Exercice 1 : Proba (4 points) Partie A :
1. Le lance-balle qui envoie une balle est une ´epreuve de Bernoulli de succ´es la balle est lanc´ee `a droitede probabilit´e 0,5. On observe la r´ep´etition de 20 ´epreuves de Bernoulli de fa¸con identique et ind´ependante. SoitX la variable qui compte le nombre de succ`es apr`es ces 10 lancers.
X suite la loi binomiale de param`etres 20 et 0,5.
Calculons la probabilit´e que le lance-balle envoie 10 balles `a droite.
C’est : p(X= 10) = Ç20
10 å Å1
2 ã10
× Å
1−1 2
ã10
= 0,176. p(X= 10)≈0,176 2. Calculons la probabilit´e que le lance-balle envoie entre 5 et 10 balles `a droite.
C’est : p(56X610) =p(X 610)−p(X 64).
A la calculatrice, on obtient :` p(56X 610) = 0,582 .
3. On suppose maintenant que X compte le nombre de succ´es apr`esnlancers.
X suit alors la variable al´eatoire de param`etresnet 12.
Au moins une balle envoy´ee `a gauche correspond `a P(X6n−1) = 1−P(X =n) = 1−Ä12än, d’o`u pn= 1−0,5n
A la calculatrice, on observe que` p6≈0,984 etp7 ≈0,992.
On a pn>0,99 `a partir de n= 7 Partie B :
Pour augmenter la difficult´e le joueur param`etre le lance-balle de fa¸con `a donner un effet aux balles lanc´ees.
Elles peuvent ˆetre soit lift´ees (L) soit coup´ees (C). La probabilit´e que le lance-balle envoie une balle `a droite est toujours ´egale `a la probabilit´e que le lance-balle envoie une balle `a gauche.
Les r´eglages de l’appareil permettent d’affirmer que :
• la probabilit´e que le lance-balle envoie une balle lift´ee `a droite est 0,24 donc p(L∩D) = 0,24
• la probabilit´e que le lance-balle envoie une balle coup´ee `a gauche est 0,235donc p(C∩G) = 0,235.
On peut construire deux arbres pond´er´es pour aider au raisonnement :
D
pD(L) L pD(C) C 0,5
G
pG(L) L PG(D) C 0,5
L
pL(G) G pL(D) D p(L)
C
pC(G) G pC(D) D p(C)
Si le lance-balle envoie une balle coup´ee, calculons la probabilit´e qu’elle soit envoy´ee `a droite , c’est `a dire pC(D).
On a : pD(C) = 1−pD(L) = 1−p(D∩L)
p(D) = 1− 0,24
0,5 = 1−0,48 = 0,52.
On en d´eduit : p(C∩D) =p(D)×pD(C) = 0,26
Et : p(C) =p(C∩D) +p(C∩G) = 0,26 + 0,235 = 0,495.
Finalement : pC(D) = p(C∩D)
p(C) = 0,26
0,495 = 0,525 `a 10−3 pr`es. pC(D) = 0,525
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Exercice 2 : Complexe (5 points)
1. Dans cette question et uniquement dans cette question, on prend zM = 2e−iπ3. (a) zM = 2×
Ç1 2−i
√3 2
å
= 1−i√ 3.
(b) zM0 =−izM =−i(1−i√
3) =−i + i2√
3 =−√ 3−i.
Module et argument m´ethode alg´ebrique :
|zM0| = »(−√
3)2+ (−1)2 = 2 et si l’on nomme θ un argument de zM0 alors, par propri´et´e,
cosθ = −
√ 3 2 sinθ = −1
2 On reconnaˆıtθ=−5π
6 (modulo 2π).
(c)
La figure n’est pas `a l’´echelle.
I est d’affixe 1 + 1 2 −i
√ 3
2 = 1−i
√ 3 2 BM0 = »(−√
3)2+ (−1−1)2 = √
7 et OI =
»1 +34 =»74. On a bienBM0 = 2OI
−2. −1. 1.
