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S OMMES , PRODUITS , COEFFICIENTS BINOMIAUX

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Academic year: 2021

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(1)

S OMMES , PRODUITS , COEFFICIENTS BINOMIAUX

1 S

OMMES

Pour touszm, . . . ,znCavecmn, on note Xn k=m

zkla somme

Forme ditein extenso de la somme

z }| {

zm+zm+1+. . .+zn. Par exemple, pour toutαC: Xn

k=1

1 k =1+1

2+1

3+. . .+ 1 n1+1

n,

X2n p=3

pp=p 3+p

4+. . .+p

2n et

Xn k=m

α= α

|{z}

k=m

+. . .+ α

|{z}

k=n

= (nm+1)×α. Plus généralement, pour toute famille(zi)iIde nombres complexes indexée par un ensembleFINII, la somme de tous les zi,idécrivantI, est notéeX

i∈I

zi. Par exemple : X

i∈{1,4,9}

zi = z1+z4+z9 et parconvention des sommes vides: X

i∈

zi=0.

i j

1 2 · · · n 0 z01 z02 · · · z0n 1 z11 z12 · · · z1n ... ... ... . .. ...

m zm1 zm2 · · · zmn L’ensembleIpeut être un ensemble de couples, auquel cas on additionne simplement les termes

d’un tableau à deux entrées. Pour : I =¹0,mº×¹1,nº=¦

(i,j)| 0im et 1jn© , la somme

X

i∈I

zi est alors plutôt notée X

0im 1jn

zi j.

Curieux au premier abord, ce genre d’indexation est plus courant qu’il n’y paraît. Par exemple, quand on multiplie une somme demtermes et une somme dentermes, on obtient en développant une somme demntermes, mais qu’on peut écrire avec un seulP

. Xm

i=1

ai× Xn

j=1

bj= (a1+. . .+am)×(b1+. . .+bn) =a1b1+a1b2+. . .+ambn−1+ambn = X

im 1jn

aibj.

Théorème (Produit de deuxP

) Pour tousa1, . . . ,am,b1, . . . ,bnC: Xm

i=1

ai× Xn

j=1

bj= X

1¶i¶m 1jn

aibj.

À présent, une question. À quelles lettres a-t-on droit quand on veut écrire une somme sous la forme d’unP

? C’est simple, on l’écrit in extenso, on regarde quelles variables apparaissent dans cette écriture in extenso et on choisit pour indice du symboleP

NIMPORTE QUELLE AUTRE LETTRE. Par exemple, pour : 1+22+32+. . .+1002, on peut choisir n’importe quelle lettre :

X100 n=1

n2= X100 k=1

k2= X100 i=1

i2= X100 p=1

p2. . . tandis que pour : 1+22+32+. . .+n2, la lettre «n» doit être écartée car elle a déjà une signification dans la somme :

Xn n=1

n2= Xn k=1

k2= Xn

i=1

i2= Xn p=1

p2. . .

Autre question. Quand plusieurs sommes apparaissent dans un même calcul, doit-on leur donner des indices différents ? Que penser par exemple des écritures suivantes :

Xn k=1

(ak+bk) = Xn k=1

ak+ Xn k=1

bk et Xn k=1

(ak+bk) = Xn

i=1

ai+ Xn

j=1

bj ? Les deux sont convenables et racontent en dépit des apparences la même histoire in extenso :

(a1+b1) + (a2+b2) +. . .+ (an+bn) = (a1+a2+. . .+an) + (b1+b2+. . .+bn).

. . . bla bla bla

Xn

k=1

zk bla bla bla. . .

Naissance de l’indicek

$

$

$

$

Mort dek— courte vie que la vie d’un indice !

L’indice d’une somme a en réalité une zone d’influence très restreinte comme l’indique la figure ci-contre. Un indice « mort » peut être recyclé à volonté. La seule chose qu’il faut éviter, c’est la schizophrénie, le fait qu’une même lettre possède plusieurs significations au même instant.

Nouvelle idée. Une somme peut toujours être écrite de différentes manières selon le choix qu’on fait de la lettre-indice.

Le passage d’une écriture à une autre est appeléchangement d’indiceet deux exemples vaudront mieux qu’un long discours.

Xn k=1

zk=z1+z2+. . .+zn=

n1

X

p=0

zp+1

Changement d’indicek=p+1

p 0 1 2 · · · n2 n1

k 1 2 3 · · · n1 n

Xn k=0

zk=z0+z1+. . .+zn= Xn p=0

znp

Changement d’indicek=np

p n n1 n2 · · · 1 0

k 0 1 2 · · · n1 n

(2)

Nous verrons parfois des changements d’indice plus compliqués. Ce qu’il faut toujours garantir, c’est qu’on n’a ni supprimé ni ajouté aucun terme à la somme initiale — on a juste changé le nom de l’indice.

