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Soient a et b deux entiers tels que a est divisible par b. Alors, 1

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Academic year: 2022

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Texte intégral

(1)

Chapitre I

Divisibilité dans Z

Table des matières

1 Diviseurset multiples . . . 2

2 P.G.C.D de deux entiers . . . 3

3 Lesnombres premiers . . . 3

a ) Dénition . . . 3

b ) Reonnaître un nombre premier . . . 4

) Ensembledes nombres premiers . . . 5

d ) Déompositionen fateurs premiers . . . 5

4 P.P.C.M . . . 7

(2)

1 Diviseurs et multiples

L'ensemble Z des entiers relatifs est stable par addition, soustration et multipliation,

'est à dire que haune de es opérations, appliquée à deux entiers relatifs, donne un

entier relatif.Ce n'est pas le as pour la division. On trouvesans diulté des exemples

de divisionsd'entiersdonnantdesrésultatsnonentiers.Lesdivisionsrestantdansleadre

de l'ensembleZ ont de e fait un intérêt partiulier.

Définition 1 Diviseur – Multiple

Soient a et b deux nombres entiers relatifs non nuls. On dit que a est divisible par b si il existe un entier relatif c tel que a = bc. On dit alors que b est un diviseur de a et que a est un multiple de b.

Exemple : 12 est divisible par 3;3 est un diviseur de 12;12 est un multiplede 3.

Proposition 1

Soient a et b deux entiers tels que a est divisible par b. Alors, 1

.

L’entier a est divisible par − b.

2

.

Les nombres a et b vérifient | b | 6 | a | .

3

.

Si d’autre part b est divisible par a, alors a = b ou a = − b.

4

.

Si k est un entier quelconque non nul, alors bk divise ak.

5

.

Si d est un entier qui divise b, alors d divise a. On dit que la relation de divisibilité est transitive.

Preuve. Par dénition,lefaitque

a

soitdivisible par

b

signiequ'ilexiste unentierrelatif

c

tel

que

a = bc

.

1

. Sahant que

a = bc

,il estlair que

a = ( − b)( − c)

don

a

estdivisible par

− b

.

2

. Par dénition,

1 6 | c |

don

| b | 6 | bc |

,'està dire

| b | 6 | a |

.

3

. D'après la propriété démontrée préédemment, si

b

divise

a

et

a

divise

b

alors on a à la

fois

| b | 6 | a |

et

| a | 6 | b |

,don

| a | = | b |

.Ceisignieque soit

a = b

,soit

a = − b

.

4

. Onsait que

a = bc

,don

ak = (bc)k = (bk)c

,e quiprouve que

bk

divise

ak

.

5

. Si

d

divise

b

,alors il existeun entier

c

tel que

b = dc

.Onen déduit que

a = bc = dc c

et

don que

d

divise

a

.

Proposition 2 Linéarité de la divisibilité

Si un entier b divise deux entiers a et a , alors b divise toute combinaison linéaire de a et a , c’est à dire tout entier de la forme au + a v, où u et v sont deux entiers quelconques.

En particulier, b divise a + a et a − a .

Exemple : 12divise24et36don, sansfairede alul,onsaitque12divise

5 ∗ 24 + 2 ∗ 36

.

Preuve.Pardénition,si

b

divise

a

et

a

,ilexistedeuxentiers

c

et

c

tels que

a = bc

et

a = bc

.

Ainsi, quels quesoient les entiers

u

et

v

,

au + a v = (bc)u + (bc )v = b(cu + c v)

, e qui prouve

que

b

divise

au + a v

.

(3)

2 P.G.C.D de deux entiers

Définition 2

Soit a un entier positif. On note D (a) l’ensemble des diviseurs positifs de a. Cet ensemble est fini car tout diviseur positif m de a vérifie m < a.

Par convention, l’ensemble D (0) est l’ensemble des entiers naturels.

Exemple :

D (12) = { 1; 2; 3; 4; 6; 12 }

.

Définition 3 Plus grand diviseur commun

Soient a et b deux entiers naturels. L’ensemble de leurs diviseurs positifs communs est D (a, b) = D (a) ∩ D (b). Cet ensemble est fini car majoré par a et b. Il contient donc un plus grand élément unique d, le plus grand diviseur commun de a et b. On le note P.G.C.D de a et b et on le note PGCD(a, b) ou a ∧ b.

Exemple :

D (12) = { 1; 2; 3; 4; 6; 12 }

et

D (16) = { 1; 2; 4; 8; 16 }

don PGCD

(12, 16) = 4

.

Proposition 3

Soient a et b deux entiers positifs.

1

.

D (a, 0) = D (a), donc PGCD(a, 0) = a.

2

.

