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C'est à ce moment que vibre intensé¬ ment la fibre de la liberté, de l'autonomie

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On a peine à imaginer que cette entité politique qui s'ap¬

pelle la commune n'ait guère plus de cent cinquante ans d'exis¬

tence. Et encore ! Les deux lois promulguées en février 1799, qui imposèrent des changements fondamentaux dans l'or¬

ganisation des communes, ne constituent en fait qu'un pre¬

mier pas vers la situation actuelle. L'ancienne communauté des bourgeois se transforma en une commune politique des habitants. Ne pouvaient jouir des droits de citoyens que les habitants helvétiques domiciliés depuis cinq ans dans la commune. Ces citoyens nommaient la municipalité. Voilà pour l'histoire !

Une histoire mouvementée et passionnante à la fois, qui s'estompe dans le lointain, mais dont le souvenir se perpétue tous les quatre ans par les élections pour la désignation des Conseils communaux. C'est à ce moment que vibre intensé¬

ment la fibre de la liberté, de l'autonomie. C'est à l'heure des votations communales qu'on sent à nouveau couler dans ses veines un sang de Morgarten. Un sang qui vivifie et qui nour¬

rit en même temps qu'il emporte jusqu'aux extrémités du corps un besoin de justice.

Les élections communales

Il ne faut évidemment pas confondre le besoin de justice avec la soif de vengeance. Laissons ces citoyens qui profitent d'une élection pour « retrouver » un adversaire, pour régler de vieux comptes personnels. Cette catégorie d'électeurs n'apporte rien, strictement rien à leur commune, sinon leur mauvais esprit. Mais songeons aux milliers qui votent selon leur conscience, qui désirent placer aux responsabilités des hommes capables et intègres. L'administration d'une commu- mune et des affaires publiques diffère de celle de biens per¬

sonnels, mais ne se conçoit pas autrement. La personnalité du candidat pèse lourd dans la balance de cette justice natu¬

relle que font régner les électeurs.

Certes, on n'échappe pas, avant les élections, à des pré¬

paratifs qui n'enthousiasment pas toujours l'homme neutre.

Les jeunes n'apprécient guère ce qu'ils appellent dans leur langage moderne, les combines. Peut-on réellement s'en pas¬

ser ? La loi électorale impose des obligations telles que des délais, des signatures, des listes. Dès lors, pour s'y plier, il est nécessaire de mettre sur pied une organisation. Puis, les candidats disposent de supporters. Ces derniers, plus dévoués que désintéressés, tentent d'influencer l'électeur. Mués en pros¬

pecteurs qui vont de porte en porte, ils finissent par se per¬

suader que d'eux dépend le sort de la commune. Considérons cette besogne comme un des éléments comiques des élections.

Elle anime la vie au village. On chuchote des noms, on suppute des chances, on soutire des promesses. Puis les élections se passent dans le bruit, les verres et les félicitations. Elles sombrent bientôt dans l'oubli. Les candidats malheureux se jurent qu'on ne les y rependra plus... Et quatre ans s'écoulent.

L'administration d une commune

Oui, quatre années défilent, qui exigent du dévouement, de la sagesse et de l'habileté de la part des conseillers commu¬

naux. Ils se savent les gardiens de l'autonomie communale.

En réalité, ils constatent que cette liberté se mue lentement en une dépendance inéluctable. Un syndic d'une petite com¬

mune fribourgeoise disait récemment au cours d'une assern-

(Clirlu*' ohligennmient prtUé par l'Office fribourßvoi* >ln tourisme.)

blée de citoyens que, face au besoin d'unité qui se manifeste en Europe, l'autonomie des communes semble aussi menacée que la neutralité de la Suisse. La plupart des communes ne disposent plus des moyens voulus pour assumer certaines tâches. Sur le plan social, en matière scolaire, dans le do¬

maine des constructions, des routes, de la police, elles ne peuvent supporter les dépenses exigées par les méthodes mo¬

dernes. L'Etat cantonal leur verse alors des subsides. Il serait peut-être plus simple qu'il laisse aux communes la totalité des impôts. Mais lui, l'Etat à qui le citoyen demande de plus en plus, de quoi vivrait-il ? Les dirigeants, à tous les éche¬

lons, se trouvent devant les mêmes problèmes et constatent qu'ils ne parviennent souvent à les résoudre qu'en mettant en commun leurs ressources. On n'échappe plus alors à l'obli¬

gation de céder des parcelles d'autonomie. Et à force d'en abandonner, on n'en possède plus guère. Cruel dilemme en vérité. Vraiment, le besoin d'élire des hommes capables est plus impérieux que jamais.

Au service d'une communauté qui évolue

Les citoyens qui paient des impôts comparent générale¬

ment le développement de leur commune à celui des cités.

Ils réclament des routes goudronnées, des moyens de com¬

munications, des écoles rénovées. Ils s'habituent aisément à ce que la ferme soit entourée de constructions modernes, d'un silo, d'un congélateur. Ils souhaitent qu'au village se construisent une petite usine, une chaussée large et dégagée.

La commune qu'on craint se voir de transformer en une succursale de l'Etat n'en garde pas moins son rôle à jouer et son importance. Il lui incombe de veiller sur l'esprit d'indé¬

pendance sans lequel les citoyens abandonnent leurs devoirs, de procurer le bien-être matériel du village, de le rendre agréable, de faciliter la mise en commun des bonnes volon¬

tés par la création de groupements, de syndicats, de sociétés.

C'est dans la commune qu'ils deviennent florissants. En appe¬

lant au Conseil communal des personnalités de valeur, nous trouverons dans notre canton de Fribourg de nombreux vil¬

lages semblables à celui que notre photographe a fixés sur l'objectif où l'ancien et le moderne s'allient harmonieuse¬

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GENÈVE 15-25 mars

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Le Salon de Genève, comme chaque année, battra tous les records de participation et d'affluence.

Pendant dix jours, du 15 au 25 mars prochain, toute l'attention des fervents de l'automobile se cristallisera sur Genève, devenu le pôle d'attraction N° 1.

L'auto, reine despotique, a fait de l'individu moderne son sujet soumis. Nous sommes devenus sa « chose ». Sans elle nous ne sommes rien. Rien que des piétons désuets, ces parents pauvres du tralie urbain ...

On dit encore, dans les milieux aristocratiques, que le cheval est la plus noble conquête de l'homme ! Quelle aberration !

