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Bulletin de Santé du Végétal

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Academic year: 2022

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Bulletin de Santé du Végétal

Grandes Cultures édition - L ORRAINE

B ULLETIN N °27 E DITION DU 18 MAI 2016

Céréales

Début gonflement des blés, floraison des orges d’hiver, montaison des orges de printemps.

Surveiller l’oïdium sur SEBASTIAN.

Colza

Fin de la période de risque vis-à-vis des ravageurs.

Maïs

Levées en cours. Faibles dégâts à la levée sur les parcelles du réseau.

Tournesol

Surveiller les parcelles les moins développées ou peu vigoureuses. Le risque de dégâts de limaces, et ponctuellement d’oiseaux, est important.

Pois de printemps

Stade 6-8 feuilles. Ravageurs de début de cycle à surveiller sur les parcelles qui n’ont pas dépassé le stade 6 feuilles.

* * *

Céréales

Stade de la culture

Les blés sont entre les stades dernière feuille étalée et gonflement qui englobent le stade critique de la méiose pollinique. Sans accélération de leur développement les orges d’hiver finissent par fleurir. Les orges de printemps amorcent leur montaison.

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B ULLETIN N °27 E DITION DU 18 MAI 2016

Le stade de la méiose pollinique est un stade physiologique bref qui ne dure que quelques jours mais sensible à des températures inférieures à 4°C couplées à des rayonnements faibles qui peuvent entraîner si ils sont persistants une stérilité du pollen.

Stade méiose : l’épi atteint la ligule de l’avant dernière feuille, le limbe de la dernière est parfaitement déployé. Juste avant gonflement, 10 jours avant l’épiaison.

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B ULLETIN N °27 E DITION DU 18 MAI 2016 Maladies des blés

Septoriose : progression sensible des symptômes sur feuilles

Les contaminations quasi-permanentes permises par la pluie arrivent progressivement en fin d’incubation, ce qui provoque l’apparition de nouveaux symptômes notamment sur F2. Toutes les variétés sont donc à surveiller même si les variétés résistantes font preuve de leur tolérance par un retard d’apparition de ces symptômes sur les nouvelles feuilles.

Etat sanitaire vis à vis de la septoriose des blés d’hiver tous stades confondus au 18/05/16 : note de présence sur feuille en % et en nombre de parcelles

Les fréquences (% de feuilles atteintes) progressent, les intensités (% de surface foliaire atteinte) également. En moyenne les surfaces couvertes par la septoriose sont identiques entre les 3 dernières feuilles : 2.3 % pour F1 (attention seulement 2 observations) et F2, 2.5% pour F3.

POPEYE semble une variété à surveiller tout particulièrement (55% des surfaces de F2 atteintes par la maladie, Manheulles-55).

Rappel des seuils de risque :

Avec l’étalement de la dernière feuille le stade limite de raisonnement de la protection des blés contre la septoriose, visant à protéger de manière préventive les 3 dernières feuilles, est atteint.

Toute apparition de symptômes sur la F3 qui est la F3 définitive est une mise en alerte de protection ou de renouvellement de protection.

Modélisation : les contaminations arrivent en fin d’incubation

Le modèle SEPTOLIS développé par ARVALIS Institut du végétal permet pour différentes stations météo de déterminer un niveau de risque septoriose en simulant les contaminations et apparition de symptômes.

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B ULLETIN N °27 E DITION DU 18 MAI 2016

Les contaminations suite aux épisodes pluvieux (bâtonnets rouges) sont toujours aussi régulières et en se cumulant finissent par devenir très importantes (courbe rouge). Retardés par des températures fraîches, les symptômes visuels (courbe noire) en forte hausse sur F4 finissent par apparaître simultanément sur F3 et F2. Une particularité de l’année restera que tous les étages foliaires ont été contaminés très tôt, contournant la montée habituellement progressive de la maladie.

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B ULLETIN N °27 E DITION DU 18 MAI 2016

Symptômes climato-variétal : signalements en hausse

Les observations de ce type de symptômes sont en hausse avec un total de 14 signalements cette semaine. Une réaction de stress des plantes peut en effet se traduire par l’apparition de taches en tous genres sur les feuilles qui ne sont pas des maladies fongiques.