Il arrive souvent qu’on tombe au cours d’un calcul sur des sommes ditestélescopiquesde la forme : X···

k=···

(zk+1zk) qui se calculent merveilleusement bien.

Xn k=m

(zk+1zk) = (zn+1zn) + (zn

| {z }

Simplification

zn1) + (zn1

| {z }

Simplification

zn2) +. . .+ (zm+2 zm+1) + (zm+1

| {z }

Simplification

zm) = zn+1zm.

Théorème (Simplification télescopique) Pour touszm, . . . ,zn+1C:

Xn

k=m

(zk+1zk) =zn+1zm.

On utilise souvent cette formule en sens inverse. Ce que la simplification télescopique raconte, c’est que pour comparer zmetzn+1, il suffit de savoir comparer les termes « voisins »zketzk+1pour toutk¹m,nº, puis de sommer.

Exemple Xn p=1

ln

 1+1

p

‹

= Xn p=1

€

ln(p+1)lnpŠ

=ln(n+1).

Exemple La somme Xn k=1

1 k 1

k+1

‹

vaut à la fois 1 1 n+1 et

Xn k=1

1

k(k+1), donc : Xn k=1

1

k(k+1)=1 1 n+1.

Il est tentant de faire tendrenvers+dans ce résultat, i.e. de « sommer jusqu’à l’infini ». C’est autorisé quand, à l’issue d’un calcul sur une somme finie, on observe que le résultat obtenu converge.

Définition (Sommes infinies)

Soit(un)n∈Nune suite. Si elle existe et est finie, la limite : lim

n+

Xn k=0

uk est notée

+

X

k=0

uk.

Exemple

+

X

k=1

1

k(k+1)=1.

Retour à présent sur lessommes doubles. La somme des termes d’un tableau à deux entrées peut être calculée en sommant par paquets d’abord sur les lignes, ou bien d’abord sur les colonnes.

Somme des termes d’un tableau carré :X

1¶i¶n 1¶j¶n

zi j, aussi notée X

1¶i,j¶n

zi j

i j

1 2 · · · n 1 z11 z12 · · · z1n 2 z21 z22 · · · z2n ... ... ... . .. ...

n zn1 zn2 · · · znn

Xn j=1

z1j Xn

j=1

z2j ...

Xn j=1

zn j

Xn

i=1

Xn j=1

zi j

Xn i=1

zi1 Xn

i=1

zi2

· · · Xn i=1

zin

Xn

j=1

Xn i=1

zi j

Somme des termes d’un tableau triangulaire avec diagonale : X

1¶i¶j¶n

zi j

i j

1 2 · · · n 1 z11 z12 · · · z1n 2 z22 · · · z2n ... . .. ...

n znn

Xn j=1

z1j Xn

j=2

z2j ...

Xn j=n

zn j

Xn i=1

Xn j=i

zi j

X1 i=1

zi1 X2 i=1

zi2

· · · Xn i=1

zin

Xn

j=1

Xj i=1

zi j

On traite de même le cas des sommes de la forme X

1i<jn

zi j — tableaux triangulairesSANSdiagonale.

Théorème (Permutation desP

) Pour toute famille(zi j)1¶i,j¶nde nombres complexes : X

1i,jn

zi j= Xn

i=1

Xn j=1

zi j= Xn

j=1

Xn i=1

zi j, X

1ijn

zi j= Xn

j=1

Xj i=1

zi j = Xn

i=1

Xn j=i

zi j, X

1i<jn

zi j= Xn

j=2 j−1

X

i=1

zi j=

n1

X

i=1

Xn j=i+1

zi j.

(3)

Nous calculerons souvent des sommes doubles cette année.

Quand on ne sait pas quoi faire de deux sommes emboîtées, on les permute pour voir ce qui se passe !

Exemple SoitnN. On ne voit pas trop comment on pourrait simplifier la somme Xn

j=i

1 j = 1

i + 1

i+1+. . .+1

n pour tout i¹1,. Il est en revanche facile de simplifier la somme de ces sommes.

Xn i=1

Xn j=i

1

j = X

1ijn

1 j =

Xn j=1

Xj i=1

1 j =

Xn j=1

1 j

Xj i=1

1= Xn

j=1

1 j ×j=

Xn j=1

1=n.

i

j 1 2 · · · n 1 z21 z1z2 · · · z1zn 2 z2z1 z22 · · · z2zn ... ... ... . .. ...

n znz1znz2 · · · zn2 Les sommes X

1¶i<j¶n

zi jsont plus courantes qu’il n’y paraît, on les rencontre naturellement quand on calcule le carré d’une somme. Le calcul qui suit repose essentiellement sur l’idée que le tableau ci-contre est symétrique par rapport à sa diagonale.

