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Équations du champ, équations du mouvement et
fonctions d’onde. I
Antonio Gião
To cite this version:
31.
ÉQUATIONS
DUCHAMP,
ÉQUATIONS
DU MOUVEMENT ET FONCTIONS D’ONDE. I.Par ANTONIO
GIÃO.
Sommaire. 2014
Après avoir esquissé la déduction des équations du champ dans notre théorie unitaire des champs et de la Mécanique ondulatoire relativiste, nous déduisons les équations du mouvement
pour les fluides élémentaires (de matière et d’électricité) des propriétés essentielles de conservation de deux tenseurs du second ordre (d’énergie-impulsion) à trace non identiquement nulle qui inter-viennent dans les équations du champ, ainsi que de la conservation des vecteurs courants correspondants. La réaction du rayonnement et les forces dépendant du spin des particules et de la non-homogénéité des champs font leur apparition dans les équations quand on opère la transition des particules
infini-tésimales (équations densitaires) vers des particules à masse et charge finies.
LE JOURNAL DE PHYSIQUE ET LE RADIUM. TOME
12,
JANVIER1951,
1. - La Géométrie différentielle
et les
équations
duchamp.
1. Préliminaires. - Considérons unespace continu
VN+1
à un nombrequelconque
N+I
i dedimensions. Il est
touj ours possible d’imposer
àV N +
1une connexion ou structure interne
qui
induit surtoute
hypersurface
VN
deVN+1
une structure internecorrespondante
caractérisée par un ensembled’inva-riants. De
plus, chaque
VN
possède,
parrapport
àl’espace
ambiantV N+1,
une structure externe ouf orme
caractérisée par un autre ensembled’inva-riants. La structure interne de
VN+
lpeut toujours
être choisie
riemannienne,
au moins localement. Celasignifie
qu’étant
donnés desvoisinages
finisDN,l
Id’un
point
quelconque
deVN,1,
onpeut
y définirdes ensembles de
systèmes
de coordonnéesX03BC,
X03BC,
...(p.
= I, N +1)
avec deséquations
detransformation
XtJ- == f03BC
(X1,
...,X IV + 1)
àjacobiens
partout
non nuls dansDN+1.
Tout ensemblede fonctions bornées
de l’un de ces
systèmes
de coordonnées X03BC dansun
D N -1
1 donnépeut
alors êtrepris, quand
ledéter-minant
r[03BC03C5J
o, comme base pour la formationd’un tenseur fondamental I’ en
imposant
à cesfonc-tions,
dansD N + 1,
la loi tensorielleSupposons qu’un
VN+1
Ipeut
être recouvert par unensemble de domaines
D N +1
I tels que, dans touterégion
appartenant
à deuxDN+l
différents :n les coordonnées locales de l’un des
DN+1
I setransforment en coordonnées locales de l’autre
DN+1
Ipar des transformations à
jacobien
nonnul;
90 les
T03BC03BD
de l’un desDA,,,
I deviennentidentiques
aux
T03BC03C5,
de l’autreDN+1
par ces transformations.On dit alors que tout
l’espace
V’N+1
a été pourvud’une structure riemannienne
globale
définie par untenseur fondamental
r,
en d’autres termes queV N+1
est alors une variété riemannienneglobale
ou unespace de Riemann
global.
Soient X03BC = X03BC
(x1, ...,
XiV)
leséquations
del’hypersurface
VN
deVN , 1,
lesxi (i
= I,...,
N)
désignant
des coordonnées internes deVN.
Toutepartie
deVN,
où les dérivéesd,ixi dl,,Yp- ... d, Xk
de cesfonctions sont bien
définies
jusqu’à
l’ordrep est
appelée
unepartie
différentiable d’ordre p deVivo
De même
l’espace
V N,
pris
dans sonensemble,
estune
hypersurface
différentiable d’ordre pquand
ilpeut
être considéré comme un ensemble departies
différentiables d’ordre p. En
chaque
point
d’unepartie
différentiable d’ordrep ~
i d’unVN
où lejacobien
de N des N + i fonctions XII(x’)
est différent de
zéro,
il existe une direction normaleet un vecteur unitaire normal n dont les
compo-santes satisfont à
np03C5n03BC
= l’03C503BD
n03BCn03BD = i. Eneffet,
l’équation
F(X1,
...,XY+l)
= o d’une tellepartie
deVN peut
s’écrire sous la formeComme on a
on voit que le vecteur unitaire normal est
partout
bien défini.
La structure riemannienne que l’on
peut touj
oursim-poser, au moins localement, à
l’espace
ambiantV N+1
Id’un
VA,
induit sur toutepartie
différentiabled’ordre
p ~
2 deVN
une structure interne et externecomplètement
définie par deux tenseurs covariantssymétriques
du second ordre : le tenseurmétrique
interne
( gik)
et le tenseurmétrique
externe(Wik).
