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Distance le long de l’œsophage (cm)

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Academic year: 2022

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(1)

REFLUX RÉFRACTAIRE

Sabine Roman

Explorations Fonctionnelles Digestives

Hospices Civils de Lyon – Université de Lyon – Labtau, Inserm 1032

FMC‐HGE 19 & 20 mars 2016

(2)

Mr ST 31 ans

RGO évoluant depuis 8 ans

Pyrosis, régurgitations alimentaires, douleurs  thoraciques

Gène importante dans la vie quotidienne  (alpinisme)

Esoméprazole 20 mg le soir: plus ou moins  efficace

Pas d’antécédent

Poids 78 kg, taille 177 cm, IMC 25 kg/m²

2

(3)

Considérez‐vous que ce patient  présente un reflux réfractaire?

Oui

Non

(4)

Reflux réfractaire: définition

Pas de consensus concernant la définition du  reflux réfractaire

IPP: Posologie? Durée du traitement?

Absence de réponse ou réponse partielle

Quel type de symptôme?

Typique?

Atypique?

Satisfaction en fonction de la réponse au traitement  variable d’un patient à l’autre

4

(5)

Reflux réfractaire: définition

Qui sont les patients avec une symptomatologie  de RGO persistante sous IPP?

Série de 106 patients

Explorations sans ttt

Herregods et al, Neurogastroenterol Motil 2015

(6)

Reflux réfractaire: étiologies

Persistance de reflux (acide ou « non acide ») 

pathologique sous traitement (« vraie résistance  aux IPP »)

Non observance du traitement (jusqu’à 46% des  patients!)

Absence de RGO: hypersensibilité viscérale, 

troubles moteurs œsophagiens, autres maladies

Hungin et al, Clin Gastronetrol Hepatol 2012 6

(7)

Mr ST 31 ans: Reflux réfractaire

RGO évoluant depuis 8 ans

Pyrosis, régurgitations alimentaires, douleurs  thoraciques

Gène importante dans la vie quotidienne  (alpinisme)

Prend esoméprazole 20 mg le soir: plus ou moins  efficace

Pas d’atcd, pas de ttt

Poids 78 kg, taille 177 cm, IMC 25 kg/m²

(8)

Mr ST 31 ans

Endoscopie œso‐gastro‐duodénale

Réalisée après arrêt des IPP depuis 1 mois

Œsophagite grade B

8

(9)

Que proposez‐vous?

Augmentation de la posologie des IPP

pHmétrie de 24 heures sans traitement

pH‐impédancemétrie de 24 heures sous  traitement

(10)

Que proposez‐vous?

Augmentation de la posologie des IPP

pHmétrie de 24 heures sans traitement

pH‐impédancemétrie de 24 heures sous  traitement

10

(11)

Mr ST 31 ans

Œsophagite de grade B (sans ttt)  RGO prouvé

Persistance de symptômes sous ésoméprazole 20  mg le soir

Augmentation de la posologie: ésoméprazole 40  mg matin et soir

Bonne efficacité sur le  pyrosis et les douleurs  thoraciques

Mais persistance de régurgitations avec syndrome  postural

Gène importante pour la pratique de l’alpinisme

(12)

Que proposez‐vous?

Endoscopie œso‐gastro‐duodénale

pH‐métrie œsophagienne sans traitement

pH‐impédancemétrie œsophagienne sous  traitement

Aucune exploration, j’adresse le patient       au chirurgien

12

(13)

Que proposez‐vous?

Endoscopie œso‐gastro‐duodénale

pH‐métrie œsophagienne sans traitement

pH‐impédancemétrie œsophagienne sous  traitement

Aucune exploration, j’adresse le patient au  chirurgien

(14)

Méthodes de détection des reflux

Détection basée sur la nature des reflux

Acide

pHmétrie (conventionnelle, capsule sans fil)

Contenu liquide/gazeux des reflux (détection de reflux 

« non acide »)

pH‐impédancemétrie

Étude association symptôme – reflux

Symptôme considéré comme associé au reflux si survient dans les 2  minutes suivant le reflux

