nous avions déjà une bonne visualisation des plans visuels et de leur position par rapport au discours. De plus, en “dérushant” les prises de vues - c’est à dire en extrayant les données de la carte SD pour les importer sur l’ordinateur - nous avions pris soin de trier les plans les plus esthétiques et les plus cohérents avec la vidéo.

Notre principal problème fût qu’à la date de notre captation, les cyanobactéries avaient déjà disparues. Pour les montrer dans notre vidéo, nous avons donc dû nous résigner à nous servir des photos que l’EDENN nous avait confiées, bien que cela puisse casser une partie du dynamisme de notre montage.

Enfin, la dernière étape fut la plus difficile moralement. Bien que Sébastien JACOTIN, notre professeur référent et Michelle DARABI, notre commanditaire, aient tous deux apprécié la vidéo, il était nécessaire de Nous confronter à des regards extérieurs pour nous assurer que le discours était clair et que la vidéo était suffisamment attractive pour garder nos spectateurs captivés jusqu’au bout des 3 minutes, temps relativement long sur les réseaux sociaux.

Suite à plusieurs avis réticents, nous avons dû appliquer quelques modifications. Nous avons mis davantage Michelle DARABI à l’écran afin que le regard soit un meilleur appui pour garder l’attention du spectateur sur la parole et, suite à un conseil de Claudine PAQUE, nous avons ajouté un petit graphique pour faciliter la lecture des deux chiffres les plus importants de la vidéo. Une fois l’étalonnage – le travail de la colorimétrie des plans pour une meilleures lumière et une harmonisation des couleurs - terminé nous avons enfin pu rendre la version finale de notre vidéo.

Lien de la vidéo finale : https://www.youtube.com/watch?v=HpVyIcrYNBI

2.1.2. Une seconde vidéo sur l’EDENN et son évolution

A

yant terminé ce premier travail début décembre, Michelle DARABI a souhaité nous confier une nouvelle commande. L’EDENN étant en totale réorganisation et de nombreux changements étant appliqués dès janvier 2018, il leur paraissait important de communiquer à ce sujet. Cependant, nous avons eu plus de mal à cerner la commande de ce deuxième projet. Il y fallait un historique de l’EDENN, un récapitulatif de ses évolutions de 2018 mais également une petite interview de trois élus de l’EDENN, le tout en 2 minutes 30.

Cela nous paraissait irréalisable. Nous avons tout de même été filmé la nouvelle assemblée délibérante le 23 janvier au matin, puis nous avons posé les questions que nous avions convenues avec notre commanditaire aux élus. Pour cela, nous avons fait route jusqu’au Château de Carquefou où nous nous sommes faite une frayeur à l’arrivée : la portière arrière droite refusait de se refermer après avoir récupéré Nina sur la route.

Plus de peur que de mal : la malheureuse a cessé de faire des siennes avant le retour, nous assurant ainsi un trajet saines et sauves. Après nous être présentées à l’assemblée délibérante, nous voilà donc à réfléchir aux positions les plus simple pour la caméra, à déplacer de temps à autre le matériel pour faire de nouveaux plans et tenter d’avoir certains détails qui nous plaisaient comme cette paire de lunette sur la table que son propriétaire s’amusait à reposer sur son nez chaque fois que nous avions la possibilité d’une jolie prise de vue. Une fois l’assemblée terminée, nous nous sommes attaquées aux interviews. Un joli paysage s’offrait à nous comme arrière plan et nous avions pris soin d’emporter avec nous le micro-cravate, meilleur allié des captations sonores à l’extérieur. Enfin, nous avons été invitées au restaurant L’Ours par l’équipe

(13)

de l’EDENN. Ce fut une belle occasion pour nous de discuter avec les élus et de les observer en pleine discussion de travail près des grillades au feu de bois.

Cela nous a également permis d’avoir quelques retours supplémentaires sur la première vidéo. De plus, nous avons pu passer un très bon moment ce qui a resserré davantage les liens de notre groupe, même si nous n’avons pas eu le temps de prendre un selfie avec l’ours géant à l’entrée du restaurant.

