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Propriétés optiques et photoélectriques des couches microcristallines de sulfure de plomb dans le visible et l'infrarouge

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Propriétés optiques et photoélectriques des couches

microcristallines de sulfure de plomb dans le visible et

l’infrarouge

Pierre Vernier

To cite this version:

(2)

PROPRIÉTÉS

OPTIQUES

ET

PHOTOÉLECTRIQUES

DES COUCHES MICROCRISTALLINES

DE SULFURE DE PLOMB DANS LE VISIBLE ET L’INFRAROUGE

Par PIERRE VERNIER,

Laboratoire de Physique Astronomique de l’Observatoire de Paris.

Sommaire. 2014 Après un rappel des faits expérimentaux, on expose les particularités des méthodes de fabrication et de mesure des couches.

Des interférences ont été mises en évidence. Le calcul permet de déduire le coefficient d’absorption

du pourcentage de transmission.

Une certaine corrélation est trouvée entre le spectre d’absorption et le spectre de photoconductivité.

LE JOURNAL DE PHYSIQUE ET LE RADIUM. 14,

1953,

Introduction. - La

photoconductivité

de cer-taines couches minces de sulfure de

plomb

permet

de

fabriquer

dea

r6cepteurs

infrarouges

sensibles

jusqu’à

2,5-3 fJ.

et util’sables a

temperature

ordi-naire. Son 6tude a conduit a rechercher une

corr6la-tion avec

I’absorption

de la substance dans le domaine

spectral.

De nombreux travaux ont ete effectues sur de la

galene

et sur des monocristaux

synth6tiques.

Avery (1951)

mesure la reflexion d’une lumi6re

polaris6e rectiligne

et en d6duit le coefficient

d’ab-sorption

et l’indice de la

galene polie.

11 trouve une chute

rapide

de

l’absorption quand

la

longueur

d’onde croit de

o,4

a 2 fJ. et un indice constant,

a 2 pour 10o

pres 6gal

a

4,

de o,8 a 2,5 ,u.

Paul,

D.E A. Jones et R. V. Jones

(1951), puis

Gibson

(1952), atteignent

la constante

d’absorp-tion k en mesurant la

transparence

de cristaux amincis par

polissage.

Leurs mesures ne commencent

qu’a

2,5

li, ils trouvent une chute

d’absorption

jusqu’A

4

fl, ou k est minimum.

Tous ces

resultats,

indiqu6s

en

pointill6s

sur la

figure

2,

divergent

notablement,

ce que les auteurs

expliquent

par des differences de

puret6

des

cris-taux utilises.

Aucun monocristal n’est

photoconducteur.

Pour

trouver une correlation entre les resultats

d’absorp-tion et de

sensibilite,

Gibson utilise les

points

sen-sibles des cristaux par le

dispositif

de la

photodiode

et trouve que la chute

d’absorption,

de 2,5

à 4 [J,

correspond

bien a la chute de sensibilite.

Le mecanisme de la

photodiode

peut

6tre,

cepen-dant,

assez different de celui de la

photoconductivite

des couches utilis6es comme

r6cepteurs,

ou les

barrières intercristallines

peuvent

jouer

un

grand

role. 11

importe

done de mesurer

l’absorption

de

couches microscristallines.

Gibson

(1950)

mesure la

transparence

de couches

obtenues par

depot chimique.

II en d6duit

que k

d6croit entre

o,4

et

0,8 f.L

et conserve une valeur assez

6lev6e .

(sup6rieure

a 5. 1 o3

cm-)

entre o,8 et

6 p..

11 ne

trouve

aucune chute

remarquable

de

I’absorp-tion en correlation avec la chute de sensibilite a

3 p.

des

r6cepteurs.

II ne trouve pas les interferences

caractéristiques

des couches de microcristaux du

système cubique.

Depuis

1949,

a l’Observatoire de

Paris,

des travaux ont ete

entrepris

par M. Davier et Mile Delbouis.

La mise au

point

des méthodes de mesure

qu’ils

ont faite nous a ete

grandement

utile.

1. Fabrication des couches. 2013 Nous

employons

le difIérents modes de fabrication des

r6cepteurs.

PROCÉDÉS PHYSIQUES. - DIStiIIation. 2013 Nous distillons sous

vide,

vers 600°,

quelques

milli-grammes de sulfure de

plomb

tres pur, de

façon

a obtenir une couche

homog6ne.

Ce

procédé,

avec des

traitements.

appropri6s

a

l’oxygène

et au gaz

sulfureux,

donne des cellules ferm6es

qui

constituent les meilleurs

r6cepteurs.

Evaporation.

- Nous

évaporons, également,

sous

un vide assez

mediocre,

vers 800°, de la

poudre

de

sulfure de

plomb

d’un creuset de

tungstène

sur Ie

support.