Index symptomatique (IS; pourcentage de symptôme associé à un  reflux, positif si >50%)

Probabilité d’association symptomatique (PAS; test exact de  Fischer; positif si >95%)

14

(15)

pH‐impédancemétrie

Détection des reflux basée sur la présence de  liquide et d’air dans l’œsophage

déglutition reflux

pH œsophagien Impédance 

(ohms)

électrode  de pH

Temps

(16)

pH‐impédancemétrie

150 patients avec pyrosis, régurgitations et endoscopie  normale

pH‐impédancemétrie sans ttt

Savarino et al, Am J Gastroenterol 2008 16

Association symptômes ‐ reflux non acides seuls 

chez 12% des patients  avec symptômes typiques

Mais moins fréquente  (5%) dans des séries  incluant tout type de 

symptôme

Zerbib et al, Am J Gastroenterol 2006 Etude association symptôme ‐ reflux  avec SAP

Probabilité Association Symptomatique  (test exact de Fischer) positif si > 95%

(17)

pH‐impédancemétrie

Association symptômes – reflux « non acides » seuls

Plus fréquente si symptôme typique que symptôme atypique

Plus fréquente lorsque les investigations sont réalisées sous  traitement (15 à 20% selon les séries)

Zerbib et al, Am J Gastroenterol 2006 Mainie et al, Gut 2006

(18)

Quelle méthode de détection de  reflux choisir?

18

Symptomatologie de reflux persistante sous IPP

Patient avec RGO prouvé

Œsophagite

Muqueuse de Barrett  confirmée sur lhistologie

pHmétrie positive sans ttt 

pH‐impédancemétrie sous traitement

(IPP matin et soir) Aucun reflux prouvé

pH‐métrie 

(pH‐impédancemétrie) après au moins 8 jours

d’arrêt des IPP

Endoscopie œso‐gastro‐

duodénale avec biopsies 

œsophagiennes si jamais réalisée

Arrêt des IPP

(19)

Quelle méthode de détection de  reflux choisir?

Symptomatologie de reflux persistante sous IPP

Patient avec RGO prouvé

Œsophagite

Muqueuse de Barrett  confirmée sur lhistologie

pHmétrie positive sans ttt 

pH‐impédancemétrie sous traitement

(IPP matin et soir) Aucun reflux prouvé

pH‐métrie 

(pH‐impédancemétrie) après au moins 8 jours

d’arrêt des IPP

Endoscopie œso‐gastro‐

duodénale avec biopsies 

œsophagiennes si jamais réalisée

Arrêt des IPP

(20)

Mr ST 31 ans

pH‐impédancemétrie de 24 heures sous  ésoméprazole 40 mg matin et soir

20

Exposition acide œsophagienne (pH<4) Valeurs normales

% temps total 8,4% < 5%

% période debout 14,2% <7%

% période couchée 1,1% < 2%

Nombre total de reflux/24h 89 < 73

Nombre de reflux acides/24h 82

Nombre de reflux peu acides/24h 7

Probabilité dassociation symptomatique (régurgitations)

Pour les reflux acides 98%

Pour les reflux peu acides 0%

Pour tous les reflux 98%

% temps total pH gastrique < 4 97%

Quelles sont  vos hypothèses 

diagnostiques?

(21)

Pourquoi les IPP peuvent‐ils être  inefficaces dans le RGO?

IPP: inhibition de la sécrétion acide gastrique

 reflux persistent mais moins acides

Échec des IPP car persistance d’une sécrétion  acide gastrique significative:

Mauvaise observance thérapeutique

Prise non optimale

Meilleure biodisponibilité si prise le matin à jeun (30  min avant repas)

Augmenter la posologie et proposer 2 prises par jour

Résistance à une classe d’IPP?

Syndrome de Zollinger Ellison (vérifier gastrinémie)

(22)

Pourquoi les IPP peuvent‐ils être  inefficaces dans le RGO?