Si b divise a alors D (a, b) = D (b) et donc PGCD(a, b) = b.

3

.

PGCD(a, b) > 1, car 1 ∈ D (a, b).

Preuve.

1

. Pardénition

D (a, 0) = D (a) ∩D (0) = D (a) ∩

N

= D (a)

.IlestalorslairquePGCD

(a, 0) = a

.

2

. Si

b

divise

a

il est lair que

D (b) ⊂ D (a)

et don

D (a) ∩ D (b) = D (b)

. Par onséquent

PGCD

(a, b) = b

.

3

. Il est lair que

1

divise

a

et

b

, don

1 ∈ D (a)

et

1 ∈ D (b)

, e qui prouve que

1 ∈ D (a) ∩ D (b) = D (a, b)

.Par onséquent, PGCD

(a, b) > 1

.

Définition 4

Soient a et b deux entiers relatifs. Leur P.G.C.D est P GCD(a; b) = P GCD( | a | ; | b | ).

3 Les nombres premiers

a ) Dénition

Définition 5 Nombre premier

Un entier naturel n est premier s’il admet exactement deux diviseurs positifs distincts, 1 et lui-même.

Exemples :

(4)

L'entier 1 n'est pas premierar iln'a qu'un diviseur positif.

Le plus petit nombre premierest 2,qui est divisiblepar 1et 2.

3 est aussi premier.

4 n'est pas premierar ilest divisiblepar 1,2 et4.

Plus généralement, un nombre pair supérieur à4 n'est pas premier, ar il est divisible par 1, 2et lui-même,soitaumoins 3 diviseurs.

b ) Reonnaître un nombre premier

i ) Méthode direte

Soit

n

un entier. Pour savoir si

n

est premier, on eetue les divisions de

n

par tous les

entiersnaturelsinférieursà

n

.Siauunede esdivisionsne donneun résultatentier,alors

n

est un nombre premier.

ii ) Méthode direte optimisée

Elle est basée sur la propriété suivante:

Proposition 4

Si tous les nombres premiers inférieurs à √

N ne sont pas des diviseurs de N, alors N est un nombre premier.

Exemple : 53 est -ilun nombre premier?

√ 53

environ 7,28. Les nombres premiers inférieurs à 7,28 sont 2, 3, 5, 7. Comme auun

d'eux ne divisent53, alors 53est un nombre premier.

iii ) Crible d'Erathostène

A proprement parler, le rible d'Erathostène ne détermine pas si un entier est premier.

C'estune méthodepourdresserlalistede touslesnombrespremiersinférieursàunentier

naturel

n

.Prenonsl'exemple

n = 50

.Plaçonstous lesentiers naturelsinférieursà50dans

un tableau.

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10

11 12 13 14 15 16 17 18 19 20

21 22 23 24 25 26 27 28 29 30

31 32 33 34 35 36 37 38 39 40

41 42 43 44 45 46 47 48 49 50

Commençons par barrer le nombre 1, qui n'est pas premier par dénition. Le nombre 2

est premier.On peut alors barrertous lesmultiples de 2,puisqu'ils ne sontpas premiers.

Lenombrenonbarrésuivantestdonpremier,ils'agitde3.On barremaintenanttousles

multiplesde 3,quine peuventpas êtrepremiersetonpasseaunombre nonbarrésuivant.

Une fois tout le tableau parouru, les seuls entiers non barrés sont tous les nombres

premiers inférieursà 50.

(5)

) Ensemble des nombres premiers

On a longtemps herhé une logique dans la répartition des nombres premiers. En vain.

On estaujourd'huipersuadé queetterépartitionest anarhique. Seulsquelquesrésultats

onernantl'ensembledes nombres premierssont onnusà e jour.

Théorème 1 Théorème d’Euclide (Livre IX, proposition 20) L’ensemble des nombres premiers est infini.

Preuve. Démontrons e résultat par l'absurde, 'est à dire en supposant que l'ensemble des

nombres premiers estni.

Notons alors

P

leproduit detousles nombrespremiers. Ilestlairque

P + 1

n'estdivisible par

auundesnombrespremiers(ar

P

estdivisibleparhaundesnombrespremiers mais

1

nel'est

pas).Il estdon premier,equiestimpossiblearilnefaitpaspartiedel'ensembledesnombres

premiers. Cei ontredit notre hypothèse. Par onséquent, l'ensemble des nombres premiers est

inni.

Remarque: Lademonstrations'appuiesur lefaitquesi

a

et

b

sontpremiersalors

a × b + 1

l'est aussi.