PROCEDES CHIMIQUES

(’).

- Par action de la thiour6e sur le

plombite

de

sodium,

on obtient des

depots

de sulfure de

plomb,

tres int6ressants pour

leurs

propri6t6s photoélectriques.

Pour obtenir des couches

plus épaisses,

on

peut

rassembler par

dis-tillation sous

vide,

vers

4oo-6ooo,

une couche de

grande

surface obtenue par ce

proc6d6.

2.

Support. -

Nous

employons

comme

support,

des

plaques

de

saphir

(2)

transparentes

dans toute

(1) Proc6d6s mis au point par le Docteur G. Sommer.

(2) Dues a l’obligeance des Telecommunications Research Establishment (G. B.).

(3)

176

la bande de

longueurs

d’onde étudiée

(o,4-6 fL)

et des cellules en verre Duran amincies par

soufflage.

Le verre Duran est

transparent

jusqu’à

2,5 p.

et

utilisable,

sous des

6paisseurs

de

quelques

dizaines de

microns,

jusqu’à

4,5

y.

3. Mesure de la transmission. - Une source convenablement choisie eclaire la fente d’entr6e d’un monochromateur. Derriere la fente de sortie se trouve une cellule au tellurure de

plomb

(’)

(utilisde

pour la

premiere

fois en France dans une

application

spectroscopique).

La couche a mesurer est

plac6e

entre la source et le monochromateur. La cellule au

tellurure,

refroidie a 1’air

liquide,

est branchée sur l’entrée d’un

amplificateur

a bande etroite

(o,5 Hz) qui

élimine en

grande partie

le

bruit de fond. Le

rapport

gnat

ainsi

obtenu,

bruit

pour les fentes et les sources

utilis6es,

est

supd-rieur a 5 ooo dans toute la bande de

longueur

d’onde

6tudi6e. Dans ces

conditions,

ce n’est

jamais

le bruit de fond

qui

limite la

precision,

meme avec de fortes

absorptions.

Ainsi la cellule au tellurure

repr6sente

un

progres

tres net en

sensibilite,

donc en

precision

et en pou-voir

s6parateur,

par

rapport

aux

thermopiles

et bolom6tres utilises

précédemment.

En

fait,

la

precision

est limit6e par la lumiere

parasite.

Les couches mesur6es sont

pratiquement

opaques, sauf les

plus

minces,

dans la bande des

plus

courtes

longueurs

d’ondes,

et Ie coefficient de transmission

(rapport

du flux transmis au flux

incident),

d6passe

o,4

dans la bande des

plus

grandes.

Dans la bande de transition ou du fait de la forte

absorption,

la lumi6re transmise

peut

6tre

m6lang6e

d’un fort

pourcentage

de lumi6re

parasite

Fig. i. - Transmission de couches

chimiques de Pb S de diverses 6paisseurs.

provenant

de la bande de forte

transparence,

nous n’avons pas d’erreur

sup6rieure

a 1 o pour 10o sur Ie coefficient de transmission des que celui-ci

d6passe

o,05.

Dans la bande de

transparence,

le

probl6me

est moins

critique

et nous avons pu

assurer une

precision

de 2 a 3 pour 10o de 3 a 5 ri.

La mesure du coefficient de transmission

appa-rent dans la bande

d’opacit6

constitue un excellent controle du taux de lumière

parasite;

elle

permet,

en outre, de verifier que la couche ne

comporte

pas de trous

(surface

relative inf6rieure a o,1 pour 100

dans tous les cas

retenus).

4.

Interpretation

du

spectre

de transmission. - Soient

R, R,

R" les facteurs de reflexion de

Fresnel aux interfaces entre l’air et la

couche,

la

couche et son

support,

Ie

support

et Fair.

Nous pouvons supposer l’indice n de la couche comme reel A i pour 10oo

pres

de i a 6 p..

(3) Fabriqu6es par le Service du Docteur Bartels que nous

remercions, par ailleurs, pour toute 1’aide apportee.

Le calcul du coefficient de transmission

T,

pour une

longueur

d’onde

a,,

ou le coefficient

d’absorp-tion

est k,

pour une couche

d’épaisseur z

donne

5. Interférences. 2013 Elles

proviennent

du fac-teur

Sur la

figure

I, nous avons

represente

les

spectres

de transmission de trois couches

chimiques

d’6pais-seurs difIérentes. Les extrema

qu’ils

presentent

sont

caractéristiques

d’un

spectre

cannelé. En calculant

a

partir

d’une valeur de nz, d6duite de la

position

d’un extremum, les

positions

des autres extrema,

on obtient un tres bon accord avec

1’experience.

