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Abaque graphique des lentilles

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Academic year: 2021

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Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00237306

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237306

Submitted on 1 Jan 1877

HAL

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Abaque graphique des lentilles

C.-M. Gariel

To cite this version:

C.-M. Gariel. Abaque graphique des lentilles. J. Phys. Theor. Appl., 1877, 6 (1), pp.282-285.

�10.1051/jphystap:018770060028201�. �jpa-00237306�

(2)

dition de voir

l’image

i-edi-essée de

l’objet

en coïncidence avec le

plan

du ré ticule.

Les trois lectures consécutives du chariot donnent donc d

et

d’ + 03B5 ;

si l’on recommence les mêmes

opérations

en retour-

nant le

système optique,

on obtiendra de même d et

d + 03B5

par

suite,

les éléments de la détermination

de f2.

Je pense que la solution du

problème proposé

est arrivée à son

maximum de

simplicité pratique.

(A suivre.)

ABAQUE GRAPHIQUE DES LENTILLES;

PAR M. C.-M. GARIEL .

La formule

classique

des lentilles

qui

donne facilement la

position

relative des

foyers conjugués,

ne

laisse pas

cependant

que d’être

fastidieuse, lorsque

l’on a à

répéter

un,certain nombre de fois le même

calcul ;

il y a avantage, surtout

lorsqu’il

n’est pas nécessaire d’avoir une

très-grande exactitude,

à

remplacer

la formule et les calculs

correspondants

par un tableau

graphique.

,

On obtient

immédiatement

ce tableau en posant x p

ety = I p’

et l’on a des droites x +-y

= I f inclinées

à

45°

sur les axes,

chaque

droite

correspondant

à une valeur donnée

de f.

Ce tableau

( fig. i), qui peut

rendre

quelques services,

n’est

cependant

pas d’un usage

très-commode,

parce que, les axes devant être divisés

d’après

les

relations x p y=

t,ln y

a pas

proportionnalité

entre les

longueurs

mesurées et les nombres

qu’elles représentent,

de telle

sorte que l’on ne

peut

que difficilement se servir de valeurs

qui

ne

correspondent

pas à des

lignes

tracées sur le tableau.

On peut tracer un

tableau, qui,

s’il ne

présente

pas la

disposi-

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018770060028201

(3)

tion ordinaire des

abaques graphiques, jouit,

en revanche, de la

propriété

que l’on

peut,

par

proportionnalité,

y mesurer toutes les valeurs. Nous sommes arrivé à cette construction en cherchant

Fig. i.

la

projection conique

du tableau

précédent,

ou autrement en cher-

chant la

figure

dont ce tableau serait la

perspective.

Mais on peut arriver directement à sa construction comme il

suit,

et cette n1é-

thode nous

paraît plus simple :

Convenons de

porter

sur deux droites

parallèles

OP et O’P’

(fig. 2),

et à

partir

de deux

points 0

et O’

pris

sur une perpen-

Fig. 2.

diculaire commune à ces

droites,

des

longueurs

O’A et OA’

qui

me-

surent à une échelle déterminée les

quantités p

et

p’.

Il est facile

de reconnaître que, si le

point

d’intersection 1 de ces

lignes

se

meut sur une

parallèle

à

OO’,

située à une distance IH de cette

droite

égale àf,

les

valeurs

et

p’

sont les distances de deux

foyers

(4)

284

conjugués

à la

lentille,

dont la distance focale est

f.

On a, en

effet,

et, en

ajoutant

membre à

membre,

soit

ou

d’après

des données

Le tableau que l’on pourra

employer,

et dont la

fig.

3 donne

une

idée, comprendra :

Fig. 3.

1° Des

lignes parallèles, également

distantes et dont la dis-

tance à la

ligne fixe’00’ mesureras;

Des

lignes divergeant

de 0 et

coupant

la

ligne

verticale

opposée

à des distances

égales ; chaque ligne correspondra

à la va-

leur de p,

qui

sera mesurée à l’échelle déterminée par la distance de 0’ à la

ligne ;

(5)

3° Des

lignes divergeant

de 0’ et satisfaisant aux mêmes con-

ditions que les

précédentes.

On se servira facilement de ce tableau en remarquant que les valeurs de p,

p’

et

f qui

se

correspondent

sont celles

qui

sont dé-

terminées par trois droites

appartenant respectivement

à chacun

des

systèmes précédents

et se coupant en un même

point.

Si l’on veut que le tableau

puisse

être

employé

dans tous les

cas et

puisse également

servir pour les lentilles convergentes et les lentilles

divergentes,

il faut que l’une au moins des séries de

lignes divergentes

se continue au delà de la verticale correspon-

dante ;

ces

lignes, qui

font alors avec OO’ des

angles obtus,

corres-

pondent

à des valeurs

négatives due 77

ou de

p’.

Il

peut

n’être pas inutile de faire remarquer encore que, si les

points

d’intersection ne se trouvent pas sur des

lignes déjà

tracées,

il suffirait de diviser

pro/Jortionnellen1ent

les

longueurs comptées perpendiculairement

à 0 et 0’ et

comprises

entre les

lignes

les

plus

voisines pour avoir la valeur exacte ; cette division peut le

plus

sou-

vent se faire avec une exactitude suffisante à

simple

vue.

En

employant

un tableau

complet,

on peut résoudre immédia-

tement toutes les

questions

dans

lesquelles,

connaissant deux des trois

quantités

p,

p’, f,

on veut trouver la troisième.

FROTTEMENT ENTRE DEUX SURFACES DANS LE CAS DES FAIBLES VITESSES;

PAR MM.

FLEEMING,

JENKIN ET J.-A. EVING (1).

(Traduit par M. Bouts9.)

On croit

généralement, d’après

les recherches de Coulomb et de

Morin,

que le frottement entre deux surfaces est

indépendant

de

leur vitesse

relative ;

mais que la force nécessaire pour vaincre le frottement au

départ

est

(au

moins dans certains

cas) plus grande

que celle

qui

lui fait

équilibre pendant

le mouvement; en d’autres

(1) Proceedings of the Royal Society, t. XXYI, p. 93.

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