#déception

Le jeudi suivant, nous commencions donc à réfléchir au déroulement de la

vidéo par rapport au storyboard que nous avions réalisé deux semaines plus tôt. Notre voix off avait été validée par Michelle DARABI, nous pouvions donc l’enregistrer et commencer le montage de la première partie de la vidéo tandis qu’une partie du groupe s’occupait de la retranscription des interviews pour la première Feuille de l’Erdre 2018. Afin d’optimiser notre temps puisque qu’il ne nous restait que quelques semaines avant le rendu du livrable, nous avons profité de cette retranscription pour sélectionner les parties les plus intéressantes des discours de chacun. Mais nous nous confrontions à une contrainte : le format de la vidéo devait être 2 minutes 30 au maximum, or la voix off à elle seule faisait presque le temps imparti et il restait les 3 interviews à insérer. Nous avons donc raccourci au mieux les réponses des élus, mais nous arrivions à un total de 3 minutes 35. Nous avons donc contacté Michelle DARABI pour lui envoyer la première ébauche de la vidéo, lui demandant si la durée lui convenait ou si certaines informations pouvaient être retirées. Elle nous a suggéré quelques modifications mais rien concernant la durée des interviews. Mais nous n’avons pas désespéré de raccourcir la vidéo et de la rendre plus cohérente. La semaine suivante nous avons alors remanié l’ordre des réponses, permettant ainsi de supprimer quelques phrases qui n’étaient plus nécessaires. De plus, l’équipe de l’EDENN nous a fourni des plans de drône de l’Erdre. Ces derniers nous ont permis d’alterner davantage les vues pour casser la monotonie des plans.

Après avoir accéléré un peu la voix off, nous avons donc réussi à atteindre un temps raisonnable de 3 minutes 05.

Mais trois nouveaux obstacles se sont opposés à nous :

- les capsules sonores n’avaient pas du tout la même qualité ni le même niveau de son. Il était donc nécessaire d’harmoniser tout cela.

- lors des interviews la coupure des plans était trop visible. Une transition nous a aidé à camoufler au mieux les coupures.

- quelques petites erreurs se sont glissées à plusieurs reprises dans la voix off. Il a donc fallu la recommencer trois fois, nous amenant ainsi à réajuster la durée de tous les plans précédents ainsi qu’à recommencer toute la remise à niveaux des capsules sonores.

Une fois ces derniers problèmes résolus, l’étalonnage terminé et les transitions appliquées pour plus de dynamisme, nous avons pu confier à Michelle DARABI le livrable final le 22 février, date initialement prévue pour les dernières modifications. Nous avons donc pu rendre le travail dans les temps, bien que cela ait nécessité de rester à plusieurs reprises jusqu’à 19 h à l’IUT pour résoudre certains problèmes et prendre le temps d’exporter de d’envoyer la vidéo.

Lien de la vidéo finale : https://www.youtube.com/watch?v=D1jKUpD-c_0&t=2s

Malheureusement, le résultat obtenu quant à la visibilité sur Facebook, de la deuxième vidéo particulièrement, n’a pas été à la hauteur de nos espérances. En effet, la première vidéo a bénéficié de 598 vues pour 14 mentions « J’aime » et 14 partages tandis que la deuxième vidéo n’a obtenu que 117

(14)

pour 14 mentions « J’aime » également contre 4 partages. (Cf annexe 6) Nous pouvons supposer que, concernant la première vidéo, le nombre de “partages” a permis à la vidéo d’obtenir un nombre de vues plus conséquent. Il est à noter que les deux vidéos ne sont pas disponible depuis la même date, ainsi, la vidéo concernant les cyanobactéries à bénéficié de plus de temps pour être vue, aimée, et partagée.

Cependant les résultats sont un peu meilleurs que ceux de la vidéo Natura 2000 réalisée quelques mois plus tôt par une stagiaire de l’UCO d’Angers : 206 vues pour seulement 8 mentions « J’aime » et 5 partages.

(Cf annexe 6) Il semble donc que le principal obstacle à la visualisation des vidéos soit le faible auditoire de la page EDENN sur Erdre qui ne possède que 159 mentions « J’aime », bénéficiant ainsi d’une très faible visibilité pour un réseau social tel que Facebook.

Le deuxième point négatif est que les vidéos ne sont pas présentes sur le site. Or elles y bénéficieraient sûrement d’une meilleure durée de vie puisque que le site internet est naturellement moins propice aux actualités constantes, surtout celles extérieurs au syndicat mixte.