−2.
−1.
1.
0
M M0
A B
I O f
2. Cas g´en´eral en prenantzM =x+ iy avec y6= 0.
(a) zI= zA+zM
2 = x+ 1 2 + i y
2. (b) zM0 =−i(x+ iy) =y−ix.
(c) I
Åx+ 1 2 ; y
2 ã
, B(0 ; 1) etM0(y ; −x).
(d) −−→
OI ·−−−→
BM0 =
Åx+ 1 2
ã
×y+ Åy
2 ã
×(−x−1) = xy 2 + 1
2 −xy 2 − 1
2 = 0 donc les droites (OI) et (BM0) sont perpendiculaires.
(e) BM0 =»y2+ (−x−1)2 =»(x+ 1)2+y2 et d’autre part, 2OI = 2
Åx+ 1 2
ã2
+ Åy
2 ã2
= 2 2
»(x+ 1)2+y2 donc 2OI = BM0.
Exercice 3 : ´Etude de suite (5 points)
Partie A
Dans une premi`ere approche, le biologiste estime que la population croˆıt de 5 % par an.
1. Augmenter de 5 %, c’est multiplier par 1 + 5
100 = 1,05 ; la suite (vn) est donc g´eom´etrique de premier terme v0 = 12 et de raisonq = 1,05.
Donc, pour toutn, on a :vn=v0×qn= 12×1,05n. 2. 1,05>1 donc lim lim
→n→+∞1,05n= +∞ donc lim
n→+∞vn= +∞
Ce mod`ele ne r´epond donc pas aux contraintes du milieu naturel, la population d´epassera les 60000 individus.
Partie B
Le biologiste mod´elise ensuite l’´evolution annuelle de la population par une suite (un) d´efinie par u0 = 12 et, pour tout entier natureln, un+1=−1,1
605u2n+ 1,1un. 1. On consid`ere la fonction g d´efinie surRparg(x) =−1,1
605x2+ 1,1x.
(a) La fonctiong est d´erivable sur Retg0(x) =−1,1
605×2x+ 1,1 =−2,2
605x+ 1,1.
g0(x)>0 ⇐⇒ −2,2
605x+ 1,1>0 ⇐⇒ 1,1> 2,2
605x ⇐⇒ 1,1×605
2,2 > x ⇐⇒ x <302,5 Doncg0(x)>0 sur[0 ; 60]doncg est croissante sur[0 ; 60].
(b) On r´esout dansR l’´equation g(x) =x : g(x) =x ⇐⇒ −1,1
605x2+ 1,1x=x ⇐⇒ −1,1
605x2+ 0,1x= 0 ⇐⇒ x Å
−1,1
605x+ 0,1 ã
= 0
⇐⇒ x= 0 ou −1,1
605x+ 0,1 = 0 ⇐⇒ x= 0 ou 0,1 = 1,1 605x
⇐⇒ x= 0 ou 0,1×605
1,1 =x ⇐⇒ x= 0 ou x= 55.
Les solutions sont 0 et 55.
2. On remarquera que un+1=g(un).
(a) u1 =g(u0) =g(12)≈12,938
Avec ce mod`ele, on peut estimer la population `a 12 938 individus en 2017.
(b) SoitPn la propri´et´e 06un655.
• Initialisation
Pourn= 0,u0= 12 et 0612655 donc la propri´et´e est vraie au rang 0.
• H´er´edit´e
On suppose que le propri´et´e est vraie au rang n > 0, c’est-`a -dire que 0 6 un 6 55 ; c’est l’hypoth`ese de r´ecurrence.
Or 0∈[0 ; 60]et 55∈[0 ; 60]; de plus on sait que le fonctiong est croissante sur[0 ; 60]
donc de 06un655, on peut d´eduire que g(0)6g(un)6g(55).
Les nombres 0 et 55 sont solutions de l’´equation g(x) =x donc g(0) = 0 et g(55) = 55 ; de plus,g(un) =un+1.
