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Hodler et Iéna

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Academic year: 2021

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IxA. T U I B ^ S I S

«3I3NEVK d a

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O C T U B M E 1JJ 14

— ■— frdfc—rnm Êim m m 0**m m m» N — Àmmm<W A w àlj& Ê m m Jm m — —

Français

avancent

sur

Lille

Un croiseur anglais coulé -

Mire

monténégrine en Bosnie

La Situation

Samedi soir.

La bataille du Nord et de l’Aisne.

L ’&ctteme aile gauche des A lliés s'étend maintenant jusqu'à la mer du Nord. Leur

r

èe a occupé l'espace qui séparait Y près

côtes. La distance entre cette vide et le litto­ ral est de 35 à 40 kilomètres suivant le point où aboutissent leurs lignes. Où Vétat-major français trouve-t-il toujours des troupes, pour allonger ou renforcer son fro n t? S'agit- i id 'u n e nouvelle armée française? Serait-ce Vannée belge qui occuperait ce nouveau sec

fafcr? Ou bien les Anglais ont-ils p u débarquer

encore des renforts im portants? Peu importe ! l a ligne se termine maintenant, elle ne peut phts s'étendre, les manœuvres enveloppantes ou débordantes ne sont plus permises. L a déci­ sion dans cette nouvelle bataille du Nord ne saurait tarder bien longtemps et de son résultat dépendra celui de la bataille de l'A isn e •proprement dite et de tout l’immense front qui s'étend à la Meuse, puis jusqu’à Bûle.

Les communiqués aujourd'hui sont très Cburls. Les Alliés commencent par dire que les progrès annoncés hier sur un grand nombre de points sont confirmés, puis ils annoncent tfùe leur front va jusqu'à la mer; les Aile trands nous informent que Bruges a été occupé par eux le 14 et Osiende le 15. Ils tiendraient dame à celte aile le front Thielt-Ostende avec les Alliés en face d'eux sur la ligne Ypres- t r i a côte, adossés à la, frontière française.

Une province nouvelle est envahie par les ojerations, la Flandre. L a nature du terrain Bans cette région, a rendu et rendra encore les opérations et surtout celles de la cavalerie, assez confuses. Le sol est argileux, froid, bru­ meux, imperméable, sans pente, et l'eau qui ne peut s'enfoncer stagne en mares ou se subdivise en u n chevelu in fin i de rivières et de. canaux. Cette humidité détermine la végé­ tai ion; partout des prairies, partout des ar­ bres, en files autour des champs, en bou­ quets derrière les fermes; de tells sorte que ce pays plat n'a pas de vue. Ajoutez que l'abon­ dance de l'eau a rendu possible l'éparpille- m tnt des maisons, qui ne sont pas groupées en bourgs comme sur les pays calcaires, mais isolées et multipliées.

I l n e st fait mention dans aucun com­ muniqué de l'armée belge. Elle a donc échappé à la poursuite et opéré sa jonction avec les A l­ liés. N ous entendrons de nouveau parler de ces vaillantes troupes.

A u x environs de Lille l’action continue. Les Français revendiquent encore une avance dans la direction de celte ville et Laventie a été occupée par eux (cette localité est à 12 km. à Fouest de Lille). La vallée de la L ys sur terri­ toire français jxiratt être évacuée par les trou­ pes allemandes et le front allant d'Arras à Fpres qui, à u n moment donné, formait un saillant assez accentué à l'ouest vers Aire, est devenu tout à fait recliligne. Pas un mol sur lottl le secteur d 'A rm s à l’Aisne; les combats si vifs livrés dans cette région pendant une dizai­ ne de jours semblent avoir perdu de leur impor­ tance.

-'A u centre, les Allemands démentent Vavan- tendes Alliés au nord et à l'est de Heims et nient

« s recul de leur part vers Berry-au-Bac. Pre­

nons note du démenti m ais constatons seu­ lement qu'il arrive bien tard et après quarante- huit heures de réflexions. Relevons également lté termes employés depuis plusieurs jours par les bulletins allemands : il s n'annoncent plus que les Alliés ont repoussé leurs attaques, mais (ft'ils ont repoussé eux des attaques françaises. I l y a là une nuance appréciable faisant res­ sortir très nettement une offensive persistante du côté français contre une tactique purement défensive,des Allemands.

A l’aile droite rien de spécial, à part un es­ sai infructueux de l’armée du kronprinz de s'avancer dans le nord-ouest de Verdun vers Malancourt.

Le communiqué, français résume du reste fort bien lui-même la situation des Alliés : a Les progrès indiqués hier sont confit es. Partout nous tenons. Sur certains points nous avons m né du terrain.»

• ... ...

Puisque les bulletins sont très concis et que nous ne pouvons pas tenter de tirer des conclusions de faits au sujet desquels les états-majors ne nous donnent aucune in ­ dication, revenons en arrière de quelques jours et examinons comment la dernière phase des opérations générales a débïité sur la frontière de Belgique.

Le 4 octobre, les bulletins officiels fran­ çais signalaient une extension des lignes jusqu'au nord de Lille, cl des rencontres dans celte région entre des divisions de cavalerie française et de grandes masses de cavalerie allemande précédant des effectifs ennemis importants. Ce fut. le début de ce que l’on peutr appeler la bataille de. Lille.

I^es Allemands occupaient, dans la soirée du 5, le front Roubaix-Armentières; ils se livrèrent à de violentes attaques qui les ame­ né! en t, à leur gauche, jusqu’à Croix (fau­ bourg de Roubaix, éloigne de Lille de 4 k i ­ lomètres seulement) et obligèrent les Fran­ çais à se retirer dans cette dernière ville, lie 6, les alliés reprennent l'offensive et grâce.

à la supériorité de leur artillerie et à des

contre-attaques énergiques, ils repoussent leurs adversaires.

Les journées des 7 el 8 voient la continua­ tion de leur succès et les troupes impériale.' sànt forcées de sc replier vingt kilomètres plus en arrière. La bataille de Lille était ga­ m e - .

■Les Allemands, renforcés par des contin­ gents venus de Belgique et ne pouvant percer dans le sud, portent, alors leur effort vers l'ouest, dans la vallée de la Lys. C'est par celte vallée qu'ils avaient débouché cinq jours auparavant, venant de Courtrai.

