• Aucun résultat trouvé

TP 4 : Corps finis 1

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "TP 4 : Corps finis 1"

Copied!
6
0
0

Texte intégral

(1)

Université Paris-Sud M1 MFA

Année universitaire 2017–2018 MAO Calcul formel

Corrigé des parties mathématiques des T.P.

TP 3 : Récursivité et récurrence

(7) La matrice M =

0 1 a b

convient.

(8) Ceci se démontre immédiatement par récurrence surn.

(9) Pour calculerxn, on calculeMn en utilisation l’algorithme d’exponentiation rapide dans l’anneau M2(Z). La matrice Mn est de la forme

α β

? ?

, on peut alors calculerαx0+βx1, d’après la question précédente, c’est xn.

(10) La partie principale du calcul est l’exponentiation Mn. Avec l’algorithme d’expo- nentiation, cela demande O(log2n) multiplication dans l’anneau M2(Z). Une mul- tiplication dans cet anneau demande un certain nombre (constant) d’opérations arithmétiques dans Z. On peut donc calculer xn en faisant O(log2n) opérations arithmétiques dans Z.

(12) Comme u est non nul, les vecteurs v tels que (u, v) soit liée sont les vecteurs appartenant à la droite engendrée paru, qui est de cardinalp. Le nombre de vecteurs v tels que (u, v) soit libre est donc p2−p=p(p−1).

(13) Le nombre de vecteurs non nuls u dans F2p est p2 −1. Pour chacun de ces u, il existe p(p−1) vecteursv tels que (u, v) soit une base. Il en résulte que le nombre de bases, c’est-à-dire le cardinal deGL2(Fp)vaut p(p−1)2(p+ 1).

(14) Comme a6= 0, la matrice M est inversible. Comme c’est un élément deGL2(Fp), MN est la matrice identité pour N =p(p−1)2(p+ 1). On a la relation :

xn xn+1

=Mn x0

x1

CommeMn+N =MnMN =Mn, il vient aussitôt que xn+N =xn pour tout n≥0.

(15) On a λ ∈ K× puisque a 6= 0. Comme K× est de cardinal p2 −1, on en déduit λp2−1 = 1.

(16) Le polynôme minimal deλestP; orλest racine du polynômeXp2−1−1d’après la question précédente, donc P divise Xp2−1−1, ce qui est équivalent à la congruence que l’on souhaite démontrer.

(17) Oui, c’est le théorème de Cayley-Hamilton, qui peut aussi se vérifier à la main dans ce cas particulier.

(18) CommeP est une polynôme annulateur deM, la matriceR(M)obtenue en appli- quant un polynôme R àM ne dépend que de la classe de congruence de R modulo P. Les questions précédentes permettent donc de conclure.

(2)

(19) L’argument est identique à celui de la question (14).

(20) On commence par calculer le reste rde la division euclidienne de n parp2−1. On calcule ensuitexr comme dans l’algorithme de calcul dexn, à la différence près que l’on peut faire les calculs dans M2(Fp)plutôt que dans M2(Z).

(21) Dans F7[X] on a X2−2X−2 = (X −1)2−3. Les carrés dans F7 sont 0,1,4,2, donc 3 n’est pas un carré. Ainsi, X2 −2X −2 est irréductible sur F7. D’après ce qui précède, la suitexn est72−1 = 48-périodique.

(22) La suitexnétant48-périodique,xn =xr oùr est le reste de la division euclidienne de n par 48. Pour n = 510000, on peut calculer ce reste par exponentiation rapide modulo 48. On obtient r= 1, donc xn=x1 = 1.

(23) Le plus petit entier d vérifiant xn+d = xn pour tout n ≥ 0 doit être un diviseur de 48 = 24 ·3. Pour conclure que d = k = 48, il suffit donc de vérifier que la suite xn n’est ni 16-périodique ni 24-périodique. C’est effectivement le cas, puisque x17= 46=x1 et x25= 66=x1.