Ils sont donnés par
où
Xfi
désigne
la dérivée covariante des X03BC parrapport
aux xi etXgg
la dérivée tensorielle des X03BC parrapport
à xi et xl. Cette dérivée est donnée parles
symboles
de Christoff el avec indices latins etgrecs étant formés
respectivement
avec les ga etles
r03BC03C5,v.
Onpeut
déduire facilement de(1 a)
queles
X03BC03BDik.
sont lescomposantes
contravariantes de vecteurs deVN+1
I normaux àVN,
de sorte queX03BCi03BB
== Wi03BB n., d’où l’on déduit immédiatement(1 b).
Conformément
à(1 a),
unehypersurface
différen-tiable
VN
d’unV"B +
Ipeut
toujours
êtremunie,
au moins
localement,
d’une structureriemannienne,
même
quand
il estimpossible
d’imposer
àVN+1’
unestructure riemannienne
globale.
Telle est la condi-tion nécessaire et suffisante pour la validité d’un théorèmequi
peut
être considéré comme lethéo-rème fondamental de la Géométrie différentielle des
hypersurfaces
etqui
s’énonce comme suit :Quand
on connaît les tenseursmétriques
interne et externe d’unehypersurface
différentiable,
l’hyper-surface est par cela même déterminée dans son espace
ambiant aux valeurs
près de
(N + I ) ( N’ + 2 )
para-mètres. Ces
paramètres
sont ceux d’une translationet d’une rotation
quand l’espace
ambiant esthomo-gène
etisotrope.
Inversement,
quand
on se donnea
priori
deux tenseurscovariants,
symétriques
et dusecond ordre gik
(XI)
et(xl)
[i, j,
k = i,...,
N],
ils nepeuvent
être les tenseursmétriques
interne etexterne d’une
hypersurface
VN
d’un espaceVN+
1muni d’une structure interne de Riemann définie par le tenseur fondamental
T03BC03BD
que s’ils satisfont à unsystème
d’équations
decompatibilité
exprimant
les conditions
d’intégrabilité
deX03BCik
= wik n1° etque l’on
appelle
leséquations
de Gauss et de Codazzi deVN
dansVN+l
1[voir plus
loin, §
2,
équations (7)
et
(8)].
Considérons maintenant une fonction
du tenseur
métrique
interne d’unVv.
Nous dirons que cette fonction est unepropriété
intrinsèque
de lastructure interne d’un
VN
lorsqu’elle possède
les mêmespropriétés générales
que le tenseur gik sans se confondreidentiquement
aveclui,
etlorsqu’elle
satisfait,
enoutre,
à la condition laplus générale,
c’est-à-dire la moinsrestrictive,
qui
est nécessaireet suffisante pour déterminer sans
ambiguïté
saforme
analytique.
La fonction P doit donc être untenseur covariant
symétrique
et conservatif du second ordre(Pik)
et .un théorème de Cartan[1]
montre que sa forme
analytique
doit êtrenécessai-rement la suivante :
où
Rik
désigne
le tenseur de Ricci formé avecles gik, R l’invariant
gik
Rik
et Àj
une constanteabsolue. Parallèlement à cette
définition,
le même théorème montre que lapropriété
intrinsèque
de lastructure externe d’un
VN
est nécessairement letenseur
où
Sik
désigne
le tenseur de Ricciformé
avec les w ik,S l’invariant Wik
sik
(avec
wilwik
=k
etÀw
uneconstante absolue.
2.
Equations
duchamp. -
Considérons unUnivers à N dimensions
composé
de deuxparties
de nature différente : unepartie
purement
géomé-trique (espace)
ou contenant et unepartie physique
proprement
dite,
le contenu de cet espace(matière,
électricité,
rayonnement,
etc.)
Supposons
que cet Univers constitue un êtrecomplètement
autonome et autodéterminé. La loi ouprincipe premier
d’un tel Univers a évidemment le caractère d’une loiintrinsèque
et doit consister en une relation déter-minantcomplètement
l’une par l’autre les deuxparties qui
formentl’Univers,
c’est-à-dire le conte-nant et ses contenus. Si cette relation est de naturemathématique,
alors il existe un êtremathématique
dont lespropriétés peuvent
être mises encorres-pondance biunivoque
avec lespropriétés
del’Univers,
et cet être
mathématique
mérite le nom d’êtremathé-matique
nonarbitraire,
puisqu’il
estcomplètement
autonome et autodéterminé. Deplus,
la loi d’unUnivers
mathématique
nonarbitraire,
c’est-à-dire la relationqui
déterminecomplètement
et mutuel-lement le contenant et ses contenus, doit exercer sonaction par l’intermédiaire de
l’opérateur qui figure
dans
l’expression analytique
despropriétés
intrin-sèques
de la structure du contenant,puisque
toute autreopération
introduirait,
dansl’Univers,
unélément arbitraire. Pour
exprimer
la loi d’un Universmathématique complètement
autonome etauto-déterminé,
nous devons doncégaler
lespropriétés
33
à des
propriétés
tensorielles descontenus,
que nousdésignerons
parTa
etUià.
