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(1)

WORD HEALTH ORGANISATION

ORGANTSATION MONDIALE DE LA SANTE (O.M.S.)

ONCHOCERCTASTS CONTROL PROGRAMME IN WEST AFRICA PROGRAMME DE LUTTE CONTRE L'ONCHOCERCOSE

EN AFRIQUE DE L'OUEST

OFFICE NATIONAL D'AMENAGEMENT DES

TERROIRS

(O.N.A.T.)

RAPPORT PROVISOIRE

*y B

Oumar TRAORE

1996

(2)

INTRODUCTION

L'onctrocercose (ou

écité

des rivières) est une maladie parasitaire transmise par une mouche "la'simulie" et

qui

sévit dans une grande partie de l'Afrique de l'Ouest dont

!e Burkina Faso.

Si cette

maladie

a

longtemps

été un fléau social et un obstacle

au développement car

à

l'origine du dépeuplement de vastes zones

à

potentiel agricole certain, aujourdhui les résultats du Programme de Lutte Contre l'Onchocercose (OCP) sont satisfaisants grâce à un effort conjugé de la communauté intemationale.

En effet, la lutte anti-vectorielle qui a commencé dans I'aire initiale de I'OCP (qui comprenait sept pays) a permis de maîtriser la maladie depuis son lancement dans les

années

1974.

La

maîtrise

de la

maladie

ne

signifiant

pas qu'elle est

totalement supprimée, d'où la nécessité

de

mettre

en

place une stratégie

de

surveillance qui a donné naissance à un plan de dévolution.

Par "Dévolution", ilfaut entendre le transfert de la responsabilité des activités de [O.C.P. aux gouvemements nationaux afin de les aider

à

sauvegarder les acquis de fO.C.P. par une surveillance épidémiologique active visant

à

déceler précocement les foyers de recrudescence et à maîtriser celle-ci à l'aide de l'ivermectine ; ceci d'autant que la disponibilité de l'ivermectine en 1987 avait mis à la disposition de |'O.C.P. et au grand bonheur des populations, un autre outil utile à la maîtrise de la maladie.

C'est dans ce contexte que s'inscrit

la

présente étude

de

migration dans le bassin de la Bougouriba (Burkina Faso) ; précisément dans les villages situés dans un foyer de 10 km autour de Zoulo (département de Zambo) qui s'est avéré être un foyer de recrudescence selon les dernières évaluations de !'O.C.P. ; ainsi que dans certains

villages de I'ex-AW

(Aménagement

des Vallées des volta) situés dans

I'aire

d'intervention du Projet VARENA/ONAT (Valorisation des Ressources Naturelles/Office National d'Aménagement des Terroirs)-

Cette étude a donc pris en compte aussi bien les villages anciennement évalués par I'O.C.P. que de nouveaux villages (au total20 villages dont 12 villages O.C.P.).

(3)

Les objectifs poursuivis par cette étude se résument comme suit:

- vérifier les mouvements migratoires pendant tes dix dernières années des habitants du Bassin de la Bougouriba autour de Zoulo ;

- vérifier

si ces

habitants

ont

été traités à l'ivermectine entre 1988 et 1994;

- faire une cartographie des villages de la zone ;

-

faire des recommandations pour s'assurer de la disponibilité des population à respecter

ta

régutarité

des

traitements

en cas de

traitement communautaire à I'ivermectine, et à contribuer aux actions de dépistage et de surveillance.

METHODOLOGIE

pour

atteindre

les

objectifs

visés par

l'étude,

la

méthodologie utilisée §est articulée autour de deux points essentiels-

Première

étape:

préoaration de l'étude

Elle a

consisté d'abord

à une

analyse documentaire

et à

l'élaboration d'un questionnaire.

Ensuite

ce fut une

reconnaissance

des

villages concemés

et une prise

de contact

avec les

responsables administratifs,

le

personnel

de la

santé,

les

chefs coutumiers de ces villages pour les informer et les préparer

à

mobiliser la population pour les enquêtes.