TP 4 : Corps finis 1

(8) On aCardF×32 = 31qui est premier, donc tout élément x∈F×32\ {1} engendreF×32 (puisque son ordre divise 31 et n’est pas égal à 1).

(9) Le polynôme P = X3 −X + 1 est de degré 3 et sans racine dans F3 car P(0) = P(1) = P(−1) = 1 en notant n ∈ Z/3Z = F3 la classe de n ∈ Z. Donc P est irréductible sur F3.

TP 5 : corps finis 2

(1) En calculant P(0), . . . , P(4) on voit que P n’a aucune racine dans Z/5Z = F5. CommeP est de degré 2, on en déduit que P est irréductible sur F5.

(2) Comme P est de degré 2, on a CardK = 52 d’où CardK× = 24. Si y = z2 avec z ∈ K× alors y12 = z24 = 1. Pour démontrer la réciproque on peut procéder d’au moins deux façons.

— Notonsω un générateur du groupe cyclique K×. soit y∈K× tel que y12= 1. Il existe ` ∈ Z tel que y = ω`. On a alors ω12` = 1 donc 24 divise 12` (car ω est d’ordre 24). Donc ` est pair : en posant z =ω`/2 on obtient y=z2.

— L’homomorphisme de groupes de K× dans lui-même qui envoie x sur x2 a un noyau de cardinal 2, formé par 1 et−1(avec16=−1carK est de caractéristique différente de 2). Donc le cardinal de son image I est égal à 12CardK× = 12. En notant E l’ensemble des y ∈ K tels que y12 = 1, on a vu précédemment que I ⊂ E. On a donc 12 ≤ CardI ≤ CardE ≤ 12 (car le polynôme X12 −1 a au maximum 12 racines dans le corps K). On en déduit CardI = CardE, puis I =E.

(3)

(3) Par hypothèse on a P(x) = 0 c’est-à-dire x2 = 2. On a donc x12 = 26 = 43 = (−1)3 =−16= 1 (où les entiers−1,1,2,4sont vus dansK, et plus précisément dans son sous-corps premier Z/5Z) ; évidemment Sage aurait aussi permis de constater quex12 = 4. En tout cas x n’est pas un carré, d’après la question(2).

(4) CommeU2−xest un polynôme de degré 2 sans racine dansK (d’après la question (3)), il est irréductible donc on peut bien considérer son corps de rupture L. On a Q(X) = Qd−1

i=0(X−u5i)oùdest le plus petit entier tel queu5d =u(cf. la proposition 4.36 du poly). On peut aussi calculer Qdirectement, en procédant comme suit. On a degQ = [F5(u) :F5] = [K(u) : F5] car K ⊂F5(u) puisque x= u2. Le théorème de la base télescopique donnedegQ= [K(u) :K]·[K :F5] = 2·2 = 4. En outre on au4 =x2 = 2 doncX4−2est un multiple deQ. Ces deux polynômes sont unitaires et de même degré : ils sont égaux, et Q(X) = X4−2.

(5) Commeu4 = 2 on a u16 = 24 = 16 = 1 : l’ordre deu divise 16. Comme CardL× = (CardK)2−1 = 624, u n’engendre pas le groupe L×.

(6) L’ordre deu+u2 divise 624. Si ce n’est pas 624 alors il divise624/ppour un certain nombre premierpqui divise 624. Sage montre que624 = 24·3·13, et que(u+u2)312, (u+u2)312, (u+u2)208 et (u+u2)48 sont différents de 1. Donc u+u2 engendre le groupe L×.

(7) Avec Sage on constate que R(v) 6= 0 pour tout v ∈ Z/5Z. Donc R est de degré 3 sans racine dans F5 : il est irréductible sur F5.

(8) Sage permet de même de vérifier queR(y)6= 0 pour touty ∈L.

(9) L’injection F5 → L fournit un plongement de M = F5[V]/(R) dans LM = L[V]/(R).

