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le signal fort par un récep
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teur normalsans
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-turbation du signal faible
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Inversement, le signal faible, même s’il est 100 fois moins intense que
n’est pas gêné par lui
.
En ra-
diodiffusion
,
le système per-
met la transmission simulta
-
née de deux programmes par une même action
.
En ou-
tre
,
la clé d’un signal chif-
fré peut être transmise par le deuxième signal, qui ne peut être reçuque sur un ap
-
pareil spécial
.
Le procédépourrait être obtenu en « té
-
lédiffusion » ou « pbonévi
-
sion »
.
La vente deslampesde ré
-
ception a culminé aux U
.
S.
A.
1950 avec 33 mil
-
lionsde tubes contre 25 mil
-
lions en février et 14 en
mars
1949, Lesventes
ont presque doublé,
passant de40 à80 millions
,
pendant le premier trimestre.
La ven-
te des tubes cathodiques a
triplé, passant de 63700Û pendant le premier trimes
-
tre 1949 à 643 000 pendant le mois de mars 1950
.
N(Broadcasting)
.
en mars le signal fort,
Les cours publics gratuits| l/arrê t é ministériel du
25
du Conservatoire des Arts et j septembre 1950 (/.
G.
du 28 Mmeneerontétiers pour 1950au début-
51decomno- - !
septembre) portant réparti-
vembre
.
Deux grandes divi-
sions : enseignement écono- miqueet enseignement scien
-
tifique
.
tion de
cr
édits, octroie à la Radiodiffusion une somme de188 779000 fr.
en complé-
ment des crédits du budget de 1949
.
Sur ces crédits, 90 millions sont affect és aux traitements, émoluments et salaires, 8 millions aux é mis-
sions artistiques, 24 millions aux émissions d’information, 8millionsà Alger
,
4 à Tunis,
23 à Brazzaville, 0,
4 aux An-
tilleset à la Réunion,18mil
-
lions aux indemnités et sup
-
pléments de traitement
.
Dans l’enseignement scien
-
tifique
,
nous relevons : élec-
tricité appliqué àlatraction ; électricité industrielle
,
élec- trochimie,
électronique,ra -
dioélectricité
,
t e c h n i-
qties d’enregistrement, de transmission, de reproduc
-
tion des sons et des images
.
tBroadcasting,3/4/50)
.
En
1949 ,
dixconstructeurs
o
n
t fabriqué récepteurs contre mexicains116000
71000
en
1948 Les importa-
tions de postes se sont brus
-
quement effondrées en 1948; par contre
,
les importationsde lampes ont monté de
51 %
.
Du fait de la dévalua-
tion du pesos, le prix des postes importés des Etats
-
Unis s’est aeçru de 40 %
.
(Funk'Fachhàndler)
.
De nouvelles
normes
d’en-
registrement sur disque et sur bande on été approuvées par une commission techni
-
que de la National Associa
-
tion of Broadcasters et mises à l'enquête
.
Elles complètent lesnormes
d’avril 1949 et peuvent être procurées sur demande adressée au Cen-
tre technique de l’Union eu
-
ropéenne de Radiodiffusion, 32 A* Albert Lancaster
,
Bru-
xelles
.
Les élèves de plus de dix
-
huit ans, désirant participer aux
examens
de fin d’année, doivent se faire inscrire au secrétariat du Conservatoire, 292,
rue Saint-
Martin, ParisLe National Bureau of Standards vient de mettre au point une nouvelle machine à calculer électronique
.
Lors-
qu’on lui pose la question
:
«Combien de fois le nombre 99 999999977 est
-
il divisi-
ble? », celte machine répond qu’on ne peut le diviser que par1 ou par lui
- m
ême.
Maispour trouver que c’est un nombre premier, la machine effectue en trente secondes environ 80000opé rations de vérification
,
qui demande-
raient deux mois à un calcu
-
lateur humain travaillant huit heures par jour!
(
30 -
Les conditions rie rémuné
-
ration des apprentis demeu- rent fixé
es
par les contrats d’apprentissage, qui n’en-
trent pasdanslechamp d
’
ap-
plication du récent décret fixant le salaire minimum garanti
.
Les
revenus
de la Radio-
diffusion am éricaine au
-
raient augmenté de 10 % en 1949, atteignant 460 millions de dollars, cette augmenta
-
tion étant due aux émissions de télévision
.
La station d’AUouis com
-
portera deux émetteursfonc
-
tionnant respectivement avec 200 et 250 kW
.
Le premiersera achevé en 1951
.
Les émissions à modula
-
tion d’amplitude rapportent 424 millions, en accroisse
-
ment de 4 %
,
mais les dé-
penses ont augmenté de
5,5 %
.
