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I-1 ) INTRODUCTION : CHAPITRE I : GENERALITES

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Academic year: 2022

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(1)

CHAPITRE I : GENERALITES

I-1 ) INTRODUCTION :

L’utilité pratique de la mécanique des fluides est évidente à partir de ses applications technologiques qui couvrent tout un spectre de domaines: aérodynamique, énergétique, hydraulique, turbomachine, génie des procédés, etc. le domaine d’application de la mécanique des fluides, qui consiste à étudier les mouvements de fluide, est extrêmement vaste incluant ainsi, par exemple, domaines de l’aéronautique, la combustion, le nucléaire et l’hydraulique. On s’intéresse en général à deux types d’écoulements:

- Les écoulements externes utiles dans la conception de profils aérodynamiques.

- Les écoulements internes utiles dans la conception de systèmes de combustion, de refroidissement, etc. ...

Bien que très ancienne, la science de la mécanique des fluides a connue un développement très rapide ce siècle. Plus récemment, grâce à l’apport de moyens informatiques puissants et au développement des méthodes numériques, la résolution numérique d’écoulements pratiques complexes incluant les phénomènes de turbulence avec des transferts de chaleur et (ou) de masse, est devenue possible.

Dans quelques cas d’étude en s’intéresse au mouvement d’un corps solide dans l’air. Cependant, il faut souligner que les écoulements considérés sont caractérisés par ses vitesses.

D’une manière générale, les problèmes de la dynamique des fluides sont généralement difficiles à résoudre car les équations de base sont non linéaires. Il est donc impossible de trouver les solutions exactes, sauf dans quelques cas très simples.

Pourtant, l’évolution de la science de la dynamique des fluides a porté ses fruits. Ceci est démontré par l’avancement spectaculaire des secteurs technologiques dans les quels la qualité et l’originalité des solutions des problèmes d’écoulement sont joué un rôle primordial, par exemple dans le secteur du transport (avions, bateaux, voitures, etc. ... ) et de la production d’énergie (turbines, compresseurs, réacteurs, etc. ...). dans

(2)

une grande mesure, ces réussites sont dues aux échanges étroits entre la théorie et l’expérience en dynamique des fluides. Il faut noter que récemment on s’est penché beaucoup plus sur le côté numérique à cause des développements rapides des moyens informatiques puissants.

Néanmoins les études expérimentales gardent leurs importances car elles restent indispensables pour la validation de nouvelles théories.

I-2 )LIGNES DE COURANT :

La ligne de courant est une ligne tangente en chacun de ses points au vecteur vitesse q

.

En effet : soit q

 

uv et OM

 

dydx un vecteur sur la ligne de courant, q

et OM sont parallèles alors on peut écrire dans les coordonnées cartésiennes :

udyvdx0, donc la pente u v dx

dy . Les lignes de courant sont connues aussi par la définition de la fonction de courant qui est constante sur chaque ligne.

Le long de la même ligne de courant on a : Cst, d0

dy 0

dx y

d x

, alors v

x

et u

y

. (I-1)

Fig1 : Lignes de courant et lignes équipotentielles

I-3) LIGNES EQUIPOTENTIELLES :

La ligne équipotentielle est une linge où le potentiel est égale dans tous ses points c-à-d que Cst. Comme est une fonction scalaire définit tel que :

Ψ1

Ψ2

Ψ3

Φ2 Φ3 V

y

x Φ1

(3)

V grad , En coordonnés cartésiennes : u

x

et v y

. De Cst, on peut aussi écrire que dy 0

dx y

d x

(I-2) Donc : udxvdy0, la pente

v u dx dy .

On peut remarquer aisément que le produit des deux pentes 1 dx

.dy dx

dy

Cst Cst

et par conséquent les lignes de courant et les lignes équipotentielles sont orthogonales.

I-4 ) EQUATION DE CONTINUITE :

Quelque soit le domaine D de fluide en mouvement, sa masse m



D(Mt,)d reste constante. d est l’élément de volume.

