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Non-localité et dissymétrie de l'interaction électron-neutrino dans le mode Ke3

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HAL Id: jpa-00205557

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Submitted on 1 Jan 1963

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Non-localité et dissymétrie de l’interaction électron-neutrino dans le mode Ke3

C. Chahine, B. Jouvet

To cite this version:

C. Chahine, B. Jouvet. Non-localité et dissymétrie de l’interaction électron-neutrino dans le mode Ke3.

Journal de Physique, 1963, 24 (10), pp.732-736. �10.1051/jphys:019630024010073200�. �jpa-00205557�

(2)

NON-LOCALITÉ ET DISSYMÉTRIE DE L’INTERACTION ÉLECTRON-NEUTRINO DANS LE MODE Ke3 Par C. CHAHINE,

Laboratoire de Physique Atomique et Moléculaire, Paris et Laboratoire de Synthèse Atomique, Ivry.

et

B. JOUVET,

Laboratoire de Physique Atomique et Moléculaire, Paris.

Résumé.

2014

Nous envisageons la possibilité d’interactions non locales, symétriques ou dissy- métriques, dans les champs de l’électron et du neutrino et en étudions les effets dans le mode Ke3.

L’utilisation d’un diagramme en p0, q0 (énergies de l’électron et du neutrino) est bien adaptée

pour tester d’éventuelles non-localités et dissymétries de l’interaction e - 03BD et permet de

reconnaître très simplement si le couplage est principalement vectoriel ou tensoriel ou scalaire.

Une dissymétrie en p0 et q0 de la densité de probabilité signifie une violation de la théorie V (A)

à couplage e - 03BD local résultant soit d’un couplage V (A) nonlocal et assymétrique en e - 03BD soit (et)

de la présence simultanée des couplages S et T (locaux ou non).

L’expérience de Luers et al. que nous analysons : 1) indique principalement un couplage en V (A) ; 2) présente une dissymétrie en p0 et q0.

La probabilité pour que le spectre observé, résultant d’une théorie V (A) locale présente

cette dissymétrie est de 5 %.

Abstract.

2014

We consider the possibility of non-local interactions symmetrical or asymmetrical

in the electron and neutrino fields, and we study their effects in the Ke3 mode. The use of a p0 q0

diagram (p0 and q0 being the energies of the electron and the neutrino) is very suitable for testing possible non-localities and assymmetries of e03BD interactions and permits to recognize if the coupling is essentially vector, or scalar, or tensor.

An asymmetry of the density of probability in p0 q0 means a violation of the V(A) theory

with local e - 03BD coupling, which results either from a non local V (A) e - 03BD coupling or from the

simultaneous existence of the S and T couplings (which can be local or not).

The experiment of Luers and al. which we analyse : 1) Indicates that the coupling is essentially V(A).

2) Shows an asymmetry in p0 q0.

The probability that the observed spectrum, resulting from a V(A) theory, with local e - 03BD

current has this asymmetry, is only 5 %.

24, 1963,

Introduction.

-

L’expérience a montré que dans les interactions faibles on peut admettre, avec une

tres bonne approximation, que les deux leptons

sont 6mis au memo point, ou en langage de théorie

des champs, que la partie du terme d’interaction

qui fait intervenir les leptons est pratiquement un produit local de leurs champs. Cependant cette simplification ne peut etre que sch6matique ; en

effet :

1) Les corrections radiatives électromagnétiques

modifient faiblement mais d’une façon qu’il est possible d’estimer [1, 2] ce schema.

2) Si les interactions de Fermi, proprement dites,

etaient locales dans tous les champs, les sections

efficaces a haute énergie dépasseraient les limites fix6es par l’unitarit6 [3]. L’existence d’une inter- action de Fermi entre paires de leptons (uv2 et rVl) implique nécessairement 1’existence d’une non

localite qui doit apparaitre dans au moins l’une des

;oies :

Les hypotheses de bosons intermédiaires vecto- riels Bl et B2 pour les voies 1) et 2) ou d’un boson

intermediaires scalaire pour la voie 3) sont les plus simples des modèles possibles qui produisent

de telles non-localites. L’existence des bosons B2

et (ou) B3 produit dans 1’emission de la paire ev1

un effet de non localité qui en général, depend assymétriquement des impulsions de e et de vi et qui est d’autant plus important que les bosons sont

plus légers. Les bosons de type B, ne produisent

pas, au plus bas ordre de la th6orie de pertur- bation, d’effets de non-localit6 pour la paire eii ;

les termes d’ordre superieur, ou plusieurs bosons

sont échangés entre les paires 6 1 et uv2 produisent

une dissym6trie qui est extramement petite pour des masses raisonnables des bosons B 1.