Rémontant la rivière et débordant A r mentières, à l'ouest, ils pénètrent, en su i­ vant sa rive gauche, jusque dans la région d'Aire et s'emparent là de. plusieurs points de passage. Sons la pression. de troupes al­ liées venups d'A rras et peut-être aussi de l’ouest, ils sont attaqués fortement le 10 el contraints de. reculer eu revenant sur leurs p is jusqu'à Armentières.'

Les jours suivants, ils perdent encore un peu de terrain dans l’est et la roule d'Y p res est ouverte aux alliis, qui occupent celte ville

le 13. '

N. B. — Le nom de M ys qui nous avait

s i fort intrigué n'existe pas. Un habitant de

l ’endroit nous t o i t qu’il s'agit bien de. Lys

ou plus exactement de Lys-les-Lannoy (can­

ton de Roubaix).

Sur le front oriental de la guerre.

O u côti de la Prusse, rien de bien im pôt tant. La ville de L ick prise par les Russes le 10 octobre aurait été rc/)erdw. par eux le 14. Les fronts des armées en présence suivent à peu près ta frontière, sur une distance de 170 kilomètres, soit depuis le Kiemen à son entrée

sur ■ territoire allemand jusque ters la ville,

de Bialla.

N ous manquons tout à fait de renseigne­ ments sur les lignes occupées, soit par les R us­ ses, soit par les Allemands le long de la fron­ tière nord de la Pologne. D epuis plusieurs

aucun co n m m ia u é n ’a fuit men­

tion de celle région. N ous ne savons pas grand chose non plus des armées russes massées autour de Varsovie et pourtant la capitale polonaise est un point de concentration impor­ tant.

La bataille a commencé sur la Vislule au sud de Varsovie et jusqu’à la frontière de Oalicie. Comme au début de toute grande

action, les renseignements jusqu'ici sont

très contradictoires. De source russe les A lle­ mands qui avaient attaqué vers Ivangorod avec quatre corps d ’armée auraient subi une grave défaite. S i on lit par contre les dépêches aile- mandes ou autrichiennes, les troupes moscovites auraient été battues à la première rencontre.

N e nous arrêtons pas à ces nouvelles qui ne signifient probablement pas grand chose et disons nous bien que nous allons assister, de Varsovie aux Carpathes, à un choc qui mettra aux prises non plus trois millions d'hommes comme sur l’Aisne et la Somme, mais quatre m illions et peut-être même da­ vantage. Ajoutons à cela, que les chemins de fer sont rares dans ce pays et surtout que les Allemands ne peuvent que difficilement utiliser les voies ferrées russes, Vécarlement des rails n'étant plus le même que chez eux.

Tout cela fait entrevoir une action qui sera longue. Préparons-nous donc à avoir beaucoup de patience !

FRONT OGGIDENTÂL

Communiqués officiels français

d u 1 6 o c t o b r e

Le fro n t s’ é ten d ju s q u ’à 8a m e r

Paris, 16. (Communiqué de 15 h. 5). —

Les progrès indiqués hier sont confirmés. A notre aile gauche, l’action des forces alliées s'étend maintenant de la région

d’Ypres à la mer. 1

Les Fiançais à 13 km . de Lille

Paris, 16 (Communiqué officiel de 23 h.) —

A notre aile gauche, l’action a continué avec vigueur. Partout, nous tenons. Sur certains points, nous avons gagné du terrain et occupé, notamment Laventie, à l est d’Estaires, dans la direction de Lille.

Aucun incident notable n’est à signaler sur les autres parties du front, sauf une attaque infructueuse des Allemands dans la région de Malancourt au nord-ouest de Verdun.

M. P o in c a ré re c te u r d e G lasco w

Paris, 16. (H avas). — Les étudiants de l’U niversité de Glasgow, o n t dem andé à M. Poinoaré d ’accepter le titre de lord recteur de l ’U niversité.

Lo recteur est élu pour trois ans e t c’est le plus liant, dignitaire de l’U niversité.

Ce poste fu t successivem ent occupé par des hommes ém inents d ’Angleterre, mais jam ais p ar un chef d ’E ta t étranger.

M. Poincaré a accepté e t a remercié.

Les A lle m a n d s tro p p ré v o y a n ts

Londres, 17. — (Havas). A la suite de la découverte en France et- ailleurs de plusieurs usines allemandes do n t les fondations en béton arm é sem blaient préparées pour la grosse artillerie, la police de sûreté » fait vendredi après-midi, une descente inopiné« dans les établissem ents allemands Prodor, i\ Willes- den, près d ’une im portante jonction de ehe min de fer dans la banlieue de Londres. L; toit p la t des usines comm ande une large zone au S.-O do Londres. Le personnel com prend une tren tain e d ’AUemands e t 150 Anglais. La police a constaté que la maçon nerie est en béton très épais. Le toit, égale­ m ent en béton, a une épaisseur de trois q u atre pieds.

V ingt-deux Allemands ont été arrêtés, puis relâchés.

Une fu n è b re b eso g n e

Paris, 17. (Havas). — Un im portant groupe de sapeurs-pom piers a quitté Paris, se rendant dans la région de Roye, pour procéder à l’enterrem ent des cadavres.

Depuis trois semaines, les Allemands ont eu, dans la région, quatre ou cinq mille m orts, do n t les cadavres en putréfaction répandent une odeur infecte.

Les pompiers désinfectent les lieux pour éviter to u t danger d'épidémie.

L a souscription n a tio n a le

fra n ç a ise

Saigon, 16 (Havas). — Les versements de la Cochinchine seule à la souscription nationale dépassent aujourd’hui un m il­ lion de francs e t la .souscription continue. L a population annam ite m anifeste des sentim ents d ’a rd en t loyalisme et participe dans une très large mesure à le. souscription.

P ris o n n ie r de m a rq u e

Paris, 16. — (Havas). Lo Figaro raconte que le capitaine do Rartowitz, fils de l’a n ­ cien am bassadeur d ’Allemagne à Madrid, a été fait prisonnier p ar des cuirassiers fran ­

çais après un long combat.

C o rd ialité franco>belge

P aiis, 16. (Havas). — M. Carton de W iart, m inistre de la justice de Belgique, a télé­ graphié à M. Poincaré que le gouvernem ent belge exprime au gouvernem ent français toute sa gratitude pour les dispositions p ri­ ses, en vue de lui faciliter le libre exercice des. droits e t des devoirs de la souveraineté nationale belge, en a tte n d a n t l’heuro p ro ­ chaine du triom phe définitif du droit.