Nous avons par conséquent :

(Mt,)d 0 dt

d dt dm

D



(I-3) D’après le théorème de la dérivée particulaire

dt

d d’une intégrale de volume d’une fonction scalaire, il vient :

div V d

d t dtd

D D





(I-4) Le domaine D est arbitraire. Nous obtenons l’équation ponctuelle :

div V 0

t

équation de continuité (I-5) Nous avons en effet :

divVdivVV.grad

(I-6) l’équation de continuité peut s’écrit sous la forme:

V.grad divV V t

t div

dt d





(I-7)

et par suite il vient :

divV 0 dt

d

(I-8)

(4)

En coordonnées cartésiennes les équations (I-5) et (I-8) Se traduisent par les équations suivantes :

( w) 0 ) z

v y( ) u x(

t

(I-9) ou ( u) 0

x

t i i

et : 0

z w y v x u dt

d

(I-10)

ou 0 x u dt d

i i

Cas d’un fluide incompressible : Par définition ce sont des fluides tels que : 0

dt d

(I-11) L’équation de continuité s’écrit :

divV0

(I-12) Soit :

V.grad 0

t

(I-13) I-5) FORME INTEGRALE DE L’EQUATION DE CONTINUITE :

L’équation (I-2) peut s’écrit sous la forme intégrale.



D d



S V.ndS0 t

(I-14) En effet l’élément différentiel V.ndS

représente un débit massique élémentaire dq traversant dS :

dqV.ndSVndS

(I-15) La forme (I-11 ) est intéressante quand ne dépend pas de temps, il vient alors : 0

t

V.ndS 0

S



ou



Sdq0 et elle peut être réduite à :

d VdS 0

t S n

D





(I-17) ( I-16 )

(5)

I-6 ) EQUATION DE QUANTITES DE MOUVEMENT : La dérivée par rapport au temps du torseur

 

V D

des quantités de mouvement est égal au torseur des forces extérieures appliquées au domaine D .

     

 



e F

S D

D F T

dtd V (I-18) Cette égalité peut se traduire par:



D Vd



D Fd



STdS dt

d

(I-19) En projetant cette équation sur trois axes trirectangulaires, on obtient trois équations intégrales telles que :

dtd



Duid



DFid



STidS (I-20) Nous allons faire les transformations suivantes pour ramener tous les termes de ces équations à des intégrales de volume, ainsi on a:



D



D

i id

dt d du

dtd u (I-21) Voir démonstration ci dessous

et d dS x

n dS

T ij

D i

S ij j

Si

 



(I-22) Il vient donc :



D





D ij D i i

i d

d x F dt d

du

(I-23)

on peut écrire :

ij i i i

F x dt

du

(I-24) Quand les forces de volume F

dérivent d’un potentiel U et dans le cas des fluides newtoniens, nous avons :

F gradU

donc

x Fi U

(I-25 )

ij pij ij donc

j ij i

i ij

x x

p

x

(I-26)

(6)

Démonstration :

D’une manière générale, si f est une fonction scalaire du point M, montrons que:



D



D d dt fd df

dt

d (I-27)

dtd



Dfd



D

t(f)fdivV

d (I-28)

div V d

dt f d dt df

D

0



 

 

(I-29)

donc (I-24 ) s’écrit :

i f

j ij i i i

x x p x U dt

du







(I-30)

Ceci étant la projection de l’équation vectorielle suivante : gradU grad p f

dt V

d

(I-31) Dans le cas des fluides visqueux on remplace dans (I-30) les composantes de ij par :

ij

k k i

j j

i ij

ij

ij x

u x

u x

e u

2 

 







 

il vient en supposant queet sont invariable :

x ) e (

x u p x U dt

du

y ) e (

y v p y U dt

dv

(I-32)

z ) e (

z w p z U dt

dw

où :

w z v y

u x t dt

d

2 2

2 2

2 2

z y

x

(I-33)

z w y v x V u div

e

(7)