Il serait plus juste d'avouer que c'est l'homme, au contraire, qui a été conquis par le cheval-vapeur !

La preuve? L'extraordinaire vogue de l'automobile qui fait que.

chaque année, le Salon de Genève, à l'instar de celui de Paris, bal tous ses records de participation et d'affluence. 1902 ne fera pas ex¬

ception à la règle, bien au contraire, et les organisateurs ont dû se résigner, la mort dans l'âme, à laisser de nombreuses demandes insa¬

tisfaites: l'espace dont ils disposent s'avère insuffisant ! Sur 32 000 m2.

La superficie totale du Salon 1962 sera de 32 000 m2.

Sur cette surface seront réparties diverses sections consacrées res¬

pectivement aux voitures particulières, aux véhicules utilitaires, aux machines d'entreprises, aux bateaux, aux carrosseries, aux acces¬

soires et aux équipements de garage.

Une exposition annexe se tiendra, comme de coutume, sur la vaste Plaine de Plainpalais, c'est-à-dire en plein air. Elle concernera une section « caravanes et camping », à laquelle, chaque année, le public réserve un intérêt tout particulier, tant il est vrai que le camping, lui aussi, a largement conquis ses lettres de Noblesse, grâce à l'automo¬

bile, précisément.

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C'est bien 1111 véritable panorama des dernières réalisations mon¬

diales que découvriront les quelque 500 000 visiteurs attendus.

La Suisse ne fabriquant pas de voitures particulières n'a donc aucune marque à protéger, ce qui permet au Salon de Genève de se différencier singulièrement de ceux organisés à Paris, en Allemagne ou ailleurs, et d'offrir une gamme infiniment plus vaste. Chez nous, la concurrence joue librement, dans le cadre d'une louable émulation commerciale qui finit toujours par porter ses fruits... dans le do¬

maine du prix de vente.

Au Salon de Genève n'importe qui pourra passer commande d'une voiture, de n'importe quelle voiture. Ç.a ne se voit pas partout...

11 ne s'agira pas d'une exploitation théorique, d'une exhibition

« platonique » des derniers modèles internationaux, mais bien d'une véritable « foire » de l'automobile, d'un authentique marché avec d'une part des vendeurs... et d'autre part des acquisiteurs.

Les tendances.

Il est difficile de dégager à l'avance les tendances prédominantes de ce Salon, le trente-deuxième du nom..., qui sera placé plus que jamais sous le signe de la variété.

La voiture moyenne aura les faveurs du plus large public. Il ne saurait en être autrement.

La représentation allemande s'inscrira en tête, comme d'habi¬

tude, tant (|iiant au nombre des véhicules exposés que de celui des firmes exposantes. La France, l'Angleterre, l'Italie seront les autres

«grands » de cette confrontation mondiale de l'automobile.

Une place spéciale sera réservée naturellement aux voitures amé¬

ricaines, elles-mêmes divisées en deux tendances bien distinctes:

d'une part les classiques gros modèles, indice de la course folle à la surpuissance, et d'autre part les modèles dits « compacts », c'est- à-dire de dimensions plus restreintes parce qu'étudiés en fonction des impératifs de la circulation européenne.

Quant aux «nains», aux véhicules de format confidentiel, ils mobiliseront l'attention et l'intérêt des citadins purs (et des Gene¬

vois particulièrement) aux prises dix fois par jour avec l'insoluble problème du stationnement.

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rosseries spéciales, aux prototypes, aux voitures futuristes qui fe¬

ront rêver les petits et les grands. L'automobile de demain sera en bonne place au Salon de Genève 1962. Mais qui saura la reconnaître?

M. Paul Chaudet sera là...

Une tradition bien ancrée veut que ce soit le Président de la Con¬

fédération en personne qui procède à l'inauguration du Salon de l'auto.

M. Paul Chaudet, premier magistrat du pays, sera donc présent lors de la cérémonie inaugurale. Il prononcera un important discours dont les thèmes essentiels seront naturellement les questions rou¬

tières et les problèmes économiques afférents à la branche automo¬

bile. M. Chaudet sera entouré des membres du Conseil National.

Une large représentation diplomatique ajoutera encore un relief de cette manifestation très genevoise: les ambassadeurs et les mi¬

nistres plénipotentiaires en Suisse, ainsi que les consuls généraux des pays exposants, seront reçus en grande pompe.

On notera également la présence des représentants du Tribunal fédéral, des départements fédéraux, des organisations internatio¬

nales et des autorités locales.

Et le Salon 1962 sera enfin livré aux centaines de milliers de visi¬

teurs, venus de tous les cantons et de tous les pays...

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Une distinction à un moniteur d'auto-école

C'est au cours d'un excellent déjeuner servi au Restaurant grué- rien, à Bulle, que M. Robert Souaiile, directeur de l'Institut inter¬

national de psycho-dynamie, eut la joie de remettre pour la pre¬

mière fois à un automobiliste fribourçreois le diplôme de ce centre d'instruction. 1,'heureux bénéficiaire était M. Robert Chapelle, moni¬

teur d'auto-école à I,n Tour-de-Trème, qui a suivi sur la [liste de Lignières (Neuchâtel) les cours et les épreuves lui donnant droit à cette flatteuse distinction. Précisons que l'Institut international de psycho-dynamie est avant tout, destiné à compléter la formation de professeurs de conduite en leur fournissant la possibilité d'étudier

l'articulation et les réactions de véhicules de différentes marques, ainsi que leur comportement dans les situations difliciles. De nom¬

breux accidents, en effet, sont dus au manque d'habileté des conduc¬

teurs.

M. Chapelle fut évidemment félicité comme il se devait par MM.

André Favarger, chef de service au Département cantonal de l'In¬

térieur, Jean Weyneth, directeur de la Société Shell à Lausanne, Gérard Glasson, député et journaliste à Rulle et par... Fribourg-

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Pour rire un brin, lisez les journaux de Carnaval

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Le dépari esl donné aux coureurs du Championnat suisse de cyclo-cross.

Le futur champion suisse Huni/erbithler de Wetzikon en plein effort; il couvrit les 24 km. en 1 h. 02' 11".