Les symptômes et complications du  RGO ne sont pas uniquement liés à  la présence d’acide dans 

l’œsophage

autres composants du reflux

sensibilité œsophagienne

22

Les IPP inhibent la sécrétion acide gastrique

 les reflux deviennent moins acides RGO

acide pepsine acides  biliaires

(23)

Mr ST 31 ans

Persistance d’un reflux acide pathologique sous  IPP

Bonne corrélation entre les symptômes et les  reflux

Amélioration clinique mais régurgitations  invalidantes

Y‐a‐t‐il un intérêt à réaliser

 Une manométrie œsophagienne?

 Un TOGD?

(24)

Manométrie œsophagienne et RGO

Pas de diagnostic positif de RGO

Localisation de la jonction œso‐gastrique avant pH  et pH‐impédancemétrie

Identifier des facteurs favorisant le RGO

Morphologie et hypotonie de la JOG 

Hypopéristaltime responsable d’un défaut de clairance  oesophagienne

Comprendre les mécanismes du RGO (RTSIO), 

éliminer un syndrome de rumination, éliminer un  trouble moteur majeur (achalasie)

Bilan pré‐opératoire

24

(25)

Manométrie œsophagienne

Manométrie œsophagienne de haute résolution 

= gold standard pour le diagnostic des troubles  moteurs œsophagiens

Supériorité de la manométrie de haute résolution sur  la manométrie conventionnelle

Gain diagnostique

Facilité d’interprétation

Roman et al, Am J Gastroenterol  2016 Carlson et al, Am J Gastroenterol 2015

(26)

Manométrie de haute résolution et  RGO

Morphologie de la jonction œso‐gastrique

Mano haute résolution > au TOGD et à l’endoscopie pour le  diagnostic de hernie hiatale

26 Pandolfino et al, Am J Gastroenterol 2007

Weijenborg et al, Neurogastroenterol Motil 2015

Distance le long de l’œsophage (cm)

10

5

0 15

I E I E I

SIO + Diaphragme

2 s

E

SIO et diaphragme sont  normalement superposés

I E I E I

Diaphragme SIO 3 cm

2 s

100

50

0 mmHg

20

Hernie hiatale: séparation du  SIO et du diaphragme

(27)

Manométrie de haute résolution et  RGO

Pression de repos de la JOG plus  faible chez les patients avec RGO

Hypomotricité œsophagienne plus  fréquente chez les patients avec  RGO

Mais valeur prédictive faible pour le  diagnostic de RGO

Existence d’hypopéristaltisme n’est  pas prédictive de la réponse aux IPP

Van Hoeij et al, Neurogastroenterol Motil  2015 Shi et al, Neurogastroenterol Motil 2015

Contraction inefficace

Contraction fragmentée

(28)

Bilan pré‐opératoire

Eliminer un trouble moteur majeur

Cohorte de 1081 patients ayant eu une MHR et une  recherche de reflux avant chirurgie anti‐reflux

28

Proportion de patients avec une contre‐

indication à une chirurgie anti‐reflux

Chan et al, Surg Endosc 2011

(29)

Mr ST 31 ans

Persistance d’un reflux acide pathologique sous  IPP

Bonne corrélation entre les symptômes et les  reflux

Amélioration clinique mais régurgitations  invalidantes

Manométrie œsophagienne normale

Gastrinémie normale

(30)

Quel traitement proposez‐vous?

Changer d’IPP

Ajout d’alginates

Prokinétiques

Chirurgie anti‐reflux

30

(31)

Traitement médical

Optimiser le traitement par IPP

Prise 15 à 30 minutes avant le repas

Privilégier 2 prises plutôt qu’une prise unique

Ajout d’anti‐histaminiques

Anti‐H2 au coucher: diminuer l’échappement acide  nocturne observé sous IPP… mais effet limité dans le  temps (tachyphylaxie)

Ajout d’alginates

(32)

Traitement médical

Prokinétiques: métoclopramide, dompéridone

Effet modeste

Inhibiteurs de reflux

Baclofène (hors AMM)  diminution du nombre de  reflux mais mauvaise tolérance

32

(33)

Chirurgie anti‐reflux et reflux  réfractaire

Les meilleurs candidats à la chirurgie sont les  patients qui répondent aux IPP

Discuter la chirurgie si

Volumineuse hernie hiatale

Régurgitations persistantes sous IPP (alors que IPP  efficaces sur le pyrosis)

Concordance prouvée en pH‐impédancemétrie entre  symptômes et reflux sous IPP

Patel et al, Clin Gastroenterol Hepatol 2015 Desjardin et al, Neurogastroenterol Motil 2015

(34)

Résumé: Quel traitement en cas de  réponse incomplète aux IPP?

