N OUVELLES ANNALES DE MATHÉMATIQUES
T HIOLIER
Solution de la question 265
Nouvelles annales de mathématiques 1
resérie, tome 12 (1853), p. 169-170
<http://www.numdam.org/item?id=NAM_1853_1_12__169_0>
© Nouvelles annales de mathématiques, 1853, tous droits réservés.
L’accès aux archives de la revue « Nouvelles annales de mathématiques » implique l’accord avec les conditions générales d’utilisation (http://www.numdam.org/conditions).
Toute utilisation commerciale ou impression systématique est constitutive d’une infraction pénale. Toute copie ou impression de ce fichier doit contenir la présente men- tion de copyright.
Article numérisé dans le cadre du programme Numérisation de documents anciens mathématiques
http://www.numdam.org/
SOLUTION DE LA QUESTION 2 6 5 ;
PAR M. THIOLIER,
Élève à l'École des Mines, à Saint-Étienne.
Si m = p2 — q, la s u i t e des fractions T, — = *- r •>
r 7' 6 ' b' a-*rpbb'
a" pa'-+-mbr /— t 1
— = —. —, , . . , converge vers \m, quelle que soit la fraction initiale -r; m, p,q,a, b sont des nombres en- tiers positifs donnés. (PROUHET.)
Considérons une fraction quelconque de cette suite, celle de rang (rc H- 2) par exemple5 nous aurons
an+i^pan-h mha __ 7 bn+l «n + pbn <*n .
Or on a, de même,
donc, en définitive, on aura
a 7+1'
( "7° )
par suite, la limite cherchée sera
2p