• Aucun résultat trouvé

Harmonisation des plans afrcains

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "Harmonisation des plans afrcains"

Copied!
7
0
0

Texte intégral

(1)

RATIONS UNIES

ONOMIOUE SOCIAL

Distr, LIMITEE

e/cn. 14/CAP. 3/16 8 mai 1970

Original:

U

COMMISSION ECONOtilQUE POUR L'AFEIQCJE Conference des planificateiirs africains

^roi^iecie session

Addis-Abeba, 20-29 mai 1970

L'EARMONISATIOK DES PLMS AFRICAHTS

M70-977

(2)

E/GU.14/CAP.-3/16

L'EARMONISATION DES PLANS AFRICAINS

De plus en plus, la necessite d'une cooperation economique, d'une integration des developpements des divers pays africains se fait

sentir, Les progres techniques du monde moderns conduisent a la

constitution de grandes unites de production s'adressant a de vastes

marches ou les economies d'echelle deviennents possibles, Dans les_

pays developpes, cette evolution oonduit souvent a des recoupments, a des fusions ou les entreprises sont amenees a s'associer pour

subsisted L'on voit de plus en plus, l'extension de groupes puissants

absonant les societes les plus faibles dont la trop petite taille ne leur permet plus d'etre competitives. En corollaire a ces concentrations

au niveau des entreprises, on assiste a 1'organisation de groupes de

pays (Marche oommun, Gomeoon) visant a la creation de inarches de^ -

plusieurs centaines de milxions d'habltants et a ides ^ententes mdustnel-

les ou commerciales debordantles cadres nationaux..

Les pays de la region ne peuvent pas echapper a cette evolution qui

se fait sentir dans le monde entier et il est certain que s'lls veulent batir leurs industries, remplacer les importations provenant de 1 etranger et affronter la concurrence des marches mondiaux, il leur faudra faire appel a ces m^thodes de production de masse. Celles-ci par l'abaissement des prix de revient permettent d'offrir d^aiileurs aux consommateurs davant.age de produits a des prix J.e- plus en plus abordables ce qui ..

entraine un relevement du niveau de vie.

Le tableau joint en annexe montre que, la taille des economies .

africaines est encore tres petite et que m§me regroupees suivant les

sous-regions actuellement retenues par la CEA, leur importance est _ encore bien faible. Le produit interieur brut des 14 pays de l'Afrique de l'Ouest reunis est par exemple iriferieur a celui de la Turquie. La

fragmentation de l'Afrique en un grand nombre de petits etats consequence

de l'evolution historique, partage de la regjgn puis entre les puissances

coloniales constitue un facteur defavorable pour le developpement equilibre d1 industries ou d'activites adaptees aux normes. minima requises pour des marchesviables.

C'est pour cette raison que le secretariat de la Commission Economique insiste tant sur la cooperation indispensable qui doit s'instaurer entre les pays membres. II y a lieu de restructurer les economies africaines, de relier les reseaux de communications (routes, telephones, chemms de fer, etc.) de developper les echanges commerciaux intra-africains, de craer des activites complementaires, d'abolir les obstacles qui s'opposent a la circulation des biens et des personnes, etc

Dans ce contexte on entend souvent parler de 1'uniformisation des plans el. rtaine vont m@me jusqu'a ima^iner despLans multinationaux, II semble que vouloir aller trop loin et trop vite dans ce domaine ne conduirait qu'a des desillusions et a des deboirs. Les plans africains comme d'aiileurs tous les autres plans dans le monde ont un caractere .national qu'ils garderont encore lon^temps. II ne peut en gtre autrement,

(3)

E/CN.

