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Détermination expérimentale de la perte d'énergie, des parcours et de la dispersion d'un faisceau de particules alpha de 54,4 MeV dans quelques éléments

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Academic year: 2021

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(1)

HAL Id: jpa-00206627

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00206627

Submitted on 1 Jan 1968

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Détermination expérimentale de la perte d’énergie, des parcours et de la dispersion d’un faisceau de particules

alpha de 54,4 MeV dans quelques éléments

Tran Minh Duc, A. Demeyer, J. Tousset, R. Chery

To cite this version:

Tran Minh Duc, A. Demeyer, J. Tousset, R. Chery. Détermination expérimentale de la perte d’énergie,

des parcours et de la dispersion d’un faisceau de particules alpha de 54,4 MeV dans quelques élé-

ments. Journal de Physique, 1968, 29 (2-3), pp.129-135. �10.1051/jphys:01968002902-3012900�. �jpa-

00206627�

(2)

LE JOURNAL DE PHYSIQUE

DÉTERMINATION EXPÉRIMENTALE

DE LA PERTE

D’ÉNERGIE,

DES PARCOURS ET DE LA

DISPERSION

D’UN

FAISCEAU

DE PARTICULES ALPHA DE

54,4 MeV

DANS QUELQUES ÉLÉMENTS

Par TRAN MINH

DUC,

A.

DEMEYER, J. TOUSSET,

R.

CHERY,

Institut de

Physique

Nucléaire de Lyon

(France).

(Reçu

le 21

juillet 1967.)

Résumé. 2014 On a déterminé les parcours des

particules alpha

de 54,4 MeV dans le cuivre,

l’argent,

le terbium, le thullium et l’or par des courbes de transmission avec mesures de courant.

Les pertes

d’énergie

et la

dispersion

du faisceau

après

passage dans une

épaisseur

donnée sont

mesurées avec des détecteurs à

jonction.

Abstract. 2014 The ranges of 54.4 MeV

alpha particles

are determined in copper, silver, terbium, thullium and

gold by

transmission curves with current measurements.

Energy

losses

through

a

given

thickness and

straggling

are determined with solid state detectors.

Introduction. - La connaissance de l’interaction des

particules charg6es

avec la matiere

pr6sente

un

grand

intérêt en

physique nucl6aire,

notamment en

ce

qui

concerne le

probl6me

des cibles dans les accelerateurs.

Le

pouvoir d’arret,

ou

perte d’énergie unitaire,

est

exprime

par la relation

classique

de Bethe et

Living-

stone

[1].

De nombreux travaux

th6oriques

et

experimentaux

ont 6t6 men6s dans ce domaine

[2], [3], [4], [5], [6], [7], [8]

et il existe des tables tres utiles

[9], [10], [11]

donnant le

pouvoir

d’arret et le parcours des

parti-

cules en fonction de leur

6nergie

dans divers

elements,

mais elles

présentent

malheureusement des

approxi-

mations ou des lacunes pour certaines combinaisons element

cible-particule

incidente.

Dans le cadre de

l’analyse

par activation avec

particules charg6es

et pour 1’etude dans la

region

des

terres rares des fonctions d’excitation des reactions dues aux

particules alpha

de

54,4 MeV, produites

par le

synchrocyclotron

de

Lyon,

nous avons 6t6 amenes a determiner

experimentalement

le parcours des

particules alpha

dans le terbium et le

thullium,

ainsi que les

pouvoirs d’arrêt;

nous nous sommes

attaches aussi a mesurer la

dispersion

en

6nergie

du

LE JOURNAL DE PHYSIQUE. - T. 29. NOS 2-3. FEVRIER-MARS 1968.

faisceau due au «

straggling » apres

travers6e de

diverses

6paisseurs

de ces absorbants. L’6tude est

6tendue au

cuivre,

a

l’argent

et a l’or.

Dispositif expérimental.

