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Propriétés diélectriques de quelques phosphites, phosphates, phosphonates, thionophosphonates organiques

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Academic year: 2022

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(1)

HAL Id: jpa-00205475

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00205475

Submitted on 1 Jan 1963

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Propriétés diélectriques de quelques phosphites, phosphates, phosphonates, thionophosphonates

organiques

Marie Freymann, Gérard Mavel

To cite this version:

Marie Freymann, Gérard Mavel. Propriétés diélectriques de quelques phosphites, phosphates, phosphonates, thionophosphonates organiques. Journal de Physique, 1963, 24 (5), pp.319-326.

�10.1051/jphys:01963002405031900�. �jpa-00205475�

(2)

319.

PROPRIÉTÉS DIÉLECTRIQUES DE QUELQUES PHOSPHITES, PHOSPHATES, PHOSPHONATES, THIONOPHOSPHONATES ORGANIQUES

Par Mme MARIE FREYMANN et M. GÉRARD MAVEL,

Laboratoire de Spectroscopie Hertzienne (Faculté des Sciences, Paris) et I. R. C. H. A. (Paris).

Résumé.

2014

Étude de 0,1 kHz à 100 kHz et de 80 °K à 300 °K, des changements de phase et de l’absorption dipolaire de phosphites, phosphates, phosphonates, thionophosphonates organiques (1).

Cette étude

se

rapporte

en

grande partie

aux

liquides surfondus présentant des bandes d’absorp-

tion dipolaire intenses. On examine l’effet des changements de phase, les modifications de l’absorp-

tion dipolaire dans

une

série homologue, et le rôle des changements de valence pour P ~, O ~ P ~, S ~P ~.

Des bandes d’absorption dipolaire distinctes de celles du liquide (et à peu près cent fois moins intenses) ont été observées pour certains de ces corps à l’état solide. De nouvelles expériences

doivent être entreprises à ce sujet,en relation

avec

le problème des défauts de réseau.

Abstract.

2014

Study, from 0.1 kHz to 100 kHz, and from 80 °K up to 273 °K, of phase transitions and dipolar absorption, of organic phosphites, phosphates, phosphonates, thionophosphonates.

This study refers in

a

great part to supercooled liquids having strong dipolar absorption bands.

We investigate the effect of phase transitions, the dipolar absorption changes for homologous compounds and the effect of valency modifications for P ~, O ~ P ~, S ~ P ~.

Many of these compounds show, in the solid state, dipolar absorption bands distinct from the

liquid bands (but 100 times less strong). New experiments need to be undertaken in connection with the lattice defect problem.

JOURNAL

DE

PHYSIQUE .

TOME

24, MAI 1963,

Dans des travaux antérieurs, Mme M. et R. Frey-

mann [3, 4], et Mme M. Jaffrain [6] ont rappelé les

difficultés rencontrées par l’application des théories de l’absorption dipolaire Debye, et ils ont souligné

la nécessité d’étudier expérimentalement des com- posés organiques autres que ceux qui, comme les alcools, renferment des liaisons hydrogène : Cétones, esters, dérivés nitrés, etc... En outre, l’attention avait été attirée sur deux problèmes généraux : A) Les relations entre les changements

de phase et l’absorption dipolaire ; B) la forte

intensité de l’absorption dipolaire dans les liquides

ordinaires ou surfondus ; la faible intensité de

l’absorption dipolaire dans les solides. Cette der-

nière serait peut-être liée à la présence de défauts

de réseau (physiques ou chimiques) dans le solide.

Cela nous a conduit à reprendre (2) les mêmes

(1) Ce travail

a

été effectué parallèlement

aux

recherches

de M. Gérard Mavel, de Mlle Gabrielle Martin et de Mlle Françoise Hérail

sur

la résonance magnétique nucléaire

et l’absorption infrarouge des mêmes composés

-

pré-

parés, pour la plupart,

au

Centre d’Études du Bouchet.

Mais,

comme on

le sait, les résultats obtenus sont d’ordre différent : Résonance nucléaire

=

analyse chimique struc-

turale des liquides. Absorption diélectrique

=

propriétés

«

thermodynamiques

»

des solides et liquides.

Nous tenons à remercier très vivement M. Jean Quin- chon, Ingénieur

en

Chef Militaire

au

Centre d’Études du Bouchet : il

nous a

fourni de nombreux dérivés du Phos-

phore étudiés ici, et

a

bien voulu

,nous

donner d’utiles

ren-

seignements, du point de

vue

chimique,

sur ces

composés.