Le gouvernem ent belge n ’oubliera jam ais avec quel em pressem ent la France, garante de la n eu tralité belge, a voulu joindre au respect de la parole donnée, le réconfort d ’une am itié délicate c-t. atten tiv e.

M. Poincaré a répondu que la population du H avre, en accueillant le gouvernem ent belge, s’est faite l’interprète de la France entière.

«N ous étions, dit-il, en vertu des traités, garants de la neutralité belge, e t nous ne sommes pas de ceux qui désavouent leur signature; mais l’héroïsme de votre nation et le sang versé en com m un, ont rendu notre devoir encore plus sacré. Nous le rem ­ plirons jusqu’au bout avec to u te l’ardeur d ’une fraternelle am itié. »

Les ré fu g ié s b elg es

Londres, 16. — (Havas). Une douzaine de vapeurs provenant d ’Ostende débarquèrent à Lowestoffc des réfugiés belges en m ajo­ rité des femmes, des enfants e t des vieillards, sem blant avoir beaucoup souffert des priva­ tions. Un jeune enfant est m ort d ’épuise­ m ent au m om ent oii le navire sur lequel il se trouvait, e n tra it dans le port. Le maire e t de nombreuses personnes ont distribué des alim ents aux voyageurs. Deux trains em portant les réfugiés p artire n t dans la m a­ tinée de Douvres pour .Liverpool e t M an­ chester.

Londres, 17 (Revier). — De nom breux réfugiés belges sont arrivés en Angleterre. Ils ont été amenés à bord de navires spécia­ lem ent envoyés par lo gouvernem ent b ri­ tannique e t dans des transports de l’A mi­ rauté. Dans la seule journée de hier huit à dix mille réfugiés ont été débarqués. Ils sont logés provisoirem ent dans un hôtel central offert par le gouvernem ent. De l à ils seront répartis dans les différents l i e u x où 0n leur a offert l’hospitalité. Le gouvernem ent e t les associations privées ont aussi envoyé deBcl- gique plusieurs navires chargés de denrées alim entaires sans com pter les sommes d ’ar gent données par les souscriptions p u b li­ ques.

Les m o n u m e n ts de Gand

Bruxelles, 16. — Le conseiller intim e von Falke a procédé à une inspection pro­ victoire des monum ents publics do Gand.

La ville n ’a aucunem ent souffert. Pas une vitre n 'a été brisée. L’autel de la cathédrale de St-Bavo, des frères van Eyck ainsi que deux tableaux de Rubens e t de Gérard van der. Moor avaient été d éjà enlevés le 3 août e l transportés à Londres.

M . M a x

Paris, 17. — U11 télégram m e d ’A m ster dam au Petit Parisien annonce que M. Max, bourgm estre de Bruxelles, a été transféré à Leipzig. (Havas.)

Communiqué officiel allemand

Berlin, 16. (W olff). — Le grand état- m ajor annonce du grand q uartier général, lo 16 octobre, à midi :

Bruges a été occupée p ar nos troupes le 14 octobre e t O stende lo 15.

De violentes attaq u es des Français, dans la région au nord-ouest de Reims, o n t été repoussées.

Dans leurs oonummiqués officiels, les Français annoncent qu’ils au raien t fa it des progrès sensibles su r plusieurs points du front, p ar exemple à Berry-au-Bac, au nord- ouest de Reims. Ces nouvelles 11e sont nulle­ m ent conformes à la réalité.

Lo 13 octobre, les Russes o n t te n té do reprendre de nouveau Lyek. Leurs attaq u es ont été repoussées. H u it cents prisonniers, un canon e t trois mitrailleuses sont tom bés entre nos mains.

FRONTJRIEHTAL

Communiqué officiel russe

Pétrograde, 16. — L ’état-m ajor du géné­ ralissime comm unique :

Sur le front de la Prusse orientale il y a eu de petits engagements.

Sur la Vistule moyenne et en Galicie, l’ar­ mée austro-allemande a passé le 15 octobre à l’offensive sur toute l’éiendue du front.

Au sud de Przemysl nous avons capturé trois compagnies autrichiennes avec six offi­ ciers.

Un c o m b a t ach arn é

s u r la V is tu le

P étrograde, 16. — La cavalerie russe a engagé victorieusem ent un grand com bat le long de la Vistule.

L ’infanterie, soutenue par l’artillerie, a poursuivi la bataille e t chassé les avant- gardes ennem ’es d ’Ivangorod,en faisant de nom breux prisonniers.

Lo com bat se poursuit acharné.

D eux aéroplanes qui survolaient Varsovie ont été ab attu s. (Havas).

A P rz e m y s l

Vienne, 17. — O11 m ande de source offi­ cielle : Les correspondants de guerre a tt a ­ chés au B uroau do la Presse sont arrivés le 13 octobre au soir à Przem ysl.

L e c lerg é e t les é tra n g e rs

en A u trich e

Venise, 16. — On m ande de Budapest, qu’à la prem ière approche des Russes en H ongrie, de nom breux m em bres du clergé, do n t des évêques, o n t abandonné les dis­ tricts menacés e t se sont réfugiés à B uda­ pest. Lo priuce p rim at de H ongrie vient d ’adresser au clergé une lettre-circulaire in terd isan t aux ecclésiastiques de q u itter leurs postes en aucune circonstance.

Des nouvelles de Vienne disent que la police a publié une ^ordonnance visant tous les sujets des E ta ts hostiles résidant dans la capitale. Ils sont obligés de se présenter à la police dans un délai de trois jours, faute de quoi ils s’exposeront à être traité? su iv an t les rigueurs des lois. (Havas.)

U ne g a rd e civiq u e à V ie n n e

Rome. 17. (Havas). — O11 m ande de Vienne que, tous les hommes valides étant partis pour la guerre, le gouvernem ent austro-hongrois a prescrit au bourgm estre de former une garde analogue à la garde nationale, e t qui sera composée de jeunjs gens de moins de dix-huit ans.

