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De la charact´erisation des mod`eles de H*

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Academic year: 2022

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Texte intégral

(1)

De la charact´ erisation des mod` eles de H*

Flavien BREUVART

PPS, Paris Denis Diderot; LIPN, Paris Nord

2014

(2)

Adéquation complète

Ad´equation compl`ete

C’est l’identit´eentre la congruence d´enotationnelleet la congruence contextuelle:

[[M]] = [[N]]⇔ M ≡o N

Congruence d´enotationnelle [[M]] = [[N]]

Congruence induite parle mod`ele d´enotationnelle: c’est l’´egalit´e dans le mod`ele.

Congruence op´erationnelle M ≡o N

Congruence induite par le langage :

∀C,O(C(|M|)) =O(C(|N|))

(3)

Divers résultats d’adéquation complète

[Abramskyet.al.2000]

[Abramsky et McCusker 2007]

[Abramskyet. al.1998]

[Hyland et Ong 2000]

[Wadsworth 1976]

[Hyland 1976]

[Plotkin 1977]

[Laird 1997]

[Laird 2003] [Paolini 2003]

[Cartwrightet.al.1994]

[Milner 1977]

[Harmer et McCusker 1997]

[Bucciarelliet.al.2011]

(4)

Caractérisation de l’adéquation complète

Th´eor`eme de Milner pour PCF [Milner 1977] : Il y a un unique domaine continu extentionnel et pleinement ad´equat pour PCF.

Cette caract´erisation est d´eg´en´er´ee puisqu’elle d´emontre un r´esultat d’unicit´e.

Qu’en est-il du λ-calcul ? (en appel de tˆete) Il existe de nombreux mod`eles non isomorphiques de Λ ! [Gouy 1995]

mod`eles bien stratifi´es [Manzonetto 2009]

Tout mod`ele bien stratifi´e est pleinement ad´equat pour Λ

(5)

Plan : 1

ere

partie (présentation)

Les mod`eles choisis : Les K-mod`eles

Principale sous-classe des syst`emes de types avec intersection.

ContientD,P,D ...

Contient les mod`eles stratifi´es(parmi les syst`emes de types avec intersection).

Correspond aux ´el´ements r´eflexifs de ScottL! [Ehrhard ....].

R´esultat(moralement) :

Un K-mod`ele est pleinement ad´equat pour Λ ssi il est hyperimune.

C`ad si les comportements mal fond´e ne sont pas captur´es par aucun terme r´ecursif.

(6)

Plan : 2

ieme

partie (preuve)

Le λ calcul avec tests Λτ(D)

G´en´eralisation de [Bucciarelli&Al2011]

Index´e par un K-modelD : langage interne de D

Ajout de K(D) dans la syntaxe ⇒ PA deD pour Λτ(D) La pleine ad´equation

implique l’hyperimmunit´e

∀D non hyperimmune,

∃JfoI,[[Jf]]6=[[I]]

Jf η-´etendI

[[Jf]]6=[[I]] obtenu via Λτ(D)

∃C ∈Λ(|.|) ,C(|J |)6≡ C(|I|)

L’hyperimmunit´e implique la pleine ad´equation

∀D hyperimmune, ∀M,N [[Jf]]6=[[I]]⇒M 6≡o N Induction sur la r´eduction d’un terme de Λτ(D)

(7)

Plan

Les mod`els choisis : Les K-mod`eles

Models de Λ K- mod`eles ScottL! Examples R´esultat

Le r´esultat Intuition Exemples

Le λ calcul avec tests Λτ(D)

Id´ee S´ementique op´erationelle Strat´egie La pleine ad´equation

implique l’hyperimmunit´e

L’hyperimmunit´e implique la pleine ad´equation

(8)

Le λ -calcul pure

mod`ele duλ-calcul

Un mod`ele duλ-calcul est un objet d’une cat´egorie cart´esienne close respectant :

D⇒D D

abs

D⇒D app

Et tel queapp◦abs=idM

Extensionalit´e

Tout mod`ele pleinement ad´equat de Λ est extensionel (c.`a.d respecte l’eta ´equivalence) :

(9)

Définition de la catégorie S

COTT

L

!