(2) Les

mesures

de c’ et z’ ont été faites à l’aide d’un

pont de Schéring, de 80 à 300 °K environ, généralement

au

réchauffement, pour les fréquences 0,1, 1, 10, 100 kHz (représentées respectivement par 2, 3, 4, 5

sur

les figures).

La relation vc

=

A exp

-

V/kT permet d’en déduire U et

A. (On prendra garde

au

fait que les diverses figures peuvent

utiliser des échelles différentes pour s’).

,

problèmes pour des composés organiques phosphorés,

avec un double but : 10 apporter des données

expérimentales supplémentaires propres à l’élabo- ration de nouvelles théories de l’absorption dipo-

laire Debye (en distinguant soigneusement le pro- blème des liquides

-

ordinaires ou surf ondus - et celui des solides). 20 apporter une contribution à l’étude diélectrique des changements de phase

dans les solides organiques ; nous examinerons tout d’abord le second point, en le reliant au pre- mier.

I. Relations entre changements de phase et absorption dipolaire dans les états liquide et

solide.

-

A) ÉTATS LIQUIDES SURFONDUS. ÉTAT

CRISTALLISÉ. ÉTAT LIQUIDE NORMAL. - Les donnés des figures 1A et 1B se rapportent, pour divers

phosphites P(OCn H2n+1)3, aux mesures de per- mittivité (e*

=:

E’ - j El!) au réchau5ement, en

fonction de la température, pour la fréquence

100 kHz..

Nous nous attacherons plus spécialement aux

courbes r.’ (T) (fig. 1B) plus sensibles aux change-

ments de phase que les courbes eu (T) (fig. 1A).

10 En AB, au dessous du point de transformation

Tt (140 oK environ), on observe l’intense absorp-

tion dipolaire du liquide surfondu dont nous par- lerons au paragraphe II.

20 En BTt, la transformation ( Tt) se traduit

par une chute brusque de E’ ( T) caractéristique du

passage liquide surfondu

-

solide : La tempéra-

ture Tt correspond vraisemblablement à celle pour

laquelle la vitesse de cristallisation est maximum.

30 De B en D, en passant par les températures de

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphys:01963002405031900

(3)

320

FIG. 1A

transformation Tt et de fusion Tc, la substance

passe de l’état liquide surfondu à l’état cristallisé,

et devient à nouveau liquide en Ti, avec accrois-

sement brusque (et normal) de E’, lors de la fusion.

De Tt à Tf, l’absorption dipolaire est très faible (solide cristallisé).

4° La phase liquide ordinaire DE au-dessus du

point de fusion Tf (vers 163 °K) ne peut montrer l’absorption dipolaire pour la fréquence 100 kHz

utilisée. En extrapolant les données du tableau I,

on voit en effet qu’à 163 OK le maximum d’absorp-

tion propre à ce liquide ne pourrait s’observer qu’en ondes centimétriques. On notera, d’autre part, la diminution (classique) de E’ de D en E.

B) LES CHANGEMENTS DE PHASE POUR UNE

SÉRIE HOMOLOGUE. - La figure 1B précise que les

changements de phase liquide surfondu - état cristallisé

-

liquide ordinaire ne se manifestent nettement que pour P(OC2Hs}3. Pour les homo-

logues supérieurs, la substance passe sans discon- tinuité marquée de l’état liquide surfondu à l’état

FIG. 1B.

liquide ordinaire. Cette remarque reste valable pour (voir fig. 5A et 5B).

C) LE DIAGRAMME F-’ (E’), A FRÉQUENCE CONS-

TANTE, SOULIGNE LES CHANGEMENTS DE PHASE.

-

Au lieu de tracer, comme l’ont fait Cole-Cole les courbes e" ( E’) à température constante,

Mme M. Jaffrain [6] a tracé les mêmes courbes à

fréquence constante et température variable. En appliquant ici cette représentation, on voit (fige 2

et 3) qu’elle souligne bien les changements de phase pour le type d’anomalie observé.

II. Absorption dipolaire Debye des composés organo-phosphorés liquides surfondus ou solides.

-

Nous examinerons successivement deux questions

essentiellement distinctes à notre avis : l’Absorp-

tion dipolaire Debye des liquides surfondus, - l’absorption dipolaire Debye des solides et la relation possible avec l’existence de défauts de réseau.

FIG. 2.

(4)

321

Fic. 3.

1) LIQUIDES SURFONDU-.