Cette étape a permis enfin de tester le questionnaire élaboré à cet effet.

Deuxième étape : enquêtes sur le terrain

tt

s'agissait

ici, des

enquêtes proprement dites

sur le

tenain.

Les

enquêtes étaient essentiellement basées sur des questionnaires individuels adressé

en

priorité aux familles qui ont

fait

t'objet d'une évaluation soit par la Coordination Nationale de Dévolution soit

p"r

I'O.C.P. pour

ce

qui conceme les villages O.C.P., et

à

toutes les familles prises au hasard dans les viltages "non O.C.P." selon leur disponibilité-

Dans les villages OCP, it s'agissait à travers les numéros individuels attribués par I'OCP aux familles et individus, de les identifier et les enquêter.

En

plus

de ces

questionnaires, des entretiens collectifs ont

eu

lieu dans les villages touchés par I'enquête pour identifier la contribution que les populations peuvent

appôrter pour une lutte efficace contre

t'onchocercose

en cas de

traitement

communautaire.

L'ensembte des informations recueillies, traitées et analysées a permis d'élaborer le présent rapport qui s'articttle autour des points suivants :

(4)

3

-

les mouvements migratoires pendant les dix demières années dans le bassin de la Bougouriba autour du village de Zoulo ;

- le traitement de l'onchocercose à l'ivermectine:

- conclusion et recommandations'

ll

est

à

noter que l'analyse des résultats de Zoulo tient compte

de

l'enquête socioloôique menéà

"À o"tobt" êt oe l'évaluation technique du mois de novembre 1995' ll a été fait appel à des enquêteurs qui connaissaient parfaitement la zone et qui partaient l'une des langues utilisées.

La période des enquêtes

a

coTncidé avec le début des récoltes

ce

qui rendait

difficiletamobitisatùnoeÈpopulationdanscertainsvillages;@

ie

le fait certaines iamilles dans les villages O-C'P'

t\

lT\

enouêtes.

+

ll faut souligner aussi que la zone d'enquête a une grande particularité qui nous a obligé à reporter-à ptusieurs reprises les enquêtes dans certains villages-

En effet, torsqu'il y a un décès dans un village, presque tous les habitants de ce village

et

même

""*

oês villages environnants viennent assister aux funérailles qui

à"rJ"nt durer deux à

trois

jours ;

pendant

ce

temps,

il est

difficile

de

mobiliser

quelqu,un,

ce qui

oblige

à iespe6er te temps

social

des

populations pour plus d'efficacité.

Dans certains villages,

il

a été difficile

de

mobiliser toute la famille entière, les informations ont eie rec,reiilies auprès des membres présents (Père, Mère)-

La mobilité de la population dans la zone pour des raisons diverses (migration de travair vers re

Ghanl, raèot" o,tr"i*

... absence pour cause de funéraiiles) n'a pas

Ë;;;i; àL-r-Aanir-æs iiiffiïi6îTüiiles

sur certains qui étaient positifs'

Les mouvements de population dans l'espace peuvent jouer un role notable dans

la

transmission

de la

matadie. Dans

le cas de

l'onchocercose,

le

déplacement de populations

d'une

zone

à

risque vers

une

autre

zone où la

maladie semble être

(5)

4

maîtrisée peut expliquer en partie ta recrudescence de celle-ci par sa transmission dun sujet contaminé à un sujet sain.

D,une façon générate, on distingue deux principaux types de migration dans le bassin de la Bougouriba :

- les migrations de travail ;

- et les migrations agricoles.