Le cyclisme

Fribourg a organisé, par le truchement de son grand club, la Pédale fribourgeoise, le championnat suisse de cyclo-cross. Sur un parcours qualifié de sensationnel par les officiels et les coureurs, se déroula, tout au long du dimanche après-midi 4 février, une épreuve suivie par des milliers de spectateurs. Le nouveau champion suisse Ilungerbühler se tailla un succès qui lui permettra de représenter la Suisse aux championnats du monde. Excellente journée de propa¬

gande et d'entraînement, à la veille de l'ouverture de la saison cy¬

cliste fribourgeoise.

Le hockey

Si Gottéron de Fribourg termine par une défaite devant son public, face à Montana-Crans, après avoir dominé Martigny, les juniors et les minimes de ce club se retirent auréolés d'un coup d'éclat.

Pour la deuxième fois en trois ans, les «petits » du H.-C. Gottéron remportent la Coupe des villes à Genève en disposant, en finale, du Tessin. L'entraîneur fribourgeois Bruce Hamilton effectue un excel¬

lent travail au sein des écoliers et. découvre chaque aimée de nou¬

veaux talents. Puissent-ils bientôt éclore en première équipe qui a besoin de sang nouveau, au moment, où se dessine la retraite de quel¬

ques joueurs méritants et, sympathiques. Les hockeyeurs moratois qui évoluent en première ligue n'ont pu garder la première place.

Nous espérions les retrouver en finale pour la promotion. Ils échouent de peu, mais leurs mérites ont fait connaître Moral en terre bâloise et soleuroise... sans compter que maintenant la Radio parle aussi de cette petite cité. Enfin, à Bulle, le hockey rencontre des adeptes en¬

thousiastes. Les joueurs attendent avec l'impatience que l'on devine une patinoire artificielle qui leur permettrait d'accomplir de nouveaux progrès. Eux aussi manquent de peu le titre de champion de groupe, puisqu'ils ne perdrEenl que par 2 buts à 3 contre Payerne, plus heu¬

reux.

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Konrad llischier, le vainqueur ile la 2e course, nationale suisse de fond -10 km., magnifiquement organisée par le ski-club de Charme;/.

Brillant second, Alphonse Bau¬

me de Mont-Soleil, qui était sorti vainqueur l'an dernier.

Un autre coureur de grande classe: Michel Hey des Cernets- Verrières.

Le ski

: ï.e ,slogan « tous à ski » n'a pas encore recueilli autant d'adeptes que la fameuse découverte « la femme suisse cuit à l'électricité » ! Pourtant, les Fribourgeois qui pratiquent le ski augmentent en nombre. Les compétitions se multiplient, la Gruyère continuant à donner le ton. Et nos skieurs gruériens se hissent au sommet dans certaines disciplines. Pensons simplement au ski nordique, à ce fameux « fond » qui voit depuis quelques années les jeunes de La Villette, Gruyères ou Ilauteville inscrire leurs noms aux différents palmarès. Les .32° championnats romands de ski à Vaulion (Vaud), leur ont offert une nouvelle occasion de se distinguer. Michel Hay- moz, en grande forme en ce début d'année 1962, s'est imposé dans la catégorie Klite, devant son ami Franco Piller revenu d'Italie. Le coureur Hissa de Sainte-Croix doit se contenter de la 3e place. Chez les seniors 1, la palme échoit à Henri Gachet de Charmey et, chez les juniors, à Henri Jaggi de La Villette-Jaun. Le ski-club Hochmatt de La Villette n'a d'ailleurs pas fini d'étonner. On s'en est déjà rendu compte, une semaine plus tôt, lors des compétitions disputées dans la région du Bruch, pour le championnat suisse de demi-fond, mis sur pied par nos amis charmeysans. Ils ne se laissèrent pas rebuter par le manque de neige. Leur organisation avait prévu un circuit de rem¬

placement qui se révéla lui aussi parfait.

Cette année, la Course des 3 pistes de la Berra a mis les meilleurs skieurs en face de difficultés insoupçonnées. Il fallut déplorer plu¬

sieurs accidents dont l'un frappant le crack fribourgeois Gonzague Overney de Charmey. Nous lui souhaitons un complet rétablisse¬

ment. [.es concurrents venus des Alpes vaudoises s'imposèrent,

Michel Haynioz du ski-club « Chalama- la » de Gruyères qui remporta le titre de champion romand des 15 \km. à Vau¬

lion.

Mottier du S.C. Col-des-\losses se classant le premier de la descente du slalom, et naturellement du combiné. Même performance chez les dames et victoire incontestée de Rösli Blum des Monts-Chevreuils.

Par contre, le junior bullois, Frédy Buchs bat tous ses adversaires dans sa catégorie et Kinet Dupasquier, l'entraîneur du S.C. Alpina de Bulle, se révèle lui aussi le plus fort, chez les seniors II.

Malgré ces compétitions, l'hiver 1961-1962 n'a vraiment pas gâté les skieurs. Tantôt absente, tantôt humide puis ensuite vergla¬

cée, la neige a fait la petite bouche devant ses amis déçus.

Superbe victoire du ski-club « Clialamala »-Gruyères qui remporta la lro place à Vaulion : De y. à droite: Michel llaymoz, liaymond Hai/moz, et franco Piller.

Belle performance également du ski- club «Dents-Vertes»

de Charmey, bril¬

lant second à Vau¬

lion. De gauche à droite: Henri Ga¬

chet, 1er des Seniors I, qui réalisa le meilleur temps ab¬

solu aux relais ; Bernard Bugnard et Joseph Chollet.

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Beau jour de neige el de soleil ! Les 120 j/arcons et filles du Collèye secondaire d'Yverdon s'apprêtent à faire une randonnée à ski vers les magnifiques pentes de La lierra. A l'arrière plan : vue partielle du bâtiment principal (le « Pro Colonie ».

Le lendemain, le Collège d'Yverdon qui séjournait depuis plusieurs jours sur les contre-forts de la Berra regagnait ses pénates. Depuis plusieurs jours également,, chacun attendait avec impatience cette neige qui semblait ne ja¬

mais venir. HUe arriva enfin, ne serait-ce que pour permettre à Fribourg- Illustré de réaliser le reportage qu'il est heureux de présenter aujourd'hui à ses nombreux lecteurs. Car le centre d'hébergement « Pro Colonie » mérite d'être encore mieux connu chez nous. C'est en 1Î157 qu'il vit le jour, grâce à l'initiative et à l'esprit, d'entreprise de MM. Louis et Max Waeber, de Fri- bourg. Ce furent eux en effet qui firent ériger le bâtiment, conçu selon des directives de la loi française sur les colonies de vacances. Un emplacement idéal avait été trouvé sur le Hey, plateau sis à 20 minutes du village de La Roche à environ 1000 mètres d'altitude. Ce bâtiment pour colonies de va¬

cances complétait en quelque sorte le lotissement de chalets de week-end qu'un entrepreneur-amateur avait eu l'idée de construire à proxomité immé¬

diate du ski-lift de La Berra, à Monsoflo. Depuis 1957, ce sont plus de 3000 enfants qui ont pu [tasser leurs vacances en ce site merveilleux, dans les bâti¬

ments du centre d'hébergement « Pro-Colonie », maintenant avantageuse¬

ment connu notamment en France et, en Belgique.