- Deux

techniques experi-

mentales ont ete mises a 1’oeuvre. L’une est bas6e sur

la determination de la transmission du faisceau direct

en fonction de

1’epaisseur interpos6e,

par des mesures

de courants. Un

systeme

ralentisseur

[12]

constitue

de trois

disques

tournants

pr6sente

sur le faisceau divers absorbants d’un m6me element dont les combi- naisons couvrent la gamme des

epaisseurs

allant de

zero au parcours R des

particules alpha

dans cet

element. Derriere ces

disques

se trouve

l’int6grateur

de courant se

composant

d’une cage de

Faraday

reli6e a un convertisseur

tension-fréquence type

Vidar 260.

La deuxieme

technique

utilis6e consiste a inter- poser le materiau 6tudi6 sur le faisceau diffus6 sous un

angle

de 15° par une mince cible d’or

(5,85 mg/cm2 d’6paisseur)

et a mesurer

1’energie

des

particules

transmises en les recueillant sur un d6tecteur a

jonction

a barrière de surface dans

lequel les particules alpha perdent

toute leur

6nergie.

Les chambres de

reactions utilis6es ont ete d6crites ailleurs

[13].

9

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphys:01968002902-3012900

(3)

130

FIG. 1. --

Emplacement

et schemas du

systeme

ralen-

tisseur-cage

de

Faraday

et chambres de reactions.

La

figure

1

indique

les

emplacements

et les schemas du

systeme ralentisseur-cage

de

Faraday

et des cham-

bres de reactions.

Rdsultats. - PARCOURS. - Les parcours dans le

cuivre, l’argent,

le

terbium,

le thullium et l’or des

particules alpha

sont determines par les courbes de

FIG. 2. -

Exemple

d’une courbe de transmission

(ter- bium).

Ro est le parcours moyen

correspondant

a la

transmission moitie ; Regt est le parcours

extrapolé.

transmission du faisceau

(fig. 2).

Les resultats sont

rassemblés dans le tableau I et

compares

aux donn6es

de

Williamson, Boujot

et Picard

[11].

FIG. 3. -

Déplacement

des

pics

du

spectre

en

6nergie

des

particules alpha

transmises en fonction des

6paisseurs

de terbium

interpos6es.

(4)

TABLEAU I

PARCOURS DES PARTICULES OC DE

54,4

MeV

LES PARCOURS

(a)

ET

(b)

SONT CALCULES

SUR LE GADOLINIUM ET L’ERBIUM PARCOURS EN

mg/cm2

PERTES D’ENERGIE. - Les pertes

d’énergie

subies

par les

particules alpha apr6s

passage dans divers absorbants ont ete mesur6es

d’après

le

deplacement

des

spectres

en

impulsions

des

particules

d6tect6es

par la

jonction ( fig. 3).

Le test de la m6thode de mesure a ete effectu6 en mesurant les

pertes d’énergie

dans

l’aluminium,

les

resultats sont en bon accord avec les donn6es de

Williamson, Boujot

et Picard

[11] ( fig. 4).

FIG. 4. - Pertes

d’6nergie

dans F aluminium. Le trace

correspond

aux données de Williamson et al.

[11].

Eryatum. - En abscisses, lire :

mg/cm2.

D’autre

part,

on atteint les pertes

d’6nergie

dans

le terbium et le thullium en mesurant de

faqon

diffe-

rente

l’énergie

des

particules alpha transmises;

l’éner-

gie

de ces derni6res est d6termin6e par mesure de leurs parcours moyens dans

l’aluminium,

les relations

parcours-énergie

6tant extraites des tables de William- son,

Boujot

et Picard

[11].

FIG. 5. - Pertes

d’6nergie

dans le terbium. Les resultats

proviennent

de deux series de mesures, l’une avec

detecteur a

jonction,

1’autre par mesure de parcours dans l’aluminium.

Les deux series de resultats sont coh6rentes comme

le montre la

figure

5.

Les resultats sur le

cuivre,

le thullium et l’or sont

rassembles dans la

figure

6.

PRECISION DES MESURES. - Parcours. - La valeur donn6e pour le parcours dans

chaque

element est le

r6sultat d’une moyenne sur trois mesures en

regle g6n6rale,

pour

chaque

cas 1’ecart entre une mesure

et la moyenne est

toujours

inferieur a 5

mg/cm2.

Pour le

thullium,

nous avons fait une dizaine de

mesures

qui

donnent une moyenne :

Perte

d’inergie.