1.1. Miqrations de travail

Ce

ÿpe de

migration

est

essentiellement dirigé

vers la Côtedlvoire

pour la majorité

deï

migrantsl ainsi

que le

Ghana voisin

à

cause Oe§-Jien:Jéculaires de parenté qui existent Ëntre

r""'poprr",i'o*-oà-ià cett@

ou

Ghana.

pendant la période des enquêtes, on a constaté qu'à Zoulo parmi!a population à

ar

nt,,c rta 3ol^ rte

celleci

avail mioré en Côte d'tvoire. près de 2,5o/o au Czhanai enquêter,plus de 37o de

celle{i

avait migré e,n Çôte d'lvoire. I

plus de 6ÿo dans une ville du Burkina (Bobo-Dioulasso surtout)

La majorité de celles-civenait à peine de partir (moins d'un mois) les autres étant partis depuis plus d'un an.

N'étant pas présents au moment des enquêtes, il était difficile de savoir toutes les raisons de leur déplacement et surtout la durée.

Depuis un certain temps (année 1985) un vaste mouvement de jeunes tout sexe confondu (parfois des enfants

de

moins de 15 ans) est dirigé vers la ville

de

Bobo- Dioulasso àt, itr y exercent des emplois domestiques pendant une période de I'année (en saison sèche).

Les individus concemés sont en majorité du sexe masculin pour ce qui est de la mlgration vers les pays voisins. L'âge moyen des migrants en général varie entre 20 et 30àns ; les raisons essentielles sont d'ordre familial'

1.2. Miqrations aqricoles On y distingue :

- les migrations agricoles organisées et les migrations agricoles spontanées.

1.2.1. Miorations aqricoles oroanisées

Elles concement les zones libérées de I'onchoceræse et qui ont été aménagées par I'ex-AW (Aménagement des Vallées des Volta) pour leur recolonisation.

(6)

5

Les populations concemées sont surtout originaires des villages de la province de la Bougouriba ainsi que celles des régions surpeuplées

du

pays (plateau mossi)

il existe des probtèmes de disponibitité en tenes agricoles. Les villages concemés dans cette catégorie et quifont l'objet de la présente enquête

sont

le

Vl

(KOROGNON) et le

v2

(PABON).

1.2.2. Miqrations aqricoles spontanées

ll

s'agit essentiellement des mowements

de

populations autochtones (Dagara surtout) venues des viltages voisins relativement surpeuplées (Dano, Dissin, Guéguéré) à la rectrercfre de tenes fertiles.

tl

y a

aussi les migrants agricoles originaires

du

nord du pays exclusivement cr.rltivateurs mossi accompagnés dun groupe de dépendants de sept à dix personnes.

i

t

En dehors des villages

AW

tous tes autres viltages sont concemés surtout Zoulo I I et Mowiolo.

rl

1.3. Situation de la miqration dans les villaqes touchés par l'enquête Cas du villaqe de Zoulo

Dans ce village 52 familles devaient être enquêtées pour une population totale de726 habitants; mais ce sont 51 familles qui ont été enquêtées pour une population de718 personnes.

llfaut faire remarquer au passage que l'analyse des résultats tiendra compte des individus qui n'ont pas répondu à certaines questions.

l'1

Dans ce vitlage de Zoulo, plus de 90 o/ode la populalion enquêtée sont des natifs

È

. .

I

I *1L"f,-3

o/odenon

natifs. k9 U:? 7 r*Lj- ,k Sr32

n*ô."r^ÈC,-\

ll (cgy-e, s v;?% v''t ,i*%ileî^a ,-0,*ae,,-,-) {) '

\

Pour les non natifs, seul un individu a pour village d'origine Accra (Ghana), sinon les autres viennent du bassin de la Bougouriba (entre autres des villages de Kokolibou, Zambo, Yokiare etc... ).

Les raisons du déplacement évoqué sont par ordre d'importance le mariage (plus de 65 %), puis la famille (plus de 10 %) et le reste, la recfterche de tenes fertiles.

Parmi tes non natifs, seulement un individu a vécu ailleurs hormis le village de Zoulo au cours des dix demières années ; plus de 90 7o avaient leur village ou leur lieu de travail à proximité d'un cours d'eau.