C attaro b o m b a rd é avec v io le n ce

Paris. 16. — S uivant les jo u rn au x italiens, lo bom bardem ent de C attaro, interrom pu depuis cinq jours, a été repris hier avec une violence extrêm e p a r q u aran te navires franco-anglais e t p a r les forts du Lovcen.

On croit que le bom bardem ent continuera jusqu’à la prise des Bouches-de-Cattaro.

Les M o n té n é g rin s v a in q u e u rs

p rès de S a ra je w o

Londres, (Havas). — Le gouvernement monténégrin annonce une brillante victoire des troupes monténégrines sur 150.000 Autrichiens, près de Sarajewo

GUERRE MAMMIE

Un cro iseu r a n g la is coulé

Londres, 17 (officiel). — Le croiseur anglais .. Hawke », jaugeant 7300 tonnes, a etc coulé dans la mer du Nord par le sous- tnarin allemand 49. Quarante-cinq offi­ ciers et marins ont été sauvés; il y a 350 manquants.

La p e rte du •• H a w k e ”

Londres, 17 (Officiel). — Un lieutenant e t 20 m arins du croiseur Hawke o n t été recueillis sur un radeau.

Aberdeen, 16. — Le croiseur Hawke fu t englouti en cinq m inutes e t le périsoope du sous-marin disparut aussitôt après l’explosion. D ans la mâtiné®, un chalu­ tier ram ena à Aberdeen 48 survivants du Hawke recueillis p ar un vapeur

norvé-gien, alors qu’ils étaien t montés sur une chaloupe dangereusem ent surchargée et a u to u r de laquelle ils se m aintenaient su r l’eau au .moyen de radeaux e t de cein tures de sauvetage. (Havas.)

La chasse d o n n é s

à une es ca d rille a u tric h ie n n e

Rome, 16 (Havas.) — On m ande de Saint- Jean-de-M edua que les unités françaises sont parties à la recherche d ’une escadrille a u ­ trichienne signalée p ar radiotélégraphie le long de la côte d al mate.

[Jn torpilleur autrichien a été gravem ent endommagé.

Les autres ont pu s’échapper.

L ’a m ira l L im p u s

au service russe

Constantinople, 16. (Wolff)-. — Le Taswxr

y E fkia r confirme que l’am iral Limpir-,

ancien com m andant de la flotte turque, a pris du service dans la flotte russe de la m er Noire.

Cette nouvelle produit une impression fâcheuse dans les milieux turcs e t contribue beaucoup à augm enter l’hostilité contre l ’Angleterre.

bobs

ra ra ? E

L ’a g o n ie à K ia o -T d té o u

Tokio 17. (Officiel). — Dans la matinée du 14 octobre, une division de i’escadre détruisit les forts Iltis et Kaiser, de Tsing-Tao.

Des aéroplanes lancèrent des bombes Les pertes anglaises sont de un tué et deux blessés; les Japonais n’ont subi aucune

perte. ________________

LESlÊüTRES

Le P o rtu g a l v a m o b ilis e r

Paris, 16 (Havas.) — On mande de Lis­ bonne au « Temps » :

A la suite d’un conseil de Cabinet, présidé par le chef de l’Etat, et après une conférence entre ce dernier, le président du Conseil et les chefs politiques, il a été décidé de convoquer le Congrès pour aujourd'hui, afin d’autoriser la mobilisation des troupes.

On dit que le ministre d’Allemagne et divers résidents allemands sont sur le point de quit­ ter Lisbonne pour Madrid.

La T u rq u ie In q u iè te

Constantinople, 17 (W olff). — Le rem pla­ ç a n t du généralissime de l’arm ée a publié le m anifeste suivant :

Il est établi que des nouvelles m enson­ gères sont répandues dans le pays, par exemple, qu’un croiseur turo a été coulé et que des troupes o n t débarqué à Mydia.

Le gouvernem ent, bien qu’observant la n eu tralité, a pris to u tes les mesures p ro ­ pres à assuier la protection du pays. Afin que la population ne se laisse, pas induire en erreur p a r ces bruits m alveillants, il a ordonné do prendra doa mesures sévères contre les auteurs de tels racontars e t ceux qui s’en font l’écho. D ans l’in té rê t do la patrie, chaque O ttom an a le devoir de dénoncer im m édiatem ent au gouver­ nem ent les auteurs et p ropagateurs de fausses nouvelles.

Un a tte n ta t

ù

B u carest

Bucarest, 16. — Le jeune Turc qui est l’a u teu r de l ’a tte n ta t contre les frères B uxton é ta it descendu dans le même hô tel que ces derniers. 11 s ’inscrivit dans le registre des étrangers sous le nom de Hassan T ashid Redohel effendi, musulman alb a­ nais, journaliste. Il venait do Salonique et son passeport a v a it été établi à Constan- tinoplo l ’autom ne dernier.

Le m eurtrier, qui n ’a pas été tué, mais arrêté, a déclaré qu’il av a it reconnu les frères B uxton d ’après nne photographie. ■Son acte é tait décidé depuis quelques jours. Le m eurtrier p a ra ît âgé d ’un peu plus de vingt ans ; il est intelligent e t calme.

Les deux frères Buxton ont été tra n s ­ portés à la clinique de l’U niversité, où le recteur chirurgien Thom as Jonescu, as­ sisté du D r Leonte, leur a prodigué ses soins. L ’a tte n ta t a produit d ’a u ta n t plus d ’im ­ pression q;i’il a eu lieu p en d an t le cortège des obsèques royales.

On croit que le m eurtrier en voulait aux frères B uxton à causo de leur activité p ré ­ sente dans les Balkans.

B ucarest, 10. (W olff). — Le chirurgien Thom as Jonescu, qui soigne les deux frères B uxton, déclare que ceux-ci sont actuelle­ m ent hors de danger.

B ucarest, 17 oct. — L ’instruction de l’affaire de l’a tte n ta t commis contro les frères B uxton à dém ontré ju sq u ’à présent que l’au teu r de l’a tte n ta t a v a it suivi déjà les victim es à Sofia puis à Bucarest. Il n ’est pas établi qu’il a it eu des complices.

On croit que l’a u teu r a commis son crime en R oum anie parce que la peine de mort n ’y existo pas.

Ita lie n s m o le s té s â T rle s te

Venise, 17. (Havas). — Le gouverneur de T rieste a décrété que tons les Italiens em ­ ployés dans les entreprises de tra v a u x pu­ blies, seraient im m édiatem ent renvoyés. Cette décision a provoqué une très vive indignation dans les milieux italiens.