On obtient ainsi leséquations ,
Ces
équations
ne forment pas encore unsystème
complet d’équations
duchamp,
parce que leurs solutions già, 03C9ik ne sont évidemment admissibles que si elles définissent unehypersurface
VN ;
end’autres
termes,
ces solutions doivent satisfaire auxéquations
decompatibilité
de Gausset aux
équations
decompatibilité
de Codazzioù
Rijii désigne
le tenseur de Riemann-Christoffeldu contenant
VN,
fi«pyô
le tenseur deRiemann-Christoffel de
l’espace
ambiant
pris
surVN
et lavirgule
une dérivation covariante parrapport
aux xi. Leséquations
(5), (6), (7)
et(8)
sont leséquations
fondamentales duchamp
dans notrethéorie unitaire
[2] exprimant
la loi d’un Universmathématique complètement
autonome etauto-déterminé.
Quand
le contenantVN
est un espacede classe
1,
c’est-à-dire unehypersurface
d’unespace euclidien ou
pseudo-euclidien,
les secondsmembres des
équations
de Gauss et de Codazzi sontidentiquement
nuls.3.
Conséquences générales
deséquations
duchamp. -
Leséquations
duchamp
(5), (6), (7)
et
(8)
peuvent
être écrites apriori
pour un nombrequelconque
de dimensions du contenantVN,
maisnous allons démontrer maintenant le théorème
suivant :
Le contenant d’un Univers
mathématique
complè-tement autonome et autodéterminé
(être mathématique
non
arbitraire)
est un espace àquatre
dimensions etde classe 1.
Le
système (5),
(6), (7)
et(8)
nepeut
avoir dessolutions non arbitraires que si le nombre de ses
équations
indépendantes
estégal
au nombre deses fonctions inconnues
indépendantes (1).
Il estclair que les inconnues
indépendantes
sont les fonctions gik, mik,Tik
etUik.
Leur nombreest
2.lV (N +
I ). (On
doit remarquer qued’après
la Géométrie différentielle les
X03BCi
et les n1°peuvent
(1) Les 2N équations qui expriment les propriétés ,de conservation de Tik, et Uik, [cf. § 4, équations (13 a, b)] sontiine simple conséquence des équations (5) et (6) et pour cette raison ne constituent pas des équations du champ
indépendantes devant être ajoutées au système (5), (6),
(7) et (8).
être déduits de gik et
03C9ik).
Ces inconnues satisfontaux
N (N + 1) équations (5)
et(6),
auxN2(N2- I)
12équations
de Gauss(7)
et auxJV (N2 - 1),
équations
3
de Codazzi
(8),
mais leséquations
de Codazzi nesont pas
toujours indépendantes
deséquations
de Gauss. Pour déterminer le nombred’équations
de Gauss et de Codazziindépendantes,
posonsPar dérivation
covariante,
on déduit le tenseur dérivéde Gauss
qui
estéquivalent
àpar suite de
(9)
et(10)
et des identités de Blanchi pourRijkl·
Leséquations
(12)
peuvent
êtreconsi-N2 (consi-N2 - i) (N - 2 )
derees comme un
système
deN2 (N2 - I ) (N - 2 )
24
équations
linéaires
pour lesN ( N2 - 1 )
inconnues cijk.
Comme les Wik et gik satisfont auxéquations
deGauss,
lesystème
(12)
est consistant et l’on aen
désignant
par r le rang de sa matrice. Dans lessolutions non arbitraires des
équations
duchamp
rdoit avoir sa valeur
maxima,
afin d’éviter touteambiguïté
dans la détermination deséquations
réel-lementindépendantes
avant leurintégration.
Sup-posons d’abord
qu’un
VN
est de classe c > i.D’après
la théorie deséquations
linéaires,
tousles
Cijk
sont alors déterminés sansambiguïté
parN(N - 2)
les
(12)
quand
N(N-2)
1 ouN ~ 4;
parcontre,
quand
N4,
les( 12) ne
déterminent,
sansambi-guïté,
que desCijk,
les autres étant arbitraires. Dans les deux cas, il est clair que toutes leséquations
de Codazzisont
indépendantes
deséquations
de Gauss.Suppo-sons maintenant que c = 1. Le
système (12)
estmaintenant
homogène
et comme r estmaximum,
la seule solution estC,k
= oquand
N ~ 4 ;
parcontre, si
N4,
(12)
donneCijk
== 0 seulementpour de ces
quantités.
Endantes des
équations
de Gauss sera donc le suivant :Pour une solution non
arbitraire,
le nombred’équa-tions
indépendantes
doit êtrerégal
à celui des inconnuesindépendantes.
On obtient donc :pour c > i :
Il
n’y’
a pas de valeur entièrepositive
de N satis-faisant à(«)
ou à(fi)
et(y)
donne la seule solu-tion N= 4.