(15)

L

es objectifs d’un projet tuteuré sont, pour les étudiants, de répondre à une demande réelle et concrète en proposant une ou plusieurs solutions adaptées. Il s’agit d’apprendre à travailler en équipe, sous contrainte de temps et de moyens en mettant en pratique ses connaissances et compétences acquises lors de la formation.

Notre projet tuteuré, en partenariat avec l’EDENN, s’est révélé de pas répondre à ce que nous attendions initialement. De nombreuses missions ont été abandonnées, et d’autres sont nées, mais il s’est avéré être positif pour chacune d’entre nous. Contrairement à d’autres projets, le nôtre a été très enrichissant. Nous avons particulièrement aimé le fait de travailler avec une structure extérieure à l’IUT. Nous avons eu affaire à une vraie équipe de professionnels.

Dès le début de l’année scolaire 2017 - 2018, nous avons eu une initiation à l’outil audiovisuel avec François POUPET. Cela fut très bénéfique pour nous car nous avions les bases pour pouvoir aller tourner à Nantes une première fois au mois d’octobre. Ensuite, nous avons toutes les quatre rejoint l’atelier audiovisuel pour pouvoir développer nos compétences. Ainsi, tous les mardis matins, encadrées par François POUPET, nous écrivions, tournions, et montions des vidéos.

Ce projet tuteuré a véritablement créé quelque chose, une vraie cohésion entre nous. Nous sommes toutes les quatre en option “Communication des organisations”, et pourtant, avant le projet tuteuré, nous ne nous connaissions pas vraiment. Nous avons appris à réellement travailler en groupe. C’est-à-dire que durant notre formation, nous avons été amenées à réaliser des travaux à plusieurs, mais la plupart du temps c’était sur de courtes périodes. Dans le cas précis du projet tuteuré EDENN, nous avons travaillé ensemble pen- dant deux ans. Nous avons ainsi eu le temps d’apprendre à bien nous connaître, se savoir les forces et faiblesses de chacunes. Nous avons reçu et préparer les différentes missions en fonction des compétences de chacunes. Nous avons cherché à exploiter les qualités de chacun des membres du groupe.

Ce lien s’est intensifié au fil de l’année et notre groupe a bien fonctionné. Nous avons voulu installer une bonne ambiance dans le groupe pour créer une dynamique de travail. Nous nous sommes également vues en de- hors des cours pour partager des moments ensemble et continuer de réfléchir à notre projet tuteu- ré, dans la bonne humeur. Nous avons, par exemple, manger des crêpes chez Morgane un midi.

Puis, quelques semaines plus

tard, pour “fêter” la fin de notre collaboration avec l’EDENN, nous sommes allées au restaurant L’hacienda del sol toutes les quatre.

3. UNE CONDUITE DE PROJET BÉNÉFIQUE

3.1. Ce que ce projet nous a apporté

(16)

L

ors de la présentation générale des projets tuteurés, en début d’année dernière, j’ai de suite vu en l’EDENN, un projet polyvalent, varié et riche. En effet, l’objectif principal de ce projet était de faire la médiation d’un savoir technique en direction d’un public concer- né, les usagers de l’Erdre, principalement. Les missions proposées semblaient intéressantes et di- versifiées : gestion d’un événement : une conférence, réaliser des supports print et travailler un volet vidéo, lors de la conférence notamment. Alors, bien que le sujet soit scientifique et technique, j’ai vraiment aimé travailler en collaboration avec l’EDENN. D’une part, j’ai pu évoluer en développant mes connaissances et compétences et d’autre part, j’ai pu comprendre ce qu’est l’EDENN et son contexte. Il est vrai que la première année fut compliquée à gérer pour nous. Nous avons mis du temps à bien saisir ce qu’est l’EDENN, et le travail à distance ne nous a pas vraiment aidé. En revanche, j’ai réellement apprécié la deuxième année. Nous avons pu apprendre à bien nous connaître avec Laurie, Morgane et Nina. Ainsi, nous avions chacune nos spécialités et nous avons

pu nous répartir les tâches en fonction de cela. Ce projet a créé une vraie complicité entre nous.

Le projet idéal ? J’aurais bien aimé intégrer une association sportive durant mes deux années de DUT Infocom. Je pense aussi que cela aurait été plus simple de pouvoir s’entretenir avec le com- manditaire et l’équipe plus souvent. Concernant les missions, j’aurais aimé avoir un projet encore plus varié avec de la communication visuelle, de l’événementiel, de l’audiovisuel et un peu de web aussi.