L ’expulsion des ouvriers italiens continue. L a semaine dernière, cinquante-sept o u ­ vriers, presque tous Vénitiens, durent q u itter Trieste. . • .

S y m p a th ie s d a n g e re u s e s

Copenhague, 16. (Havas). — Le tribunal do Munich a condam né à six semaines d ’em prisonnem ent, un négociant qui av ait m anifesté de la bionveillaneo à l’égard de prisonnier» français.

M. di San GiuSiano e s t m o rt

Rome, 16 (Stefani.) — M. Di San Giuliano, ministre des affaires étrangères d’ Italie, est mort aujourd’hui, vendredi, à 2 heures 2 de l’après-midi.

Rome, 17. (H am s). — Au m om ent de sa m ort, le m arquis di San Giuliano était en­ touré des membres "de sa famille e t des hauts fonctionnaires de son m inistère. •

Il m ourut avec sérénité.

Le m inistre, revêtu de son grand u n i­ forme avec toutes ses décorations, repose sur un lit couvert do fleura.

Le bureau de trav ail du m inistre sera transform é en chapelle ardente.

Dans la m atinée de dim anche, le corps sera transféré à Catane.

Le Giornale d’Ilalia dit que lo pape euvoya sa bénédiction spéciale au m ourant.

M. Salandra fera l’intérim

Rome, 17. fS tefa n i). — Selon les journaux M. Salandra fera l’interiui de» affaires étrangères.

M o b ilis a tio n ita lie n n e

T urin, 16. — La Stam pa annonce qu’011

va mobiliser la classe de 1894 deuxième caté­ gorie (landw ehr italienne).

Ita lie n s m o rts p o u r la France

T urin, 16. —-L a Stam pa d it qu'une lettre écrite à M ontélim ar p ar le comte Paoletti Visconti, enrôlé dans les volontaires é tra n ­ gers, annonce que, dans im com bat, mille Italiens sur treize cents o n t été tués.

C o n treb an d e d e g u e rre

Rome, 16. — Les journaux annoncent une interpellation du député socialiste Canepa, qui affirm e qu’à Gênes e t ailleurs,

011 continue le commerce de tra n s it pour i’A utriche-H ongrie; on expédierait même de° matières explosibles.

P u n itio n s en m asse

Ancône, 16. — D’après la Gazette des

Cheminots, le nom bre des employés de che­

mins de fer punis à la suite des incidents de l ’été dernier est do 1S.859.

OÉPÊOHES

Le P a rle m e n t fra n ç a is

s e ra convoqu é

Paris, 17. — Lo Figaro apprend de B or­ deaux que la réunion des Cham bres aura lieu vers la fin de l’année. Le nom bre des séances sera lim ité, la session de janvier ne d u re ra it que quelques jours, la C ham ­ bre e t lo Sénat éliraient leur bureau e t se sépareraient sine die. Les élections sénato_ riales de jan v ier seraient prorogées. (Havas. j

E lle é ts îi s o lid e m e n t c o n s tru ite

Paris, 17 (Havas). — Le Journal.dit que la conclusion du ra p p o rt de W. W ith n er War* ren, architecte am éricain, a ttrib u e à la cons­ tru ctio n solide de la cathédrale de Reim s le m aintien do la carcasse de la cathédrale e t non à un désir des Allemands d ’épargner le m onum ent.

L es B e lg e s o n t éch ap p é

P aris, 17. — L ’Echo de P aris d it que le b u t des troupes allem andes d ’A nvers, con­ s ista n t à couper la re tra ite des troupes a n ­ glo-belges, a entièrem ent échoué. L a li­ berté des m ouvem ents des alliés reste e n ­ tière. (Havas.)

Il se d é fe n d ra

Londres, 17. — On m ande de R o tte r­ d am à 1 ' Evenings N ews q u ’un détachem ent belge qui, après la e.hntu d ’A nvers rem onta vers la H ollande, mais ne passa pas la frontière, a échappé à la poursuite des Allem ands. Il s ’est fortem ent retran ch é et il se prépare à une énergique résistance. Il ne se re tire ra en H ollande qu’à la d er­ nière extrém ité. (Havas).

C om b ats en B e lg iq u e

La H aye, 17 (W olff). — Le Rotterdamsche

Courant donne des détails sur l’a tta q u e alle­

m ande contre l ’arm ée belge protégéo par des troupes françaises de m arine e t de ca­ valerie qui se re tire n t en pleine déroute sur O stende e t D unkerque. U n com bat très violent se livre en tre Dixm ude e t Roulers (à 20 km. au nord e t au nord-est d ’Y pres). Si cette affaire to u rn e à l’a v a n ­ tage des Allemands, ceux-ci seront bientôt dev an t D unkerque. La population belge fu it dans la direction de D unkerque et de Boulogne. La ligne Bruges-Ostende- N ieuw port é ta n t a u x m ains des Allemands, il fa u t s’a tten d re à de prochains com bats im portants dans la région de Dimkerquc- Boulogne.

U ne ca p tu re

Londres, 17. — Le T im es annonce que le vapeur Colchester a rencontré dans la mer du Nord deux torpilleurs britanniques qui .avaient cap tu ré un dirigeable ennemi.

(Havas.)

E n tre A llié s

Paris, 17 (Havas). — Le M atin apprend de P étrograde on a d û séparer les A utrichiens dos Allemands. Ils se b a tta ie n t constam m ent entre eux, s’accusant réciproquem ent d ’être la cause de la guerre e t de la défaite.

Obus a lle m a n d s en Suisse

Berne, 16 . — (Communiqué). Dès quo le gouvernem ent allem and a appris que, lors du dernier com bat de P fetterhausen, quel­ ques obus allem ands étaien t tom bés su r lo territoire suisse, il a chargé son m inistre à Berne, de presenter au président de la Confédération s is regrets au su je t de l’inci- dents. ,

Le m inistre d ’Allemagne donna à cette oc­ casion l’assurance qu’indem nité pleine e t en­ tière serait accordée pour les dommages causés e t que le com m andant des troupes a l­ lem andes dans ces parages serait invité à donner les ordres nécessaires p our éviter le renouvellem ent de faits do ce genre.