Le bâtiment principal s'étanf révélé trop exigu [tour accueillir des groupes de 100 à 180 enfants, une grange a été transformé en chalet destiné principale¬

ment aux organes directeurs des colonies. Tout récemment encore, un nou¬

veau pavillon a été aménagé en salle de spectacles ef, de récréation. Kt un terrain d'environ 10 000 m2 est encore mis à disposition.

Prévus primitivement pour des vacances d'été, ces bâtiments virent bien vite leur équipement complété [tour y recevoir des hôtes en hiver également.

Un chauffage central à mazout a été installé.

Si, ces années dernières, le centre d'hébergement «Pro Colonie» fut occupé essentiellement par des organisations étrangères, il a pourtant également accueilli des écoles suisses; ainsi le Collège secondaire d'Yverdon, à qui Fri- bourg-lllustré allait rendre visite au début de ce mois. Malgré l'absence de neige, M. Jean Perrenoud, directeur, entouré d'une équipe de maîtres bien¬

veillants, [tut organiser pour ses quelque 120 enfants diverses visites et pro¬

menades et, enfin, des sorties à ski sur les pistes balisées de La Berra, (listes appréciées de tous les skieurs.

Le bon cavalier soigne sa monture et le bon skieur ses skis... el ses chaussures.

Un jour de joie à

Pro Colonie

à La Roche

M. Louis Waeber, administrateur de « Pro Colonie ».

s'entretenant avec deux moniteurs de ski.

.1 100 m. îles bâtiments de « Pro Colonie », la station d'arrivée du remonte-pente reliant le village de La ltocbe au liey.

Il

(15)

Dans la cuisine, chacun s'affaire.

Marcher dans la neiye poudreuse, quelle joie !

M. le Directeur Perrenoud 11e manqua pas <l*t*x|n-inior à son <ié|i:ti-1. la satisfaction que lui avait procurée ce centre d'héber^emenl ; cl il laissa enten¬

dre que îles camps de ski pourraient être organisés régulièrement dans ces parafes en choisissant connue pied à terre les bfitiments de « Pro Colonie » du Hey.

Signalons aussi que ces bïtiinents son régulièrement mis à la disposition de l'armée. Au début de celte année, des escadrons y avaient leurs canlonne- ments et, sur le terrain environnant,, des tentes avaient été dressées pour les chevaux. Plus récemment, une unité fribourgooise, commandée, par le capi¬

taine-instructeur Ducolterd, y effectuait son cours de répétition.

Les réalisateurs doivent évidemment faire face à des frais considérables d'entretien qui ne peuvent être amortis que par des local ions fréquentes.

Aussi, formulons nous le vu'u que les institutions fribour^eoises s'intéressent, également à l'utilisation de ces bâtiments, car le Centre d'hébergement « l'ro Colonie » contribue, dans une larçre mesure, au développement d'une région jusqu'ici peu atteinte par le tourisme, et à la prospérité du commerce local.

Pour tous renseignements: Louis Waeber, administrateur, rue Heicli- len 5. Fribour<r, Tél. (037) ~ 80, ou Pro Colonie, /.a /ioclie (Gruyère), Tél.

(037) 3 "-!! 48.

J e pique-nique se prépare ...

... qui est distribué, avec ordre et méthode, par le directeur lui-même.

Le nouveau pavillon qui vient de compléter les installations île, « J'ro Colonie ».

Cette réalisation fut possible yrâce à Vexlrème bienveillance et à la générosité de M. Louis Bulliaril, administrateur d'une fabrique de vêlements et constructeur immobilier à Friboury. Ce pavillon est surtout destiné aux séances de cinéma, aux conferences, etc. Le. s jours de mauvais temps, les enfants peuvent s'y dis¬

traire en n'adonnant à des travaux de modelage, de vannerie ou autres.

(16)
(17)

■jx

Pour la première fois dans son histoire, le Conseil communal de Gruyères tint une séance en public.

. \ ,

JÜä«Sä. t».-

A la salle à manger de l'Hostellerie du Si-Georges, une soirée folklorique fui offerte aux quinze missions durant leur séjour à Gruyères. Des applaudissements plus que chaleureux saluè¬

rent les productions de la Chanson gruérienne et les danses folkloriques des Coraules de Bulle. El ce fut enfin le baiser de la Gruyère à la lointaine Amérique. Au revoir !

K $

m

M. le doyen Pilloud, lid curé de Gruyères, montrant les ri¬

chesses de son église et de sa sacristie. A ses côtés, M. Jean- Baptiste de Week, animateur de la Commission nationale Suisse pour /' Unesco, organisatrice de ce voyage, d'études.

(18)

18

Un Jeune Romand de vingt ans

Moderne émule de Phileas Fogg. va faire le tour du

monde en 80 jours!

fAAA/WA/WNAAA^vWvVWW/>AAAWA/vV>;

Michel l'uloii.r organisera les loisirs de 700 /Hissagers d'un paquebot et... participera peut-être à une chasse au tigre sur les terres d'un Maharadjah !

[AAAAAAAVAWvVWWWWWVVNAA

Michel Pidoux vil depuis deux ans et demi une merveilleuse aven¬

ture. Cela commença en MI5'.), lorsqu'il fut sacré « meilleur apprenti de Genève » au ternie d'un concours qui le vit triompher (nettement.) de plus de 20(1 concurrents. Les épreuves portaient sur les branches suivantes: voyages, banque, assurances, transports, comptabilités et tous travaux de bureau. Michel Pidoux comptait à peine dix-huit ans. Il eut sa photo dans les journaux locaux. I.e début d'une grande expérience...