La répartition des nombres premiers est donnée par la fontion

π

,

π ( x )

est le nom-

bre d'entiers premiers inférieurs à

x

. Le mathématiien Thebyhef a démontré en 1896 que

π(x)

est équivalent, au voisinage de l'inni, à

x

ln x

. Cela signie globalement que la proportionde nombres premiersest déroissante

d ) Déomposition en fateurs premiers

Proposition 5

Soit a un entier naturel (a > 1). Alors :

• a admet un diviseur premier.

• Si a n’est pas premier, il admet un diviseur premier p tel que 2 6 p 6 √ a.

Preuve.

Si

a

est premier,omme

a

divise

a

,la propriétéestbien vériée.

Si

a

n'estpaspremieralorsiladmet aumoinsundiviseurstritement supérieurà

1

.Notons

p

lepluspetitd'entreesdiviseurs.

p

estforement premier arsinon,il admettraitundiviseur

d

ave

1 < d < p

,qui serait alors un diviseurde

a

stritement inférieur au plus petit d'entre

eux :

p

;'est impossible.Don

p

est pemier.

De plus,

a

s'érit

a = pq

ave

p 6 q

;on en tire :

p 2 6 pq = a

,don

p 6 √

a.

Finalement, on a bien

2 6 p 6 √ a.

Théorème 2 Décomposition en facteurs premiers Soit n un entier supérieur ou égale à deux. Alors :

• n se décompose en un produit de facteur premier.

• Cette décomposition est unique à l’ordre des facteurs près.

On note alors n = p α 1 1 . . . p α k k où p 1 , p 2 , · · · p r sont des nombres premiers distincts et

α 1 , α 2 , · · · α r sont des entiers naturels non nuls.

(6)

Preuve. Onne démontrera quel'existene deladéomposition. L'uniité est admise.

Démontrons ette propriétépar réurrene.

Initialisation :Pour

n = 2

,elleest vraiepuisque 2estlui-même premier.

Hérédité: Supposonslapropriétévériéepourtoutentier

n 6 k

etétudionsleas

n = k +1

.

Si

k + 1

estpremier,lapropriété estbien vériée.

Sinon,

k + 1

admetun diviseurpremier

p

etilexiste

k

telque

k + 1 = pk

ave

k < k + 1

.

Par réurrene,

k

estunproduit denombres premiers, etdon

k + 1

aussi.

Preuve. Voii uneautre preuve moinsformelle :

D'après la proposition 5,

n

admet un diviseur premier

p 1

, alors

n = p 1 n 1

ave

1 6 n 1 < n

,

puisque

p 1 > 2

.

Si

n 1 = 1

,'estterminé.

Si

n 1 > 2

on répète e raisonnement ave

n 1

:

n 1

admet un diviseur premier

p 2

et

n 1 = p 2 n 2

,

ave

1 6 n 2 < n 1 < n

.

Onitèree raisonnement tant quele quotient

n i

n'est paségal à

1

.

La suite de es quotients étant stritement déroissante (

· · · < n i < · · · < n 2 < n 1 < n

), le

proessuss'arrête àune ertaineétape

k

.Alors

n = p 1 p 2 · · · p k

eten regroupant lesfateursnon

distints, on obtient :

n = p α 1 1 · · · p α k k

Méthode de déomposition

Pour déomposer un entier naturel en fateurs premiers, on peut utiliser une méthode

systématique qui onsiste à tester un par un par les fateurs possibles, 'est à dire les

nombres premiers inférieurs à

n

. L'exemple suivant,

n = 2184

expose le proédé et sa

présentation graphique onventionnelle :

2184 est divisible par 2 et lequotientest 1092 2184 2

1092 est divisible par 2 et lequotientest 546 1092 2

546 est divisible par 2et lequotient est 273 546 2

273 est divisible par 3et lequotient est 91 273 3

91est divisible par 7 etlequotient est 13 91 7

13est un nombre premier 13 13

La déompositionest terminée 1

La déompositionen fateurs premiersde 2184est don

2184 = 2 3 × 3 × 7 × 13

.

Théorème 3

Soit n = p α 1 1 · · · p α k k la décomposition en nombres premiers d’un entier naturel n. Les diviseurs de n sont les entiers dont les décompositions sont de la forme p β 1 1 · · · p β k k , où pour tout i ∈ { 1, · · · , k } , β i 6 α i .

Preuve. Il est lairqu'un entier de la forme donnéedans le théorème divise bien

n

.Il reste à

démontrerque toutdiviseurde

n

estde ette forme.

Soient

d

undiviseurde

n

,

p

unfateurpremierde

d

et

β

telque

d = p β d

,

d

n'estpasdivisible

par

p

.Alors

p β

divise

n

etdon

p

doitêtrel'un desfateurspremiers de

n

,disons

p i

.Il estalors

lair que

β

doitêtre inférieur à

α i

.Comme ei est vrai pour tousses diviseurs premiers,

d

est

biende laforme donnéedanslethéorème.