Un mod`ele de la logique lin´eaire :ScottL

Objets :Posets Morphisms : fct.lin´eaires deI(D) vers I(P) Exponential :Antichaˆınes finies !D =Af(D)

I(D) represente le treillit complet des segments initiaux sur D une fonction est dite lin´eaire si elle pr´eserve tous les sups

La co-categorie de Kleisli :ScottL!

Objects :Posets Morphisms : fct.continuesdeI(D) versI(P) Identities :1D =idI(D)

Composition : la composition de fonction Cartesian product : ˘

i∈IDi :={(i, α)|i ∈I, α∈AD} Exponential object :A⇒B =Af(A)op×B

(10)

Définition de K-modèles

K-mod`ele :

Un K-mod`ele extentionnelle est un pr´eordre (D,≤) munie d’une bijection→:Af(D)×D →D telle que :

Af(D) est muni de l’ordre v,d´efini par : avb⇔ ∀α∈a,∃β ∈b, α≤β

(a→alpha)≤(b→β) ⇔ awb ∧ α≤β Equivalent aux pr´esentation avec Pf(D) ou Mf(D)

Elements r´eflexifs

Les K-mod`eles sont exactement les objets r´eflexifes de la cat´egorie ScottL!.

(11)

Exemples ( D

)

Scott’s D :

D0={∗}

Dn+1=Dn∪(Af(Dn)×Dn)− {(∅,∗)}

D=[

n

Dn

(a, α) =a→α sia6=∅ orα 6=∗

∗ =∅ → ∗

D est pleinement ad´equat pour le λ-calcul. [Hy76, Wad76]

(12)

Exemples ( D

)

Scott’s D :

D0={∗}

Dn+1=Dn∪(Af(Dn)×Dn)− {(∅,∗)}

D=[

n

Dn

(a, α) =a→α sia6=∅ orα6=∗

∗ =∅ → ∗

D est pleinement ad´equat pour le λ-calcul. [Hy76, Wad76]

(13)

Exemples ( D

)

Scott’s D :

D0={∗}

Dn+1=Dn∪(Af(Dn)×Dn)−{(∅,∗)}

D=[

n

Dn

(a, α) =a→α sia6=∅ orα6=∗

∗=∅ → ∗

D est pleinement ad´equat pour le λ-calcul. [Hy76, Wad76]

(14)

Exemples ( D

)

Scott’s D :

D0={∗}

Dn+1=Dn∪(Af(Dn)×Dn)− {(∅,∗)}

D=[

n

Dn

(a, α) =a→α sia6=∅ orα6=∗

∗=∅ → ∗

D est pleinement ad´equat pour le λ-calcul. [Hy76, Wad76]

(15)

Exemples ( D

)

Scott’s D :

D0={∗}

Dn+1=Dn∪(Af(Dn)×Dn)− {(∅,∗)}

D=[

n

Dn

(a, α) =a→α sia6=∅ orα6=∗

∗=∅ → ∗

D est pleinement ad´equat pour le λ-calcul.

[Hy76, Wad76]

(16)

Exemples (bien stratifiés)

K-mod`eles bien stratifi´es :

SoitAun ensemble non vide et σ une permutation de A: U0A,σ=A

Un+1A,σ =Dn∪(Af(UnA,σ)×UnA,σ)− {(∅, µ)|µ∈A}

UA,σ=[

n

UnA,σ

(a, α) =a→α si a6=∅ orα6∈A∗

σ(µ)=∅ →µ pour µ∈A

Les UA,σ sont pleinement ad´equat pour le λ-calcul.

(17)

Exemples ( P

)

Park’s P :

P0={∗}

Pn+1=Pn∪(Af(Pn)×Pn)− {{∗},∗}

P=[

n

Pn

(a, α) =a→α sia6={∗}or α6=∗

∗={∗} → ∗

P n’est pas pleinement ad´equat pour le λ-calcul.