Quant à la population native, un peu plus de 5 % ont vécu au moins 6 mois hors du village au cours des dix demières

années. =

Les pays de séjour sont par ordre d'importance l'intérieur du Burkina (Banfora, Bobo-Dioulasso, etc...), la Côted'lvoire, puis le Ghana.

(7)

6

Les

principales

activités

pratiquées

sont

I'agriculture

(plus de 60

o/o)' le

commerce, ta pêctre et les emplois domestiques'

La majorité de ces migrants (plus de 80 %) avait leur lieu de travail proche d'une rivière dans les zones d'accueil. La durée moyenne de séjour varie entre 6 mois et plus de deux ans.

(8)

II- TRAITEMENT A L'MERMECTINE

Selon les

informations recueillies l'ivermectine peut être situé entre 1991 et traitement communautaire.

7

auprès des villages, le traitement

à 1995.

En

outre

il n'a

jamais existé de

tt.1. Connaissance de t'onchocercose par les populations

Les

populations

dans leur

ensemble

ont une faible

connaissance de I'onchocercose-;jusque-tà, beaucoup ignorent que cette maladie est transmise par une petite mouche (la simulie). Cette affirmation doit être

nuanée car

bien

que

liant la

matadie

à

proximité des rivières, beaucoup sont encore incapables

de

reconnaître la simulie.

Toujours au niveau de ta connaissance de l'onchocercose, lors des entretiens collectifs, ii est ressorti que la population a du mal à faire la relation entre la maladie et la simulie.

Les démangeaisons, les

§stes,

tes maux d'yeux sont atribués soit à I'eau ou à des végétaux qui sêraient responsables de ces

maux

llest ressorti aussi qu'il y a une recnrdàscence des simulies surtout en année de bonne pluviométrie depuis l'anêt des traitements anti-vedorie I s exécutés par f O C P.

Les viltages tes plus touclrés sont ceux de ll'ex-AW, et les villages qui sont situés le long de ta Bougouriba (Zoulo, Mouviolo, Bobra-Gogo, etc...).

A

Zoulo,

plus

de 50 % de ta population ne sait pas ce qu'est l'onchocercose ;

cette proportion est composée en majorité des enfants de moins de dix ans qui n'ont aucune connaissance en la matière (plus de 45% de la population enquêtée). Dans les tranches d'âge de 10 ans à 50 ans plus soit plus de 55% de la population enquêtée, au moins 96ÿo savent ce qu'est I'onchocercose.

Le tableau suivant illustre cela : Connaissance de l'oncho Groupe d'âge

Oui Non Total

00-04

05{9

10-14 15-19 20-29 30-49 + de 50 ans

00 26

31

48 95 56

B6 159

27 17 31

20

86 185

58 65 126

79

Total 256 340 596

(9)

8

Par contre, chez les individus déctarés positifs, plus de 60 o/" savent ce qu'est lonchocercose. La fropottion de cer-o<

lui

fignoient demeure néanmoins très élevée' un peu plus &4Oo/o.

11.2. Traitement contre l'onchocercose

Pour t'enquête sociologique, on est parti de I'hypothèse que les personnes qui ont reçr.r un traitement contre lloncl-rocercose sont supposés être des cas positifs'

Pour la population de Zoulo dans son ensemble, seulement

6'5 % a

reçu un traitement contre l'onchocercose, soit 39 personnes.

De façon générale, le traitement est fait

à

!a notézine (entre 1980

et

1989) à l,ivermectineientre 1991 et 1995) et avec autres médicaments'

Lesrésuttatsdecetteenquêtecorretésàceuxdelademièreévaluationde

[O.C.P. au mois de novembre donnent126 positifs;

Le tableau qui suit donne une répartition des positifs par groupe d'âge

et

par

sexe.

;,

10 13 55

a:

;

3

I

23 10

;

7 5 32

,:

00{4

05-09 10-14 15-19 20-29

3049

+ de 50 ans

Masculin

(10)

9

Plus de 99 o/o des positifs sont des agriculteurs, le reste étant des pêcheurs.