Le théorème est donc démontré.Un autre théorème
important
peut
être déduitsimplement
del’analyse
deséquations
duchamp
indépendamment
de leurintégration.
Ce théorème s’énonce comme suit :La
métrique
du contenantquadridimensionnel V4
d’un Universcomplètement
autonome et autodéterminéest
hyperbolique
normale;
en d’autrestermes,
il y atrois dimensions
spatiales
réelles et une dimensionimaginaire
(temporelle).
Une solution des
équations
duchamp
nepeut
êtreconsidérée comme une solution non arbitraire admis-sible que si elle détermine sans
ambiguïté
lescons-tantes À,
et03BB(i)
deséquations (5)
et(6).
Tel est, lecas d’une
hypersphère quadrimensionnelle S4
vide,
c’est-à-dire pour
laquelle
Tik = Uik== o.
Danstoute autre solution non arbitraire les valeurs aux
limites de gik et (J)zk doivent être
égales
auxpro-priétés correspondantes
deS4
sur unehypersurface
tridimensionnelle og
(de
S4).
En d’autrestermes,
et par suite de
( 1 b)
et(2),
les solutions nonarbi-traires doivent avoir un
contact,
au moins du secondordre,
avec S4
lelong
del’hypersurface
frontière 0"3. Dans un contact du secondordre,
les dérivées normalesdgik dn
ont la même valeur des deux côtésdn
de erg par suite de
(1 a).
Mais la théoriegénérale
deséquations
aux dérivéespartielles
du secondordre,
appliquée
à(5),
nousapprend
que gik etdgik,dn
,consi-dn
dérés comme valeurs aux
limites,
sont surabondantset non
indépendants,
sauf si lamétrique
deV4
esthyperbolique
normale.La solution absolument non
arbitraire
deséqua-tions du
champ
est cellequi
résulte del’analyse
suivante :10 les gi, et 03C9ik sont tout d’abord déterminés par
(5)
et(6)
en fonction desTIA
et desUik,
1.;;,
et
xi, ainsi que des valeurs aux limites. On obtientainsi
les fonctionsoù
(g03C3) symbolise
l’ensemble des valeurs auxlimites
(gik)6
et( dgik dn ),
et(03C9)03C3
l’ensemble des valeurs aux limites(wik)03C3
et ( dwik dn) ;
20 ces fonctions sont ensuite introduites dans les 2o
équations
de Gauss(dont
leséquations
de Codazzi sont ici uneconséquence), qui
déterminent alors lesTil,
etUik
en fonction desxi,
de 03BBg
eta,,,,
et des valeurs auxlimites,
c’est-à-dire3°
finalement,
leséquations
L.
=2013 R+T
et2
03BB03C9 =- S+U,
conséquences
de(5)
et(6),
déter-2
minent
l’hypersurface
frontière (J" 3 pourlaquelle 7g
et
11(1)
sont effectivement des constantes absolueset donnent en même
temps
les valeursqu’il
fautassigner
à ces constantes. Onpeut
montrerqu’une
telle solution absolument non arbitraire existe et est
unique.
Nous ne nous occuperons
cependant
pas ici de cettequestion,
car les résultatsprécédents
sont suffisants pour montrer que le contenant d’un Universcomplè-tement autonome et autodéterminé a les mêmes
propriétés
fondamentales que notreespace-temps.
En d’autres termes, l’existence del’espace-temps
quadridimensionnel
de l’Univers réel n’est pas,comme
d’habitude,
unpostulat
initial de lathéorie,
étant au contraire une
conséquence
de sonprincipe
de
base,
selonlequel
l’Universpeut
être considérécomme un être
mathématique complètement
35
II. --
Équations
du mouvement.4. Les fluides élémentaires. - Des
propriétés
générales
despremiers
membres deséquations (5)
et
(6)
on déduit lespropriétés
suivantes des seconds membresTik
etUik :
10 les traces de
Tik.
etUik
ne sont pasidenti-quement
nulles;
20 ces tenseurs sont
conservatifs,
c’est-à-dire satisfont auxéquations
avec et
avec et
Ces deux conditions sont nécessaires et suffisantes pour
pouvoir
interpréter
Tik
etUik
comme destenseurs de densité
d’énergie-impulsion
de deuxfluides élémentaires que nous
appellerons
le fluide Tet le fluide U. Aux tenseurs de densité
d’énergie-impulsion
correspondent
évidemment des vecteurscourants
qui
doivent être aussi conservatifs(nous
verrons d’ailleurs
plus
loin que les vecteurs courantssont
égaux
à des vecteurs essentiellementconser-vatifs).
SoientLT
etLu
leslignes
d’Univers desparticules
infinitésimales des fluides T etU;
dési-gnons
par dx
ds le vecteur unitairetangent
àLT
ouLu,
dont les
composantes
satisfont à la conditionds étant ici une
longueur
infinitésimale lelong
deLy
ou deLu.