[Park76]

(18)

Exemple ( D

)

Coppo,Dezani,Zacchi’s D (or Norm) :

D0={p,q}

Dn+1 =Nn∪(Af(Nn)×Nn− {({p},q),({q},p)}

D =[

n

Dn

(a, α) =a→α si (a, α)∈D q ={p} →q

p ={q} →p

D n’est pas pleinement ad´equat pour le λ-calcul.

(19)

Exemple ( ω )

Ordinal’s completionω :

E0=N

En+1=En∪(Af(En)×En)− {({k |k<n},n)|n}

E>=[

n

En

(a, α) =a→α si (a, α)∈E>

n ={k |k<n} →n

ω est pleinement ad´equat pour le λ-calcul.

(20)

Exemple ( Z )

Relational completion Z:

E0=Z

En+1=En∪(Af(En)×En)− {({n+1},n)|n}

E>=[

n

En

(a, α) =a→α si (a, α)∈E>

n ={n+1} →n

Z n’est pas pleinement ad´equat pour le λ-calcul.

(21)

Exemple ( H

f

)

Hf : Soitf :N→N:

H0f ={∗} ∪ {αnj |n≥0, 1≤j ≤f(n)}

Hn+1f =Hnf ∪(Af(Hnf)×Hnf)− {(∅, αnj)|j 6=f(n)}∪{({αn+11 },∗)}

Hf =[

n

Hn

(a, α) =a→α si (a, α)∈Hf αnj =∅ →αjn+1 1≤j <f(n) αnf(n) ={αn+11 } → ∗

l’ad´equation compl`ete pour le λ-calcul de Uf d´epend des propri´et´es de calculabilit´e de f.

(22)

Exemple ( H

f

)

Hf : Soitf :N→N:

H0f ={∗} ∪ {αnj |n≥0, 1≤j ≤f(n)}

Hn+1f =Hnf ∪(Af(Hnf)×Hnf)− {(∅, αnj)|j 6=f(n)}∪{({αn+11 },∗)}

Hf =[

n

Hn

(a, α) =a→α si (a, α)∈Hf

αn1 = ¯∅f(n)−1→ {αn+11 } → ∗

l’ad´equation compl`ete pour le λ-calcul de Uf d´epend des

(23)

Plan

Les mod`els choisis : Les K-mod`eles

Models de Λ K- mod`eles ScottL! Examples R´esultat

Le r´esultat Intuition Exemples

Le λ calcul avec tests Λτ(D)

Id´ee S´ementique op´erationelle Strat´egie La pleine ad´equation

implique l’hyperimmunit´e

L’hyperimmunit´e implique la pleine ad´equation

(24)

Le résultat

Mod`ele hyperimmune

Un K-mod`eleD est hyperimmunelorsque pour toute s´equence (αn)n≥0 ∈DN,il n’existe pasde fonctionr´ecursiveg :N→N satisfaisant pour toutn :

αn=an,1→ · · · →an,g(n)→α0n and αn+1∈ [

k≤g(n)

an,k.

Th´eor`eme Principal (Caract´erisation) :

Un K-mod`ele extensionel qui commute avec les arbres de B¨ohmest pleinement ad´equatssi il est hyperimmune.

Th´eor`eme secondaire

Un K-mod`ele extensionel qui commute avec les arbres de B¨ohmest

(25)

Que se passe-t-il ?

α1 =a1,1→ · · ·a1,i1· · · →a1,g(1) →α01

α2=a2,1 → · · ·a2,i2· · · →a2,g(2)→α02

α3=a3,1 → · · ·a3,i3· · · →a3,g(3)→α30 . ..

IsD hyperimmune ?

Ifg is computable, then theD is not hyperimmune (even if (in)n may not be computable).

(26)

Exemples (bien stratifiés)

La compl´etion pr´es`erve l’hyperimmunit´e Un compl´et´e ¯E est hyperimmune ssiE l’est.