Il est important de vérifier la présence de petits points noirs (pycnides) au centre des tâches pour valider qu’il s’agit ou non de septoriose.

Identification de septoriose : présence de pycnides (photo source ARVALIS)

Rouilles : pas d’explosion

Si l’humidité favorise en tendance les rouilles, celles-ci ont besoin également d’un minimum de températures pour se développer (créneau optimal 13 à 25°C). C’est ce qui freine actuellement leur développement, le rouille jaune reste cantonnée sur variétés sensibles (ALLEZ-Y et TRAPEZ cette semaine), la rouille brune est absente.

Etat sanitaire des blés d’hiver tous stades confondus au 18/05/16 : note de présence sur feuille en % et en nombre de parcelles

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B ULLETIN N °27 E DITION DU 18 MAI 2016

Maladies orges d’hiver : timide arrivée des maladies de fin de cycle

La rhynchosporiose est toujours largement majoritaire au détriment de maladies de fin de cycle plus habituelles comme l’helminthosporiose ou la ramulariose. Exceptionnellement à cette période du cycle de l’orge, elle progresse encore et colonise la dernière feuille.

Pas de signalements de rouille naine ni de grillures.

Etat sanitaire des orges d’hiver tous stades confondus au 18/05/16 : note de présence sur feuille en % et en nombre de parcelles

Orges de printemps : surveiller l’oïdium

Les observations d’oïdium sont possibles cette semaine mais uniquement sur une variété sensible comme SEBASTIAN. Une maladie favorisée notamment par de fortes densités de peuplement.

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B ULLETIN N °27 E DITION DU 18 MAI 2016

A noter qu’un effet indirect de l’oïdium peut être l’apparition de tâches brunes très foncées sur les feuilles, il s’agit d’une réaction de défense dite d’hypersensibilité) des orges qui nécrosent leurs tissus pour isoler l’oïdium. L’installation du mycélium (pas toujours visible) provoque des taches brunes au point d’infection.

Source : ARVALIS Institut du végétal

Etat sanitaire des orges de printemps tous stades confondus au 18/05/16 : note de présence sur feuille et localisation géographique.

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B ULLETIN N °27 E DITION DU 18 MAI 2016

En parallèle le climat actuel peut également permettre l’apparition de rhynchosporiose.

Rappel des seuils de risque : observation des 3 dernières feuilles déployées.

Maladies Période de contrôle

Variétés sensibles Variétés moyennement et peu sensibles Epi 1 cm à

gonflement

Plus de 20 % de feuilles atteintes.

Plus de 50 % de feuilles atteintes.

1er nœud à gonflement

Plus de 10 % de feuilles

atteintes et plus de 5 jours avec pluies

> 1 mm depuis Z31.

Plus de 10 % de feuilles atteintes et plus de 7 jours avec pluies > 1 mm depuis Z31.

Colza

Stade de la culture

Cette semaine les stades des colzas s’étendent de G1 à G4-Floraison terminée.

66% des parcelles ont désormais atteint le stade G4 (10 premières siliques bosselées-BBCH 73).

Rappelons que durant toute la période de floraison du colza, il est important de respecter la « règlementation abeilles » (voir encadré).

Charançon des siliques

Le vol de charançons des siliques se termine (97% du vol réalisé d’après proPlant Expert consulté le 17/05/2016 sur http://www.terresinovia.fr).

Notons que les charançons des siliques ont été très discrets ce printemps. Peu de situations ont signalé leur présence dans les parcelles. Le seuil de nuisibilité de 1 charançon pour 2 plantes n’a été dépassé que dans 3 situations.

Les colzas sont maintenant pour la plupart entrés dans le stade G4, qui marque la fin de la période de sensibilité vis-à-vis du ravageur.

Pour le moment, aucun dégât de cécidomyies sur silique n’a été observé.

Oïdium

Rhynchosporiose

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B ULLETIN N °27 E DITION DU 18 MAI 2016

Une colonie de pucerons cendrés du chou sur colza. Photo : Fredon Lorraine 17/05/16 Photo : Fredon Lorraine 17/05/2016

Puceron cendré du chou

La présence de pucerons cendrés du chou est signalée dans 21% des situations. Toutefois l’intensité des attaques reste faible avec en moyenne 0.5 colonie par m². Le seuil de risque, fixé à 2 colonies par m², n’est jamais atteint.