Les équations (I-32) sont les projections sur les axes cartésiens de l’équation vectorielle :

gradU gradp V ( )grad(divV ) dt

V

d

(I-34)

I-7)FORME INTEGRALE DE L’EQUATION DE QUANTITE DE MVEMENT En développant le premier membre de l’équation (I-19), il vient :



D ( V)d



S VVndS



D Fd



STdS t

(I-35)

En utilisant la formule de Gauss, on peut écrire :



D Fd



Dgrad Ud



S UndS

En utilisant la formule n p

T , on obtient :



STdS



SpndS



SdS L’équation (I-35) s’écrit donc maintenant :



D ( V)d



S VVndS



S(p U)ndS



S dS

t (I-36)

Dans le cas où U=g.h, on peut mettre en évidence la pression motrice pg pgh,et écrire :

D ( V)d S VVndS S pgndS S dS

t

(I-37) Par ailleurs comme F g

, l’intégrale DFd

représente le poids mg du domaine D, de sorte qu’ on peut écrire :

D ( V)d S VVndS mgS pndS S dS

t

(I-38) I-8 ) EQUATIONS DE NAVIER-STOKES:

Dans le cas des fluides visqueux incompressibles, edivV0

, les équation ( I-32 ) se présentent sous forme simplifiée :

u

x p x

U dt

du

v

y p y

U dt

dv 

(I-39)

w

z p z

U dt

dw

(8)

Telles sont les équations de Navier-stokes sous forme cartésienne. L’équation vectorielle est :

gradU grad p rot(rotV ) dt

V

d

(I-40)

Si en outre cte( fluide incompressible homogène) on peut faire entrer sous le signe différentiel et écrire :

i

i

i ( p U ) u

x dt

du 

 

 

ou :

grad( p U ) rot(rotV ) dt

V

d

V

est le vecteur de composantes cartésiennes u,v , w . Nous avons : Vgrad (div V) rot ( rot V)

Quand le fluide est incompressible puisque divV 0 , V

se réduit à rot(rotV )

.

Dans le champ des forces de pesanteur, U gh nous obtenons :

i

i

i (p gh) u

x dt

du

ou :

grad(p gh) rot(rotV) dtV

d

(I-42) I-9) TYPES D’ECOULEMENTS :

I-9-1)ECOULEMENT LAMINAIRE ET ECOULEMENT TURBULENT : L'introduction de marqueurs (fumée dans le cas des gaz, colorant pour les liquides), permet d'observer des différences importantes dans le comportement des écoulements des fluides. Dans certains écoulements, les particules marquées diffusent très lentement c'est à dire s'écartent peu les unes des autres, les différentes couches (lamelles) glissent les unes par rapport aux autres sans se mélanger: l'écoulement est dit laminaire. Au contraire dans d'autres écoulements les particules marquées s'éloignent très rapidement de manière "aléatoire, irrégulière, dans toutes les directions

"les unes des autres, on ne retrouve plus de trace de marquage significative très près de l'endroit où le marqueur a été introduit: l'écoulement est dit turbulent.

(I-41)

(9)

D’évidence, l'écoulement sera laminaire à faible vitesse alors que les grandes vitesses provoqueront l'instabilité des particules c'est à dire le caractère turbulent de l'écoulement. En fait, la transition entre écoulement laminaire et turbulent dépend de la vitesse, mais aussi des caractéristiques (viscosité) du fluide, de la forme de l'écoulement(espace fermé -canalisation-; espace ouvert sur une surface à"l'air libre").Il découle de ces propos que, pour un écoulement turbulent, les variables, en un point donné, qui caractérisent l'écoulement varient de manière aléatoire et que la notion d'écoulement permanent ne peut être comprise qu'en moyenne (la valeur moyenne de toute variable caractéristique de l'écoulement étant, alors, indépendante du temps). Au contraire, pour un écoulement laminaire, les fluctuations des variables sont négligeables, à la limite nulles.