L’indice 6tant reel a i pour 10o

pres

dans la bande

(4)

En outre, Ie

contraste p

entre les maxima et les minima diminue

quand

la

longueur

d’onde

d6croit,

c’est-A-dire

quand

l’absorption

augmente,

ce

qui

est conforme au r6sultat du calcul.

Les interferences ne sont pas decelables

quand

le

coefficient de transmission T est inférieur a 0,2.

p est

cependant

plus

faible que ne

permet

de le

pr6voir

la valeur 6lev6e de l’indice n trouv6e par

Avery.

6. Calcul du coefficient

d’absorption.

- La

mesure directe de

1’epaisseur

peut

etre effectuee

sur certaines couches en

formant,

entre la couche

gratt6e

suivant un trait et un etalon de

surface,

les

franges

d’un coin d’air. Elle

conplrme

grossie-rement la valeur

4

de n trouv6e par

Avery.

nz 6tant connu

grace

au

spectre

cannel£,

nous avons d6duit z de nz en admettant n =

4,

1’erreur n’atteint

certai-nement pas 3o pour i oo.

Nous ne pouvons calculer avec

precision

les coefficients de réflexion aux

interfaces,

il semble que des

ph6nom6nes

anormaux se

produisent.

La mesure

de l’incidence brewsterienne q des couches a donne des valeurs

trop

faibles pour

tg

cp

tg l’ = 3 ±0)2 pour des couches

chimictues,

I g y = 2) 1 -4- o,,2 pour des couches evaporees.

Notons

cependant

que 1’anomalie est

plus

forte pour les couches

6vapor6es qui presentent

une .

transmission moyenne T

trop

forte aux

grandes

longueurs

d’ondes.

Nous avons donc elimine

R, R’,

R"

grace

au fait

qu’ils

sont

independants

de la

longueur

d’onde,

comme le montrent les

experiences

de

Avery

et

Gibson et l’accord de nos conclusions.

Pour les

6paisseurs envisag6es,

dans la bande des

plus

grandes

longueurs

d’onde,

e-Àz

est pratiquement

6gal

a I, si bien que aux

longueurs

d’ondes de >«/,>=

cette bande ou

e-

----:- == 0

Pour nos couches

6vapor6es,

ce facteur est tres

supdrieur

a ce que l’on

peut

calculer en suppo-sant n ==

4.

Pour les autres

types

de

couches,

aucune anomalie

n’apparait

dans ce facteur.

Le calcul de k sera donc

possible

a toutes les

longueurs

d’ondes ou

soit e-4,

petit

(courtes longueurs

d’ondes)

Sous ces

conditions,

La determination de

Ta,

aisee pour les couches à

support

de

saphir,

est

plus

delicate pour des couches

distillees en cellule pour

lesquelles

l’absorption

du verre intervient a

partir

de 2,5 fL.

Pour

chaque

couche

6tudi6e,

nous obtenons ainsi le coefficient

d’absorption

k pour une s6rie de valeurs

de I,. Cette s6rie est

limit6e,

vers les courtes

longueurs

d’ondes,

par l’influence de la lumière

parasite

sur la mesure de T et, vers les

grandes longueurs

d’ondes,

par la

trop grande importance

relative de la r6flexion par

rapport

a

l’absorption

(log

T

trop

voisin

de

log To).

7. Photoconductivité. 2013 Nous

plaçons

la couche

6tudi6e,

munie d’61ectrodes convenables h la

place

de la

cellule

au tellurure. Pour 6talonner les sources de

lumi6re,

nous utilisons une

thermopile.

La cons-truction de

1’amplificateur

est telle que sa

r6ponse

est,

quelle

que soit la conductibilité (I de la

couche,

sensiblement

proportionnelle

a

l’augmentation

rela-tive de (I,

2013

Nous mesurons done la sensibilité de

cr

la couche par le

rapport

de la

réponse

de

1’ampli-ficateur a l’indication

correspondante

de la

ther-mopile.

8. Résultats. 2013

a. SENSIBILITA.-LA sensibilite

globale

varie

beaucoup

d’une couche a l’autre. Dans notre

dispositif

de mesure, le bruit de fond

r6siduel est sensiblement le meme pour toutes les

couches,

nous pouvons done

rapporter

la sensi-bilit6

globale

au niveau moyen du

bruit,

pour une source donnee

(filament

de

tungst6ne

a 2

700°),

avec une fente

fixe,

a la

longueur

d’onde ou la

r6ponse

de

l’appareiI

de mesure est maximum

(1,8

pour toutes les

couches).

Les meilleures couches distillees et conserv6es

sous vide ont un

rapport

bruit

de l’ordre de

i o5;

brult

meme sans traitement

sensibilisant,

il atteint souvent 1O4. Mais de nombreux

exemplaires

n’ont aucune sensibilité d6celable.