Soientenfin 7r,
etdes
scalaires. Levec-teur tpeu t.evi demmen ts dxi I
teur courant
peut
évidemment s’écrire 7rdxi
pour le fluideup
pour le fluide U. Ils satisfont aux
équations
de conservationLes tenseurs
d’énergie-impulsion
des fluides T et Upeuvent
êtredécomposés,
comme le tenseurd’énergie-impulsion
de toutfluide,
en deuxparties :
unepartie
purement cinétique
et unepartie
noncinétique.
En
conséquence,
onpeut
écrireoù
Oijg
etOiw
désignent
lesparties
noncinétiques.
En,
prenant
les traces de(16),
on obtientLes
équations
d’état pour les fluides élémentairespeuvent
être déduites de ces relations.5.
Équations
du mouvement pour les fluidesélémentaires. - Ces
équations
sont leséquations
différentielles des
lignes
d’Univers desparticules
infinitésimales des fluides T et U. On
peut
les déduire en introduisant lesexpressions
hydrodyna-miques (16)
des tenseurs de densitéd’énergie-impulsion
dans leséquations
de conservation(13),
tout en tenant
compte
de la conservation(15)
desvecteurs courantes. On obtient ainsi les
équations
du mouvementPour
abréger
considérablementl’exposé,
nousintro-duirons un
symbole
a,signifiant
soit g (dans
le casdu
fluide
T),
soit M(dans
le cas du fluideU).
Leséquations
(18)
s’écriront alorssimplement
Supposons,
parexemple,
que les fluides élémen-tairespeuvent
être considérés commeparfaits
(sans frottement)
dans un certain domained’espace-temps.
Les tenseurs noncinétiques
ont alors laforme
simple
pa étant la
pression
dans les fluides T ouU,
la les densités proprescorrespondantes,
Kg
la constante , newtonienne de lagravitation
etK(t)
une autre constantequi
sera’ déterminéeplus
loin. Les rela-tions(17)
s’écriront donc maintenant36
la forme
avec
Les
équations précédentes (19)
ou(22)
sont deséquations
densitaires du mouvement(pour
desparticules
infinitésimales).
Pour déduire leséquations
du mouvementcorrespondantes
pour desparticules
finies des fluides T et
U,
considérons les intersections des tubes d’Univers de cesparticules
avec leshyper-surfaces tridimensionnelles
spatiales
d’une famille continuedépendant
duparamètre temporel
x4. Enposant
orna
= rad’ra (avec
d’ra
= Va
dxi dx2dx3),
onpeut
définir parun vecteur pour
chaque
03C0(. Enposant
deplus
on voit
que vi
satisfait à la conditionDans le
voisinage
de touteparticule,
leschamps
métriques peuvent
êtredécomposés
en deuxparties :
l’une(aik)
représente
lechamp
non « troublé ))(c’est-à-dire
abstraction faite de l’influence de laparticule examinée);
l’autre(aik) représente
lechamp métrique
propre de laparticule.
Posons-
+ 03B1 ik
(avec
Xg == I).
Lessymboles
de.
Christoffel
peuvent
alors se mettre sous la formeavec
et
Finalement,
le théorèmegénéralisé
sur ladiver-gence-flux
donneoù G’a
désigne
la frontière de 7a et(na)l
lescompo-santes de la normale unitaire à
(ja(aiknianka
=i).
En soumettant les
équations (19)
àl’opération
ôm,l
’ra,
les résultats
précédents
donnent leséquations
sui-vantes du mouvement pour les
particules
finiesoù l’on a
par suite des
équations
de continuité(15),
équiva-lentes àd(ama)
= o. Pour allerplus
loin,
il fautds
déterminer vi et les
symboles
de Christoffel pour leschamps
propres. En d’autrestermes,
il faut connaître la structure desparticules.
Leséquations (29)
sontvalables
quelles
que soient les dimensions et la forme desparticules,
mais étant donné que lesplus
impor-tantes
applications
de ceséquations
sont lesappli-cations
microphysiques
auxparticules
fondamen-tales,
nous admettrons dorénavant que lesparticules
sont
petites
etpeuvent
être considérées(avant
quantification)
comme dessphérules
en rotation.En tout
point
d’uneparticule
onpeut
alors écrirei
0 0désignant
la valeurde
B
i
o au
centre de lai jk ao
0Jk a
particule
et xet des coordonnées localesorthogonales
avec xm = o au centre. Les vitesses propres sont
données par
où
j,
k, 1
est unepermutation
circulaire de 1, 2, 3,03A9 la vitesse
angulaire
de rotation de laparticule
l’(ou
U)
et u’ le vecteur unitaire de l’axe de rotation. Pour toutequantité
Q
nous poseronsSoit
â °
le vecteurd’espace
decomposantes
(a °, ,
,ai2° ,
ai30)
et posons37
équations (29)
donnent alorsLes
propriétés
et définitions(24)
et(25)
montrentque v4
tend vers zéro avec lespin
desparticules.