Les considerations pr6c6dentes s’appliquent evi-

demment au cas ou la paire de leptons interagit

avec une paire de baryons (désintégration p) ou

de mesons (Tc- --> it° + e + v, K - n + e + v).

11 n’a pas 6t6 rapporte, jusqu’à present, d’exp6-

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphys:019630024010073200

(3)

733 rience qui d6montre la realite d’effets de non-loca-

lit6 (sym6trique ou assym6trique) dans 1’emission

des paires de leptons. Les tests de non-localit6 dans le spectre du muon [4] montrent plutot 1’existence d’une non-localit6 de l’interaction entre paires

locales de leptons (theories du boson B1).

Dans le cas des disintegrations p des noyaux,

une non-localit6 dissym6trique entre e et v, repre-

sentable par un couplage supplémentaire d’Uhlen-

beck et Konopinski peut produire une deviation de

meme signe des spectres des electrons et des posi-

trons de basse 6nergie par rapport a la droite de

Kurie [5]. Quoique les spectres observes présentent

de telles anomalies [6, 7], il parait cependant tr6s

d6licat de s6parer cet effet de non-localit6 des

autres corrections.

Un effet de non-localit6 (ev) se manifestant d’au- tantmieux que Ie transfert d’énergie entre l’électron

et le neutrino est plus grand, le spectre de désinté-

gration du meson K dans Ie mode Ke3 dans lequel

ce transfert peut atteindre 200 MeV, parait etre le

meilleur champ d’expérience existant présente-

ment.

C’est ce point que nous nous proposons d’étudier

en detail dans cet article.

I. Diagramme de Dalitz et densitd de proba-

bilité pour le mode K13.

-

Soient k, l, p, q ; M,

m1T:, ml, 0, les impulsions et masses du kaon, du pion, du lepton et du neutrino respectivement.

Plagons-nous dans le syst6me du K au repos et choisissons le diagramme de Dalitz en po qo (po

et qo etant les energies de 1’electron et du neutrino

respectivement). Dans ce diagramme, le domaine

physique pour le mode K’3 est d6fini par :

soit par :

ou W1, W/ sont donn6s par les expressions sui-

vantes :

Dans le mode Ke.3, la masse de 1’electron est

negligeable. L’équation (1) se simplifie et donne :

Le domaine physique donne par (4) est repre-

sent6 sur la figure 1. 11 admet la droite OB comme

axe de symétrie.

FIG. 1.

L’616ment de matrice Ie plus général pour le

mode K’3 peut s’écrire :

L’expression (5) suppose la validite de la théorie du neutrino a deux composantes et les facteurs de forme F1 et F2 sont alors caractéristiques des deux

6tats possibles de chiralit6 de 1’electron. Dans 1’etude du spectre qui va suivre, cette hypoth6se

ne joue aucun r6le. Notons que FI et F2 n’ont pas la meme dimension. Decompose en fonction des covariants S, V, T, formes avec la paire de leptons, l’élément de matrice fait intervenir les facteurs de forme correspondants : to ; t f 1- f’1) 1M;

121M2 par les formules :

(K . ( p - q)

=

M(p 0

-

qo) dans le syst6me du K

au repos.

L’intervention dans les formules (6) et (7) de la

masse M est purement artificielle et provient du

fait que les covariants S, V, T, formes avec les champs des bosons 1t et K n’ont pas les m6mes dimensions que les covariants des fermions.

Les fonctions f i ont meme phase si l’invariance par renversement du temps est vraie [8]. Dans

le cas general ces fonctions dependent des inva-

riants :

qui sont tels que :

(4)

Dans le syst6me du centre de masse :

La densite de probabilité dans le diagramme de

D alitz consid6r6 est alors :

Cette expression fait abstraction des corrections radiatives électromagnétiques que nous suppo-

serons n6gligeables dans cet article.

La formule (10) est valable pour les modes Ke3

et K(l3.

Pour le mode Ke3, la masse de 1’61ectron est né-

gligeable compar6e aux energies intervenant dans

ce probl6me et le troisi6me terme du second membre de (10) peut etre neglige (1). A cette appro- ximation (6) et (7) montrent que les couplages sca-

laire et tensoriel contribuent seuls a F1 et le cou- plage vectoriel a F2. Dans ’hypothèse d’inter-

action universelle V (A) de Fermi, F 1 = 0.

II. Caractéristiques de la densite de probabilite

pour les divers couplages dans le cas d’interactions dleetron-neutrino locales ou non-locales. - 1. Cou-

PLAGE ELECTRON-NEUTRINO LOCAL.