Notons qu’avec l’avancée des stades, les colzas se tournent vers la fin du risque pucerons et que plus les attaques sont tardives, moins les dégâts engendrés sont importants.

Toutefois, si nécessaire, la maitrise du risque doit intervenir uniquement dans les zones de présence effective.

Maladies

Le régime d’averses est toujours favorable aux maladies. Des contaminations variées (sclerotinia, cylindrosporiose, phoma, alternaria…) peuvent être ponctuellement observées en culture sur les feuilles, les tiges ou les siliques. La surveillance des maladies doit désormais porter préférentiellement sur les siliques (% siliques atteintes).

Dans les situations où la cylindrosporiose a exercé une très forte pression et/ou dans les situations où la maladie n’a pas été maitrisée, veillez à surveiller l’évolution de la maladie vers les étages supérieurs de la plante, notamment le passage sur siliques (photos).

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Maïs

Mise en place du réseau et stade de la culture

20 parcelles de maïs constituent aujourd’hui le réseau d‘épidémiosurveillance lorrain (Cf. carte).

Le réseau doit encore monter en puissance d’ici les prochaines semaines.

Les stades du maïs sont compris entre le semis et 3 feuilles pour les parcelles les plus précoces.

La levée des maïs est désormais effective sur 60%

des parcelles ayant fait l’objet d’observations cette semaine.

Toutefois, des levées hétérogènes liées aux conditions de semis difficiles (battance, excès d’eau…) sont signalées.

Ravageurs - Dégâts à la levée

Cette semaine, les dégâts à la levée sur maïs restent très limités.

Aucun signalement de corvidés, de vers gris, de taupin ni de tipule ne sont remontés dans le réseau d‘épidémiosurveillance.

Des morsures de limaces sont signalées sur 3 parcelles du réseau dont une avec des dégâts de plus forte intensité (dégâts >20% ; Contrisson (55)).

Surveiller les dégâts à la levée en particulier pour les limaces dont l’activité est favorisée par les conditions humides et douces, et les sols motteux, offrant des refuges.

Répartition des parcelles de maïs suivies dans le cadre du BSV maïs-2016

Dégâts de limaces - Photo : FREDON Lorraine

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Tournesol

Stade de la culture

Les stades sont compris entre « levée en cours » et « 4 feuilles ». La majorité des parcelles est au stade cotylédons(A2) – première paire de feuilles (B1-B2).

Dégâts à la levée

Des dégâts à la levée sont signalés dans plus d’une parcelle sur deux. Les intensités d’attaque sont très variables. Toutefois, il semble que les dégâts s’accumulent. Dans les situations les plus graves, des pertes de pieds remettent en cause le potentiel de la culture, voire sa pérennité. Les causes sont multiples et peuvent se cumuler : dégâts d’oiseaux, de limaces, de noctuelles…

Maintenir la surveillance sur les parcelles les moins développées ou peu vigoureuses.

Notez que les agriculteurs peuvent déclarer en ligne les dégâts d’oiseaux et de gibiers sur leurs parcelles d’oléoprotéagineux (http://www.terresinovia.fr/outils/detail/outils/33/). Cette déclaration vise à informer les Directions Départementales des Territoires. Elle permettra d’obtenir des informations en vue d’un éventuel classement nuisible des espèces.

Pucerons verts

Les premiers pucerons verts, principalement des individus ailés, sont signalés sur le réseau.

Toutefois, aucun phénomène de crispation du feuillage - signe de la concurrence du ravageur à l’égard de la plante - n’est recensé.

En début d’infestation, en dessous du seuil de nuisibilité de 10% de plantes avec crispation marquée des feuilles, l’attaque peut être contenue ou cesser du fait d’un climat défavorable ou de la présence d’auxiliaires. Pour préserver ces derniers, il convient de proscrire toute intervention inutile.

Le risque est actuellement faible. Surveiller l’apparition des pucerons et l’aspect général de la végétation jusqu’à l’apparition du bouton floral.

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Pois de printemps

Réseau d’observation

Cette semaine, 18 parcelles de pois de printemps ont été observées.

Stade de la culture

Les parcelles sont entre les stades 5 et 11 feuilles, comme le montre le graphique ci-après.