(10) On a [LM : L] = degR = 3 donc Card (LM) = (CardL)3 = 512. Pour chaque d∈ {1,2,3,4,6,12}, LM admet un unique sous-corps de cardinal5d. Il s’agit, dans l’ordre, deF5, K, M, L, K[V]/(R)et LM. Pour K[V]/(R), on le plonge dans LM en procédant comme à la question(9) à partir de l’injection K →L.

(11) Commeu+v ∈LM avec[LM :F5] = 12, on a (u+v)512 =u+v donc l’ensemble des racines de S est stable par le morphisme de Frobenius x 7→ x5. Comme les coefficients de S sont des polynômes symétriques en ces racines, ils sont eux aussi invariants par ce morphisme, donc ils appartiennent àF5.

(13) Comme S est unitaire et irréductible sur F5, la relation S(w) = 0 montre que S est le polynôme minimal dewsurF5. DoncF5(w)est une extension deF5 de degré degS = 12, contenue dans LM : c’est LM.

(15) Soit q ∈ {5,53,54}. Le polynôme minimal de w sur le sous-corps de LM à q éléments est Qq−1

i=0(X−wqi), où d est le plus petit entier strictement positif tel que wqd =w. Pourq = 5 on retrouveS (voir la question (13)).

(4)

TP 6 : Corps finis 3

(1) Sage permet de vérifier queP n’a aucune racine dans F7. Etant de degré 3, il est donc irréductible sur F7.

(2) On aCardK = 73 = 343 car degP = 3.

(3) Comme F7 est un corps fini, tout corps de rupture de P en est aussi un corps de décomposition. Les racines de P dans K sontu, u7 etu72 =u49.

(4) Voir T.P. 5, question (2).

(5) Sage permet de vérifier que Q n’a aucune racine dans K. Etant de degré 2, il est donc irréductible sur K. Une méthode plus directe pour prouver que Q n’a aucune racine dansK consiste à constater grâce à Sage que(−1−u)171=−1et à appliquer la question (4).

(6) Il suffit de poserR(V) = Q5

i=0(V −v7i)car v76 =v puisque [L:F7] = [L:K]·[K : F7] = 2·3 = 6.

(7) On au=−1−v2 ∈F7(v)doncL⊂F7(v)puisqueL=K(v) =F7(u, v). L’inclusion réciproque étant évidente, on a [F7(v) : F7] = [L : F7] = 6 (d’après la preuve de la question précédente). Le polynôme minimal de v sur F7 est donc de degré 6 ; il divise R puisqueR(v) = 0, et est unitaire donc c’est R. Donc R est irréductible sur F7.

(8) Comme[L : F7] = 6, les sous-corps de L sont en bijection avec les diviseurs de 6.

Ce sont F7, K, L et un sous-corps de degré 2 sur F7.

(9) Sage permet de constater que 3171 = −1 dans K; il s’agit en fait d’un calcul dans le sous-corps premier F7 = Z/7Z, qu’on peut faire à la main en constatant que 33 ≡ −1 mod 7 et 171 = 3·57. On a de même (−1)171 = −1. Il suffit alors d’appliquer la question(4).

(10) On a w72 =v72+74+76 =w car v76 =v (voir la preuve de la question(6)). Notons L0 le sous-corps de L de degré 2 évoqué à la question (8); il est de cardinal 72. Le morphisme de Frobenius F associé à L0 est défini par F(x) = x49. Comme [L : L0] = 3 et v ∈ L, on a bien F3(v) = v (ce qu’on a utilisé précédemment sous la forme v76 = v). La conclusion F(w) = w signifie w ∈ L0. Sage montre que le polynôme (X −w)(X −w7) est à coefficients dans F7, ce qu’on pouvait prévoir puisque F7(w)⊂ L0 avec [L0 :F7] = 2. Sage montre aussi que w7 6=w, c’est-à-dire w6∈F7.