L

orsque ce projet nous a été présenté, j’ai tout de suite été attirée par la polyvalence qu’il avait l’air de proposer. Il réunissait tout ce que je sou- haitais expérimenter : de l’événementiel, de la rédaction, de l’audiovisuel, du community mana- gement, etc. Malheureusement les circonstances ont fait que tout cela n’a pas pu être réalisable. La première année à été un peu mitigée en terme de

missions, peu riches. La seconde année, nous a permis de nous focaliser sur l’audiovisuel à travers la réali- sation de deux vidéos, ce qui a été plus bénéfique en terme d’apprentissage.

Ces deux années de projet tuteuré m’ont permis de constater une véritable évolution au sein de notre groupe. Nous avons pu apprendre à travailler en équipe en fonction des compétences de chacune et sur- tout, dans la bonne humeur. Cela à créer une véritable cohésion. Nous avons pu partager des moments qui n’auraient pas été possible sans le projet EDENN. De réels liens se sont créés au cours de ce projet.

Mon projet idéal serait davantage axé sur la culture ou le sport. J’aurais beaucoup apprécié pouvoir réaliser un projet tuteuré ayant pour commanditaire une salle de spectacle (théâtre, salle de concert, etc.), un mé- dia (journal, radio, télévision) ou une structure sportive. De plus, pour ce projet idéal, ce serait enrichissant qu’il allie plusieurs aspects de la communication et de façon concrète, à travers, par exemple, la réalisation de missions précises telles que l’organisation d’un événement et la création d’affiches.

Ce fut une très bonne expérience, surtout d’un point de vue relationnel.

Justine, la pétillante secrétaire

Nina,

la rédactrice en

chef

(17)

L

ors de la présentation des projets tuteurés, je n’avais pas été attirée par le projet de l’EDENN car le côté très scientifique et technique me faisait un peu peur. C’est en dis- cutant avec l’équipe que j’ai eu un point de vue très polyvalent de nos futurs missions qui m’a rassurée. Je suis passée outre ma réticence à travailler dans un domaine qui m’attirait peu pour le voir davantage comme un défi de rendre attractif un sujet qui moi-même ne m’in-

téressait pas tellement. Malheureusement, l’enthousiasme du groupe s’est rapidement amorti après avoir attendu pendant plusieurs semaines une mission précise.

Étant très investie dans le projet et m’étant découvert une passion pour la vidéo, rester tard à l’IUT plu- sieurs semaines d’affilées ne m’a pas posé de problèmes.

Finalement, je suis contente d’avoir eu ce projet tuteuré car dans l’ensemble il s’est bien déroulé et que nous avons eu la chance d’avoir une équipe soudée, ce qui nous a beaucoup aidé lors des difficultés. De plus, j’ai apprécié avoir l’occasion de travailler la vidéo. Cependant, j’aurais apprécié un peu plus de diver-

sité dans nos missions et peut-être qu’un peu plus de liberté nous aurait permis de créer des vidéos plus ludiques.

Mon projet tuteuré idéal aurait été moins conven- tionnel et plus ludique. Il m’aurait permis de tra- vailler autant la vidéo que la création de supports de communication papier et de petits projets évé- nementiels. J’aurais par exemple beaucoup aimé travailler pour le Fil, mais je ne regrette pas mon projet car notre groupe a très bien fonctionné et nous avons su rester professionnelles tout en pas- sant de très bons moments.

Q

uand on nous a présenté le projet j’ai tout de suite pensé : “Chouette ! Un projet polyvalent qui va me permettre de pratiquer beaucoup des domaines de la communication et me rendre ainsi plus opérationnelle.” On a bien vu par la suite que le temps ne nous le permettrait pas. J’ai donc été déçue par la première année du projet et nos missions que trop peu créatives. Mais la deuxième année du projet m’a réellement enthousiasmée. Le tournage et le montage de vidéos ont ainsi été très conviviale au sein du groupe et on a pu s’amuser tout en travaillant. J’ai adoré filmer et monter les vidéos, ce qui m’a surtout appris à maîtriser le logiciel de montage vidéo. On a beaucoup appris à travailler en groupe et à se départager les tâches. Comme on aimait se le répéter, on avait peut être pas le projet le plus exaltant de la promo mais on avait une bonne équipe !