Doncg(0)6g(un)6g(55) ´equivaut `a 06un+1655 et on a donc d´emontr´e que la propri´et´e
´etait vraie au rangn+ 1.
• Conclusion
La propri´et´e est vraie au rang 0 et elle est h´er´editaire pour toutn>0 ; d’apr`es le principe de r´ecurrence, elle est vraie pour tout n>0.
On a donc d´emontr´e par r´ecurrence que, pour tout entier natureln, 06un655.
(c) Pour toutn, un+1−un=−1,1
605u2n+ 1,1un−un=−1,1
605u2n+ 0,1un=un Å
−1,1
605un+ 0,1 ã
=un×1,1 605
Å
−un+ 0,1×605 1,1 ã
= 1,1
605un(55−un) On sait que 06un655 donc 55−un>0 donc 1,1
605un(55−un)>0.
On a donc d´emontr´e queun+1−un>0 pour tout ndonc la suite (un) est croissante.
(d) La suite (un) est croissante et major´ee par 55 donc, d’apr`es le th´eor`eme de la convergence mono- tone, la suite (un) est convergente.
(e) On admet que la limite ` de la suite (un) v´erifie g(`) = ` donc elle est solution de l’´equation g(x) =x.
L’´equation g(x) =xn’admet que 2 solutions : 0 et 55.
La suite (un) est croissante et u0 = 12 donc la limite` de la suite est sup´erieure ou ´egale `a 12.
On en d´eduit donc que `= 55 ce qui signifie que, selon ce mod`ele, la population va tendre vers 55 000 individus.
3. Le biologiste souhaite d´eterminer le nombre d’ann´ees au bout duquel la population d´epassera les 50 000 individus avec ce second mod`ele.
On compl`ete l’algorithme afin qu’il affiche en sortie le plus petit entierr tel queur >50 : Variables n un entier naturel
u un nombre r´eel Traitement n prend la valeur 0
u prend la valeur 12 Tant Que u <50
u prend la valeur1,1u−6051,1u2 nprend la valeur n+ 1
Fin Tant Que Sortie Afficher n
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Exercice 4 : Fonctions (6 points)
Partie A
1. Soit u le nombre complexe 1−ı.
|u|=»12+ (−1)2 =
√
2 ; doncu=
√ 2
Ç 1
√ 2 − 1
√ 2i
å
=
√ 2
√ 2 2 −
√ 2 2 i
!
On cherche le r´eel α tel que
cos(α) =
√ 2 2 sin(α) = −
√ 2 2
Donc α=−π
4 +k2π o`u k∈Z L’´ecriture complexe du nombre u= 1−ı est donc √
2e−iπ4. 2. eiθ= cos(θ) + i sin(θ) donc
eiθ(1−ı) = (cos(θ) + i sin(θ))(1−ı) = cos(θ) + i sin(θ)−i cos(θ)−i2sin(θ)
= (cos(θ) + sin(θ)) + i (sin(θ)−cos(θ)) (forme alg´ebrique) 1−i =√
2e−iπ4 donc eiθ(1−ı) = eiθ×√
2e−iπ4 =√
2ei(θ−π4) (´ecriture exponentielle)
3. Le nombre complexe eiθ(1−ı) s’´ecrit d’une part (cos(θ) + sin(θ)) + i (sin(θ)−cos(θ)) et d’autre part
√
2ei(θ−π4), c’est-`a -dire√ 2
Å cos
Å θ−π
4 ã
+ i sin Å
θ−π 4
ãã . En identifiant les parties r´eelles, on obtient : cos(θ) + sin(θ) =√
2 cos Å
θ−π 4
ã . Partie B
On consid`ere les fonctions f etg d´efinies sur l’intervalle [0 ; +∞[ par :f(x) = e−xcos(x), g(x) = e−x. On d´efinit la fonction h sur [0 ; +∞[ parh(x) =g(x)−f(x).