Ravageurs

Thrips

Etat général : aucun thrips n’a été observé et la majorité des parcelles ont dépassé le stade de sensibilité.

Seuil de nuisibilité : Le seuil de nuisibilité est atteint lorsque l’on dénombre en moyenne 1 thrips par plante (sur un comptage de 10 plantes par parcelle) entre le stade 80-90% des plantes levées (ligne de semis visible) et le stade 6 feuilles. Pour une meilleure représentativité, faire plusieurs comptages par parcelle.

Analyse de risque : le risque est faible, la majorité des parcelles ont atteint la fin du stade de sensibilité.

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Sitones

Seuil de nuisibilité : Le seuil de nuisibilité est atteint lorsque l’on dénombre en moyenne 5 à 10 encoches (note de 2) sur les dernières feuilles sorties par plante (sur un comptage de 10 plantes par parcelle) entre la levée et le stade 6 feuilles.

Analyse de risque : la majorité des parcelles ont dépassé le stade de sensibilité, le risque est dépassé.

Pucerons verts

Etat général : 1 parcelle signale la présence de pucerons verts dans de faibles proportions (moins de 10 pucerons par plante).

Observation : saisir un « bouquet de plantes », environ 4 plantes, secouer l’extrémité du « bouquet

» au-dessus d’une feuille A4 et compter le nombre de pucerons tombés sur la feuille.

Recommencer l’opération 9 fois (10 fois au total) en choisissant les bouquets de plante au hasard, espacés les uns des autres d’au moins quelques mètres.

Seuil de nuisibilité : Le seuil de nuisibilité est atteint lorsque l’on dénombre en moyenne 30 pucerons verts par feuille A4 entre le stade début floraison et le stade fin floraison +2-3 semaines.

MALADIES

Anthracnose ou ascochytose

L’ascochytose ou anthracnose est une maladie foliaire s’installant à la base des tiges et avec des ponctuations foncées sur les feuilles.

Etat général : 1 parcelle signale la présence d’ascochytose en bas de plante ainsi que des nécroses sur tige.

Stade d’observation : Les symptômes d’ascochytose doivent être surveillés depuis le stade Début floraison jusqu’au stade fin floraison pour les pois de printemps.

Anne Moussart, Terres Inovia

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Affinez vos connaissances sur les principales adventices des Grandes Cultures et les méthodes de lutte préventive en consultant le site INFLOWEB : http://www.infloweb.fr

Ce bulletin est disponible sur le site internet de la CRAL www.cra-lorraine.fr et le site de la DRAAF ACAL http://draaf.alsace-champagne-ardenne-lorraine.agriculture.gouv.fr/

Action pilotée par le ministère en charge de l’agriculture, avec l’appui financier de l’Office national de l’eau et des milieux aquatiques, par les crédits issus de la redevance pour pollutions diffuses attribués au financement du plan Ecophyto 2018

Bulletin rédigé par Arvalis, Terres Inovia et la Fredon et édité sous la responsabilité de la Chambre d’Agriculture ACAL, avec la participation de Arvalis Institut du végétal, Avenir Agro, l’Alpa, Alter Agro, Terres Inovia, la Chambre d’Agriculture de Meurthe-et-Moselle, la Chambre d’Agriculture de la Meuse, la Chambre d’Agriculture de Moselle, la Chambre d’Agriculture des Vosges, la Coopérative Agricole Lorraine, Emc2, EstAgri, la Fredon Lorraine, Gpb Dieuze- Morhange, Hexagrain, Lorca, Sodipa Agri, Soufflet Agriculture, le Sral ACAL (DRAAF), Vivescia.

Ce bulletin est produit à partir d’observations ponctuelles d’un réseau de parcelles suivies par ces partenaires : il donne une tendance de la situation sanitaire dans la région, mais celle-ci ne peut être transposée telle quelle à la parcelle. La Chambre Régionale d’Agriculture d’Alsace-Champagne-Ardenne - Lorraine dégage donc toute responsabilité quant aux décisions prises par les agriculteurs pour la protection de leurs cultures.

Pour tous renseignements, contacter : François-Xavier SCHOTT – Animateur Inter-Filières - 03.83.96.85.02 Chambre Régionale d’Agriculture ACAL – bâtiment i – 9, rue de la vologne – 54520 LAXOU

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