(11) D’après la question (10) on a w6 6= 1 et w48= 1, avec 48 = 6·23. Sage permet de déterminer l’unique entier i ∈ {1,2,3} tel que w6·2i = 1 et w6·2i−1 6= 1. On a alors w6·2i−1 =−1, donc w0 =w3·2i−1 vérifie w02 =−1. Par ailleurs −3 est un carré dans F7, en tant que quotient de deux non-carrés ; et en effet on a −3 = 22 dans F7. Donc 2w0 est une racine carrée de 3 dans L. Le sous-corps L0 des questions (8) et (10) est donc F7(w0) =F7(w).

(14) Une base de B surF5 est formée par 1, x,x2, . . . , x9.

(16) Si P était irréductible, on auraitB =F510 =F5(x) donc n = 10, ce qui n’est pas le cas.

(5)

TP 8 : Résultants

(3) Pour(x, y)∈R2 posons Px(T) = T3+T2−x etQy(T) =T −T3−y. Alors (x, y) est sur la courbe si et seulement si Px et Qy ont une racine commune t ∈ R. Le problème est que le résultant détecte l’existence d’une racine commune dansC. Or sit ∈Cvérifiet3+t2 =x∈Rett−t3 =y∈R, alors par somme on at2+t=x+y d’où x = t(t2+t) =t(x+y). Si x+y 6= 0 cela donne t = x+yx ∈ R; si x+y = 0 alors t2 +t = 0 donc t ∈ {0,−1} ⊂ R. Donc si pour x, y ∈ R il existe t ∈ C tel que Px(t) = Qy(t) = 0, alors t ∈ R. Comme degPx = degQy = 3 quels que soientx ety, les points de la courbe sont exactement les couples(x, y)∈R2 tel que Res(Px, Qy) = 0.

(5) Notons Ax(Y) =Y2−x3−2x−1et Bx(Y) = (x−3)2+ (Y −11)2−132, de telle sorte que le cercle de centre(3,11)et de rayon 13 soit l’ensemble des(x, y)∈R2 tels que Bx(y) = 0. Sage permet de calculer Rx = Res(Ax(Y), Bx(Y)). Si (x, y) ∈ R2 est un point d’intersection de la courbe d’équation Ax(y) = 0 et du cercle alors on a Rx = 0. La recherche des racines rationnelles du polynôme RX fournit la liste (finie) des candidats possibles pour x. Il suffit alors, pour chaque telx, d’examiner si il existe des valeurs rationnelles dey telles que (x, y)soit un point d’intersection.

(6) La tangente en (xn, f(xn)) au graphe de f a pour équation Y = f(xn) + (X − xn)f0(xn); elle coupe l’axe des abscisses en un unique point (xn+1,0) sif0(xn)6= 0, et on a alorsxn+1 =xnff(x0(xnn)).

(7) Comme f et f0 sont continues et f0(x) 6= 0, on peut passer à la limite dans la relation de récurrence de la question précédente ce qui donnex =xff(x0(x)) d’où f(x) = 0.

TP 9 : Lemme de Hensel et factorisation dans Z[X ]

(1) La dérivée deP =Xn−1estnXn−1. Sip|nc’est 0 doncXn−1n’est pas séparable.

Sinon la seule racine deP0 est 0, qui n’est pas racine de P, doncP est séparable.

(2) Comme p6 |n, les racines de Xn−1 sont simples d’après la question (1). Il y en a n dans Fp si, et seulement si, F×p possède n éléments dont l’ordre divise n. Or les éléments deF×p dont l’ordre divisen sont ceux dont l’ordre diviseδ = pgcd(n, p−1); ils forment un sous-groupe de cardinalδ car F×p est cyclique. Il y en a donc n si, et seulement si, n divise p−1.

(3) En choisissant aléatoirement x ∈ Z/1312Z et après un petit nombre d’essais, on trouve une valeur telle que x6·1311 6= 1, puisque Z/1312Z est cyclique de cardinal 12·1311. En posant y=x3·1311 on a alors y2 6= 1 et y4 = 1.