I-9-2) ECOULEMENT UNIDIMENSIONNEL ET BIDIMENSIONNEL Dans certains cas particuliers intéressants. L’étude d’un problème physique réel tridimensionnel peut se ramener à l’étude d’un écoulement théorique bidimensionnel ou unidimensionnel. C’est pour quoi, on peut considérer que l’écoulement est de grande étendue suivant l’axe (Oz) est alors sera considéré comme un écoulement bidimensionnel suivant les axes (Ox) et (Oy), et toutes les grandeurs du fluide ne dépendent alors que de deux variables d’espace.

I-9-3) ECOULEMENT INTERNE ET ECOULEMENT EXTERNE :

Les écoulements externes représentent les écoulements autour des obstacles. Les écoulements internes sont ceux de l’intérieur des conduites et qui sont limités par des parois fixes ou mobiles.

I-9-4) ECOULEMENT COMPRESSIBLE ET INCOMPRESSIBLE :

Un fluide est dit incompressible lorsque sa masse volumique ne dépend pratiquement pas de la pression ou de la température. Traditionnellement, les liquides sont considérés comme incompressibles et les gaz sont compressibles, l’approximation fluide incompressible est souvent justifiée pour un gaz s’écoulant à faible vitesse par rapport à la vitesse du son (on montre que le fluide peut être considéré comme incompressible si le nombre de Mach -rapport de la vitesse du fluide à la vitesse du son dans le fluide- est inférieur à 1/3). Ainsi c’est la nature de l’écoulement qui permet

(10)

de distinguer l’écoulement compressible de l’écoulement incompressible et non la nature du fluide.

I-9-5) ECOULEMENT POTENTIEL:

L’hypothèse la plus importante et à partir de la quelle découle la théorie de l’écoulement potentiel, consiste à considérer le fluide comme parfait. Dans lequel tout effet de viscosité est négligé, ce qui simplifie les équations de mouvement de fluide . cette hypothèse est toujours valable loin des parois rigides.

Soit un écoulement permanent incompressible et homogène dont la vitesse dérivé d’un potentiel

V  grad

(I-43)

u x

 

,

v y

 

, w z

La condition de continuité divV 0

conduit à

0

z y

x

2 2

2 2

2 2

(I-44)

Cela élimine les termes de viscosité dans les équations de Navier- stokes par la suite. Les forces de viscosité provoquent de la dissipation énergétique mais elles s’équilibrent entre elles, c’est pour cela quelles ne figurent pas dans les équations dynamique de mouvement.

I-9-6) ECOULEMENT IRROTATIONNEL PLANS : Un écoulement irrotationnel a été défini à partir de rot(V)0

. Une fonction dont le rotationnel est nul peut être toujours représentée par le gradient d’une fonction scalaire

car rot(grad)0, il existe alors une vitesse V tel que Vgrad

et par conséquent un écoulement irrotationnel est dit potentiel.

On peut satisfaire l’équation de continuité en posant :

,

U x y

  Uy x



. : fonction de courant (I-45)

,

Ux x

 Uy y



. : fonction de potentiel (I-46)

(11)

Les fonctions et sont donc liées par les relations : ,

x y



.

y

x



 

(I-47) Rappelons que les courbes Cte représentent les lignes de courant. Les relations montrent que les équipotentielles ( Cte ) sont les lignes orthogonales aux lignes de courant. Le long d'un arc de courbe quelconque AB dans le plan, BA représente la circulation du vecteur vitesse, tandis que

B

A est le flux de fluide à travers cet arc. De la nullité du rotationnel de la vitesse, ou de l’équation de continuité, on déduit

que la fonction de courant est elle aussi harmonique :0 I-10 ) EXEMPLES DES ECOULEMENTS SIMPLES :

I-10-1 )ECOULEMEMENT DE POISEUILLE :

L’écoulement se produise dans une conduite cylindrique de section circulaire. Le fluide est considéré incompressible en écoulement permanent.

Fig2 : Ecoulement de poiseuille dans une conduite cylindrique.