L'agence genevoise de l'American-Express, justement fiére d'avoir formé si parfaitement cet apprenti, le récompensa à sa manière, c'est- à-dire en lui organisant (les stages à l'étranger. Ce fut d'abord l'Alle¬

magne, puis New-York au siège même de la gigantesque organisa¬

tion. Le jeune homme y passa six mois d'ultime perfectionnement.

Knüll, un jour le «grand patron » t'appela:

.Michel, voulez-vous faire à l'instar de Phitéas Fogg, le lour du monde en 8(1 jours?

Pour un jeune employé d'une agence de voyage, c'est une sorte de consécration, en même temps qu'une marque de confiance qui rend inutile tous les commentaires. Michel Pidoux n'en croyait pas ses oreilles. Il était ému.

— Oui Monsieur, répondit-il simplement. Derrière le bureau de son agence de voyage Michel l'idoux songe au merveilleux périple tpi'il va entreprendre autour de la planète.

760 passagers à satisfaire

Kntendons-nous: le «Tour du Monde» ne constitue pas une récompense décernée au talentueux collaborateur de l'Améi'ican- Kxpress. On ne lui offre pas une croisière mais simplement l'occasion de faire ses preuves, 8(1 jours durant autour du globe en le plaçant devant des responsabilités énormes. Kl Michel Pidoux estime que c'est inliniment mieux ainsi... Il aura la lourde mission d'organiser les loisirs, c'est-à-dire les excursions à terre des 700 passagers pris en charge par l'Agence.

Durant de longues heures, il a dû se pencher sur les caries des vingt ports où le navire fera escale, se documenter à fond sur les res¬

sources touristiques, les curiosités qu'offrent, ces villes et leurs en¬

virons.

('.es cités de rêve, qu'il va découvrir en même temps que la plu¬

part de ses clients, le jeune homme les connaît déjà par ca'iir, théo¬

riquement. 11 est capable de répondre à n'importe quelle question les concernant.

Le grand départ est lixé au 25 février du port de New-York.

Le S. S. Rotterdam (le plus luxueux des paquebots de croisière), fera mugir ses sirènes pour appeler à bord ses 770 hommes d'équi¬

pages et les 70(1 passagers, auxquels se mêleront les quatorze repré¬

sentants de rAineriean-Kxpress.

Le S. S. Rotterdam lierté de la « Holland American-Line » est une authentique perle des mers, line perle respectable par ses dimen¬

sions: 228 mètres de longueur, (il mètres de hauteur et par son poids:

38 015 tonnes !

Ce super-navire qui possède la plus vaste et la plus parfaite salle de spectacle jamais installée à bord d'un bâtiment de croisière put recevoir près de 1300 passagers en ses cabines et salons de luxe trans¬

formables.

De New-York à ... New-York

Comme Phitéas Fogg. l'immortel héros de Jules Yerne, chacun peut, aujourd'hui faire le tour du monde en quatre-vingt, jours. La réalité a rejoint la liction.

Bien sûr, nos chances d'épouser en chemin une princesse in¬

dienne s'amenuisent, mais cette boucle autour du vaste globe n'en reste pas moins une grande expérience qui laisse des souvenirs impé¬

rissables.

Ce n'est jamais sans prolit que l'on visite vingt, des plus pitto¬

resques villes du monde.

— .Michel Pidoux, comment concevez-vous le voyage?

— Comme une passionnante aventure. Ce voyage, je l'imagine déjà... Nous quittons New-York. La traversée de l'Atlantique est sans histoire. Voici déjà la bleue Méditerranée, avec Palma de Ma¬

jorque, puis Cannes, la Hiviera éclatante, le Vésuve, Naples. Après l'Adriatique ;une mer d'huile dit-on ! sauf lorsqu'elle se fâche), je vois l'antique Athènes et je n'imagine pas un plus émouvant adieu à t'Kurope. Voici le Moyen-Orient, avec les pyramides d'Alexandrie, puis l'exotique Port-Saïd, Suez et son canal, voie de l'Orient, le long cheminement au long des côtes d'Arabie, la découverte de l'Océan Indien, avec Bombay la mystérieuse, Colombo, Ceylan, Singapour...

J'admirerai ensuite les palaces de Bangkok, la magnificence du fabu¬

leux Hong-Kong (le plus grand centre commercial de l'Orient.) et encore Keelnng, Formose et le Japon, avec les merveilleux maga¬

sins de Kobé et l'impressionnant port de Yokohama. Nous rejoin¬

drons enfin le Pacifique, Honolulu... et enfin la terre américaine:

San Francisco, le Golden Gate. Mais la croisière ne sera pas ache¬

vée: Acapulco nous attendra et aussi Balboa. Enfin, le canal de Pa¬

nama pour rejoindre le pont de départ : New-York... ! Je peux résu¬

mer tout cela en chiffres (c'est ma petite déformation professionnelle, que voulez-vous!) 80 jours, 20 ports, 25'.)(>/ milles et... un million de souvenirs, au terme de cette inoubliable odyssée !

Une très «exciting» chasse au tigre

A leur arrivée aux Indes, les passagers du S. S. Rotterdam au¬

ront la surprise de recevoir une invitation inattendue: celle que leur fera tenir le Maharadjah de Cooch Behar, les conviant à participer à une « très exciting » chasse au tigre !

11 s'agit d'une vieille tradition hindoue ...

Tous ceux qui se sentiront l'âme de glorieux nemrods, à leur entrée dans le port de Bombay, pourront s'inscrire pour cette line partie de carabine dans la jungle d'Assam sur les terres mêmes du Maharadjah, situées entre le Nord de Calcutta et le pied de l'Hima¬

laya.

Tous les « chasseurs » seront ensuite reçus à la table de Sa Majesté, dans le Palais impérial. Ils pourront encore assister à des spectacles improvisés, puis à l'entraînement des éléphants royaux, chasseurs de tigres...

Gageons que ce « fait d'armes » sera le clou de cette croisière haute en couleurs et riche en émotions fortes, qui verra un Romand de vingt ans effectuer le premier de ses tours du Monde.

René Terrier

(19)

Le théâtre en campagne

Durant ces mois d'hiver, les réclames se succè¬

dent, manifestant dans de nombreuses localités du canton la vie de nos sociétés locales. Ce sont les traditionnels concerts et représentations dont Fri- bourg-Illustré se fait le plaisir d'en reproduire ci- après <piel<iues instantanés.