(4) SiP =QRavecQ, R∈Z[X]non constants alors on adegQ≤2(quitte à permuter Q et R), Q etR unitaires (quitte à les multiplier par −1, puisque P est unitaire), etkQk≤2degQkPk2 ≤8.

(6)

(6) SiP était réductible (dans Q[X] ou dansZ[X], c’est équivalent car P est primitif et non constant), le polynôme Q de la question (4) se réduirait modulo 17 sur l’un des diviseurs trouvés à la question (5). Comme les entiers de −8 à 8 forment un système complet de représentants de Z/17Z, chaque tel diviseur ne peut provenir que d’un et un seul polynôme Q ∈ Z[X]. On vérifie qu’aucun de ces polynômes Q ne diviseP, donc P est irréductible.

TP 10 : Racines carrées dans F

p

(1) Posonsn= q+12 . Alors on a 2na= (q+ 1)a= 2qx+a =a.

(2) Le groupe cyclique F×p est isomorphe à Z/2qZ. Si a ∈ F×p vérifie a

p

= 1, la question précédente montre quea =x2 en posant x=an avec n= q+12 .

(3) Le groupeGest cyclique, isomorphe à Z/(p−1)Z donc àZ/2nZ×Z/qZ car q est impair.

(4) Comme G est cyclique d’ordre multiple de 2n, il admet un unique sous-groupe H d’ordre2n, et H est cyclique. Notonsρ un générateur deH; alors ρ est d’ordre2n. Les a ∈G tels que a2i = 1 forment un sous-groupe de G contenu dans H; ce sont les éléments de la formea=ρk·2n−i avec0≤k ≤2i−1, et il y en a 2i.

(5) D’après la question précédente il existe `∈N tel que c=ρ`; de plus ` est impair, sinon cserait un carré.

(6) On a z2n−1 = u(p−1)/2 =

u p

= −1 donc z est d’ordre 2n. De même, b2n−1 = a(p−1)/2 =

a p

= 1.

(7) Supposons ces propriétés réalisées à une étape donnée, avec t, z, b, x, k. Alors à l’étape suivante, avec t0, z0, b0, x0, k0 on a x02b0−1 = x2t02z0−1b−1 = x2b−1 = a. En outrez est d’ordre2k donc t0 est d’ordre2m+1 etz0 est d’ordre2m = 2k0. Enfin on a b02k0−1 =b2m−1z02m−1 = (−1)(−1) = 1 car −1 est l’unique élément autre que 1 dont le carré soit égal à 1.

(8) A chaque étape, la question précédente montre que l’ordre de b divise 2k−1 donc k0 = m ≤ k −1 : la valeur de k ∈ N diminue strictement à chaque étape. Donc l’algorithme termine ; à la fin on a b= 1 donc x2 =a.

(11) Lorsque p≡3 mod 4 on a n = 1, et après l’initialisation on a b = 1 : on termine sans passer dans la boucle. On retrouve exactement l’algorithme de la question(8).

Références

Documents relatifs

Sur la fonetion

[r]

De la mˆ eme fa¸ con que les colonnes “proviennent” d’extensions (au sens de la th´ eorie des langages) de colonnes de diff´ erentes matrices de nombres plus petits, les

• La qualité de la rédaction, la clarté et la précision des raisonnements entreront pour une part importante dans l'appréciation de la copie.. • Le barème donné n'est

[r]

Les questions de cette partie sont indépendantes entre elles mais sont utilisées dans les parties suivantes.. Soit x un réel positif

La multiplication par un polynôme xé est linéaire, la dérivation est linéaire, l'application f est donc aussi linéaire.. On suppose maintenant que B est un polynôme propre dont

Lorsque q > 2, on pourra commencer par supposer que 2 est un carré modulo q, puis que 3 est un carré