L’intérêt de l’examen de l’absorption dipolaire

des composés organophosphorés est triple : a) L’absence due- liaison hydrogène (les alcools

avaient fait l’objet de la majorité des travaux anté- rieurs).

b) Nous avons pu examiner, pour les phosphites,

les phosphonates, les thionophosphonates, la

variation des propriétés diélectriques dans une

série homologue, sans qu’il y ait variation des asso- ciations moléculaires par liaison hydrogène (comme

il en était pour les alcools homologues).

c) Enfin, nous avons pu comparer les composés

du phosphore trivalent P(OR)3 (phosphite) et

pentavalent (phos-

2

phate, phosphonate et thionophosphonate) ; pour

ces derniers, nous avons pu comparer les dérivés

oxygénés 1 et soufrés

A) INFLUENCE DE LA TEMPÉRATURE (ET DE LA FRÉQUENCE) SUR L’ABSORPTION DIPOLAIRE.

DÉTERMINATION DE L’ÉNERGIE D’ACTIVATION.

Les figures 4A et 4B montrent les variations de e" et E’ en f onctiori de T pour plusieurs fréquences (marquées 2 (0,1 kHz), 3 (1 kHz), 4 (10 kHz),

5 (100 kHz). On retrouve le déplacement bien

connu du maximum de e’’ vers les températures élevées (3).

L’ensemble des résultats analogues pour d’autres

composés est rassemblé dans le tableau 1 : on

déterminée la température T correspondant à Émax pour plusieurs fréquences vc de mesure. La

formule vc

=

A exp

-

U/kT permet d’en déduire

l’énergie d’activation U (et le terme A) (Tableau I).

(3) On notera d’autre part que les différences d’intensité des maxima de el proviennent des

«

histoires » différentes des réchauffements

ou

refroidissements de l’échantillon.

Fie. 4A.

Fie. 4B.

B) ABSORPTION DIPOLAIRE DANS LES SÉRIES HOMOLOGUES.

Les figures 1, 5, 6 et 7 donnent respectivement

les variations de S" (fige A) ou s’ (fig. B), en ’fonc-

tion de la température (fréquence v

--

100 kHz)

pour des composés homologues des séries.

(5)

322

TABLEAU 1

FIG. 5A.

Nous tirons de ces données les conclusions sui- vantes :

a) L’intense absorption dipolaire étudiée est caractéristique des liquides surfondus (vraisem-

blablement amorphes) et non des solides cristallisés

(dont l’absorption très faible sera examinée au paragraphe 20).

Comme il a été signalé au paragraphe I, on observe fig. IA et B) pour les composés en C2 la disparition de l’état surfondu à la température Tt ;

mais cela n’apparaît plus à partir de C4 : la sur-

fusion est plus aisée que pour les homologues infé-

rieurs.

La différence entre les valeurs de Tt rend compte

des anomalies d’intensité observées pour les compo- sés en C2 sur les figures IA, 5A, 6A, 7A.

b) Le tableau I montre que, pour P(OR)3, l’énergie d’activation U varie relativement peu, alors

FIG. 5B, phosphonates.

que A décroît quandionmonte dans la série homo-

logue. C’est ce que traduit le déplacement des

courbes 1, 5, 6 et 7 vers les températures élevées, quand la chaîne carbonée s’allonge.

Ces données montrent d’autre part que l’absorp-

tion dipolaire à 100 kHz des liquides surfondus est

le prolongement vers les basses températures de l’absorption en très haute fréquence des liquides

ordinaires. Ce résultat confirme d’ailleurs celui de

Kamiyoshi et Fujimura [10] pour la série homo-

logue des alcools. On voit enfin, par extrapolation

des données du tableau 1, que pour P(OR)3, seuls

les phosphites en C2 et C3 peuvent montrer une absorption vers la température ordinaire à 10 000 MHz (À

=

3 cm). Par contre, pour les

composés homologues plus élevés dans la série,

on ne peut attendre d’absorption Debye du liquide

non surfondu dans une gamme de températures

inférieures à 373 OK.

c) De C4 à Clo, pour P(OR)3 (et, bien que l’effet soit moins net, pour S - P(OR)3) on décèle pour

e"( T) deux bandes d’absorption voisines (les courbes

c’(T) confirment ce dédoublement).

(6)

323

FiG. 6A.

FIG. 6B, thionophosphonates.

Nous n’avons pu interpréter cette décomposition qui n’apparaît pas pour les phosphonates

ni d’ailleurs pour les alcools [10].

d) L’absorption emax décroît rapidement quand

on monte dans la série homologue.