page 2

oar un plan avant d'etre une technique est par deseus tout un acte politique exprimant la volonte d'une nation.' Les'choix peuvent differer d'un pays a l'autre au point d'etre inconciliables. Certains gouvernements ont par-exemple,. choisi. une voie re"solument socialiste allant parfois jusqu'a la disparition du secteur prive, alors que leurs voisins'

imme*diats "se sont orientes vers un liberalisrae economique assez large , ou pour attirer les capitaux ils ont donne avantages et garanties aux inveetiaseurs prives nationaux ou strangers. Certains pays ont mis . - dans leur politique eot done dans leurs plans 1'accent sur une Elevation raplde du niveau de vie de leur population, alors que d'autres ont ■ ."

davantage insiste" sur la mise en place d1 infrastructures economiques - ou sociales sacrifrant une/augmentation itamediate de la consommation'^

privee k la cons'titu"tion d!investissements qui ne portsront-leurs' fruits 4,

qu'a plus long terme. Un plan multinational ou supra national aurait •A -., tenir compte de ces choix et de ces orientations et parfois a s*y .;

opposer- II impliquerait done I1existence d'un organisme politique multinatiorial ou supra national capable d'une part de determiner la politique generale et d'autre part de 1'imposer aux gouvernements ^t parlements nationaux. Par exemple, si un plan multinational existait pour l^Afrique de lfouest on peut imaginer que I1organisme politique'supra national pourrait se voir confronter aVec deux options oppos^es entres lesquelles il aurait a choisir. L'une d'elles pourrait gtre d'investir les ressources limitees dont les ^ays disposent, la ou elles seront utilisees de la fagon la plus rentable et done vraisemblablement dans

les regions. cStieres ou la pluviometrie, la facilite des communications maritimes, le developpement. economique passe, les ressources minieres rendues exploi,tables par la proximite de la mer, font que le revenu-par tgte est a peu pres six fois plus elev^ que dans les pays de savene de lUnterieur. tJne autre option pourrait e*tre au nom d'une politique d'uni- te, de. tendre a reduire ces disparites sous-region ales et done d'affecter ces m^mes ressources, malheureusement trap rares, surtout eu developpement des pays ies plus, defavorises, meme.au prix d!une rentabilite" financiere

moins elev^e, , , ;

II est done premature et sans doute illusoire de p&rler de planifica- - tion. multinationalef dans les conditions actuelles puisqu'il n'existe

pas.de centre^ de decisions au niveau sous-regional ou multinational.

II en est de mSme d1 ailleurs de tous les autres groupementS'eoonomiques muitinationaux: les pays du Ma^che Commun ont d'abord commence par un .. accord sur'.le. charbon 'et '1' acier', aujourd^ui encore ils sont loin d'une

plariiTication communaUtaire. . . ;

II semble done qu!eh Afrique il faille surtout s'orienter vers une harmonisation, une concertation des plans nutionaux. Parallelement a la cooperation economique, a la promotion d1accords internationaux, au developpement du commerce intra regional,- a 1'etablisstfment de programmes muitinationaux pour l'utilisation d'un barrage, d'une meiileure inter connexion des re'seaux de transports etc., (cooperation1 et integration pour lesquelles un centre specialise a ete cre^ au sein^du secretariat de la Commission) parallelement done il y a lieu de prevoir une action

(4)

E/CN.14/CAP.3/16 page 3

similaire au niveau de la planification. II est necessaire que les planific'ateurs aifricains soient plus informes et tiennent davantage oompte des perspectives et orientatioris des plans des pays qui leur sont voisins afin de pouvoir eviter lea doubles emplois, les

concurrences et luttes inutiles et au contraire maximiser l'efficacite de leurs efforts en tirant partie des effets complementaires en amont ou en aval de realisations prevues dans les plans des autres pays.