Ceci étant
dit,
nous allonssimplifier
leséquations (32)
en
supposant
que lespin
desparticules
estpetit
(tel
est le cas desparticules
fondamentales dont lespin
est de l’ordre deh).
Les termes deséquations
du mouvementqui dépendent
du carré duspin
sont alors
négligeables
parrapport
aux autres termes et(32)-
devientConsidérons,
parexemple,
uneparticule
T(ou U)
sans
spin
et supposons que dans le domaine de laparticule
le fluide T(ou U)
a une structurecorpuscu-laire :
0ik a
est alors nul sur la frontière va de laparticule
(corpuscule).
Deplus,
si laparticule
a unestructure
invariable,
éàl
reste constant pour toutevaleur de x4
èt
leséquations (33)
se réduisent alors àOn voit donc que dans les conditions
envisagées
laligne
d’Univers d’uneparticule corpusculaire
dufluide T est une
géodésique
de lamétrique
internegik,
tandis que la
ligne
d’Univers d’uneparticule
corpus-culaire du fluide U est unegéodésique
de lamétrique
externemfg, quand
onpeut négliger
les réactions durayonnement
(termes dépendant
deschamps
métriques
propresgik,
Wik).
6.
Signification
physique
deschamps
mé-triques.
- Pourinterpréter
physiquement
les résultatsprécédents
sur les fluides T etU,
il faut connaître lasignification physique
deschamps
métriques.
Comme il est bien connu que gik est letenseur des
potentiels
duchamp
de
gravitation,
il suffit de déterminer lasignification physique
dutenseur
métrique
externe Wik del’espace-temps.
Considérons,
dans lechamp W?k’
uncorpuscule
d’épreuve
du iluideU,
sansspin
et doué d’une struc-ture invariable . De(34),
on déduit alorsson
équation
du mouvementConsidérons d’autre
part
leséquations
classiques
deLaplace-Lorentz (supposées
provisoirement
rigou-reuses)
pour le mouvement d’uncorpuscule
(de
charge
électrique
e et de masse propremo)
sansspin
sous l’action d’unchamp purement
électro-magnétique
Fj :
où
ri w
désigne
la réaction derayonnement
qu’il
n’est pas nécessaired’expliciter
ici.L’équation (36)
est
équivalente
à(35)
si la condition suivante estsatisfaite :
En faisant tendre vers zéro la vitesse Vj -+0
( j
= 1,2,3)
du
corpuscule,
le second membre de(37)
secomporte
comme un infiniment
petit
du secondordre,
tandisque V4--->- 1. On doit donc nécessairement avoir
Or,
d’après
notre théorie desparticules
fondamen-tales
[3],
l’électron (y
compris
ses étatsmicroélec-troniques
qui
ont tous le mêmem 0
que l’étatnormal
mo
est la seule
particule
pourlaquelle
enl’absence de
champ
électromagnétique
eten l’absence de
champ
gravifique.
Leséquations (35)
nepeuvent
donc êtrecomparées
à(36)
que si cesdernières
équations
sontappliquées
à unélectron,
de sorte que dans
(36),
e et mo sont lacharge
et la38
Comme on a
wik =%gik)
+ wik,, les roll. étantdes
petites quantités
et Zo la courbure moyenne(constante)
del’hypersphère
de De Sitter laplus
proche
du domained’espace-temps
considère,
larelation
(38)
donneplus simplement
[i, 4 k],,, désignant
lesymbole
de Christoffel de pre-mièreespèce
formé avec leswiko ; .
PosonsLes
équations (39)
s’écrivent alors comme suit :Remarquons
maintenantqu’il
estimpossible
de comparer leséquations
deLaplace-Lorentz
pour lemouvement d’un électron dans un
champ
électro-magnétique
pur auxéquations
qui
résultent del’application
deséquations (34)
àun
corpuscule
du fluide T sansspin
et à structureinvariable en
effet,
il est bien connuque les
équations (42),
abstraction faite de la réac-tion durayonnement,
sont leséquations
relativistesdu mouvement d’une
particule
matérielle dans unchamp
gravifique
pur. Lechamp
électromagnétique
est donc effectivement relié au tenseur
métrique
externe Wik par leséquations (38)
ou(40),
et l’onarrive à la conclusion
importante
que Gok est leten-seur des
potentiels généralisés
duchamp
électro-magnétique,
de même que gik est le tenseur despotentiels généralisés
duchamp
gravifique.
Il estaussi évident que le fluide que nous avons
appelé
jusqu’à présent
« fluide U » est le fluideélectrique
élémentaire,
tandis que le fluide T est le fluideélémentaire de matière. De
plus,
leséquations (6)
duchamp métrique
externe sont deséquations
électromagnétiques
pour lespotentiels généralisés
Wik.Ces
équations
généralisent
donc leséquations
lorentziennes 0 A; = ji
pour lepotentiel
électro-magnétique classique
d’une manièreanalogue
à lagénéralisation,
par leséquations (5)
pour les g;i,de
l’équation
deLaplace-Poisson
pour lepotentiel
newtonien.