Equations du mouvement :

0

wz yv

ux

(1)

g x

f x u

1 p z

w u y v u x u u t

u

(2)

g y

f y v

1 p z

w v y v v x u v t

v

(3)

g z

f z w

1 p z w w y v w x u w t

w



(4) Hypothèses : Ecoulement permanent unidirectionnel suivant (oz) :

t

, u=0, v=0 . w R

z r

(12)

L’équation (1) se réduit à : 0 z w

L’équation (4) se réduit à : w 0 z

pg

Donc : a

z p

, wa

Ecrivons l’équation en coordonnées cylindriques

r , ,z

: Pour des raisons de symétrie 0

, en plus w est uniforme suivant z :

r . w r 1 r

w w

2 2

=

dr . dw r dr . . d r

1 = a /

Par intégration successive on trouve :

b.log r c

4 ) ar

r ( w

2

Les constantes b et c sont déterminées par les conditions aux limites suivantes : En r = R w = 0 et en r=0 0

r w

alors: b = 0 et

4 caR 2

donc : 2 2 2

R2 r2

R ) W r R 4 ( ) a r (

w

: expression parabolique.

avec

4 W aR

2

expression représentant la vitesse moyenne dans la conduite définit par : WS1

w(r)ds.

I-10-2) ECOULEMEMENT PLAN DE POISEUILLE : L’écoulement se produit entre deux plans parallèles fixes :

Fig3 : Ecoulement de poiseuille dans une conduite cylindrique.

u Y0

x y

(13)

Les conditions aux limites sont : u = 0 pour y y0 on trouve :

La vitesse longitudinale : 2

u ay y

1 y 2 u ay

02 2 max

0 2 2

0  



 

La répartition des vitesses est parabolique.

I-10-3) ECOULEMENT PLAN DE COUETTE :

On considère l’écoulement d’un fluide entre deux plans parallèles dont l’un est fixe et dont l’autre se déplace parallèlement à une vitesse U

. On suppose le fluide - Newtonien

- Iso-volume

- A viscosité constante.

Fig4 : Ecoulement de couette entre deux plans parallèles Equation du mouvement :

On suppose le mouvement : - permanent - établi.

L’équation du mouvement se réduit à : 0

dy u d

2 2

u n’est fonction de x et v = w = 0

Compte tenu des conditions d’adhérence du fluide sur les parois solides, la vitesse en un point quelconque est donnée par :

e u y

le profil des vitesse est linéaire.

y

x e

u

(14)

I-10-4) ECOULEMENT DE COUETTE EENTRE DEUX CYLINDRES:

Fig5 : Ecoulement de couette entre deux cylindres

L’étude de l’écoulement permanent bidimensionnel entre deux cylindres circulaires coaxiaux de rayon R1 et R2 tourne respectivement autour de leur axe avec w1 et w2 . Soit V : la vitesse tangentielle en un point de fluide.

Les équations du mouvement se réduisent à:

dr dp r

V 2

ddrV2 drd

 

Vr 0

2

Les conditions aux limites sont :V(R1)R11et V(R2)R22.Soit aussi p = p1 à r =R1 La solution exacte de ce système d’équations est :

 





   

  2 1

22 12 12

2 1 2 2 2

2 1 2

w r w

R R R

w R

w r R . R

V 1

R R

[(w R w R ) .(r 2R )

p

p 2 2 22 1 12 2 2 12

12 22

1  

)]

R 1 r (1 ) w w ( R R R

logr ) R w R w ).(

w w ( R R

2 2

2 1 2 1 2 4 2 4 1 1 2

1 1 2 2 2 1 2 2 2 2

1     

1ercas: L’un des deux cylindres est au repos (écoulement de couette) ,1 0.

On peut calculer le couple résistant appliqué au cylindre tournant pour la hauteur h de cylindre

22 r 22 )r R2

r (V . r r . . h . R . 2 .

h . R . 2

C



2 2

1 2

2

22

12 .

R R

R . . R . h

4

 

R2

R1

ω1 ω2

V r

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