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CC N° 4 Correction Math. Sup. 2012-2013 2 h

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Academic year: 2022

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Texte intégral

(1)

CC N° 4 Correction Math. Sup. 2012-2013 2 h

I)

1) (E1) S1 = y: 0;

]

+∞ →

[

; ( )y x =C+Arc tan( )x /C

x

(E2) S2 =

] [ (

2

)

2

ln 1

: 0; ; ( ) /

 + + 

 

+∞ → = ∈

 

 

 

ℝ ℝ

C x

y y x C

x

(E3) S3 =

] [

3

Arc tan( )

: 0; ; ( ) + − /

 

+∞ → = ∈

 

 ℝ C x x ℝ

y y x C

x

2) (En) Sn = : 0;

]

+∞ →

[

; ( )= +Φn ( )/

C n

y y x C

x x

3)

[ ] ( )

1 1

1

2 2 2

0, , , donc en intégrant : ( )

1 1 1

n n n n

n

n

t t x x

t x t x

x t x n n

∀ ∈ ≤ ≤ ≤ Φ ≤

+ + +

on a donc

( 1 + 1 x

2

) n Φ x

n

( )

n

x 1 n d'où : lim

x0

Φ

n

x ( )

n

x = 1 n

(par le théorème des gendarmes).

4) On en déduit que l’équation (En) admet sur

] 0, +∞ [

une solution unique fn possédant une limite finie quand x tend vers 0+ : il faut C = 0. On a alors :

0

lim f ( ) 1

+ n

=

x

x n

.

II) 1) et 2) évidents.

3) (u, v)E2, u et v sont deux fois dérivables et on a

∀ ∈ x

ℝ : (u’v – v’u)’(x) = u’’(x) v(x) + u’(x)v’(x) – v’’(x)u(x) – v’(x)u’(x)

= (1 + x2) u(x) v(x) – (1 + x2) v(x) u(x) = 0 (u’v – v’u) est donc une fonction constante.

4)

∀ ∈ x

f’’(x) = (1 + x2) f(x) donc f est dans E.

5) ∀x∈R, g’(x) = f ’(x) 2

0

f ( )

x

dt t

+ f(x)

f ( )

2

1 x

= f ’(x)

0x

f ( )

2

dt t

+

f ( ) 1 x

donc ∀x∈R, g’’(x) = f’’(x) 2

0

f ( )

x

dt t

+ f ’(x)

f ( )

2

1 x

f ( ) f '(x)

2

x

= (1 + x2) f(x)

0x

f ( )

2

dt t

6) Soit h∈E. D’après la question 3, la fonction h’f – f ’h est constante.

Il existe donc C∈R tel que

2 2 2

2 2 2

h'e − hxe = C donc h' hx = Ce −

.

x x x

La résolution de l’équation différentielle donne l’existence d’un réel

λ

tel que :

2 2

2 2 2

0 0 2

h(x) = e +Ce e f(x) + C f(x) f(x) + C g(x).

f ( ) λ

x x

x t

dt = λ ∫

x

dt = λ

t

h est donc une combinaison linéaire de f et g.

7) D’après la question précédente, {f ; g} est une famille génératrice de E.

De plus, s’il existe des réels a et b tels que af + bg =0, alors en prenant x = 0, on a a = 0 et par suite b = 0. La famille {f ; g} est donc libre.

(2)

III) 1) ∀ (P; Q) ∈ E2,

λ

∈ℝ f(P+

λ

Q) = f(P) +

λ

f(Q).

2) f(X0) = 0 ; f(X) = 0.

( )

2 1 1

2 2 2

0 0

2 2

f(X ) 1 ( 1) 2

2

= =

   

=   + − =  

   

p

p

p p i i j

i j

p p

X X

i j

;

( )

2 1

2 1 2 1 2 1

0 0

2 1 2 1

f(X ) 1 ( 1) 2

2 1

+ + − +

= =

+ +

   

= ∑

p

    + − = ∑

p

  +  

p p i i j

i j

p p

X X

i j

. 3) ∀ ∈k

2;n

, f(Xk) est un polynôme de degré k – 2.

La famille {f(X2) ; f(X3) ; … ; f(Xn)} est une famille de polynômes de degrés deux à deux distincts, allant de 0 à n – 2. On a donc :

Im(f) = Vect{X0 ; X; …; Xn-2}.

4) rg(f) = n – 1.

D’après le théorème du rang, dim(Ker(f)) = n+1 – (n – 1) = 2.

X0 et X sont linéairement indépendants et dans Ker(f), donc Ker(f) = Vect{X0 ; X}.

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