Modler et léna

Jen a, 17. — (Wolff). M. E rnest Hàeekel, en sa qualité d e .re c te u r de l’U niversité de Jen a, adresse à M. F erdinand Hodler, une lettre ouverte dans laquelle il exprim e son regret de ce que Hodler a it signé la p ro testa­ tion mensongère de Genève que des ennemis haineux do l’Allemagne ont rédigée contro la prétendue barbarie allemande. E n même tem ps Haeckel fait savoir qu’il s ’e3t joint à la proposition de ses collègues anim és des mêmes sentim ents que lui, d’enlever de !’ Université, le tabieau monumental de Hodler

représentant le départ des étu d ian ts d ’Jen a à 1813, de le m ettre en vente e t de rem ettre à la Croix-Rouge la somme ainsi recueillie.

O11 ne confondra pas cette utile in stitu ­

tion du départem ent politique fédéral avec le «Bureau en faveur des internés civils de l’Agence des prisonniers de guerre à Ge­ nève» ee bureau qui s ’occupeia désormais plus particulièrem ent des internés civils mobilisables, très nom breux dans les diffé­ rents E ta ts belligérants, a accepté ju sq u ’ici de s’en trem ettre en faveur de tous les in ­ ternés civils et a entretenu, de ce chef, une correspondance considérable pour la recher­ che de ces m alheureux e t le rétablissemen des correspondances avec leurs familles.

In te rn é s civils

On apprendra avec soulagem ent, que le Bureau Suisse de rapatriem ent des internés civils, à Berne, va incessamm ent être en mesure de recevoir à nos frontières e t faire reconduire à travers notre pays, les no m ­ breuses femmes, enfants, e t vieillards, internés en Allemagne, en Autriche e t en France au d éb u t des hostilités et retenus dès lors comme prisonniers.

Pous» les Belges

Le groupem ent provisoire qui s’est co n sti­ tu é pour porter secours aux réfugiés belge*, ot to u t particulièrem ent pour hospitaliser en Suisse les fem mes e t les enfants, s’est réuni une secondo fois vendredi soir.

Nous rappelons qu’on peut envoyer des dons e t des adhésions à ce groupem ent qui est composé de MM. E douard B au ty , 27, bld. G eorges-Favon; Eug. Des G outtes, Gorrate- rie, 24; Alfred. Gaulis, 12, rue D iday; Dr H ector Mail la rt, place de la Synagogue: Alexandre M oriaud. T our de l’île, 2; Emile Odier, Corraterie, Jacques e t A ntoine O r­ m ond, bld. du T héâtre; D r Arnold V allette, Corraterie, 22; L iu is V uagnat, député, P etite C orraterie; Charles Vuille, 22, Corra­ terie.

Ls comité définitif sera nom m é dans uns assemblée générale des adhérents qui sera convoquée incessammen t.

Nous publierons lundi la liste des nom ­ breuses personnes qui o n t offert de recueillir des réfugiés ou de m ettre des logem ents h leur disposition.

ire liste de souscription

M. E dm ond G rasset, 100 fr. ; Mme Galo- pin-Sehaub; 100; Mlles J . et E. F reundler, 50 D r Aug. Rœhricli, 25; M. Francis R everdin, 10; M. M aurice H orngachor, 10; Mme L. Roussel, 5; MM. F rankfeld frères, 50; Mma e t Mlle F rankfeld, 40; Mme Foy-Frankfeld, 10; M. H enry V eyrassat, 20; D r H enry Mallet, 20; prof. Ad. D’Espine, 20; Ed. li., 25; M. Louis R oux, 50; un jeune lecteur de Gavroche, 10; une «inconnue», pat la Tribune, 5; M. Fred Bâtes, 20; M. J a c ­ ques Chenevière, 50; M. Tem pleton Strong, 100; Mlles G'., 50; M. Dupuis, 50; D r R. de Seigneux, 50; M. E dm ond Aujjort. 100: Société des patro n s charcutiers du canton ds Genève, 200 fr. ; T otal, 1170 fr.

M. e t M m e C h a r le s V io n e t e t l e u r s e n f a n ls , M. e t M m e .1. P i t t e t e t l e u r s e n f a n ts , à P r e s in g e , M lles E lis e e t R ose V io n e t, M. e t M m e A. Iv isslin g , à T h ie r - r e n s , M.*G. H o s t e t tl e r e t a m is , f o n t p a r t d e la p e r t e d o u lo u r e u s e q u ’ils v ie n ­ n e n t d e f a i r e e n la p e r s o n n e d e T V l o n s i e u r S é r a p h i n VIOiVET l e u r c h e r g r a n d - p è r e , a r r iè r e - g r a n d - p è r e e t p a r e n t , d é c é d é d a n s sa 74ine a n n é e . Il n e s e r a p a s r e n d u d ’h o n n e u r . 1518G M. e t M m e G a s p a r d C o lle t e t l e u r s e n ­ f a n t s , le s fa m ille s a llié e s , à G en èv e e t C h a illy C lä r e n s , f o n t p a r t ù l e u r s a m is e t c o n n a is s a n c e s d e la p e r t e c r u e l le q u ils v ie n n e n t d 'é p r o u v e r e n la p e r ­ s o n n e d e l e u r c h è r e p e ti te tille H é l è n e L ’h o n n e u r se r e n d r a , lu n d i 19 c o u ­ r a n t , à m id i e t q u a r t . D o m ic ile m o r t u a i r e : 4, r u e B la n c h e . M m e V ve C h. F o llie t, M. e t M m e E d . F o il ie t e t l e u r s e n f a n ts , à V e r n ie r , le s f a m ille s F o ll ie t e t D u frc s n e , à G en èv e, M m e V ve B e r tr a n d e t fa m ille , à S a ti g n y , le s fa m ille s N o v e l e t T e r r i e r , à D a r d a g n y , R a v ie r, à M e y n ie r, D é lé tra z . à L o ë x , G oy, T h o m é , M e rm illo n , à V e r: n i e r , e t f a m ille s a llié e s o n t la d o u le u r d e f a ir e p a r t à l e u r s a m is e t c o n n a i s ­ s a n c e s d e la p e r t e q u ’ils v ie n n e n t d e f a ir e e n la p e r s o n n e de