Nos couches

chimiques, parfois

insensibles

aussi,

n’atteignent jamais

des

rapports

s i - n,,i

I

superieurs

bruit

à 1000.

Nous n’obtenons

jamais,

par notre

proc6d6

actuel,

de couche

6vapor6e

appreciablement

sensible.

Dans tous les cas, la

r6partition spectrale

de la sensibilite

pr6sente

le meme

aspect.

Nous

indiquons

sur la

figure

2 la sensibilite pour une couche

parti-culierement sensible. Deux chutes se situent dans

les bandes

0,0-1,4

et 2,5-3 p,, le

maximum,

a 1,6 N,

(5)

178

diminue la sensibilite dans de tres

larges

propor-tions,

mais

d’une

façon

a peu

près

uniforme sur tout le

spectre.

b. ABSORPTION. - En raison de la tres forte

variation du coefficient

d’absorption

k,

nous n’avons pu le

calculer

dans toute la bande

o,4-4 1-t

avec des couches d’une meme

6paisseur.

Au dela de

4

fJ-,

k est

trop

faible pour que nous

puissions

le calculer

d’apr£s

les couches

dtudi6es,

nous pouvons

cependant

affirmer

qu’il

est inferieur a 5oo cm- de

4

a 6 li.

Pour toutes les couches

mesurdes,

quel

que soit

Fig. v. -

Absorption et sensibilité de couches de Pb S.

(En tiret les travaux ant6rieurs.)

le

proc6d6

de

fabrication,

1’elimination des

inter-f6rences montre

que k

d6croit tres

rapidement quand

la

longueur

d’onde croit. Nous avons

repr6sent6

sur la

figure 2

les resultats pour six couches

typiques,

les

points

correspondant

a une meme couche sont

joints

par un trait.

L’6paisseur

de la couche ne se manifeste pas comme un facteur influent sur k.

Les diverses couches

chimiques

donnent des

resultats bien concordants. Les couches distillees

donnent des resultats

plus disperses (cette

disper-sion

pourrait

n’être due

qu’a

1’erreur caus6e par Ie verre

absorbant),

et pas sensiblement diff6rents de

ceux des couches

chimiques.

Les couches

6vapor6es,

en tres bon accord entre

elles,

se

distinguent

nette-ment des

pr6c6dentes

en ce que, a

partir

de

o,6

p,

l’absorption

est nettement inf6rieure.

Nous ne retrouvons pas la queue de forte

absorp-tion trouv6e par Gibson

(1960)

pour des couches et nos resultats ne sont pas essentiellement diff6-rents de ceux trouv6s pour les monocristaux. Ils

font,

dans une certaine mesure,

la

jonction

entre

les resultats de

Avery

aux courtes

longueurs

d’onde

et ceux de Gibson

(1952)

pour des monocristaux

synth6tiques.

11’est

possible

que vers 5-g

I-t, k

pour nos couches ait le meme ordre de

grandeur

que pour les cristaux de

grande

dimension.

C. CORRELATION ENTRE L’ABSORPTION ET LA SEN-SIBILITT. - Pour les couches distillees

et

chimiques

nous avons vu que la sensibilité

globale

varie dans

de tres

larges proportions,

alors que

l’absorption

varie peu. Nous n’avons pu mettre en evidence de lien entre la faible variation

d’absorption

et la forte variation de sensibilite.

Dans Ie groupe que constituent ces

couches,

les differences de sensibilite

globale

semblent 6tre

dues

principalement

a des différences de

propri6t6s

6lectriques

et non

photoélectriques.

En

effet,

les couches sensibles ont des resistances de l’ordre de

I O’i Q,

les couches insensibles ont souvent des

resistances

beaucoup plus

faibles

(parfois

infé-rieures a

10:B Q).

D’autre

part,

la

quasi-destruction

de la sensibilite par ouverture de la cellule conte-nant une couche distillee ne

produit

pas de modi-fication d6celable de

l’absorption.

Le groupe des couches

6vapor6es

que nos pro-cedes ne

peuvent

jusqu’ici

rendre notablement sensibles

pr6s2nte

a

partir

de

o,6 u.

une

absorp-tion

beaucoup

plus

faible que celle des couches distillees et

chimiques

qui

sont souvent tres sen-sibles.

La correlation la

plus

significative

nous semble r6sider entre les

r6partitions

spectrales

de la sen-sibilit6 et de

l’absorption

des couches distillees

et

chimiques :

la chute de

l’absorption

est

plus

rapide

dans les bandes

o,9-1,4

p et surtout

2,5-3

1-1-ou se situent

6galement

celle de sensibilite.

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Références

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