Par sxemple, les etudes de la FAD sug&erent que 1' accroissement d© la consommation mondiale de cacao sera d'envirori 3?5 pt 100 par

an jusqu'en 19&5- ^'analyse des plans nationaux montre que les pays producteurs tablent individuellement sur des taux pius eleves pour le developpement de leur production et que I1on assistera probablement

a une surproduction et k des aompe"titions difficiles, aggravees par une faitHe 61asticite - prix de la demande aboutissant a une chute des cours si une harmonisation des plans des pays producteurs n'etait pas re'alise'e eh ce qui concerne ce produit. II nous semble que les accords au niveau des produits, entre pays d'une sous-region, ou m§me a l'interieur d'un groupement plus restreint sont une base indispensable a 1harmoni sation multinationale des plans de developpement. Un projet d1 accord sur la. production et la coramercialisatio.n du riz entre les. pays. d,e la CEAEA a 6te etabli en novembre 1969. Un proje,^1 semblable a ete dp.,scute lors de 'la Conference de Monrovia en septembre 1969 et interess.ant_ ia

production de riz dans 13 pays .de l'Afrique de l'ouest. De tels prpjets conditionnent la cooperation intra et inter-regionale. II ne peut y avoir d'harmonisation des plans sans que en me'me temps ou mieux pre"ala—

blement une cooperation concrete au moins pour certains produits soit effectivement realisee.

Nous pouvons encore illustrer cette necessity d'harmoniser entre eux les plans des pays de la region en rappelant que certains de ceux—

cd. qui .commencent a disposer d'industries jeunes, dynamiques et-assez diversifiees, montrent en i^6me temps leur decision de parvenir a

l'auto-suffisarice pour leur production agricole alimentaire. On peut se demander si une concertation de leurs plans avec les pays voisins moins developpe"s economiquement ne mettrait pas en evidence 1 • opportunity qu'il y aurait de laisser a ces d ;rniers le soin de ravitailler en

partie le premier pays en viande, cereales etc. leur'procurant ainsi les ressources d'exportation necessaires pour quTils achetent de leur c6te les produits industriels qui seraient fournis par le premier pays, et ceci a l'avantage de tous.

Pour arriver a cette harmonisation des plans, il faudrait que ceux- ci aient une certaine homogeneite dans la presentation de leurs objectifs, Leur contenu resterait evidemment du re-sort de chaque politique nationale, mais par exemple il serait demande a chaque etat-membre de formuler ses objectifs et ses realisations de croissance en terme de produit. interieur brut au co&t des facteurs et a. prix constant, d'indiquer le volume de production ou d1exportation pour les grancP produits ou un risque de

(5)

E/QJ.I4/CAP.3/1.6

page 4

concurrence peut s'Slever entre pays'(ca£6f cacao, sucre, etc.)» de donner

des precisions sur les grands pro jets qui peuvent avoir un impact sur

le deVeioppemenVdes pays voisins. Les, pays africains se sont d'ailleurs

engagea a.respecter un minimum d'harmbhisation par l'interm&iiaire 6.eu leurs representants au Comitl PrSparatoire pour la Seconde De"cenniie ' pour le Developpement. Celui-Ol a fixe" au niveau regional les taux de croissance du PI£, global et par tSte, tauz d'Sparse et d'investiesement et des politiques que les pays en vpie de deVeloppement doivent suivre pour realiser ces pbjectifs. Ces recomaandations seront probablement

ente*rinees par l'A^sembl&e: Generale des Natibns Unies au^ poura 4e;sa

25eme session; et de ce fait les pays africains auronV impiicitement accep- te de suivre la m§me demarche dans leurs processus de deVeloppement.