-

Avec la defi- nition de la localite de l’interaction 6lectron-neu- trino des references [8, 9], les 11 ne dependent que

de l’invariant S3 defini par (8) donc, dans le sys- t6me du centre de masse; de (po + qo). La densite

de probabilite D(po, qo) admet une representation g6om6trique simple dans l’espace 3), po, qo, qui permet de d6gager les caractéristiques pr6pon-

derantes du spectre.

a) Terme en F 12. Couplage scala ire- tense ur.

La fonction de p o et qo

coefficient de IF, 12 dans (10), est representee par un

plan passant par la droite CD qui limite le domaine physique. La densité de probabilité varie donc rigu-

lièrement en s’annulant sur cette droite. Cette pro-

pri6t6 caractérise une interaction en F1. Pour un couplage purement scalaire, D(po, qo) est donn6e

essentiellement par (cpi). Les lignes d’égale proba-

bilit6 sont des droites parall6les a la droite CD

(1) La contribution du 3e terme (10) au rapport r d6fini

au paragraphe III, pour un couplage V-A est 10-2.

quelle que soit la fonction f o. D est maximum en B

si f, varie faiblement.

Si le couplage est purement tensoriel, D(po, qo)

est nulle sur la droite AB (ainsi que sur la droite CD). Ces propri6t6s permettent en principe

de distinguer ais6ment un couplage scalaire pur ou tensoriel pur.

Si S et T sont presents simultanément, Ie facteur

de forme s’annule sur la courbe d’equation

qui peut etre en dehors de la region physique. (C’est

une droite parall6le a OA si fo et f2 sont ind6pen-

dant de (po + qo)). Le facteur de forme F1 produit

une dissymétrie de D par rapport à la droite OA (Po

=

qo). La presence d’un couplage vectoriel supplémentaire ne modifie pas cette propriete.

b) Terme en /F2!2. Couplage V - A. - La fonc- tion de po et qo

coefficient de F2 2 dans (10), repr6sente un para- boloide hyperbolique passant par 1’hyperbole CBD

de la figure 1 qui limite le domaine physique.

D(po, qo) est nulle sur cette hyperbole et maximum

en A. Ces propri6t6s caracterisent le couplage

V - A. Si le facteur de forme est sensiblement constant dans le domaine physique, les courbes d’égale probabilit6 sont des hyperboles 6quilat6res.

Si le facteur de forme varie avec (po + qo) de façon importante, les courbes pr6c6dentes seront

modifi6es mais toujours symétriguement par rap-

port a la droite OB.

2. COUPLAGE ELECTRON-NEUTIRNO NON-LOCAL.

-

Si nous levons l’hypothèse de la localite des

couplages electron-neutrino selon la reference [8, 9],

les fonctions fi dependent alors a la fois de (po + qo)

et de (po

-

qo) dans le systeme du K au repos. Si la

non-localite est faible, nous pouvons d6velopper les fi suivant po - qo (A-1 caract6risant l’exten-

A

sion de la non-localite) et ne retenir que les premiers

termes du d6veloppement dans la region physique : :

(Po

-

qo) pouvant atteindre 200 MeV, (po

-

qo) /A peut etre 1/5 pour A ~ masse du nuel6oii.

La presence d’un terme tel que f2tlj caractérise 1’existence d’une dissym6trie de la non-localit6.

Par contre un terme tel que f 22y est caractéristique

d’une non-localit6 symetrique. Dans la combi- naison F1 il n’est plus alors possible de s6parer les couplages scalaires et tensoriels si ceux-ci poss6dent

une non-Iocalité dissymétrique. En particulier, un

couplage supplémentaire du type Uhlenbeck-

(5)

735

Konopinski (essentielleinent dissym6trique en e

et v) ne peut etre distingue d’un couplage S

-

T a

facteur de forme local ou non local mais sym6trique

en e et v [10].

La combinaison F2 au contraire est reliée a la

structure du seul couplage V - A.

En resume, par une etude de 3)(po? qo).

1) 11 doit etre possible de distinguer si la densite

de probabilit6 est principalement en IF 112 ou en 11 F2 12 (2).

2) Si 3)(po? qo) se trouve etre symitrique en po et qo, ce qui est equivalent a la symetrie ou l’anti- sym6trie de F1 et F2 en po et qo, l’interaction electron-neutrino est d’un des types V, S, T, v S, VT, et peut etre soit locale (termes en fi(0) exclusi- vement) soit non locale symétriquement (termes

en jiG) et fi2»). Une mise en evidence d’un terme

en /12) demande une analyse tres fine.

3) Si Ð(p 0, qo) presente une dissymétrie en po et qo, cela indique la presence de l’une des anoma-

lies suivantes :

L’interaction V - A a une non-localit6 assy-

m6trique ;

11 y a, a la fois, des termes de couplage S et T symetriques ou assymetriques ; il y a dans des

interactions S ou T des non-localit6s assymetriques.