A SALES

l.es gymnastes locaux, après de brillantes dé¬

monstrations aux engins, se tirent applaudir dans le drame gruérien d'Albert Schmidt : « Les Bia- coniiiers » dont le titre, à lui seul déjà, suflit pour l'aire une salle pleine. A Sales, elle fui interprétée avec un accent de vérité et un sens dramatique qui linirent tie conquérir le public. A franche: les deux braconniers; à droite, le garde-chasse, qui ne dé¬

chira pas. malgré les supplications de sa liancée, la Mlle de l'un des braconniers.

I-M

A VILLARABOUD

I

La jeunesse du village avait porté son choix celle année, sur un drame en deux actes d'Hubert Gremaud: «Fœhn». Rendu jaloux par un amoureux éconduil, un industriel court, dans la montagne, à la recherche de celui qu'il croil être son rival, bien décidé à lui régler son compte. Grâce à l'intervention d'un couple de braves armaillis, l'irrémédiable ne se produira pas el le héros du drame pourra se repent il' d'avoir mis en doute la lidélité de son épouse.

La jeunesse de Féligny n'a point usurpé la réputation dont elle jouit dans le domaine théâ¬

tral. Une fois de plus cet hiver, elle a conquis son

„•KSH public fidèle en interprétant « Les Mystères de Paris », mélodrame en un prologue et, trois actes de Marcel Dubois el Jean tioinmart. Dommage seu¬

lement qu'elle n'ait pas à sa disposition une salle plus grande, où la mise en scène prendrait plus d'envergure. Mais le jeu des acteurs et actrices fut parfait, touchant de vérité el de naturel. « Les Mystères de Paris », c'est l'histoire d'une enfant tombée dans les mains d'une bande d'aigrelins cupides et sans entrailles. Si toute la troupe fut homogène, nous citerons pourtant l'héroïne, Fleur de Marie (photo de gauche) et l'affreux couple du Philosophe el de la Chouette (photo de droite) com¬

plotant, avec Barbe-Rouge, l'odieux notaire Fer¬

ra nd.

m m'

inHhjijiiiiiïiife

, ( ':L1±M A FÉTIGNY

Ci-dessous : deux autres instantanés de ce dra¬

me el. tout à droite, 1111 chant de la jeunesse, donné en guise d'introduction.

(20)

A CORSEREY

« 000 000 francs par jour », cette comédie d'André Mouezy-Kon et Albert-.Jean fera longtemps parler d'elle à Corserey. Interprétée par la Société de jeunesse, elle narre les aventures du sympathique Galupin et de sa femme Arnestine devenus subitement mil¬

lionnaires et obligés de dépenser 000 000 francs par jour pour gagner un pari. Le comble de la malchance pour Galupin? Gagner à la roulette, lui qui voudrait tant tout y perdre.

»

«

&

xgK yf . r

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A CORPATAUX

« L. klixir du Père Gaucher » d'Alphonse Daudet (nos deux pho¬

tos ci-contre) fut certes l'un des plus joyeux instants de la soirée de variétés offerte par la Société de jeunesse à son nombreux public.

Mais combien d'autres excellentes présenta¬

tions telles que (photos de g. à dr. ci-dessous) cette savoureuse évoca¬

tion de la dernière Mar¬

che sur Berne, cette pièce adaptée pour la circonstance « Le curé de Porcelle » et enfin le Serment des jeunes, ins¬

piré du Serment du Grütli, vivant témoi¬

gnage des généreux sen¬

timents animant la jeu¬

nesse de Corpataux.

S

(21)

LA TOUR-DE-TREME

« L'Ange du Mal », ce drame en 3 actes d'Kdmond Luc, présenté par la Chorale et son Chœur-Mixte, évoque les temps troublés de l'occupation allemande en France. Dans une maison citadine, lorsque le rideau s'ouvre, la (lestapo vient d'arrêter quatre hommes comme otages. Deux d'entre eux seront fusillés, dont le «fiancé » de Daniele Haumont, l'Ange du Mal qui tralic.ote avec les ofliciers allemands et dont s'éprendra l'un des rescapés. Mais cette idylle s'achemine vers 1111 dénouement bouleversant. Ce drame, excellemment, interprété, fut précédé d'une suite de chansons préparées, elles aussi, avec, beaucoup de soin.

PREZ-VERS-NORÉAZ

Nos compliments seront sincères si nous disons un tout grand bravo ft la .leunesse de Prez pour l'excellente soirée qu'elle avait organisée cette année. « La Berceuse de Malnuit » est un drame émouvant dont l'action se situe dans les Franches Montagnes. Jacques et.

Jane sont heureux en ménage, choyant un Iiis, mais ce dernier leur est ravi par la veuve Mélaina. Ce n'est (pie vingt, ans plus tard que ce fils retrouvera son foyer. Kl le dénoue¬

ment, au pied de la croix, est un digne sommet, vers lequel les jeunes acteurs de l'rez 11e cessèrent de tendre. Oui, sincèrement, bravo !

(22)

22

A Châtel-Saint-Denis -* Vue tjénêrale de la fabrication : au rentre, la chaîne automa¬

tique distribuant le travail aux ouvrières.

Machine permettant la coupe simultanée de M à 411 vêtements.

La Maison Dumas-Egloff S.A., Couture en gros Peu de Kribourgeois

supposent, sans (toute qu'une Maison <le liante confort ion, i m p I a 111ée dans le canton de Kri- bourg, aux portes de Châlel-SI-Denis, ait pu, en l'espace de quelques années, prendre un es¬

sor enviable. Tel est pourtant, le ras de la M a iso n Dumas-Kgloff S.A. Spécialisée dans la fahrical ion de vêtements mode sport, elle possède a u j o u rd ' h n i d'impor- tants débouchés en Al¬

lemagne, aux Ktats-llnis au Canada, en Angle¬

terre, en Scandinavie et en Suisse évidemment, où la clientèle de nom¬

breux magasins d'ar¬

ticles de sport et de conl'ecl ion spécialisée ap¬

précient la qualité, le

choix et aussi l'originalité de sa collection. M. ('.hurles Dumas, le fon¬

dateur de la Maison, espérait-il lui-même un tel essor de son entre¬

prise lorsque, en l'.M7, il faisait des débuts modestes dans son appar¬

tement à Lausanne? Kn l(.tr>"^, il s'associait avec M. Kdouurd Kgloff, et la Maison Dumas-Kgloff S.A. prenait ses quartiers dans le chef-

lieu veveysan. M. Kugène Fragnière, directeur commercial, entra à son tour dans la Société. L'entreprise se développa et, en 1 *.»57, cette dernière faisait construire, à la sortie sud de la ville, l'immeuble que l'on peut admirer en bordure de la route cantonale et qui, malgré ses belles dimensions, se révèle déjà trop exigu. (Suite paye 24) Le te-cloyraphe, invention toute récente, permettant une coupe

économique et rationnelle. L'appareil réduit de un cinquième les patrons des vêtements, réduction qui est ensuite déposée sur un écran, puis photographiée. La photographie ainsi obtenue rationalise la coupe, le contrôle des matières, etc. Ci-contre: De yauche à droite, entourant run des mannequins de la Maison MM. (Charles Dumas, le fondateur, Euyène Fraijnière, direc¬

teur commercial et Edouard Egloff, directeur technique.