Le secretariat de la CEA se propose de tenir fin 1970 un groups de truvail d'experts africains pour etudierle detail de ce probleme. On pourrait alors elaborer une liste minimum des tableaux qu!il serait ^ necessaire de faire paraltre dans ohaque plan de developpement.et dans * chaque rapport ou bilan d'ex^cution des-plans. On pourrait aussi 6tudier quel type d?institution il y aurait lieu de cre"er pour qu!avee les moyens' : les plus simples et les moins cou"teux on puisse amener les paya des

diverses sous regions a harmoniser leurs plans de developpement. Bvidemment il faudra e'viter-de crier des organisations trop lourdes qui generaleoent "

sont ineffioaoes ou de se lancer dans un programme d'harmonisation de con cepts, de definitions trop ambitieux qui ne pourrait etre suivi. II est bien certain que si des perspectives a long terme seront demahdees de ehaque payB, il ne pourra etre question d'imposer les memes ann^es de base pour les prix constants ou la meme dur^e pour ehaque plan (par exemple trois ans) ou la mSme date de dSbut. II serait illusoire de penser quril soit possible de demander que tPus les plans d'une meme- sous-region soient •'

^dix et debutent le 1er janvi&p 1571 par exemple.

Par contre il parait plus facile d'obtenir que les plans de"crivent leurs objecti/s dans le cadre du nouveau systems de cornptabilit6 national©

des Nations Unies dont les services statistiques nationaux ont deja accepts le principe et dans le cadre duquel le secretariat de la Commission a

d^ja propose que soient redigdes les etudes 4conomiques et rapports annuels.

On aboutirait ainsi a une coherence meilleure tant au niveau national

qu*au niveau sous-regional, .

Un sroupe de travail sur l'harmonisation des plans avait ete prevu

pour la fin de 1969. Malheureusement, les etudes qui devaient servir de

base dfinformation pour cette reunion n'ont pu §tre obtehus aux dates prevues. D'une part les rapports des equipes CDPPP-CEA sur la oooperation eoonomique en Afrique de I1Eat et de l'Ouest sont en cours de publication,

Seuls quelques chapitres ont pu d'ailleurs @tre prdsent^s a cette 3eme Conference des Planificateurs africains. Le rapport au professeur Bos

,pour I1Afrique du Nord et celui du professeor Lacroix pour I1Afrique du

Centrale ont suti une serie de retards et ne seront pas disponibleB avant le mois de septembre 1970. D(autre part les informations, relatives aux projections par produits qui avaient et^ ^tablies sont devenues obsoletes du fait que les premieres hypotheses de croissant pour la deuxierae

(6)

E/CK. 14/CAP.3/16

page 5

decenniet taux de 6 k 7 p. 100 pour 1*. oroissanc© du GDP en 198O ont et©*

afaandonnees en 1969 a la demande du comite pre*paratoire et remplacees par d'autres plus ambitieuses; taux de 6 p. 100 moyen sur toute la periods decennale. Par ailleurs, des difficultes budgetaires s'Staient elevens quant au financement de la reunion que l'on n'a pas cherche a resoudre puisque tout le travail des projections par produits etait a refadre.

Lu secretariat espere toutefois Stre en mesure d'organiser un Groupe de travail sur 1 • harmonisation des plans a la fin de lTannee 1970. Le rapport de la reunion sur les donnees statistiques necessaires pour la

planification sera alors disponible. Les experts africains qui ^tudieront

cette question viendront des services de planification nationaux et

notamment de ceux appartenant a des pays membres qui ont deja entame un tel processus d1harmonisation sous regional© (Comite Permanent du Maghreb, Communaute de 1'Est africain, etc.).

(7)

Bonn*—«nrl'lEHaa*a*laa ISifi BDJata PIBanooCtdaafaotaora- {*■BlllUvdadadollars)(10*) Lt«ol«lt4*iBtanationalaa Or+T*a*TT«(Uapenibl*anm davlaaaatrangaraB anBilliard*dadollar* Importation*] anBilliard*dadollar*

IWortottM* w

Milliardsdadollar* - Caaaiaadafar^ as,Billiards)dopaaaa«ara/ka Qfc—liidafw" MadlUaras)dai/t Aviationaivll* amallllard*dapaasaajarB^si ▼•BlOBlaaanto*Bcirculation VoliarasdaWarl*Ba]/ (■1111©a*) Tahloalaaa,tllitairaa^ (■illlon*) Nllphonaa, (niliioaaj)V ProdaotloadUlaotricitl anniilliardadaKuB Productiondaol**nt anaHUoa*d*tonaas■atriquva

fatal pom* l'lfrlqaa (45P»»s> 53,3 3,1 11,4 11,0 76,3 9.7 2.70 1,03 2,70 65.8 14,2