*
L’émetteurFM
de Berne émet tous les soirs de 20 h.
à 21 h.
45 desenregistrements de magné to- phone sur 93 MHz avec une puissancet ée de 700 W
.
La por-
atteint 15 à 20 km
.
La expérimental M.
Raymond Wilmotte aprésent é récemment à la F
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:J . - G . POINCIGNON
Administrateur
:Georges VENT 1 LL
ÂRD
de
t
élévi-
sion accusent un
revenu
de 34 millionscontre
58 mil-
lions en 1948 à 24 millions lions dedépenses,si bienque les pertes passent de 15 mil
-
ce, le
revenu
est de 2,
8 mll-
en1949
.
Les émissions
«
Direction - R
édaction
:PARIS
25
OPE,.
89rue
-62Louis - le - Grand
FOURNITURES G É N É RALES
En modulation defréquen-
ce, le revenu
est
de 2,
8 mil-
lions pour114 stations origi
-
nales et 167 relayées
.
La per-
te nette atteint 3,5 millions, 3 stations seulement n
’
ayantpas enregistré de déficit, (Broadcasting)
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n t l :
«»
»
La guerre aux parasites
54»
«
le plan international |
z
sur
3
qu
’
à 2 kW,
englobant ainsi lesmoteurs
d’ ascenseur .
Ces appareils sont ceux destinés à être branchés sur un réseaudont la tension entreconducteurs
n ’
est passupérieure à 750 V
,
celleentre
conducteuretterre
res-
itant
inférieure à 375 V.
La traction électrique (mêmetramways et trolleybus) et lesé
metteurs
d’
ondesres -
tent
exclus.
La tension terminale perturbatrice à ne pasdépas
- f
ser
a été fixée à 1 500 microvolts,
sous réserve d’
une i certaine marge, destinée à couvrir leserreurs
de 3mesure
.
"L’
examen
des divers typesde perturbations,
quant - à leurcaract
èreet
à leur intermittence, permettra de I rechercher le domaine où le contrôle desmesures
de1
tensions parasites est techniquement réalisable
.
PARASITES VISUELS
L’expérience des pays oùla télévision est régulière
-
ment
exploitéemontre
que le nombre des plaintes reçues
quantaux
perturbations visuellesest beaucoup zplus élevéque
celui
des plaintes visant les parasites auditifs.
En Angleterre où il y a 12 millions d’audi- teurs
nant 1et rs
500.000 téparasites deléspectateurst
élévision,
les plaintessont relativementconeer- .
dix fois plus nombreuses que celles concernant la :
radiodiffusion
.
|Pour la télé
vision
, les principaux perturbateurs |sont: les télé
viseurs
cux-
mêmss (quise
brouillent réci-
.proquement)
,
les automobileset
enfin tous les autresi
appareils électriques.
Pour supprimer les parasitesdes automobiles
,
l’in-
dustrie
anglaise a mis au point un dispositif rédui- |
sant lechampperturbateur à 50 microvolts par mètre à 10 mè
tres
de lasource .
Les machines à coudre ont § aussi bien des brouillagessur
la conscience,
si l’
onf
peut dire
.
Aguerre
aux
parasitesse
présente sous
des aspects multiples,
selonlepointdevueauquelonse place.
Nous connaissons déjà
,
sur leplan
national, ses
I aspects juridiqueet
technique.
Mais elle a aussi un| aspect international
,
qui n’est
pas le moins intéres-
sant .
En 1933
,
la Commission électrotechniqueinternatio-
b nale et l
’
Union internationale de Radiodiffusion§ créaient le Comité international spécial des pertur
-
: bâtions
radio
électriques,qu’
onal’
habitudede désignerï par ses initiales : C
.
I.
S.
P.
R.
Depuis quinze ans qu’ilb existe
,
ce comité a effectué untr
ès important travail de préparation, essentiellement dû à l’
activité deses
b experts sur le plan technique
.
Après sept années
d
’
hiatus, cette
activité a reprisen
194fi à Londres,
puis en1947 à Zurich
.
Mais elle n’
a pu bénéficier de1
l’
appui des organismes internationaux de radiodiffu-
sion, l’U
.
I.
R.
et l’
O.
I.
R.
n’ayant pas alorscédéla place=
à l’
U.
E.
R.
En juillet dernier,
une
importante réunion plénière s’esttenue
à Parismeme
,qui a ét
é amenée à prendre-
des décisions de principes importantes.
La Belgique,le Danemark
,
les Etats-
Unis,
la Finlande,
la France,
: la Hollande
,
la Grande-
Bretagne, l’
Italie,
la Norvège,I la Suède et la Suisse s
’
y trouvaient représentés, sans I
compter les représentants
clés organismes internatio-
: naux de télé phonie (C
.