Cette observation, confirmée pour P(OR)3 et

est analogue à celle de Kamiyoshi

et Fujimura pour les alcools [10] (1).

(1) On notera (fig. 6A) que la très faible intensité de

l’absorption pour le composé

en

C2 pour S

-

P(OR)3 est

due à ce que le produit n est pas surfondu mais cristallisé.

FIG. 7 A.

FIG. 7B, phosphates.

. e) Nous rappellerons la faible largeur des bandes

étudiées.

f ) On se reportera aux figures 2 et 3 pour obser-

ver l’allure des courbes e" (s’) en fonction de T, quand on monte dans la série homologue.

C) COMPARAISON DES PROPRIÉTÉS DIÉLECTRI- QUES DES COMPOSÉS P , 0 - P ET S -- P .

Comme nous l’avons indiqué, l’examen systé-

(7)

324

matique des organophosphorés permettait d’éli-

miner le rôle des associations moléculaires par liaison hydrogène dans l’interprétation théorique

des phénomènes observés. On sait, en effet, que l’association moléculaire ROH -- ROH - ROH décroît quand on monte dans la série homologue

des alcools. On aurait donc pu penser que la dimi- nution d’intensité de l’absorption s" dans la série des alcools (10) était liée à la diminution d’intensité de l’association. Il n’en est rien, puisque le même phénomène se retrouve ici, pour les phosphites, phosphates, phosphonates, thionophosphonates, composés non associés.

Pour essayer d’interpréter l’absorption dipo-

laire de ces liquides, on peut songer à revenir à

l’hypothèse de Debye de l’orientation d’ensemble des molécules ou de la rotation d’un groupement

dans une molécule.

On pourrait également songer, à un mécanisme

analogue à celui des solides minéraux semi-conduc- teurs [5] : échange d’électrons entre molécule et lacune voisines.

Les expériences qui suivent permettant de modi-

fier l’atmosphère électronique (P -, 0

-

P -,

S --- P -) apportent un certain appui à cette

seconde hypothèse, sans qu’une conviction réelle

puisse en ressortir.

C’est ainsi que les figures 8 et 9 montrent que, pour les composés P(OC4H9)3 et P(OCSHI7)3 du

FIG. 8A. FIG. 8B.

Fie. 9A. FIG. 9B.

phosphore trivalent, l’absorption est distincte de

celle des composés pentavalents 0

E-

P - ou

S - P - (qui diffèrent d’ailleurs peu entre eux) :

intensité plus faible, position distincte, présence de

deux composantes.

Fie. 10A.

(8)

325

FIG. 10B.

Fie.. 11A.

Le cas des composés R

=

C2H., est plus complexe (fig. 10). Cela tient à ce que, pour les

composés en C4 ou C8, seul intervient l’état liquide

surfondu. Pour le composé en C2, il y a changement

de phase et, par suite, forte modification de l’aspect

des bandes observées,

20 SOLIDES.

Le but primitif de ces recherches

-

en relation

avec la conception de défauts de réseau

-

avait

été d’examiner l’absorption dipolaire des composés organp-phosphorés à l’état solide cristallisé. Malheu- reusement, nous n’avons décelé cette absorption

-

toujours très faible

-

que dans quelques cas, et

nous ne les citons que sous réserve d’une étude ultérieure plus détaillée,

Sur les figures 11 A et B ont été portées, à une

échelle 100 fois’plus grande que sur les figures précé-

FIG. 11B.

dentes, les courbes s’(T) de phosphates, phospho- nates, thionophosphonates.

On remarquera, outre la très faible intensité

( Emax 0,010 dans tous les cas observés) la valeur

nettement plus faible de l’énergie d’activation et la largeur plus grande des bandes. Il conviendra,

dans des expériences ultérieures, de rechercher si

ces bandes sont caractéristiques du solide pur ou

si, au contraire, elles proviennent d’impuretés ;

dans ce dernier cas, il faudra rechercher s’il s’agit d’impuretés à l’état liquide surfondu (ex. : alcool)

ou à l’état solide,

(9)

326

Ce travail a été effectué avec l’aide finan- cière de la Délégation Ministérielle pour l’Ar- mement. Direction des Recherches et Moyens

d’Essais, que nous tenons à remercier très vi- vement.

Manuscrit reçu le 28 janvier 1963.

BIBLIOGRAPHIE

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A 13, 5, 320.

[10] KAMIYOSHI (K. I.) et FUJIMURA (T.), J. Physique

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