Pay*aarvant dabaa*in ooBparalBB Italia BUL**« Oa—da Fay*-Sa* Balgiau.* m Franoo ran lay—aOni fraao*" Pologaa Poletpa Franoa JkiBtralla auatnli* Jnstralla B.PW Fajs-Sw Suada Polo(na B*n*lux

a 66 3,9 3,0 2,5 2.2 10,1 13,9 9,4 14,6 11,7 10,6 35.4 88,5 6s,9 55,8 6*4 3.M O.90 3,3£ 2,72 56,3 55l5 6,0

Pay* afrioaia* anvolad* WisloBpaaaBt (44pay*) 40,4 1,8 9,7 9.7 10,7 29.4 4.1 1,39 0,69 1,38 24,9 9.7

Pay*Barvwt dabaaaoa ooBparalBoi Iaoa Baaalux JMtralia tetrlona aapacn* PortBjml DIM Itall* Pays-Bas ttm Italia PayB-Sa* longrl* loaaaala Toacoalavia lOWMBt* Italia Pay*Ba» Japo. Bttada B«l|ioma PayB-BaB Italia Ban*lux ■•xliju* Tohaoodsvaad JMnmuCtk PolOfB* nUoodoakin bpagna 9ai**« Balflqa* Poloo. BBpacn* Balciqs*

1 43 41 1.5 1,5 lU 9,4 10,1 9.3 10,« 10,2 8,3 14,5 15,8 10,8 37,3 9.2 4.3 3,84 1.91 1.51 1.73 0,73 0,26 0,44 a1,68 1.47 1.53 41,4 4sU 30,6 26,5 11,6 14,9 5.7

Afrlqu* cknord I (6paya) 16,3 0,9 3,1 4,1 7,e 9,7 1.5 0,53 0,26 0,67 10,9 5.6

Pays•*ttant dabaaado eoapavalBon Bald,!. SalBBa Para-Baa WaflMid* T*n*naU Jaaaaark Maxiojaa Su*d* Suit** iaatnll* fluAda Ma«rali* flalBB* Vohaooaloraqa PolOfB* Balcloji* Sal*** ToBfoslavlB ■oBsria BmlCBTi* SbM* OoloBbla laratl IrUnda ■al**a Itexlqu* tatrioh* •apacB* ■Bpa«na Ai*trill* Banaaiark Polo*™ lorvtc Pinlanda Portacal Bonsria 1.Ztlanda Inl(ari*

18 15,5 21,5 1,0 0,9 0,4 0,7 5.1 4.9 3,9 4,9 3.4 4,0 ia3,0 2,9 7,7 8,8 !?.« ibU u.7 1.8 1.5 1,5 1,7 1,0! 0.9J 1,01 1.3C 0,5« 0,33 0,25 0,21 o,99 0,95 0,61 13,1 12,1 15.5 fohtooalovaqul*6,5 Be—mi* Itoxiqa* hlu< TougoB^avla Torquia

7,0 6.1 4.3 3,8 4.7

tfrtqo.* da 1'oaaat II (14payB) 10,1 0,4 1.9 2,0 1,8 2.B 0,t4 0,15 0,20 4,8 1.5

Pay*lirna d*baa*da ooBparmiBOK iBdoBasia10,B antrlobs10 farqjila11 iBratl lorvoga Ikn—rfc Toh4opalBva<pii aapacaa Iorv*g* Dan—ark sastralla Finland* lorrftga Han—it Finland* Chill PiBlaaA* •mya-Baa 1.Mlanda Irlanda Porta-Uao Portugal