K-mod`eles bien stratifi´es :

SoitAun ensemble non vide et σ une permutation de A: U0A,σ=A ∀α∈A, α=∅ →σ(α)

Les mod`eles stratifi´es (et donc D) sont hyperimmune : pour toutα1 ∈Aet toutg,

α1 =∅→ · · · →∅→σn1)

(27)

Exemple (Norm)

Norm :

N0 ={p,q} q ={p} →q p ={q} →p

Norm is not hyperimmune g = (n 7→1)

n)n= (p,q,p,q, ...)

p ={q} →p

q ={p} →q

p={q} →p . ..

(28)

Exemple ( ω )

ω :

E0=N n ={i |i <n} →n)

ω hyperimmune n0 = [[0,n0[[→ · · ·[[0,n0[[· · · →n0

∈ (n1<n0)

n1 = [[0,n1[[→ · · ·[[0,n1[[· · · →n1

∈ (n2<n1) . ..

0=∅ · · · ∅ · · · ∅ →0 Imposible

(29)

Exemple ( Z )

Z :

E0=Z n ={n+1} →n

Norm is not hyperimmune g = (n 7→1)

n)n= (0,1,2, ...)

0={1} →0

1={2} →1

2={3} →2 . ..

(30)

Exemple ( H

f

)

Hf :

H0f ={∗} ∪ {αnj |1≤j ≤f(n)} αn1 = (¯∅f(n)−1→ {αn+11 } → ∗)

Hf est hyperimmune ssi f est hyperimmune α01 =∅ → · · · ∅ →{α11} → ∅ · · · → ∗

α11=∅ → · · · ∅ →{α21} → ∅ · · · → ∗

α21 =∅ → · · · ∅ →{α31} → ∗

(31)

Plan

Les mod`els choisis : Les K-mod`eles

Models de Λ K- mod`eles ScottL! Examples R´esultat

Le r´esultat Intuition Exemples

Le λ calcul avec tests Λτ(D)

Id´ee S´ementique op´erationelle Strat´egie La pleine ad´equation

implique l’hyperimmunit´e

L’hyperimmunit´e implique la pleine ad´equation

(32)

Le λ -calcul avec D-tests : principe

Λτ(D) : une extension duλ-calcul SoitD (qui commute avec les arbres de B¨ohm), Λτ(D)´etend Λ et v´erifie :

Λτ(D) est confluent,

D est pleinement ad´equat pour Λτ(D).

Int´eret

Contexts explorant inductivement l’arbre de B¨ohm

Discrimination des comportements infinis non d´ecidable !

(33)

Syntaxe de Λ

τ(D)

Grammaire (termes) M,N : := P

iτ¯αi(Qi) | x | λx.M | M N (tests) P,Q : := τα(M) | P

iPi | Q

iPi

o`u les α sont des points deD.

On d´enote 0 la somme vide et le produit vide

Intuitions Q∈Λoτ(D) est une r´eusite ⇓ou un ´echec⇑

τα(M)⇓ ⇔α∈[[M]] [[¯τα(⇓)]] =↓α [[¯τα(⇑)]] =∅

Exemples

¯

τ∅→α(Q) M →τ¯α(Q) τ∗→∗(λx.x)→τ(¯τ())→

(34)

Somme, produit, et convergence

May/must non-d´eterminisme ΣiQi⇓iff ∃i,Qi⇓ ΠiQi⇓iff ∀i,Qi

M⇓iff (M→hN ⇒N⇓) τα(M)⇓iff (τα(M)→hQ ⇒Q⇓)

Exemples

τα(x)+Q⇓ τα(Ω)·Q⇑

τα(¯τα())⇓ τp=((p→q)→p)(Θ(λuxy.x (u y)))⇑

Int´eret 2 causes de divergence :

τα(M) diverge effectivement : τα(M)→0·Q, i.e. erreur :

(35)

Plan

Les mod`els choisis : Les K-mod`eles

Models de Λ K- mod`eles ScottL! Examples R´esultat

Le r´esultat Intuition Exemples

Le λ calcul avec tests Λτ(D)

Id´ee S´ementique op´erationelle Strat´egie La pleine ad´equation

implique l’hyperimmunit´e

L’hyperimmunit´e implique la pleine ad´equation

(36)

Non hyperimmunité implique non pleine adéquation

SiD n’est pas hyperimmune alors il existeg recursive et (αn)ntel que αn=an,1→ · · · →an,g(n)→α0n and αn+1∈ [

k≤g(n)

an,k.