(23)

. « PETIT RIEiV », tailleur en « Supertin » infroissable avec motifs brodés en paille.

« TROTTEUR », tailleur en «Suprrlin » hrii/e bordé brun noisette.

3. « IBI/.A », casaque peinte à la main el pantalon assorti.

4. « AUTO-STOP », imperméable popeline changeante.

(24)

24

A Châtel-St-Denis: La Maison Dumas-Egloff S.A., Couture en gros (suite et fin) La création d'une collection de couture en gros pose des pro¬

blèmes ardus. Un an avant de la présenter sur le marché, le créateur, par son flair et les « tuyaux » qu'il peut avoir, prévoit les tendances de la mode future, non seulement quant à la forme, mais aussi quant à la matière et quant à la couleur. Il doit décider ses achats en fonc¬

tion de ses prévisions. Car la fabrication industrielle exige certains délais que l'on ne peut comprimer au-delà d'une certaine limite.

Pourtant, la Maison Dumas-Egloff S.A. travaille selon les pro¬

cédés techniques les plus modernes qui trouvent leur application dès l'entrée de la matière première — celle-ci est contrôlée mécanique¬

ment — jusqu'à la pièce confectionnée qui, demain, pénétrera dans les salons de présentation que la Maison possède à Zurich, Düssel¬

dorf et aux Etats-Unis. Ainsi, la fabrique dispose d'une chaîne auto¬

matique de distribution du travail aux ouvrières. De nombreuses

machines spéciales, qui tendent de plus en plus à l'automation, per¬

mettent l'exécution rapide des opérations les plus compliquées, sans pour cela devoir faire appel à une main-d'œuvre spécialisée. Le montage des vêtements est divisé en un certain nombre d'opérations bien déterminées qui sont exécutées par des ouvrières formées à cet effet. Mieux que de longs commentaires, les quelques illustrations reproduites au verso de cette page donneront à nos lecteurs la raison d'être de la renommée acquise par la Maison Dumas-Egloff S.A.;

Chic et bienfacture. Industrie prospère avec ses quelque 150 em¬

ployés et employées, elle apporte au chef-lieu veveysan une contri¬

bution non négligeable à son développement. Nous lui souhaitons d'étendre toujours plus son rayonnement qui sera aussi celui de sa petite cité d'adoption.

Fribourg Samedi 3 mars dès 20 h. 30

Grand Bal

du Club artistique pour dames Orchestre Charly's

Grenette

En attractions:

Défilé d'élégance de la Maison Dumas-Egloff S.A., de Châtel- St-Denis

Grande démonstration de «twist»

4e Festival

de la Coiffure

Salons de coiffure: m

Chatton Robert, Romont C

Horner Georges, Romont

Boyer Georges, Romont 0 m

Menoud Betty, Romont E

Pillonel Marius, Vuisternens-devant-Romont Rohrbasser Louis, Villaz-St-Pierre

Maillard Albert, Siviriez 0

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Collaborateurs :

Académie de coiffure, Lausanne

Maison Dumas-Egloff S. A., Châtel-St-Denis Electricité S.A., Romont

Beutler, bijouterie-horlogerie, Romont

No |'an portao na fiyèta ! On vêyi prâ ke ha dzoûna dona îrè à la ruva dou cholê.

Ma po kan chéri the? L'ôtre né, to d'on koû, chè rèvèyè, è di à chen omo : « Di vê, krêyo ke l'è le momin. » L'a proû komprô: ch'è lôvâ à l'èpyê, l'a tèlèfonâ... On a oyu la brijon d'en oto ke modâvô in kontre l'èpetô.

Chon bin arouvâ. Li, Irè tot in pochyin: l'è ôtchyè, tchyè dè vêre cha fèna chufri ! Irè onko la fèna ke l'inko- radjyîvè ! Hou-j'omo I Ti lè mîmo ! On deri ke chon du, ke l'an poû dè kà. Ma nenè ! Fft rin tchyè vêre kemin chon fro dè lou mîmo kan lou fèna l'è malâda.

Irè proû na bouna maladi, voué ! Ma enfin irè adî on kroûye momin à pachâ. L'an menâ la dona din cha tsam- bra; na galéja tsambra bin alenâye è bin ètsoûdâye. La bouna fèna l'è vinyête, le chènya îrè inke, byévo kemin on linhyu...

To l'è bin jelâ. Pâ cliin pêna, bin chur, ma enfin ou mî ke poui alâ, tchyè ! Mî tchyè le premi koû, po le buébo, Fran- thé.

Tchyin dzoûyo, kan ha fiyèta l'è jou inke ! Le chènya îrè to fro dè li mîmo dè benéje. La dona, on n'in pàrlè pâ.

— T'â jou fèrmo mo, tchyé, ma poura tè, ke li a de chen' omo in l'imbranchin dè to chon kâ, to remouâ.

— Vouèh ! Chin l'è oubyâ, ke li a répondu la dona: no j'an na galéja fiyèta. E li a rètornâ cha dzoûta avû tan d'ami- hyâ, tan dè bouneû, ke pyorâvan ti doû dè dzoûyo. Tchyin bî momin !

Ora, la pitita îrè lavâye, imbortoya, infagotâye kemin fô, è fachotaye. Ch'ôchan akuto le chènya, la li aran baya po ch'in d'ala. Irè inke ke chè poui pâ choûlâ de la vouitî, dè la myôtchî.

— Va vi pâ la mè trochâ pè le mitin ! ke li di la dona in rijolin.