L’équipe de l’EDENN a été présente pour nous et j’ai apprécié travailler avec eux, sur un territoire rural et filmer des paysages aussi magnifiques que ceux que l’on a pu voir sur les rives de l’Erdre.

Le projet idéal pour moi aurait été un projet polyvalent dans le domaine de la musique, avec un label ou une autre structure qui nous permette de faire de la création graphique, de la création web et pourquoi pas du community management. Mais aussi une partie événementiel et audiovisuel comme on a eu la chance de faire. Même si bien sur en une petite quarantaine d’après midi, c’est difficile d’avoir des missions

Morgane, la vidéaste tout terrain

Laurie,

la superviseuse

d’excepion

(18)

3.2. Le ressenti de l’EDENN

D

u côté de l’EDENN, le concept de projet tuteuré était une première pour eux également. Nous avons demandé à notre commanditaire Michelle DARABI, directrice de l’EDENN de nous faire un retour concernant nos deux années de collaboration. Elle nous a expliqué que le principe était très in- téressant. L’ensemble de l’équipe a beaucoup apprécié le partenariat avec notre groupe. Ce dernier est riche car nous avons tous appris à bien se connaître mutuellement. D’un côté, l’EDENN a appris à découvrir notre for- mation, le DUT Information Communication, mais aussi, chacune de nous, personnellement. De l’autre côté, nous avons compris le fonctionnement d’une structure particulière, telle que l’EDENN. Michelle DARABI souligne cependant une difficulté liée à leur réorganisation interne. En effet, le début du projet a été long à mettre en place. Cela dit, le fait que ce projet tuteuré soit complètement nouveau est aussi une des causes du retardement du lancement de ce projet. D’autres difficultés ont été remarquées du côté du syndicat mixte. Le rythme, à raison d’une demi-journée fixe par semaine, permet un suivi perma- nent et régulier mais n’est pas toujours en concordance avec les calendriers des projets. En effet, notre em- ploi du temps n’est pas toujours en concordance avec les calendriers des projets de l’EDENN. Nous avons dû, par exemple, aller tourner des vidéos le mardi alors que le moment dédié au projet tuteuré est le jeudi après-midi. De plus, les vacances scolaires participent également à l’espacement des temps de travail.

Michelle DARABI explique que, globalement, leurs attentes avant ce projet comportaient autant des tra- vaux sur du print que sur de l’audiovisuel. L’aspect événementiel ayant été annulé par leur fait, en raison de leur réorganisation.

Concernant le print, le travail à distance n’est pas toujours facile, pour échanger. Pour l’événementiel, ce serait encore plus compliqué et le temps dédié semblerait insuffisant. Pour les vidéos, le travail à distance a été plus simple car nous avons pu nous déplacer sur les lieux pour les prises d’images, et pas forcément le jeudi.

Michelle DARABI s’est dite satisfaite du travail réalisé en deuxième année : à savoir les vidéos. Elle nous félicite et trouve que notre groupe a très bien géré les deux projets vidéos.

Elle nous a cependant exprimé une déception. Le travail réalisé en première année, à savoir la réalisation de “fiches actions”, a été un peu compliqué. Il s’agissait d’une mission “print”. Nous devions reprendre les données d’un tableau excel afin de les rendre visibles pour le public et ainsi, créer un document sur In- Design. La répartition des tâches dans notre groupe a peut-être nui à la cohérence globale du document.

En effet, cela nous a été difficile d’harmoniser et uniformiser le document final étant donné que chacune avait en charge des fiches. Finalement, l’équipe de l’EDENN a réussi à corriger et sortir un beau document.

Michelle DARABI termine son bilan sur une note positive. Elle a constaté une évolution très positive de notre positionnement et de la gestion de projets. Par exemple, au début, le calendrier de travail était un peu flou alors qu’à la fin du projet tuteuré, elle a apprécié notre initiative de proposer un rétroplanning précis. Elle termine en disant que nous avons gagné en professionnalisme et nous souhaite une très bonne carrière dans la communication.

(19)

CONCLUSION

Nous l’avons donc vu, la première année de ce projet a été remplie d’espoir et de désillusion. Après de nombreux mois consacrés à la compréhension de l’EDENN et leurs actions, nous avons effectué nos pre- mières missions telle qu’une analyse du site internet et des réseaux sociaux et la mise à jour des fiches actions de l’EDENN. Un début quelque peu décevant et frustrant pour nous. D’autant plus que le syndicat mixte, en pleine réorganisation, n’avait pas toujours de réponses à nous donner. Nous nous attendions à des missions polyvalentes et nous n’avions pour le moment que peu de choses à faire et nos travaux lais- saient peu de place à notre créativité.