Les repr´esentations graphiquesCf,Cg etCh des fonctionsf, g ethsont donn´ees, en annexe, dans un rep`ere orthogonal.
1. D’apr`es les graphiques :
(a) On peut conjecturer que les limites des fonctionsf etg en +∞ sont ´egales `a 0.
(b) La courbeCf semble situ´ee en dessous de la courbeCg.
(c) L’´ecart entre les deux courbes Cf etCg semble maximal pour x= 2.
2. g(x)−f(x) = e−x−e−xcos(x) = (1−cos(x))e−x
Pour tout r´eelx, e−x>0 et cos(x)61 donc (1−cos(x))>0 ; donc, pour tout x,g(x)−f(x)>0 et donc la courbe Cg est situ´ee au-dessus de la courbeCf sur l’intervalle [0 ; +∞[.
3. • On sait que lim
x→+∞e−x= 0 ; donc la courbeCgadmet la droite d’´equationy= 0 comme asymptote horizontale en +∞.
• Pour toutx,−16cos(x)6+1 et comme e−x>0,−e−x6e−xcos(x)6e−x.
x→+∞lim −e−x = lim
x→+∞e−x = 0 donc, d’apr`es le th´eor`eme des gendarmes, lim
x→+∞e−xcos(x) = 0, c’est-`a -dire lim
x→+∞f(x) = 0.
x→+∞lim f(x) = 0 donc la courbeCf admet la droite d’´equationy= 0 comme asymptote horizontale en +∞.
4. (a) On noteh0 la fonction d´eriv´ee de la fonctionh sur l’intervalle [0 ; +∞[.
Les fonctionsf etg sont d´erivables sur[0 ; +∞[donc la fonctionhest d´erivable sur[0 ; +∞[: h0(x) =g0(x)−f0(x) =−e−x−(−e−xcos(x) + e−x(−sin(x))) = e−x(−1 + cos(x) + sin(x)) On a vu dans la partie A que, pour tout r´eelθ,
√ 2 cos
Å θ− π
4 ã
= cos(θ) + sin(θ), donc
√ 2 cos
Å x−π
4 ã
= cos(x) + sin(x).
On peut donc en d´eduire queh0(x) = e−x ï√
2 cos Å
x−π 4
ã
−1 ò
. (b)
TS Correction bac blanc Page 5 sur 5
• On se place dans l’intervalle ï
0 ; π 2 ò
. 06x6 π
2
⇐⇒ −π
4 6x− π 4 6 π
4
=⇒cos Å
x−π 4
ã>
√ 2 2
⇐⇒ √ 2 cos
Å x−π
4 ã>1
⇐⇒ √ 2 cos
Å x−π
4 ã
−1>0
Corrigé du baccalauréat S A. P. M. E. P.
4. a. On noteh′la fonction dérivée de la fonctionhsur l’intervalle [0 ;+∞[.
Les fonctionsf etgsont dérivables sur[0;+∞[donc la fonctionhest dérivable sur[0;+∞[: h′(x)=g′(x)−f′(x)= −e−x−(−e−xcos(x)+e−x(−sin(x)))=e−x(−1+cos(x)+sin(x)) On a vu dans la partie A que, pour tout réelθ,$
2cos! θ−π
4
"
=cos(θ)+sin(θ), donc
$2cos! x−π
4
"
=cos(x)+sin(x).
On peut donc en déduire queh′(x)=e−x#$ 2cos!
x−π 4
"
−1$ . b.
• On se place dans l’intervalle# 0 ; π
2
$.
0!x!π2
⇐⇒ −π
4!x−π 4 !π4
=⇒cos! x−π
4
"
"
$2 2
⇐⇒$ 2cos!
x−π 4
"
"1
⇐⇒$ 2cos!
x−π 4
"
−1"0
O
π 4
−π4
$2 2
• On se place dans l’intervalle#π 2 ; 2π$
. π
2 !x!2π
⇐⇒ π
4 !x−π
4 !2π−π 4
=⇒cos! x−π
4
"
!