‚ n X

k=1

zk

Œ2

= Xn

i=1

zi× Xn

j=1

zj = X

1i,jn

zizj=

Termes au-dessus de la diagonale

z }| { X

1i,jn i<j

zizj +

Termes diagonaux

z }| { X

1i,jn i=j

zizj +

Termes sous la diagonale

z }| { X

1i,jn i>j

zizj

= Xn k=1

zk2 + 2 X

1¶i<j¶n

zizj. Par exemple : (a+b)2= a2+b2

+2a b et (a+b+c)2= a2+b2+c2

+2(a b+ac+bc).

Théorème (Carré d’unP

) Pour tousz1, . . . ,znC: ‚ n X

k=1

zk

Œ2

= Xn k=1

zk2 + 2 X

1i<jn

zizj.

Doubles produits

z }| {

La fin du paragraphe recense quelques formules qu’il est indispensable de connaîtrePAR CŒUR.

Théorème (Calcul de Xn k=0

ket Xn k=0

k2) Pour toutnN:

Xn k=0

k= n(n+1)

2 et

Xn k=0

k2= n(n+1)(2n+1)

6 .

Démonstration

Calcul deS= Xn k=0

k: Calculons de deux manières la somme des termes du tableau suivant :

n n1 n2 · · · 1 0

0 1 2 · · · n1 n S

S

2S

n n n

· · ·

n n n(n+1)

Conclusion : 2S=n(n+1), i.e.S= n(n+1)

2 .

On peut présenter la même idée à l’aide d’un changement d’indice en renversant l’ordre de lecture de la sommeS: S=

Xn k=0

ki=n=k Xn

i=0

(ni) = Xn

i=0

n Xn

i=0

i=n(n+1)S, doncS= n(n+1)

2 .

Calcul de Xn k=0

k2: Pour toutkN: (k+1)3k3= (k+1)k

k2+k(k+1) + (k+1)2

=3k2+3k+1 d’après la formule «anbn». Sommons maintenant ces identités. Pour toutnN:

Xn k=0

€(k+1)3k3Š

= Xn k=0

3k2+3k+1

, donc : (n+1)303=3 Xn k=0

k2+3 Xn k=0

k+ Xn k=0

1 après simplification télescopique. Enfin :

3 Xn k=0

k2= (n+1)33 Xn k=0

k Xn k=0

1= (n+1)33× n(n+1)

2 (n+1) = n+1

2 2(n+1)23n1

= n+1

2 2n2+n+1

= n(n+1)(2n+1)

2 . Le résultat en découle.

(4)

Théorème (Sommes géométriques)

Pour tousxCetm,nNpour lesquelsmn: n X

k=m

xk=

xm× xn−m+11

x1 six6=1 nm+1 six=1.

Nombre de termes

z }| {

Premier terme

En outre, si|x|<1 :

+

X

k=0

xk= 1 1x.

Démonstration Six=1 : Xn k=m

xk= Xn k=m

1=nm+1. Dans le cas contraire : (x1)

Xn k=m

xk= Xn k=m

xk+1xk

=xn+1xm, donc : Xn k=m

xk= xn+1xm

x1 =xm× xn−m+11 x1 . Pour finir, si|x|<1 : lim

n+xn=0, donc : Xn k=0

xk=1xn+1 1x n−→

+

1 1x.

Théorème (Formuleanbn) Pour tousnNeta,bC: anbn= (ab)

n1

X

k=0

akbn−k−1= (ab)€

an−1+an−2b+an−3b2+. . .+a bn−2+bn−1Š .

Dans la somme, les puissances de adiminuent à mesure que les puissances de baugmentent. Pourn= 2, le résultat est connu : a2 b2 = (ab)(a+ b), pour n = 3 : a3b3 = (ab) a2+a b+b2

, et enfin pour n = 4 : a4b4= (ab) a3+a2b+a b2+b3

. Démonstration (ab)

Xn−1 k=0

akbnk1= Xn−1 k=0

€ak+1bn(k+1)akbnkŠ

=anb0a0bn=anbn.

Définition-théorème (Un double point de vue sur la notion de racine d’un polynôme) SoientP:C−→Cune fonction polynomiale à coefficients complexes etλC. Les assertions suivantes sont équivalentes :

(i) P(λ) =0.

(ii) Il existe une fonction polynomialeQ:C−→C à coefficients complexes pour laquelle : P(z) = (zλ)Q(z) pour toutzC.

On dit dans ce cas queλest uneracine de P.