Mais lors de la deuxième année du projet tuteuré tout s’est débloqué. En effet, nos missions ont été plus définies comme le fait de faire des vidéos pour alimenter les réseaux sociaux et expliquer aux abonnées les missions de l’EDENN et les nouveautés de l’EDENN en 2018. Nous nous sommes alors déplacé à nantes à deux reprises afin de tourner des images de l’erdre et de l’assemblée délibérante de l’edenn. Par la suite nous avons monté les vidéos et envoyé les fichiers à l’EDENN qui les a posté sur les réseaux sociaux. Nous avons ainsi été fières de notre travail car celui ci était visibles par 163 personnes au minimum (abonnées à la page EDENN sur erdre sur facebook). Nous avons également partagé les vidéos sur nos comptes person- nels pour en augmenter la visibilité.

Cette deuxième année est passé beaucoup plus vite que la première et nous a toutes appris quelque chose. Malheureusement le projet n’a pas été reconduit pour la promotion suivante mais l’EDENN pourrait devenir un commanditaire pour d’éventuelles commandes vidéos dans le cadre de l’atelier audiovisuel.

En effet, grâce à ce projet ils se sont rendu compte que des vidéos comme celles que nous avons réalisées leur plaisaient et pouvaient leur être tout à fait utiles pour alimenter leurs réseaux sociaux et rendre les informations qu’ils diffusent plus attractives et plus visibles.

(20)

BIBLIOGRAPHIE

Ouvrages

ADARY Assaël et alii, Communicator 7e édition, Paris, Dunod, 2015, 670p.

PASQUIER Martial, Communication des organisations publiques. 2e édition, De Boeck Supérieur, 2017, 304p.

AÏM Roger, Conduire un projet, à l’usage des PME, PMI, TPE et des collectivités territoriales, Afnor, 2009, 104p.

Littérature grise

TREPO Georges, ZANNAD Hédia, “Les enjeux socio-organisationnels de gestion par projet”, Cahier de Re- cherche du Groupe HEC Paris, n°625, 1997.

Site Web

(Lien actifs et vérifiés le 13 mars 2018)

Auteur inconnu, “Environnement Cyanobactéries toxiques : l’Erdre sous surveillance”, in Presse Océan, site de Presse Océan.

Auteur inconnu, “Nort-sur-Erdre. Pêche et activités nautiques interdites sur l’Erdre”, in Ouest-France, site de Ouest-France Pays de La Loire.

ESCOLANO Véronique, “Plouf interdit, mais ça baigne pour l’Erdre”, in Ouest-France, site de Ouest-France Pays de La Loire.

LE PRIELLEC Gwendal, “Haute Vallée : objectif Erdre propre en 2021”, in L’Éclaireur de Châteaubriant, site de l’actu.fr.

Les syndicats mixtes (Guide 2006), in collectivites-locales.gouv.fr

SIRET Manon, “La nuit tombée, la chauve-souris est à l’honneur”, in Ouest-France, site de Ouest-France Pays de La Loire.

Site de l’EDENN, http://www.edenn.fr/

(21)

ANNEXES

Annexe 1 : Page de couverture d’un exemplaire de la Feuille de l’Erdre

(22)

Annexe 2 : Notre premier livrable, une analyse des supports de communication existants

Compte rendu de la visibilité des réseaux sur internet

Après une analyse des diffŽrents rŽseaux sociaux et du site internet. Nous avons Žtabli un tableau que vous trouverez ci-dessous aÞn de mettre en évidence les points positifs, les points négatifs et les solutions que nous vous proposons. Cependant, cela ne résulte que de notre propre opinion.