Dans tous les cas, c’est donc un critère de violation de la théorie du type pur V - A et locale en e, v.

III. Test de la théorie V (A) locale en e - v

par la symdtrie de 5) ( po, qo) idans 1’exp6rience

de Luers et al.

-

Luers et al. [11, 12] ont publie

les r6sultats d’une experience portant sur la désin- t6gration du Ke3 142 6v6nements electroniques ont

ete port6s sur un diagramme en po 10. Nous avons

transform6 ce diagramme dans celui de la figure 1.

Les evenements comprennent des 1t+ e- v et des

7.- e+ v que nous ne distinguerons pas dans 1’ana-

lyse qui va suivre.

La r6partition des 6v6nements observes montre que Ð(po, qo) ne peut surement pas etre exclusi- vement en F 1 car, il devrait y avoir alors cf. chap. II 1a) tres peu d’événements dans le

voisinage de la droite CD contrairement a ce que semble indiquer l’expérience. D(po qo) semble plutot etre principalement en F2 (théorie V - A)

a la vue du nombre important d’evenements qui se

trouvent dans le voisinage du point A.

Nous avons 6tudi6 et teste la sym6trie en Po et go de la distribution des 6v6nements :

a) Une 6ventuelle dissym6trie en po et qo doit

se trouver sur les projections de 2)(po, qo) sur les

axes p, et qo ; ce sont les spectres en 6nergie des

electrons et neutrinos.

(2) Le rapport F2/ F1 pourrait etre d6duit de la mesure

complementaire de la polarisation de 1’electron (dans I’hypoth6se du neutrino a deux composantes).

Les figures 2 et 3 montrent des spectres de 1’elec-

tron et du neutrino compares aux spectres de la

théorie V - A locale, corrig6s par la probabilite

de detection et d’observation donn6e dans la reference [12].

FIG. 2.

-

Spectre de l’électron. A : histogramme experi-

mental. B : spectre theorique pond6r6 par la probabi-

lit6 de detection et d’observation.

FIG. 3.

-

Spectre du neutrino.

Les histogrammes experimentaux présentent un

excès d’électrons de basse 6nergie et de neutrinos de haute énergie.

b) Nous avons d6nombr6 101 et 41 6v6nements dans les regions (I) et (II) respectivement. La pro- babilit6 de detection donn6e dans la reference [12]

peut-6tre représentée par une fonction t:p(Po), qua- siment ind6pendante de qo. Elle est une fonction d6croissante de po et favorise la detection des eve- nements dans la region (I) par rapport a la region (II).

Définissons le rapport :

(6)

Nous avons calcul6 rpondéré pour un couplage local’e - v avec facteur de forme constant (3) et

avons trouve : rpondéré == 1,89. La valeur de

robservée est 2,46. Ceci permet de dire que la proba-

bilit6 pour que le couplage de type V (A) soit local

en e -v est de 5 %.

c) Envisageons la possibility d’une interaction V - A électron-neutrino non-locale dissymétrique.

Les effets d’une telle interaction sont d’autant plus

sensibles que (po

-

qo) est plus grand. Nous avons

divisp le domaine physique en quatre regions (fig. i) et calcul6 les probabilités attendues dans

ces regions pour un couplage V - A local avec

facteur de forme constant.

11 ressort des colonnes 2 et 3 du tableau I que le désaccord eventuel entre l’expérience et le cou- plage V - A est du essentiellement au nombre élevé d’événements observes dans region (I).

Ayant normalise les probabilités calcul6es des

regions (2) et (3), au nombre total observe dans

TABLEAU I

ces regions (74 6v6iiements) nous donnons dans la

quatri6me colonne du tableau I le nombre d’évé- nements attendus. Dans les regions (2) et (3), les

nombres calcul6s sont en bon accord avec ceux

observés. Par contre dans la region (I) ou le nombre

d’événements attendus est 35,7, le nombre observe est 56. La region (4) presente un d6faut d’événe- ments cependant peu significatif statistiquement.

L’expérience de Luers et al. semble ainsi montrer

(3 ) Luers et al. ont montre que si le couplage est V - A, le facteur de forme est sensiblement constant.

que l’interaction est essentiellement du type V - A

mais qu’une anomalie (non-localit6 ou autres types

d’interaction qui pourrait etre importante) est aussi présente. Une nouvelle experience statistiquement plus significative permettrait d’eclairer ce point.

Par ailleurs il conviendra de s’assurer que les effets

d’assymétrie des corrections électromagnétiques

dont on attend qu’elles diminuent le nombre des electrons de haute 6nergie, sont bien n6gligeables

par rapport a 1’eventuelle anomalie observ6e.

Manuscrit requ Ie 29 avril 1963.

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