C.
I.
F.
),de radiocommunications l (C.
C.
I.
R.
)et de radiodiffusion (U.
E.
R.
).
Autotal, vin
gt -
| deux organismes européens de radiodiffusion étaient
É présents ou représentés
.
m
CONTROLE DES PERTURBATIONS
b Le comité de
contr
ôle examina les réponses du ques-
I tionnaire concernant la législation antiparasite dans les divers pays
.
Il s’agissaitde poser certaines valeurs numériqueset certaines règles qui pourraient inspirer utilement les législations nationales.
Cesrecomman -
dations ne visent que les bandes de grandes ondes
| (15(1 à 285 kHz> et de petites ondes (525 à1 605 kHz)
,
labande
intermediaire de 285 à 525 kllzse trouvant
, s par le fait même protégée.
Quant à la bande de 40 à250 MHz,
concernant
la télévision,
sa protection ap-
parut souhaitable
sans
qu’on pût encore
recommander1
des valeurs précises.
APPAREILLAGE A ANTIPARASITER
i L
-
=
I
E!
i
i
i MESURE DES PERTURBATIONS
La
mesure
des parasitesest
faite au moyen de | I’
et appareil type C.
I.
S.
P.
R.
» quiavait été réalisé,dès iavant
laguerre, par le Laboratoire U.
I.
U.
deBruxelles.
Depuis, les divers pays ont apportéà cetappareil nor
-
malisé un certain nombre de modifications
.
Puis le bcomitrateursé a examiné lesd
r
éseaux de couplage, les géné-
’
impulsionsprésent
éset mis
au pointdiverses spécifications apportées à l’
appareil normalisé.
LUTTE CONTRE LES PARASITES
Un certain nombre de progrès ont é
t
é enregistrés aucours
delaluttecontreles parasitesdansles diversI
pays
.
Il est réconfortantdeconstater
que.
sur 11 dé- ?
légués,10
ont
accepté le principed’
unappareil unique|
de
mesure ou
d’
étalonnage, construit par une nation|
dcrirenageéterminunééquipement Ce
et contr
ôlé.
Ipar.
S.
Pelle.
R. .
deLe comitmesures
é devraou étalonpres- -
»au moyen d’une spécification plus précise
.
Uneterminologie
internationale
adéquate sera préparéed
’
accord avec les comités C.
C.
I.
IJ a étéconstat
é quei
la valeur
efficace
de la tension perturbatrice constitue une bonne mesure de l’
effet perturbateur.
Inversement
, la susceptibilité des récepteursaux
perturbations est également mise à l’ordre du
.
jour destravaux .
IJ
est
intéressant
deconstater
que.
contrairement à ce qu’on aurait pu croire, la ré union plénière CJ.
S.
P.
éV, est entrée dans le domaine des réalisations positiveset que, dépassant lestade deséchanges d’
in-
Iformations, elle a mené à bien un travail constructif
.
bAjoutons qu
’
elle a é té aidée puissamment dans saI
t
âche par le Comité électrotechnique français .
Jean
-
Gabriel POINCJGNON.
*
*
|
|
Les
recommandations
C.
I.
S.
T.
R.
ne s’
appliquent pas I aux « grandes installations électriques nationales » : (lignesde transport,
chemins de fer,etc. ..
),
mais seu-
: lement aux appareils domestiques,industriels et com
-
b merciaux d’
une
puissance inf érieure ou égale à1 kW.
b A cet égard
,
on peut remarquer que la législation s française met encause
les machinestournantes
jus-
»
r,m n i M i n>»S9i*m» n n m i i m i m t M i i i m i i i n n u u i»M i i i m u i i m i i i i!m i i i i i n i i i m i i i i m n m i u i n m t i» m«n i i i
SOMMAIRE
O
.
LEBŒUF Générateurs d'harmoniques.... ..
«Techniquedes et toutes ddes téléviéfinitions'
-
èurs toutes. .
.. _
on—
-Le centre émetteur de Pontoise
—
Max STEPHENL'alimentation sans transformateur des
P
.
JU5TER M.R.
À. ;
£. . .
Jean des Ondespetits récepteurs Chronique de l'amateur .
.
Voltmètre à lampe et générateur HF
modulé en fréquence R
-
RÀFFINUn grid dip simple pour l'O
.
M. .. .
Courrier technique H.P
.
et J.
des 8.
*•• |
—
F8JY
|
i m i l l l t k i i i i i i i i i i i m i i i m i m i i i i f i i i i i m m imi m i m i »n nm u mm um ui f t m i m i mu ni t n i i t m t t i t n 111111*111
-
N° 8S1 Le Haut