Facebook Twitter Site internet

Points positifs

1. Une belle photo de couverture 2. On trouve une redirection du site

internet et de l’adresse mail 3. On trouve l’adresse du siège 4. Un post 2 à 3 fois par semaine 5. Partage de publications d’autres

acteurs de l’Erdre

1. Actif - Photo agréable et de bonne qualité

- Une bonne idée pour les mots-clés mis en évidence

Points négatifs

1. Une répétition de certains articles (comptage des oiseaux) 2. Pas assez de mentions j’aime car

nous pensons qu’il n’y a pas assez de visibilité ou contenu pas forcément jugé pertinent 3. Couleurs qui n’attirent pas assez

notre attention

4. Uniquement 4 avis sur la page 5. Peu d’événements organisés par

votre structure ou non visibles par les internautes

1. La page n’est pas présentée en tant que structure : EDENN 2. Retweet de liens sans présenter

l’article (pas d’explications sur ce partage, c’est également le cas pour les partages sur Facebook)

1. EDENN non trouvable en tapant

« ERDRE » sur Google 2. Logo qui empiète sur les écritures

de la page d’accueil

3. Les onglets (carrés de couleurs) ne sont pas tous rappelés dans la barre en haut, on les retrouve dans les sous-onglets (par exemple :

« agriculture » dans onglet

« eaux »)

4. Onglet « rechercher » non visible

(23)

Annexe 3 : Exemple d’une fiche action que nous avons mise ne forme

Budget prévisionnel

Pr ogr amme de tr av aux milieux aqua tiques sur les sous bassin v ersan t des M ar ais de l ’Er dr e

OBJECTIFS

Objectifsprincipaux - Restaurer la qualité des cours d’eau pour l’atteinte du bon état écologique à 2027 (Echéance DCE)

Objectifs spécifiques

Objectifs opéra-tionnels - Restaurer le fonctionnement écologique des cours d’eau (diversifier et améliorer les habitats)- Restaurer la continuité écologique- Réhabiliter les fonctions épuratoires et hydrologiques des cours d’eau

- Restauration morphologique des cours d’eau. 3,3 km de lit restauré- Restauration de la végétation de rives. 4,3 km de restauration - Lutte contre les espèces envahissantes (cours d’eau et marais)SBV Marais Erdre

TAILS

Maître d’ouvrageCommunauté de communes Erdre et Gesvres LocalisationMarais de l’Erdre

Indicateur de suivi/Calendrier prévisionnel2017-2021 Coût total (TTC) Subventions et financementTravaux milieux aqua-tiques 660 263€Agende de l’eau Loire Bretagne 293 942€

Auto-finance-ment 135 053€

© A. Mary

Fiche action

4

11 Pour la dernière année du programme des Marais de l’Erdre, les interventions concerneront :- le ruisseau de Mortève avec des interventions de curage et d’ouverture de milieux dans la partie sous l’influence de l’Erdre (Marais) et dans la partie amont - en eau libre - des interventions de restauration de la ripisylve et morphologique (recharge granulométrique, banquettes minérales...) - les ruisseaux affluents directs de l’Erdre contenus dans le sous-bassin versant dit des «Annexes de l’Erdrpar des interventions morphologiques et sur la continuité écologique (aménagements de petits ouvrages)

(24)

Annexe 4 : Article du 30 septembre 2017 sur le site Actu parlant de l’EDENN

(25)

Annexe 5 : Exemples d’articles du Ouest-France parlant de l’EDENN

(26)
(27)
(28)

Annexe 6 : Résultats obtenus quant à la visibilité de nos vidéos sur Facebook

(29)

Références

Documents relatifs

Tous sujets concernant la PAC surface et la déclaration des aides (hors aides MAEC et bio) : aides découplées et couplées végétales, relevés de situation, codes Télépac,

Dans le cadre de la nouvelle programmation européenne confiée à l’autorité de gestion du Conseil régional de Bretagne, 2016 s’est placée dans la continuité de 2015 avec

Unité logement privé Unité filières et territoires. Guillaume POULIQUEN

L’auteur pour la jeunesse, de l’édition à l’école / Jean-François Massol et François Quet (dir.)?. Grenoble : ELLUG ; Lyon : ENS de

L’EMSP Territoriale du Val-d’Oise existe depuis 5 ans, intervient dans 60 EHPAD du département héber- geant plus de 5 000 résidents, et a déjà sensibilisé à la

Avec près de 283 000 2 patients adultes (de 16 ans et plus) suivis pour un épisode ou un trouble dépressif en 2011, soit près de 18 % de la file active totale (source : Rim-P),

Résumons : «La diversité des intervenants et l’absence trop fréquente de coordination, le caractère imprécis des diagnostics au temps de l’urgence, les insuffisances de

PRESENTATION GENERALE (correction de l’expression, orth., typo et mise en