Monsieur Charles FOLLIET

a n cien c h a rr o n a u x G rottes l e u r b ie n - a im é é p o u x , p è r e , b e a u -p è r e , g r a n d - p è r e e t c o u s in e n le v é à l e u r a ff e c tio n à l ’â g e d e 64 a n s. L ’e n t e r r e m e n t a u r a lie u à V e r n ie r , d im a n c h e à 5 h . e t l ’h o n n e u r se r e n d r a la s o r tie d u c im e ti è r e . D o m ic ile m o r t u a i r e : L a C ro is e tte - V e r n ie r . 15167 MM. le s m e m b r e s d e la Société des M a îtres C harrons s o n t in f o r m é s d u d é c è s d e l e u r c h e r c o llè g u e M o n s i e u r F O L L I E T L ’e n s e v e lis s e m e n t a u r a l i e ü , d im a n c h e 18 c o u r a n t , à 4 h e u r e s a p r è s - m id i, à la C ro is e tte -V e rn ic r. 15191 L e C om ité. L es M e m b re s d e la Société de secours m u tu e ls ' L a P e r s é v é r a n te ” s o n t p r ié s d ’a s s i s t e r a u c o n v o i f u n è b r e d e le u r c o llè g u e , M o n s i e u r C h a r l e s F O L L I E T L ’e n t e r r e m e n t a u r a lie u , d im a n c h e à 4 h e u r e s , e t l ’h o n n e u r se r e n d r a a u r e t o u r à la C ro is e tte -V e rn ie r . 152:«

M. e t Mme Pierre Bszeziau e t leurs en­ fants, Angè'e, Carmen, Marie ot Jean, Mme S ériai e t ses enfants, M. Tchohadjiaii e t ses enfants e t les familles alliées, ont la douleur de faire part de la perte cruelle qu’ils viennent d ’éprouver en la personne de

Mademoiselle Anna B E Z E Z IA N leur chère sœ ur e t ta n te , enlevée à leur affec­ tion, lo 14 octobre, dans sa 58me année, après une courte maladie, munie des Sacre­ m ents de l’E glise. ____ A383

m m fflx sa B E B m B m m œ B B B a a m a a »

M. e t Mme François 'Passaquin e t leurs enfants, M. Auguste Passa quin, Mme e t M. Joseph T aberlet e t leurs enfants, Mme Vve Joseph Passaquin e t ses enfants, M. e t Mme Joseph Gay et. leur fille, Mme et M. Charles R ubin et leurs enfants, les fa ­ milles Baud, P rom at et Passaquin, à Genève et Morzine, font p a rt à leurs amis e t con­ naissances de la perte douloureuse qu'ils viennent d ’éprouver en la personne de

Monsieur Jaan PASSAQUIN leur cher frère, beau-frère, oncle et cousin décédé dans sa 71mc année.

Il 11e sera pas rendu d ’honneur.

L s service funèbre sera célébré en l’Egliso de S aint-Jeseph, le dim anche 1S courant, à midi.

Prière de ne pas faire de visite. A3S3 Cet avis tie n t lieu de lettre de faire-part.

TRANSPORTS ET POMPES

j n i i t m i i i i m K M ' i î i i T

A. MUîtlTIl, Suce. R u e d e s C h a u d r o n n i e r s » 16 T élép h o n e V il (S e rv ic e p e r m a n e n t)

Démarches el renseignements gratuits ]

T a r i f s t r è s m o d é r é s

M. Charles Maurice, à Berne, Mlle Jen n J Maurice, fille de la Charité, à V alparaiso les familles Mauris, V uagnat, Ja n in , Comte) Blanc e t alliées, Mme Clotildo Lejeune* Mlle C. Pillet, Mlles Chanset font p a rt d« la perte douloureuse q u ’ils viennent d ’éproir ver.en la personne de

Mademoiselle Louise M A UR ICE

leur chère sœ ur, cousine et amie.

La messe de sépulture sera célébrée en l’église de Notre-Dam e, le lundi 19 courant, à 9 h,, y .,.

Il 11e sera pas rendu d ’honneur. A383 BBKSroSBBMBâESS&SESTSCTGSSS&BM M adame Renée Sechehaye, JIM. Félix, François, Emile Sechehaye e t leurs familles1, M. Charles Sechehaye e t Mlle Marie Seche- haye, à Aubonne, Madame Anna Secliehaya et famille, Al. Paul Saehebayc e t faïuillo, les familles Sechehaye, à Leipzig, les familles Bost e t L aurent L ’Huillier, o n t la douleur de faire p a rt du décès de 11Ï0842

Monsieur Jacques SECHEHAYE

anc. ingr. en chef de l’Ouest français

leur époux, frère, beau-frère, onole, grand- oncle e t cousin, enlevé iV leur affection (tans sa 77me année, le 15 courant, à Clärens.

M m e V ve C h a n s o n F o n ta n a , M. J e a n F o n ta n a e t s e s e n f a n ts , M. A ltr e d Mou- c lie t, M. e t M m e F r a n c i s M a tte lo n e t l e u r s e n f a n t s a in s i q u e to u te s le s fa­ m ille s a llié e s o n t la d o u l e u r d e fa ire p a r t à l e u r s a m is e t c o n n a is s a n c e s de la p e r t e q u ’ils v ie n n e n t d ’é p r o u v e r en la p e r s o n n e d e M a d a m e L o u i s e FO N T A iN A n é o D u r a n d l e u r c h è r e m è r e , g r a n d ’m è r e , ta n te el c o u s in e d é c é d é e à l'â g e d e 80 a n s. L ’e n s e v e l is s e m e n t a u r a lie u à F e rn e y - V o lta ire , s a m e d i à 4 h e u r e s ( h e u r e fra n . ç a is e ), 5 h e u r e s ( h e u r e s u isse ). lsiie

