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W. BROCKMANN. — Beobachtungen an Orgelpfeifen (Expériences relatives aux tuyaux d'orgue); Wied. Ann., t. XXXI, p. 78

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HAL Id: jpa-00238925

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00238925

Submitted on 1 Jan 1888

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W. BROCKMANN. - Beobachtungen an Orgelpfeifen (Expériences relatives aux tuyaux d’orgue); Wied. Ann.,

t. XXXI, p. 78

E. Gripon

To cite this version:

E. Gripon. W. BROCKMANN. - Beobachtungen an Orgelpfeifen (Expériences relatives aux tuyaux d’orgue); Wied. Ann., t. XXXI, p. 78. J. Phys. Theor. Appl., 1888, 7 (1), pp.85-87.

�10.1051/jphystap:01888007008502�. �jpa-00238925�

(2)

85

former les réticules des lunettes;

on

pourrait même,

en

disposant

côte à côte des fils d’égal diamètre, former des réseaux,

etc.

A. BOITEL.

E. GIBSON et R.-A. GREGORY. 2014 Note on the

tenacity

of spun

glass (Note

sur la ténacité du verre

filé); Proceedings of

the

Physical Society of London, p. I9I; I887.

La ténacité des fils métalliques augmente à

mesure

que leur diamètre diminue; les

auteurs ont

voulu déterminer la ténacité de fils de

verre

d’une très grande finesse. La ténacité était mesurée à l’aide du poids nécessaire pour produire la rupture les résultats

ont

été les suivants :

Ce Tableau

montre

que, pour le

verre,

la ténacité

est

d’autant

plus grande que le diamètre du fil

est

plus petit.

A. BOITEL.

W. BROCKMANN. 2014

Beobachtungen

an

Orgelpfeifen (Expériences

relatives

aux tuyaux

d’orgue);

Wied.

Ann.,

t.

XXXI,

p.

78.

L’auteur étudie l’état vibratoire de l’air renfermé dans

un

tuyau

d’orgue ouvert,

en

y introduisant

un

brûleur à gaz qui donne

une

très petite flamme,. Il l’observe directement,

ou

bien il

a recours

à

la méthode stroboscopique.

Il interpose

entre

l’oeil

et

la flamme

un

disque de carton, percé

de

trous

équidistants

et

animé d’ur~c vitesse de rotation telle qu’il

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:01888007008502

(3)

86

rende

un son

de même hauteur que celui du tuyau lorsqu’on dirige

un courant

d’air

sur

les bords des

tr ous.

L’unisson n’est jamais parfait

et

l’on voit la flamme

se

déplacer

dans

un sens

déterminé ;

on CIl

déduit le

sens

réel du

mouvement

de la flamme.

Y a-t-il,

comme

l’a supposé ~I. Sonreck 1 ’ ),

une sorte

d’oscilla-

tion du

courant

d’air à l’embouchure, qui tantôt serait dirigé

vers

l’extériear

et

lantôl resterait à l’intérieur du tuyau?

En plaçant la flati-ii-ne à la hauteur de l’embouchure, la pointe

voisine du biseau,

on

reconnaît qu’elle n’est pas refoulée périodi-

quel11ent

vers

l’intérieur du tuyau.

Il y

a un

entraînement de l’air par la veine gazeuse qui

sort

de

la fente,

et

c’est

ce

qui explique les

mouvements

observés par M. Sonreck. Le

mouvement

de translation des couches d’air le long

du tuyau n’est pas nécessaire. On peut le faire disparaître

com-

plètement

en

plaçant devant Femboucliure

une

petite plaque de

bois qui

en recouvre une

certaine partie.

Si celle-ci

est

trop faible,

on

reconnaît,

en

mélant de la fumée à l’air de la soufuene, que le gaz s’écoule par l’orifice supérieur du

tuyau. Si elle

est

trop grande, le gaz

sort

par l’embotiellure.

Dans

une

position moyenne, que l’on

a

prise dans

toutes

les expériences suivantes, la colonne de fumée

est

immobile dans la moitié supérieure du tuyau.

Lorsque la petite flamme

est

introduite dans le tuyau vertical,

elle oscille dans

un

plan vertical, partageant ainsi les vibrations

longitudinales de la colonne d’air. De plus, les changements de

densité de la couche où elle

se

trouve, les condensations, les raré-

factious font varier

sa

longueur,

et

elle vibre dans le

sens

hori- zontal.

Ces deux

mouvements

simultanés

et

de même période font dé- crire, à la pointe de la flamme,

une

petite ellipse. Les longueurs

des

axes

peuvent

nous

renseigner

sur

la valeur maxima de la vitesse

de vibration

ou

de la condensation.

En explorant le tuyau dans les parties voisines de l’orifice supé- rieur, 1B1. ~3rockr~~ann observe

un mouvement

elliptique de la

- - - ~- -~---

(’ ) .Ioccr~nrrl

de

Physique) f~~’Tie;,

t. y, p. 32i.

(4)

87 flamine dans le plan de l’orifice. Ce

mouvement

devient rectiligne

à 6"" de l’orifice, les maxima de vitesse

et

de compression n’ont

pas

un mouvement

identique de progression dans l’intérieur du

tuyau, et, dans la tranche considérée,

ces mouvements

diffèrent,

en

temps, d’un quart de la durée de la vibration.

La différence de phase des deux

mouvements

diminue de plus

en

plus, à

mesure

due l’on s’approche d’une surface nodale.

Le procédé que

nous

décrivons

ne

donne que des indications

approchées.

La place qu’occupe la flamme, lorsque

sa

trajectoire

est

recti- ligne, change

avec

la pression du gaz qui l’alimente. Elle

se

rap-

proche du plan de l’orifice lorsque

cette

pression dirninue; peut- être l’atteindrait-elle, si la pression décroissait indéfiniment.

Si l’on place la flamme

au centre

de l’orifice

et

si

on

la déplace

dans le

sens

radial pour la rapprocher des parois, le plan de l’el- lipse, qui était d’abord vertical, s’incline de plus

en

plus

et

finit

par devenir horizontal. La direction de la vitesse de vibration passe donc progressivement de la verticale à l’hôrizontale. La surface de l’onde, normale à

cette

direction, n’est plus plane, mais

convexe..

C’est

ce

qu’avait supposé 1B1. Helmholtz dans

sa

théorie des

tuyaux

sonores.

E. GRIPON.

J. STEFAN. 2014 Ueber die

Beziehung

zwischen den Theorien der

Capillarität

und

Verdampfung (Relations

entre les théories de la

capillarité

et de la

vaporisation);

Wied.

Ann.,

t.

XXIX,

p. 655.

Les phénomènes capi llaires

ont

été attribués, par Laplace, à

des attractions

entre

les particules d’un même liquide. Soit f’ la

résultante de

ces

attractions par unité de

masse en un

point’du liquide, .~ la direction de

cette

résultante, c’est-à-dire la normale à la surface, p la densité supposée

constante

et p la pression;

l’équation fondamentale de l’Hvdrostatidue peut s’écrire

en l’intégrant, on a

P2 désignant, la pression à l’intérieur, pj la pression à la surface

et

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