Démonstration Notonsa0, . . . ,anles coefficients deP, de sorte que : P(z) =anzn+. . .+a1z+a0 pour tout z C. L’implication (ii)= (i) est triviale. Réciproquement, faisons l’hypothèse que P(λ) =0. Aussitôt, pour toutzC:

P(z) =P(z)P(λ) = Xn k=0

ak zkλk

= Xn k=1

ak zkλk

= Xn k=1

ak(zλ)

k−1X

i=0

λki1zi= (zλ) X

0i<kn

akλki1zi

= (zλ) Xn−1

i=0

‚ n X

k=i+1

akλki1

Œ

zi= (zλ)Q(z) si on poseQ(z) = Xn−1

i=0

‚ n X

k=i+1

akλki1

Œ zi. La fonctionQainsi dénichée est bien polynomiale, c’est fini !

2 P

RODUITS

Nous passerons plus vite sur les produits que sur les sommes — c’est pareil ! Pour toute famille (zi)i∈I de nombres complexes indexée par un ensembleFINII, le produit de tous les nombreszi,idécrivantI, sera notéY

i∈I

zi. Cette fois-ci, parconvention des produits vides: Y

i∈

zi=1.

Exemple Pour toutαC: Yn k=m

α =

nm+1fois

z }| {

α×α×. . .×α = αnm+1.

(5)

Définition (Factorielle) Pour toutnN, on appellefactorielle noun factoriellel’entier : n!= Yn k=1

k=1×2×. . .×n.

Par convention : 0!=1. Relation de récurrence : Pour toutnN: n!=n×(n1)!.

Exemple nn = Yn k=1

n =

nfois

z }| {

n×n×. . .×n. Ne pas confondre avec : n! = Yn k=1

k = 1×2×3×. . .×n.

Exemple (n+2)!

n! = n!×(n+1)(n+2)

n! = (n+1)(n+2).

$ Attention ! (2n)!=1×2×3×. . .×(2n1)×(2n).

Rien à voir avec : 2×n!=2× 1×2×. . .×(n1)×n

, ni avec : 2n×n!=2×4×6×. . .×(2n2)×(2n).

Théorème (Simplification télescopique) Pour touszm, . . . ,zn+1C:

Yn

k=m

zk+1 zk = zn+1

zm .

Théorème (Permutation desQ

) Pour toute famille(zi j)1i,jnde nombres complexes : Y

i,jn

zi j= Yn

i=1

Yn j=1

zi j= Yn

j=1

Yn i=1

zi j, Y

ijn

zi j= Yn

j=1

Yj i=1

zi j= Yn

i=1

Yn j=i

zi j, Y

i<jn

zi j= Yn

j=2 j1

Y

i=1

zi j=

n1

Y

i=1

Yn j=i+1

zi j.

Exemple Y

1i,jn

i j2

= Yn

i=1

Yn j=1

i j2

12i×22i×. . .×n2i

=in× 1×2×. . .×n2

= Yn

i=1

in Yn

j=1

j

!2

= Yn

i=1

€ inn!2Š

1nn!2×2nn!2×. . .×nnn!2

= 1×2×. . .×nn

×(n!)2n

=

‚ n Y

i=1

i

Œn

(n!)2n= (n!)n×(n!)2n= (n!)3n.

3 C

OEFFICIENTS BINOMIAUX ET FORMULE DU BINÔME

Définition-théorème (Coefficients binomiaux) SoientnNetkZ.

Triangle de Pascal

n k 0 1 2 3 4 5 · · ·

0 1

1 1 1

2 1 2 1

3 1 3 3 1

4 1 4 6 4 1

5 1 5 10 10 5 1

bbb bbb b

b

b

On appelle (coefficient binomial)k parmi net on note

n k

‹

le nombre de parties de cardinalkde l’ensemble¹1,sinN— ou de l’ensemblesin=0.

— Évidemment :

n k

‹

=0 sik<0 ou sik>n.

— Si au contrairek¹0,:

n k

‹

= n!

k!(nk)!= n(n1)(n2). . .(nk+1)

k! .

En particulier :

n 0

‹

=1,

n 1

‹

=n et

n 2

‹

= n(n1)

2 .

Plus généralement,

n k

‹

est le nombre de parties de cardinalkde tout ensemble de cardinaln, pas forcément¹1,nº. Démonstration Faisons l’hypothèse quek¹0,et montrons que

n k

‹

= n!

k!(nk)!. Intéressons-nous pour cela aux familles dekéléments distincts de¹1,nº.

— Pour construire une famille quelconque(x1, . . . ,xk)dekéléments distincts de¹1,nº, on peut commencer par choisirx1(npossibilités), puisx2(n1 possibilités maintenant que x1est choisi), puis x3(plus que n2 possibilités). . . et enfin xk (nk+1 possibilités). Il existe ainsin(n1). . .(nk+1) = n!

(nk)!

familles dekéléments distincts de¹1,nº.

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