— Tchinta galéja pitit' andzèta, ke faji adî rè le chènya ! Kemin tè réchimbyè I

BULLE: HOTEL DE VILLE Mercredi 14 mars 1962, à 20 h. 30

DÉFILÉ DE MODE

le magasin de l'élégance

Avec COLETTE JEAN de Radio-Genève Location dès le 8 mars à la Civette

— Te trâvè? Mè, mè chimbyè arê ke tîrè dè ta pâ.

N'in fournechan pâ dè dèvejâ dè ha pitita. Kemin îran bènîrâ. Voué, on pou proû dre k'on minâdzo ke n'a rin dè- j'infan l'è on karoussel chin mujika. Ma on infan, l'è on mondo ke keminthè. Kemin chin l'è to pari bî ! Bon voyâ- dzo in chti mondo, Isabelle !

Dzâtchyè don Pèni

(25)

M. Robert Chatlon, président du Groupement des coiffeurs

de Romont el environs.

Pour la quatrième année consécutive, le Groupement des coiffeurs de Romont et environs, présidé par M. Ro¬

bert Chatton, organisait, le mois dernier, son Festival de la coiffure et, de l'élégance. La manifestation trouva pour ca¬

dre, cette1 année, la grande salle de l'Ilôtel de la Tête- Noire. Le public, où les toi¬

lettes de soirée dominaient, fut salué avec courtoisie par M. Max Menoud, président du comité d'organisation, alors que les commentaires étaient, assurés par M. Albert Marti, secrétaire cantonal de l'Asso¬

ciation des Maîtres coiffeurs.

L'orchestre « The Luis » dif¬

fusait une musique discrète.

Un programme de choix allait se dérouler, grâce à la bienveillante collaboration des professeurs de l'Académie de coiffure de Lausanne, mem¬

bres du Club artistique de Paris et Lausanne, qui firent de brillantes démonstrations de la nouvelle coiffure

« ESPACE ».

Entre deux démonstrations, la Maison Dumas-Egloff S.A., à Châtel-Saint-Denis, que nous venons de présenter aux pages précédentes, apportait une bouffée d'élégance par la pré¬

sentation de quelques-uns de ses modèles des saisons hiver et printemps 1962. La raison d'être de ce défilé? M. Charles Dumas, le fondateur de la Maison, est bien connu dans le chef-lieu romontois où il a passé toute son enfance et où il a conservé de solides amitiés.

Il faut applaudir l'initia¬

tive des coiffeurs romontois et des environs pour l'exquise soirée offerte à leur public, soirée qui fut une preuve élo¬

quente du charme de l'art de la coiffure et de l'habillement.

Ce quatrième « Festival de la coiffure et de l'élégance » mé¬

ritait bien son nom.

coiffeur à Villaz-St-Pierre.

Le lVme Festival de la coiffure

et de l'élégance à Romont

lùit/ènc Wirlh, champion suisse.

« Ibiza », ensemble de playe avec casaque peinte à la main.

y. ,/' André Perren.

Alain Zenf/er, champion suisse.

« Palma », ensemble d'été en toile imprimée avec fourre-toul assorti.

<t Aquarelle », , Anorak en nylon satiné et imprimé, doublé malelas isothermyl.

(26)

26

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L'entreprise de charpente

GILBERT VIAL, Le Mouret C'est en 1941 et à Bonnefontaine que M. Gilbert Vial fonda son

entreprise de charpente. Il y avait certes en lui un « atavisme ligneux », puisque son père exploitait déjà dans ce village une scierie, reprise par son frère. En considérant aujourd'hui la vaste construction qui s'est érigée en bordure de la route communale, à la sortie nord de Pra- roinan, l'on ne peut s'empêcher d'avoir à l'esprit les strophes du

« Vieux Chalet » de .Joseph Bovet. Le 23 juin 105!) en effet, un incen¬

die anéantissait l'entreprise Gilbert Vial. Mais ce dernier, à l'exemple de Jean l'armailli, ne se laissa pas abattre par l'adversité. L'empla-

Depuis 1955, en effet, l'Entreprise Gilbert Vial s'est spécialisée dans la confection de charpente spéciale, triangulaire, collée, système protégé par un brevet. Elle mettait enfin à la disposition des cons¬

tructeurs une charpente qui peut avoir différentes formes et dont la portée libre peut aller jusqu'à 50 mètres, réalisation qui semblait impossible jusqu'alors, sans le concours du béton ou du fer, évidem¬

ment plus coûteux.

D'autre part., du point de vue de l'économie forestière, les char¬

pentes collées — dont l'entreprise Gilbert Vial s'est fait la spécia-

cement, à Bonnefontaine n'offrant aucune possibilité d'extension, un terrain fut acquis à Praroman. Déjà l'entreprise renaissait, lors¬

qu'un nouvel incendie vint une fois de plus anéantir l'œuvre de M.

Vial, qui, une fois de plus aussi, remit son entreprise en chantier. Ce bel exemple de courage devait être un gage de succès. Aujourd'hui, les charpentes Gilbert Vial sont demandées dans les cinq cantons romands. Elles forcèrent l'admiration lors de la construction du nou¬

veau pont du Gottéron. Elles furent également à l'honneur lors de l'exposition atomique de Genève en 1958 où elles recouvrirent une surface de 10 (100 m2 et lors de l'Exposition internationale de Bru¬

xelles pour les pavillons suisses.

lité — ont l'immense avantage, tout en étant plus solides et plus souples, de nécessiter beaucoup moins de bois (pie les charpentes ordinaires et des bois de plus petits secteurs. Ainsi donc, elles contri¬

buent à mettre en valeur nos forêts, l'une des principales richesses de notre canton.

Un autre point qu'il convient de relever: par son essor, l'entre¬

prise Gilbert Vial n'a pas seulement le mérite de travailler au déve¬

loppement de sa région; elle collabore également avec de nom¬

breuses autres entreprises de charpente, de petite ou moyenne im¬

portance, à qui elle confie généralement le's travaux de pose et divers autres travaux accessoires.

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Fribourg-Illustré félicite l'entreprise Gilbert Vial pour sa rapide extension, d'autant plus méritoire lorsqu'on en connaît son histoire;

elle la félicite pour les belles constructions qu'elle a réalisées en col¬

laboration avec les entreprises que nous énumérons ci-après, appor¬

tant ainsi sa part au développement économique de sa région et de tout le canton.

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