M m e Vve E r n e s t O liv e t, M. e t Mme V ic to r O liv e t e t l e u r e n fa n t, M m e e t M. D ru z -O liv c t, M m e e t M. R a o u l R ic o u e t le u r s e n f a n ts , M m e e t M. H ü g li-O liv et, M. J. M a rc o n i, M m e B la n c h e M a rc o n i e t s o n e n f a n t, M. e t M m e J o h n J o tte - r a n d e l l e u r e n fa n t, M. L é o n M a rc o n i, M. e t M m e T e r r i e r - O ü v e t, M. e t M m e J u l e s O liv e t e t l e u r f a m ille , M m e Vve P itta r d - O iiv e t e t sa fa m ille , M lle A dèle O liv e t, M lle B e r th a I m - T h u r n , M me G e o rg e s I m - T h u r n e t s e s e n f a n ls , M m e M a u ric e I m - T h u r n e t s a fa m ille , M. e t M m e C h a r le s M a r c o n i e t le u r s e n fa n ts , M m e V ve F é lix R ic o u e t s e s e n fa n ts , a in s i q u e to u t e s le s fa m ille s a llié e s o n t la d o u l e u r d e fa ir e p a r t d e la p e r te i r r é p a r a b l e q u ’iis v ie n n e n t d ’é p r o u v e r e n la p e r s o n n e d e

Monsieur Ernest OLIVET

e n tre p re n e u r l e u r b ie n a im é é p o u x , f r è r e , b e a tu f r è r e , g e n d r e , o n c le , n e v e u , p a r e n t e t a m i d é c é d é , le 16 o c to b r e , d a n s sa 40e a n n é e . Il 11e s e r a p a s r e n d u d ’h o n n e u r . O n e s t in s ta m m e n t p r i é d e n e p as f a ir e d e v is ite s . C et a v is ti e n t lie u d e l e t t r e d e fa ire p a r t . A537 L e p e r s o n n e l d e la M a iso n O livat r r c r e s a l a d o u l e u r d e f a i r e p a r t —d e la p e r t e i r r é p a r a b l e d e s o n r e g r e tt é p a t r o n HT084X

Monsieur Ernest OLIVET

d é c é d é le 1G o c to b r e . II n e s e r a p a s r e n d u d ’h o n n e u r . MM. le s m e m b r e s d e la C h a m b re S yn­ d ic a le d e s E n t r e p r e n e u r s d e m açonne* r ie , te r r a s s e m e n t , c im e n ta g e e t p av

a-t

e d e G e n è v e , s o n t in f o r m e s d u d é c è s e l e u r c o llè g u e M o n s i e u r E r n e s t O L I V E T f r è r e d e le u r c h e r e t d é v o u é p r é s id e n t. Il n e s e r a p a s r e n d u d ’h o n n e u r . L e Comité. M. e t M m e G c o rg e s-M a rie P a r o is s e , à L o is in , M. F r a n c i s P a r o is s e , s o ld a t a u 97e, C h a m b é r y , MM. E u g è n e e t A d o lp h e P a r o i s s e , à L o is in , M. e t M m e A lex an d re C o c h e t, à V e rs o ix , le s fa m ille s Mége- v a n d , P a r o i s s e e t B e r t h e t . à L o isin e l G e n è v e , le s f a m ille s J a n i n n é e P a r o is s e , à A ra re , M. e t M m e R e n a n d , à M o n n e tie r-M o rn e x , o n t la d o u le u r d e f a ir e p a r t d e la p e r t e c r u e l le q u ’ils v ie n n e n t d ’é p r o u v e r e n la p e r s o n n e d e M a d a m e

Geneviève PAROISSE

n é e J V l é g 'e v a n d d é c é d é e le 16 o c to b r e , à l ’âg e d e 75 ans, m u n ie d e s s a c r e m e n t s d e l ’E g lise . S es f u n é r a il le s a u r o n t lie u à Loisin, le ti c o u r a n t , à ,'i h e u r e s a p rè s -m id i ( h e u r e f r a n ç a is e ) . 1513!» De P rofundis !

ä E ssässs^ sK sa^ B n E sasE raasisasE tssE a« » M a d e m o is e lle A m élie V illa rd , M on­ s i e u r e l M a d a m e B a r th é l é m y V illa rd ef le u r s fils, a in s i q u e le s fa m ille s al liées fo n t p a r t à l e u r s a m is e t c o n n a is sa n ­ c e s de la p e r t e d o u lo u r e u s e qu'ils v ie n n e n t d e ta i r e e n la p e r s o n n e de

M a d a m e 15166

v e u v e M a r i e V i L L Â R D

n ée Dum ont

l e u r c h è r e m è r e , b e lle -m è re , g r a n d ’- m è r e e l p a r e n t e d é c é d é e , à A n iè re si le 15 c o u r a n t , d a n s s a 90me a n n é e . L a s é p u l tu r e a u r a lie u , à A tiières, le d im a n c h e 18, à h . 1(2 e t l ’h o n n e u r se r e n d r a à la s o r tie d u c im e tiè r e .

La f a m ille A lix, à M o rz in e e t G enève, a in s i q u e le s f a m ille s a llié e s o n t la d o u l e u r d e fa ir e p a r t d u d é c è s de M o n s i e u r A m b r o i s e A L I X s o l d a t a u Je g é n ie , s u r v e n u à P a r is , le 1 e r o c to b r e , d a n s sa 22e a n n é e , des s u i te s d e b le s s u r e s . 15150 M ile A lice e t M. F e r n a n d C rausaz e t le s fa m ille s a llié e s r e m e r c i e n t s i n ­ c è r e m e n t to u te s le s p e r s o n n e s q u i le u r o n t té m o ig n é ta n t d e s y m p a th ie d a n s l e u r g r a n d d e u il. 151G5 M m e V ve F r a n ç o is C o n s t a n t i n , ses en fantb e t f a m i l l e s r e m e r c i e n t t o u t es le s p e r s o n n e s , a m is e t S o c ié té s de la m a r q u e s i n c è r e de s y m p a th ie q u ’ils le u r o n t a p p o r t é e d a n s la c r u e lle e t d o u lo u ­ r e u s e é p r e u v e q u i v ie n t de le s f r a p p e r . 15115

Le KEF0L antim igraine instantané.

Pompes funèbres générales

--- d e S u i s s e

---19 , rue du Rhône — T é lé p li. 7180

SU CCESSEU R DE J . S E R V E T T A Z - M A L L E T (G. H a a k s -S c h e u b le l T a r if s le s p lu s r é d u i ts . TiiMiPiioNE 23 8? D é m a r c h e s {»raUiites. 1 7735 C o u r o n n e s m o r t u a i r e s

e n è v e - b e u il

R u e

T . 'BCT

A349 C H O IX I M M E N S E C H A P E A U X D :

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