Plus

de 95 % ont leur lieu de travail proche d'un cours d'eau ; seulemenl24 %

des

posi

t plus de 5 % sont

des non natifs. Plus de 90 o/o n'ont pas vécr.r hors du village au cours des dix dernières années.

Parmi ceux qui ont vécu hors de Zoulo, au moins pendant

6

mois au cours des dix demières années, les pays de séjour sont par ordre d'importance la

Côte{'lvoire,

le Ghana et I'intérieur du Burkina (région de Banfora, frontière de la Côted'lvoire).

Parmi ceux+i, au moins 80 o/o avaient leur lieu de travail à proximité d'un cours d'eau.

Les activités pratiquées dans les pays d'accrreil sont par ordre

:

I'agriculture (près de 80 %), puis la pêche et autres activités. 8,5 o/o seulement des positifs ont vécu au moins 6 mois à I'extérieur au cours des dix demières années.

Les zones d'accueil sont par ordre

la

Côted'lvoire, le Ghana

et la

région de Banfora au Burkina.

11.3. Traitement à l'ivermectine

PIus de 85 o/o des positifs ont reçu un traitement à l'ivermectine ; les années de traitement se situent entre 1991 et 1995.

Au

cours

des

enquêtes,

la

population exprimait des difficultés

à

reconnaître l'ivermectine, on a dü demander la couleur, les effets secondaires après les prises. Les résultats

de

l'évaluation ont été nécessaires pour que les personnes interogées ne nous mènent sur de fausses pistes.

(11)

l0

.2

ItI. CONCLUSION/RECOMMANDATONS

Arx

termes de cette étude migration, on remarqu-e 9ue la majorité des positifs sont

des

natifs

dont

une

faible

pro-portion

a

connu-l'émigration

au cours des

dix demières années.

peuton

concture

àbrs

qu'ir

y a

une recnrdescence

de la

maladie dans re bassin de ra Bougouriba d'autant ptuà quê res popurations ont signalé çà et la

;é,*;

de simuliè oepüis fanêt des traitements des cours d'eau surtout en année de pluviométrie normate,

é

quin'a pas été le cas cette campagne (95/96)'

Le traitement à l,ivermec{ine n'a débuté qu'en 1991

et il

ne concemait que les positifs âéclarés tors des demières évaluations ,-it est à signaler aussi qu'il n'a iamais âxisté de traitement communautaire dans la zone'

Les recommandations suivantes peuvent être formulées :

- Compte tenu de la faible

connaissance de la population

étudiée

sur l'onchocercose,

il serait

important de

if;:##;.1în

enet, dans teurs récommandations, les populations souhaiteraient la

,7t"p";;Ë i; irft" ;ti-;ectorietle

comme.par le

p,"ttt;.1,9^"1::ld:,f§.,'*":Î,'lît?I

i=,.Ëi:î;";riir';àsormais

massivem"nt

ton

'des dépistages

afin qu'on

soigne les

malades déclarés-

il

- En cas de traitement communautaire, les populations souhaitent qu'on associe

-+ [les

agents communautaires de santé des villages'

-

Compte

tenu du

niveau d'organisation

de chaque village, le

traitement

communautairL n'est possible que dans iês villages A.V.V. avec une responsabilisation totale Oes responsablLs de ces villages. Pour

lei

autres villages, la programmation doit tenir compt"

â,

temps social et des ôutumes de la zone (funérailles surtout).

- En cas de

traitement communautaire,

et pour plus

d'efficacité,

il

faudra nécessairement associer tes responsables de I'Administration (Préfet..-), les agents des

services techniques

décentralisés

(CRPA,

Environnement

et Tourisme "'),

les

animateurs du Projet VARENA-

Le traitement devra prendre en compte tous les villages

qui

ont

fait

I'objet de l,enquête ainsi que certains autres pour que des villages ne se sentent pas délaissés'

?

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