(7)

Proposition 6

Soit n un entier supérieur ou égal à 2, admettant la décomposition en facteur premier : n = p α 1 1 · · · p α k k .

Le nombre de diviseurs de n est :

1 + 1)(α 2 + 1) · · · (α k + 1) .

Preuve. Si

n = p α 1 1 · · · p α k k

,alors d'aprèsla proposition préédente, tout diviseur

d

de

n

s'érit

d = p β 1 1 · · · p β k k

, pourtout

i ∈ { 1, · · · , k }

,

β i 6 α i

.

Ona

α 1 + 1

hoix pour lavaleurde

β 1

,

α 2 + 1

hoix pour lavaleur de

β 2

,...

4 P.P.C.M

Définition 6

Soient a et b deux entiers positifs. L’ensemble des multiples positifs non nuls communs à a et b n’est pas vide car il contient ab, et il est minoré par a et b. Il contient donc un plus petit élément. Cet élément est appelé P.P.C.M de a et b et noté PPCM(a, b) ou a ∨ b.

Proposition 7

Tout multiple commun à a et b est un multiple de leur P.P.C.M m.

Preuve. Soit

n

un multiple ommun à

a

et

b

et

m

leur P.P.C.M. Par dénition de

m

, on a

m 6 n

.La divisionde

n

par

m

donnent deuxnombres

q

et

r

tel que

n = mq + r

ave

r < m

.

On a alors

r = n − mq

qui est un multiple ommun à

a

et

b

(ar

n

et

m

le sont) et qui est

inéfrieur à

m

.Par dénition de

m

,ona don

r = 0

.Ainsi

n

estun multiple de

m

.

Théorème 4

Soient a et b deux entiers. Si d et m sont respectivement le P.G.C.D et le P.P.C.M de a et b, alors md = ab.

Preuve.

Ononsidère l'entier

ab d

.

d

étant lepgd,ilexiste

a

et

b

entierstelsque

ab d = a b = ab

equi

signieque

ab

d

est unmultiple ommun à

a

et

b

.

C'est don,d'aprèslapropriétépréédente, unmultiplede

m

.Celasigniequ'ilexiste

k

dans

Z tel

ab

d = km

,etdon

ab = kmd

.

• m

étant un multiple ommun à

a

et

b

,il existe

h

et

h

dans Z tels que

m = ah

et

m = bh

.

En remplaçant

m

par lapremière de esexpressions, onobtient

ab = kahd

, etdon

b = kdh

.

L'entier

b

estdondivisible par

kd

.Demanièreanalogue

kd

divise aussi

a

.Parmaximalitéde

d

,ondoit don avoir

kd 6 d

.Laseule valeur possible pour

k

est1,e qui implique

ab = md

.

(8)

Théorème 5

Soient a et b deux entiers. Notons { p 1 , . . . , p k } l’union des ensembles de leurs facteurs premiers. On peut noter a = p α 1 1 · · · p α k k et b = p β 1 1 . . . p β k k où certains exposants α i et β i

sont éventuellement nuls. Notons d et m respectivement le P.G.C.D et le P.P.C.M de a et b. Alors

d = p Min (α 1 ,β 1 )

1 · · · p Min (α k ,β k )

k et m = p Max (α 1 ,β 1 )

1 · · · p Max (α k ,β k )

k .

Preuve. Soit

d

un diviseur ommun de

a

et

b

. D'après le théorème 3.3,

d

est de la forme

p γ 1 1 . . . p γ k k

, pour tout

i ∈ { 1, . . . , k }

,

γ i 6 α i

et

γ i 6 β i

, 'est à dire

γ i 6

Min

i , β i )

. Par

onséquent tout diviseur ommun à

a

et

b d

vérie

d 6 p

Min

1 1 1 ) . . . p k

Min

k k )

, et omme

e produit estbien undiviseurde

a

et

b

,'est leurP.G.C.D. D'autreparton sait que

ab = md

,

'està dire

m = ab d

,et don

m = p α 1 1 · · · p α k k × p β 1 1 · · · p β k k p

Min

1 1 1 ) · · · p

Min

k k k )

m = p α 1 1 1 · · · p α k k k p

Min

1 1 1 ) · · · p

Min

k k k ) m = p

Max

1 1 1 ) · · · p

Max

k k k )

Exemple : Prenons

a = 2184

et

b = 1617

.Leurs déompositionsen fateurs premierssont

a = 2 3 × 3 × 7 × 13

et

b = 3 × 7 2 × 11

. Don

P GCD ( a, b ) = 3 × 7 = 21

P P CM(a, b) = 2 3 × 3 × 7 2 × 11 × 13

= 168168.

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