Comme les deux membres de
(38),
oùF’
estsup-posé représenter
le tenseurélectromagnétique
clas-sique,
n’ont la même variance que pour deschan-gements
purement
spatiaux
des coordonnées et comme, d’autrepart,
Fik,
défini par(41),
n’est untenseur
antisymétrique
que pour unchamp
wik
statique,
il est clair que la notion maxwellienneclassique
d’unchamp électromagnétique
pouvant
être décrit par un tenseur
antisymétrique
du second ordre n’estqu’une approximation qui
doit êtregéné-ralisée en
remplaçant
F)
par unegrandeur
à troisindices
Fik,.
Celle-ci sera évidemment donnée parde sorte que les véritables
équations
lorentziennes du mouvement d’uncorpuscule
(de
charge Q
et demasse propre
Mo)
soumis à unchamp
électromagné-tique
pur seront les suivantes(en
l’absence despin)
Les
équations
lorentziennes habituelles ne sontdonc
qu’une approximation,
valablelorsque
la vitesse ducorpuscule
estpetite
parrapport
à c. Dans ce cas,en
effet,
les termes en ViVk ( j, k
4)
sont du second ordre parrapport
aux termes en V4 V° etil ne reste donc
qu’un
champ
à deux indicesFI
dansl’équation
du mouvement. Nous rencontrons doncen somme en
Electromagnétisme,
d’après
notrethéorie
unitaire,
les mêmes circonstancesqu’en
Relativité
générale
ausujet
des forces degravitation.
Celles-ci
dépendent,
enréalité,
desquantités
à troisindices)
t.J
i
{
10 gO
(formées
avec lesgik
pourtoutes
les
1
jk.
90gik pour
,valeurs de
i, i,
k = 1 , 2,3,
4),
au lieu de nedépendre
que de
quantités
à deux indices.Nous avons dit
plus
haut que
l’électron est lad03B84i !
iseule
particule
pourlaquelle
d~w4iw
= o dans unchamp
électromagnétique
pur. Considérons alors uneparti-cule non élémentaire
(dont
leMo
et lacharge Q
sont
quelconques)
sous l’action de forcespurement
électromagnétiques.
Quand
lespin
peut
êtrenégligé
(conditions lorentziennes), l’équation
du mouvementd’une telle
particule
est la suivante[d’après
(33)] :
où
désigne
la variationtemporelle
de0,. (O
idue
simplement
au fait que laparticule
n’est pasélémentaire. En
comparant (45)
avec(44),
tout entenant
compte
de(43),
on obtient doncrésultat
qui
seraappliqué
plus
loin.7.
Équations
du mouvement pour lesparti-cules
(T
+U)
mixtes etconcentriques.
- Le39
(6), (7)
et(8)
montre que lesparticules
T(particules
matérielles)
et leurséquations
du mouvement sont,en
principe, indépendantes
desparticules
U(parti-cules
d’électricité)
et deséquations
du mouvementcorrespondantes. D’après
notre théorieunitaire,
la matière et l’électricité doivent être considérées
comme les contenus essentiels et
indépendants
del’espace-temps.
Onpeut
montrer néanmoins[2]
que le centre d’uneparticule
Tquelconque
se trouvetoujours
dans levoisinage
immédiat du centre de laparticule
Ucorrespondante.
La coïncidencegénérale
et
rigoureuse
desparticules
T et U est unecondi-tion
importante
qui
correspond
aux idéesclassiques
sur la matière électrisée(matière porteuse
decharge)
et
qui
se trouveimplicitement
à la base deséqua-tions lorentziennes du mouvement d’un
corpuscule
électrisé. On doitcependant
remarquer quel’expli-cation de
phénomènes importants,
tels que lecom-portement
du momentmagnétique
des étatsmicro-électroniques, exige
probablement
que l’on admette l’existence d’unpetit
écart entre lespositions
descentres des
pairs
departicules
T et U[3].
Il estimportant
de déduire deséquations
générales
du mouvement pour desparticules
T et U’indépen-dantes
leséquations
du mouvement pour desparti-cules
(T
+U)
mixtes etconcentriques.
Onpeut
écrireles indices g et 03C9
désignant
ici les accélérationsproduites
respectivement
par les forcesgravifiques
et
électromagnétiques.
Appliquons
successivement leséquations
(33)
àdljl
et à(d::1,,.
. En
compa-ds
( ds)w
rant ensuite les
équations
(33)
pour lesparticules
Taux
équations
relativistes du mouvement d’uncor-puscule
de matière de masse propre arbitraire(sans
spin)
sous l’action de forcesgravifiques
pures, ond03984i
déduit immédiatement que
d â-l
= ° pour toutes lesdx’4
particules.