Contre exemple Jg On peut alors construireJg tel que :

τα0→α0(Jg) diverge Jgo I

(37)

Cas H

f

pour f récursive

Gf U n → λex1...xf(n).e x1· · ·xf(n)−1 (U n+1 xf(n)) Un telGf existe bien car la suite

(λuex1...xf(n).e (u x1 n+ 1)· · ·(u xn n+ 1))n

est une suite calculable de termes clos.

Jnf = Θ Gf n

Jnf z → λx1xf(n).z x1· · ·xf(n)−1 (Jfn+1 xf(n))

(38)

Réduction

· · ·

αn∈[[v]]`αn∈[[Jfn v]]

· · ·

α2 ∈[[v]]`α2 ∈[[Jf2 v]]

· · ·

α1 ∈[[v]]`α1 ∈[[Jf1 v]] ∗ ∈[[u00]]` ∗ ∈[[u00]]

1} → ∗ ∈[[u0]], α1∈[[v]]` ∗ ∈[[u0 (Jf1 v)]]

α0 ∈[[u]], α1 ∈[[v]]` ∗ ∈[[u x1· · ·xf(n)−1 (Jf1 v)]]

α0∈[[u]]` {α1} → ∗ ∈[[λxf(0).u x1· · ·xf(n)−1 (Jf1 xf(0))]]

α0∈[[u]]`α0∈[[λx1...xf(0).u x1· · ·xf(n)−1 (Jf1 xf(0))]]

α0∈[[u]]`α0 ∈[[J0g u]]

0 →α0 ∈[[J0g]]

(39)

Réduction de τ

α0→α0

(J

0g

)

τα0→α0(J0g)

→ τα0(J0g ¯α0)

τα0(λx1...xf(0)α0 x1· · ·xf(n)−1 (Jf1 xf(0)))

τα0 0· · ·0 (Jf1 ¯α1))

τ(¯τα1(Jf1 ¯α1)))

→ τα1(Jf1 ¯α1)

τα2(Jf2 ¯α2)

· · · ·

ταn(Jfn ¯αn)

· · · ·

(40)

Plan

Les mod`els choisis : Les K-mod`eles

Models de Λ K- mod`eles ScottL! Examples R´esultat

Le r´esultat Intuition Exemples

Le λ calcul avec tests Λτ(D)

Id´ee S´ementique op´erationelle Strat´egie La pleine ad´equation

implique l’hyperimmunit´e

L’hyperimmunit´e implique la pleine ad´equation

(41)

Correction

Pleine adequation de Λτ(D)

L’interpretation d’un terme closM peut ˆetre d´ecrite via convergence dans un contexte avec tests :

α∈[[M]] ⇔ τα(M)⇓

G´en´eralisable aux termes non clos

La correction : un th´eor`eme maintenant syntaxique SiD est hyperimmune :

α∈[[M]]−[[N]] ⇒ M6voN

Par induction sur la longueur de r´eduction de τα(M).

(42)

Hypothèse d’hyperimmunicité

Lemme cl´e Si ({α} →α)6∈[[M]] alors :

soit I6vo M

soit il existe ((αi)i,f) qui contredit l’hyperimmunit´e.

Cr´eation de ((αi)i,f) par co-induction le long deτ{α}→α(M).

(43)

Conclusion et intérogations

Th´eor`eme final

Pour tout K-mod`ele D extentionel qui commute avec les arbres de B¨ohm, ces propositions sont ´equivalentes :

D est hyperimmune,

D est inequationellement pleinement ad´equat pour Λ,

D pleinement ad´equat pour Λ.

Interpretation ?

La classe de mod`eles est mal choisie ? Probablement pas [Ehrhard 2012]

Le lambda calcul pur est un “mauvais” langage ?

Une cons´equence de l’expressivit´e de la classe de mod`eles ? Il y aurait 2ω th´eories entre H et H...

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