- Les

pics

des spectres en

énergie

dans les cas les

plus d6favorables,

c’est-a-dire vers les

grandes absorptions,

sont determines a un canal

pr6s,

ce

qui correspond

a une

imprecision

de 300 keV sur

les pertes

d’énergie.

Dans les cas les

plus favorables,

nous pouvons

esp6rer

une

precision

de 50 keV.

(5)

132

FIG. 6. - Pertes

d’6nergie

dans le cuivre,

1’argent,

le thullium et l’or.

Les traces

correspondent

aux donn6es de Williamson et al.

[11 ] .

Fluctuations sur les

pertes d’energie. « Straggling ».

-

Le

phénomène

de fluctuations des parcours dues aux collisions

6lectroniques

des

particules alpha

traversant

une

6paisseur

mat6rielle provoque une

dispersion

en

6nergie

du

faisceau,

meme si ce dernier est a

1’origine

monocinétique.

On

peut

assimiler cette

dispersion

ou

«

straggling »

a une distribution

gaussienne, dispersion qui s’ajoute

a la

dispersion

propre du faisceau incident

experimental,

elle-meme de forme

gaussienne.

Le

parametre qui

definit la

dispersion

totale du faisceau

(6)

TABLEAU II

PERTES D’ENERGIE DES PARTICULES OC DE

54,4

MeV

AVEC DISPERSION EN ENERGIE INTRODUITE PAR ABSORPTION

STRAGGLING

»)

apr6s

travers6e de

l’absorbant,

le carre de la deviation standard ou

variance,

est donc la somme des variances.

On peut ainsi obtenir la

dispersion

en

6nergie

du

faisceau introduite par «

straggling »

en prenant la difference des carr6s des

largeurs

a mi-hauteur 03A92 et

Qo

des

pics

du spectre en

6nergie

des

particules alpha

avec et sans absorbant

(fig. 3) :

Ici sont tenus comme

n6gligeables

et inclus dans le terme de «

straggling )

les autres elements de dis-

persion

tels que les collisions

nucl6aires, l’inhomog6-

neite ou les

impuret6s

des mat6riaux utilises comme

absorbants.

Les «

straggling >>

en

energie,

pour

chaque element,

en fonction de la perte

d’6nergie

sont

indiqu6s

dans

le tableau II.

La

figure

7

r6capitule

les resultats sur la

dispersion

dans les différents elements. Dans la

region

des faibles

absorptions (zone

de

Landau), la largeur a

mi-hauteur

correspond

a 40

%

de la perte

d’ énergie

et a

partir

d’une perte de 10 MeV elle se stabilise a un taux

d’environ 10

%

de la perte

d’6nergie.

Une meme variation de ce rapport

03A9/Eo -- E,

en fonction de la perte

d’6nergie,

est observ6e pour le «

straggling »

d’un faisceau de deutons de 27 MeV dans de 1’aluminium.

(7)

134

FIG. 7. -

Rapport

de la

largeur

a mi-hauteur de la distribution en

6nergie

sur la

perte d’6nergie

03A9s/Eo - E

en fonction de Eo - E.

TABLEAU III PERTES D’ENERGIE

ET « STRAGGLING » DES DEUTONS DE 27 MeV

Fluctuations sur les parcours. - La

dispersion

des

parcours atteints par les

particules d’energie

incidente

identique

dans un element considéré a la forme d’une distribution

gaussienne

autour d’un parcours moyen

Ro :

Dans la courbe de transmission au parcours moyen

Ro,

c’est-a-dire a la transmission

moiti6,

la pente est

6gale

a

l/B/27ro’ :

Donc,

on peut determiner la deviation standard 03C3R de la distribution autour du parcours moyen

Ro :

Le tableau IV nous donne la

dispersion

en parcours dans les elements etudies.

TABLEAU IV

DISPERSION DES PARCOURS DES PARTICULES ALPHA

DE 54,4 MeV

«

Straggling »

en

dnergie

au parcours moyen

Ro.

-

A la deviation standard 6R

correspond

la deviation standard aE de la distribution en

6nergie

autour de la

valeur moyenne nulle des

particules alpha.