34

Réponse incomplète

Ttt additionnel:

Alginates, anti‐H2 Baclofène?

Anti‐dépresseurs?

Concordance positive entre le  symptômes et les reflux Discuter la chirurgie anti‐reflux Conseils diététiques, perte de poids

(35)

Mme JP 48 ans

Pyrosis et gène dans la gorge depuis 10 ans

A essayé différents IPP sans aucune efficacité

Les symptômes sont aggravés par la prise de  repas et par le stress

Pas d’antécédent particulier

IMC 21,4 kg/m²

(36)

Que proposez‐vous?

Endoscopie œso‐gastro‐duodénale

pHmétrie des 24 heures sans traitement

pHmétrie sans fil sur 48 heures

pH‐impédancemétrie de 24 heures sous  traitement

36

(37)

Mme JP 48 ans

Endoscopie œso‐gastro‐duodénale

Pas de hernie hiatale

Une languette d’endobrachy‐œsophage de 5 mm  (biopsie: muqueuse cardiale)

Biopsies œsophagiennes: pas d’éosinophile

(38)

Mme JP 48 ans

pH‐métrie sans fil

Exposition acide œsophagienne jour 1 et jour 2: 0,8% 

du temps total

Index symptomatique 0% et probabilité d’association  symptomatique 0%

38

Temps

S SSS S S S S

(39)

Différencier œsophage acido‐sensible et symptomatologie  fonctionnelle

Diagnostic sur pH‐(impédance)‐métrie

Index symptomatique > 50%

OU

Probabilité d’association  symptomatique  > 95%

Index symptomatique < 50%

ET

Probabilité d’association  symptomatique < 95%

Œsophage acido‐

sensible

Symptomatologie  fonctionnelle Exposition acide œsophagienne NORMALE

Étude de la corrélation symptôme reflux

(40)

Mme JP 48 ans

Exposition acide œsophagienne normale

Pas d’association significative entre les  symptômes et les reflux

Symptomatologie fonctionnelle

40

(41)

Que proposez‐vous?

Chirurgie anti‐reflux

Traitement anti‐dépresseur

Hypnothérapie

(42)

Chirurgie anti‐reflux

Cas de Mme JP

Pas d’œsophagite, pas de hernie hiatale, expo acide  œsophagienne normale, PAS négatif

PAS DE CHIRURGIE

42

(43)

Diminuer la sensibilité viscérale

Inhibiteur de la recapture de la sérotonine: 

Citalopram 20 mg/j

75 patients avec œsophage hypersensible et échec  des IPP

Randomisation citalopram vs placebo

Citalopram plus efficace que le placebo (taux de  réponse 62% vs 33%, p=0,02)

Efficacité en cas de symptomatologie  fonctionnelle?

Viazis et al, Am J Gastroenterol 2012

(44)

Diminuer la sensibilité viscérale

Anti‐dépresseurs tricycliques à petites doses

Amytryptiline?

Efficacité sur les symptômes fonctionnels … étude  rétrospective

Imipramine 25 mg/j

Étude prospective, randomisée vs placebo 

Œsophage hypersensible ou symptômes fonctionnels

Amélioration de la qualité de vie sous imipramine  mais pas plus de soulagement des symptômes 

œsophagiens qu’avec le placebo

44 Prakash et al, Dig Dis Sci 1999

Limsrivilai et al, Am J Gastroenterol 2016

(45)

Thérapeutiques alternatives

Acupuncture

Plus efficace que doubler la dose d’IPP?

Hypnose

Amélioration chez les patients avec symptomatologie  fonctionnelle (étude ouverte)

Dickman et al, Aliment Pharmacol Ther  2007 Riehl et al, Dis Esophaus 2015

(46)

Résumé: Que faire en cas d’absence  de réponse aux IPP?