$2 2
⇐⇒$ 2cos!
x−π 4
"
!1
⇐⇒$ 2cos!
x−π 4
"
−1!0
O
$2 2
π 4
2π−π 4
c. h(x)=g(x)−f(x)=e−x(1−cos(x)) h(0)=e0(1−cos(0))=1(1−1)=0
h(2π)=e−2π(1−cos(2π))=e−2π(1−1)=0 h%π
2
&
=e−π2%
1−cos%π
2
&&
=e−π2(1−0)=e−π2 ≈0,21
On en déduit le tableau de variation de la fonctionhsur l’intervalle [0 ; 2π].
x 0 π2 2π
e−x +++ +++
$2cos! x−π
4
"
−1 +++ 0 −−−
h′(x) +++ 0 −−−
e−π2 h(x)
0 0
Polynésie 2 9 septembre 2015
• On se place dans l’intervalle ïπ
2 ; 2π ò
. π
2 6x62π
⇐⇒ π
4 6x−π
4 62π−π 4
=⇒cos Å
x−π 4
ã6
√ 2 2
⇐⇒ √ 2 cos
Å x−π
4 ã61
⇐⇒ √ 2 cos
Å x−π
4 ã
−160
A. P. M. E. P.
4. a. On noteh′la fonction dérivée de la fonctionhsur l’intervalle [0 ;+∞[.
Les fonctionsf etgsont dérivables sur[0;+∞[donc la fonctionhest dérivable sur[0;+∞[: h′(x)=g′(x)−f′(x)= −e−x−(−e−xcos(x)+e−x(−sin(x)))=e−x(−1+cos(x)+sin(x)) On a vu dans la partie A que, pour tout réelθ,$
2cos! θ−π
4
"
=cos(θ)+sin(θ), donc
$2cos! x−π
4
"
=cos(x)+sin(x).
On peut donc en déduire queh′(x)=e−x#$ 2cos!
x−π 4
"
−1$ . b.
• On se place dans l’intervalle# 0 ; π
2
$.
0!x!π2
⇐⇒ −π
4 !x−π 4 !π4
=⇒cos! x−π
4
"
"
$2 2
⇐⇒ $ 2cos!
x−π 4
"
"1
⇐⇒ $ 2cos!
x−π 4
"
−1"0
O
π 4
−π4
$2 2
• On se place dans l’intervalle#π 2 ; 2π$
. π
2 !x!2π
⇐⇒ π
4 !x−π
4!2π−π 4
=⇒cos! x−π
4
"
!
$2 2
⇐⇒ $ 2cos!
x−π 4
"
!1
⇐⇒ $ 2cos!
x−π 4
"
−1!0
O
$2 2
π4
2π−π 4
c. h(x)=g(x)−f(x)=e−x(1−cos(x)) h(0)=e0(1−cos(0))=1(1−1)=0
h(2π)=e−2π(1−cos(2π))=e−2π(1−1)=0 h%π
2
&
=e−π2%
1−cos%π
2
&&
=e−π2(1−0)=e−π2 ≈0,21
On en déduit le tableau de variation de la fonctionhsur l’intervalle [0 ; 2π].
x 0 π2 2π
e−x +++ +++
$2cos! x−π
4
"
−1 +++ 0 −−−
h′(x) +++ 0 −−−
e−π2 h(x)
0 0
Polynésie 2 9 septembre 2015
(c) h(x) =g(x)−f(x) = e−x(1−cos(x)) h(0) = e0(1−cos(0)) = 1(1−1) = 0
h(2π) = e−2π(1−cos(2π)) = e−2π(1−1) = 0
h π2= e−π2 1−cos π2= e−π2 (1−0) = e−π2 ≈0,21
On en d´eduit le tableau de variation de la fonction h sur l’intervalle [0 ; 2π].
x e−x
√2 cos x−π4− 1
h0(x) h(x)
0 π2 2π
+ 0 +
+ 0 −
+ 0 −
0 0
e−π2 e−π2
0 0