On peut

exprimer

6E comme 6tant la valeur de

1’energie

des

particules

dont le parcours serait

6gal

a 03C3R; en

effet,

celles

qui,

par

exemple,

ont un par-

cours

superieur

au parcours moyen

Ro

de la

quantite

6R,

doivent, apr6s

avoir franchi la distance

Ro, poss6der

une

6nergie

r6siduelle aE suffisante pour leur per-

mettre de

parcourir

encore la distance aR :

La

dispersion

du faisceau due au «

straggling »

est donn6e par la relation :

Dans les conditions

d’experience,

03C3o est de l’ordre de

0,5 MeV,

donc

n6gligeable

devant le terme de

«

straggling

».

TABLEAU V

DISPERSION EN ENERGIE AU PARCOURS

MOYEN Ro ELEMENTS

(03C3s EN MeV

S’il 6tait

possible

d’avoir le

spectre

en

6nergie

des

particules

transmises

apr6s

la distance

Ro,

on aurait

une distribution que l’on peut

approximativement

assimiler a une distribution

gaussienne

autour d’une

valeur non nulle dont la deviation standard serait la moiti6 de la valeur

pr6c6dente

03C3s; la

largeur

a mi-

hauteur serait alors

6gale

a :

(8)

TABLEAU VI

Conclusion. - Les resultats obtenus pour les pertes

d’ énergie

et les parcours sont en assez bon accord

avec les donn6es de

Williamson, Boujot

et Picard

[11]

en ce

qui

concerne le

cuivre,

l’or et

l’argent;

pour le terbium et le thullium

qui

ne

figurent

pas sur les

tables,

nous avons trouve des 6carts avec les valeurs d6duites a

partir

des donn6es pour les elements imm6- diatement

voisins,

le

gadolinium

et 1’erbium. Les

precisions apportees

sur le «

straggling »

nous per- mettent de mieux

appr6cier

la finesse des traces des fonctions d’excitation vers les basses

energies après

ralentissement par

absorption.

Nous tenons a remercier M. L. Feuvrais et M.

J.

R. Pizzi d’avoir mis a notre

disposition

et

leurs conseils et leurs

appareillages.

Nous remercions

6galement l’équipe

du

synchrocyclotron

de son

aimable collaboration.

BIBLIOGRAPHIE

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LIVINGSTONE

(M. S.),

BETHE

(H. A.),

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Thèse Doct.

Ingénieur,

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(J.-L.),

Thèse Doct. ès Sciences

phys.,

Uni-

versité de Lyon, 1966.

DÉSEXCITATION ÉLECTROMAGNÉTIQUE

DU

NIVEAU 4,51

MeV DE 48Ca Par S.

GORODETZKY, J. BRITZ,

P.

CHEVALLIER,

B.

RABIN,

G.

SUTTER,

Institut de Recherches Nucléaires de Strasbourg, France,

et R.

DROUIN,

Faculté des Sciences, Université Laval, Québec, Canada.

(Reçu le 23

septembre 1967.)

Résumé. 2014 On a étudié les modes de désexcitation

électromagnétique

du niveau à 4,51 MeV

de 4gCa au moyen de la réaction

48Ca(p, p’)48Ca.

Les résultats obtenus montrent que le

rapport 03934.51MeV~3,83MeV/03934.51MeV~0MeV

vaut 4 x 10-5 fois le

rapport

calculé à

partir

du modèle

de

Weisskopf.

Abstract. 2014 The

electromagnetic

de-excitation modes of the 4.51 MeV level of 48Ca have been studied

by

means of the

48Ca(p, p’)48Ca

reaction. The results obtained show that the

experimental

ratio 03934.51 MeV ~

3.83 MeV/03934.51 MeV ~ 0 MeV

is 4 10-5 times the ratio calculated

using

the

Weisskopf

model.

Les noyaux doublement

magiques

160 et 4°Ca ont

de nombreuses

propri6t6s

communes. En

particulier,

leurs trois

premiers

6tats excites ont

respectivement

les

spin

et

parite J’03C0

=

0+, 3-,

2+. L’6tat fondamental

est decrit comme une

superposition

d’6tats 0

particule-

0 trou, 2

particules-2

trous et 4

particules-4

trous, dont

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