46

Absence de réponse

Evoquer un diagnostic  autre que le RGO

RGO prouvé Changer dIPP?

Inhibiteurs de reflux?

Chirurgie anti‐reflux?

Hypersensibilité viscérale?

Antidépresseur à faibles doses,  acupuncture, hypnothérapie

(47)

Mr MT 16 ans

Adressé pour régurgitations per et post  prandiales

Diagnostic d’œsophagite à éosinophiles à l’âge  de 15 ans sur dysphagie et régurgitations

Traitement par IPP + corticoïdes déglutis inefficace

Régime d’éviction (gluten et lactose) pendant 9 mois 

pas de dysphagie mais régurgitations per et post  prandiales

Endoscopie de contrôle avec biopsies 

œsophagiennes après arrêt du régime, mais  poursuite des IPP  normale

(48)

Que proposez‐vous?

pH‐impédancemétrie sous traitement

Manométrie œsophagienne avec prise d’un  repas

Avis psychiatrique

48

(49)

Manométrie de haute résolution  couplée à l’impédance

Identifier le mécanisme du RGO et éliminer un  syndrome de rumination

49

1 2

3 4

1. Inhibition de la contraction 

diaphragmatique  et relaxation du SIO 2. Reflux

3. Relaxation du SSO 1

2 3

RTSIO Rumination

1. Augmentation de la pression abdominale 2. Reflux

3. Augmentation de la pression intra‐

œsophagienne 4. Relaxation du SSO

Kessing et al, Am J Gastroenterol 2014

(50)

Mr MT 16 ans

50

(51)

Rumination

Rumination: remontée volontaire mais 

inconsciente du contenu gastrique dans la  bouche

Réponse à des stimuli digestifs « déplaisants »: 

dyspepsie, dysphagie, reflux

Troubles du comportement (alimentaire)

Diagnostic: manométrie (+/‐ couplée à  l’impédance) après prise de repas

51 Tack et al, Aliment Pharmacol Ther 2011

(52)

Quel traitement proposez‐vous?

Baclofène

Chirurgie anti‐reflux

Rééducation

Thérapie comportementale

52

(53)

Baclofène

Agoniste des récepteurs GABA B

Mécanisme d’action

Augmentation la pression du SIO

Diminution de la fréquence des déglutitions

12 patients: rumination ou éructations  supra‐gastriques

Posologie 10 mg x 3/j

Baclofène diminue le nombre  d’épisodes de rumination et 

d’éructations

Reflux Rumination

Eructations supra‐

gastriques

(54)

Biofeedback – Respiration  diaphragmatique

Sous contrôle EMG

Sous contrôle manométrique

Repas avant la séance de biofeedback

Diminuer activité musculaire intercostale,  augmenter activité diaphragmatique, 

respiration diaphragmatique

54 Barba et al, Clin Gastroenterol Hepatol 2015

Halland et al, Neurogastroenterol Motil 2015

(55)

Autres thérapies comportementales

Apprendre et utiliser des techniques d’évitement

Mâcher du chewing‐gum: diminution du nombre  d’épisodes de rumination chez l’adolescent et 

l’enfant

Relaxation

Hypnose

55 Tack et al, Aliment Pharmacol Ther 2011

Kessing et al, Am J Gastroenterol 2014

(56)

Cinq points forts

Une endoscopie œso‐gastro‐duodénale avec  biopsies œsophagiennes est indiquée chez les  patients présentant des symptômes de reflux  résistants au traitement par inhibiteurs de la  pompe à protons 

Un reflux réfractaire aux IPP peut être secondaire  à une œsophagite à éosinophiles (ou autre) ou à  un syndrome de rumination

56

(57)

Cinq points forts

La pH‐impédancemétrie œsophagienne réalisée  sous IPP permet de rechercher la persistance 

d’un reflux pathologique acide ou peu acide

Les symptômes évoquant un RGO,  résistants à  un traitement par IPP bien conduit sont souvent  le reflet d’une hypersensibilité viscérale

L’optimisation du traitement médical est à  privilégier en cas de reflux réfractaire

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