I (67) 0,7 0,7 3,2 >3,1 3,5 l.T 2,6 1,0 1,6 1,9 3,1 2)0 5.< 3U 2,3 0,32 0,34 0,18

Irlaad*dalord0,25 Toufoalavl* an*d* Baiaae Irland* Iran Mrou Ivland* Bong-Konf Luxanbourg Portugal laratl Ivland* Libaa Irak

0,36 0,15 0,10 0,25 0,22 0,15 4,5 3.9 1.0 1.9 1,1 1,4 0,9 1.3

—'■'1 Afrlqoa on. oantra III (Bpay*} 3,1 0,1 0,8 1,0 0,7 M - 0,08 0,08 0.05 4,2 0,3

Pay*asrvaat d*bu*da ooaparaiao Parra3,3 I*raXl4 Finland* Jordaai* Paros Bulgaria H.Silanda Orao* Portacal Mm XsBBania BalCaria >ap«gDa laratl Irl*nd* Irlanda I.Hlanda Halma I.Ulaad* Orao* Luxaabsorg Trinidad atTobago Bong-Kong Fortogal Ot*o* luxanbonro; lalanda Hasaaglo- noimud** Malta Itarv.1. Orao* Porto-Bloi) Jaaalqu* Jordaal* luxaajbonrg

B (196?) 0.3 0.1 1,8 0,9 1,4 1,1 0,6 1.5 1.6 1,6 1.3 0,6 0,8 0,6 0,5 •5 2.3 0,15 0,01 0,06 0,0$ 0,09 0,09 0,09 0,06 0,05 0,0} 6,9 6,9 6,2 0,4 0,4 0,2

ifrloB,* da l'aat IT (16jmya) 8,0 0,3 1,0 1,0 ... 9,6 0,41 0,16 0,36 8,5 1,8

Pay*aarvBBt dabaa*da scaparalaon Tenl*B*la ■Jorrtf* finlBBda i

Orkea IrM Irak tatrlaha Huloaa Flalaod* Tongoalawla Palagaa Jutrleh* ToBgoal«*l* longrla BUgarl* fowag* Flnlud* T«n««a*l* Pinlanda Bulgaria Ucmg-tonf Coloabl* Ta£mm Chili Coloabla Ban—arlc FlnlanAa Korvtga Parto-Uoo

9,9 8 e.s 0.3 0,3 0,4 2,5 t\o i)e 2,9 2.0 15.6 18,a U.T 0,57 0,55 0,19 0,10 0,34 0,35 U7 6)0 9.6 6,9 2.4 1.3 1.5 1,3 1.5

Soon***pair1967

Références

Documents relatifs

mateíx enemic.. PICASSO T Els assaltants de la llibreria &#34;Theo&#34;, de Madrid, elo &#34;guerrilleros del señor Blas Pinar&#34;, van sortint do la presó sense altres nolc.stles,

Panier en vannerie avec poignée en bois ronde (petit modèle), vous pouvez, par exemple, mettre une infusion et 1-2 produits transformés. Tarif : 3€ (formes et

François IT: B1 jean-francois.pinchon@univ- montp3.fr Italie Università degli Studi. di Cassino I CASSINO01 UFR3 Histoire 2 Sem L CHALLET, Vincent IT:

- The utilization of solvent extracted olive cake, leaves and twigs as animal feed. - The utilization of these by-products as energy source through combustion olive

FDR moyen (Dhs) : le Fonds De Roulement (FDR) mesure les ressources (hors chiffre d'affaires) dont l'entreprise dispose à moyen et à long termes pour financer son exploitation

Dans les conditions de fonctionnement envisagées, ce moteur peut être modélisé par un dipôle constitué d’une résistance R  3  en série avec une inductance L. A la

Résultat connu comme “théorème du

Une famille de solutions est, au signe près, a et b étant des entiers positifs ou négatifs :... C’est la solution en nombres non tous positifs obtenue en