En tenantcompte
par ailleurs du résultat(46),
on obtient finalement leséquations
du mouvement pour lesparticules (T
+U)
sousla forme
Il est intéressant de remarquer que, tandis que
l’on a pour toutes les
particules
T(élémen-taires et non
élémentaires),
pour toutesles
particules
non élémentaires soumises à des forcesélectromagnétiques.
Cette différence fondamentale ducomportement
desparticules
T et Upeut
êtreexpliquée
comme suit.D’après
notrethéorie,
lesparticules
non élémentaires fondamentales(protons,
neutrons)
sont formées par la fusion departicules
élémentaires
(électrons
etmicroélectrons)
[3]
et lerapport
é’ des densités decharge
et de masse propre1.1(1’
est
spatialement
variable dans lescorpuscules
corres-pondants.
Enconséquence,
les forcesélectromagné-tiques,
liées danschaque
élément de volume à M03C9 mgsuivant les idées
classiques
sur lesparticules (T + U),
peuvent
évidemmentproduire
une modificationtemporelle
de la structure de laparticule
parl’inter-médiaire d’une modification de la distribution de la
pression
s’accompagnant
d’une variationcorres-pondante
dePar contre, les forces
gravifiques
sont évidemment attachées uniformément aux éléments de masse desparticules
T,
même dans lesparticules
non élémen-taires et aucune variation de04ig
nepeut
avoir lieu en l’absence de forcesélectromagnétiques.
8. Les forces de
spin.
-- Cesforces,
que nous
désignerons
ici paril,,
sontreprésentées
dans leséquations
du mouvement(33)
par les fonctions~ ~
Le vecteur
M rH
défini par(31)
et lespin
u d’uneparticule
sont reliés paroù l’indice zéro
indique
qu’il
fautprendre
lerap-port
dma
pour une certaine valeur Po de p. Lechamp
In
magnétique H
peut
être introduit dans les fonc-tions(47)
en utilisant(40)
et(41),
ainsiqu’un
résultat trouvé
précédemment [4]
qui
s’exprime
parde
l’espace-temps).
Ce résultat est uneconséquence
des
équations
deCodazzi- (8)
quand
lescomposantes
non
diagonales
du tenseurAik,
=i 2 gil wlk
sont des2
petites quantités
parrapport
auxcomposantes
diago-nales. On obtient
donc,
quand
V l ~
1(l
-1, 2,
3) :
Conformément à un autre résultat de
[4]
le moment ~magnétique
Mmagn
est relié par la formule suivanteau
spin
de laparticule sphérique
où ’Y est un coefficient
numériquè ¿
i ; on doitd’ailleurs poser
ici y
= i, car nous admettons quea une
symétrie sphérique
dans lesparticules
étudiées,
En
appliquant (49)
à un électronon
trouve - X - ==
2 ( ni e 0 2 ),-, K.2,
De7o 0 2(mo)2Kg
dmw
plus,
peut
être considéré commespatialement
dmg
constant dans la
particule
électronique,
cequi
donneévidemment Par suite de ces conditions
et en tenant
compte
de ds2 _ - c2dt2,
on voitque
(48
a)
seréduit,
pour unchamp
statique
et pourun
électron,
àl’expression
classique
de la force
qui
agit
sur uneparti-cule de moment
magnétique
Mmag.i
par suite de la -+non-homogénéité
duchamp
magnétique
H. Pourqu’il
en soit de même pour toutes lesparticules,
on doit doncavoir,
conformément à(49),
ce
qui
permet
d’écrire(48)
sous la formePour un
électron -
est une trèspetite
quan-x
tité
(4,8.10-43);
la même fonction est aussi trèspetite
pour les autres
particules
fondamentales,
de sorteque
fig
est unepetite
quantité
parrapport
à/o.
On
peut
donc écrirel’équation
(47)
du mouvementdes
particules
(T
+U)
ensupprimant
les termes ~en
Mg.
Manuscrit reçu le 20 juin 1950.
BIBLIOGRAPHIE.
[1] CARTAN E. - J.
Math., I922, 1, I4I-203. [2] GIÃO A. -
Portugaliæ Physica, I946, 2, I-98; Portugaliæ Mathematica, I946, 5, I45-I92; Bul. Soc. Port. Mat. (A),
I947, 1, 29-42; C. R. Acad. Sc., I947, 224, I2I2;
I948, 226, 205I; I949, 228, 8I2; I949, 229, 98I. [3] GIÃO A. -
Portugaliæ Mathematica, I947, 6, 67-II4;
Ibid., I948, 7, I-44; C. R. Acad. Sc., I947, 224, 454, I275; I948, 226, II77; Gaz. de Mat., I946, 30, 4-5. [4] GIÃO A. -
Phys. Rev., I949, 76, 764-768; J. Phys.
Rad., I949, 10, 240-249; C. R. Acad. Sc., I947, 224, I8I3; I947; 225, 924; I948, 226, 645, I298 2I26;