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Électrothérapie et radiographie à l'Hospice général de tours · BabordNum

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(1)

fSTSf-SDUStfJV o, :i o f>

FACULTÉ DE MÉDECINE k DE PHARMACIE DE BORDEAUX

N" 68

ANNÉE 1901-1902

à

l'Hospice général de Tours

THÈSE POUR LE DOCTORAT EN M

Présentée et soutenue publiquement le 14 Mars

PAR

Mme MAUREL, dit morel Née Brouillard,Blanche-Marie-Louise Née à Tours (Indre-et-Loire), le 20 Décembre 180

ANCIEN INTERNE LAUREAT DE LHOSPICE GENERAL DE TOURS

AIDE DE CLINIQUE DU DOCTEUR WOLFF

AU SERVICE D'ÉLECTROTHÉRAPIE DU MEME HOPITAL

EXAMINATEURS DE LA THÈSE :

MM. BERGONIÉ, professeur, président ARNOZAN, professeur,

|

PACHON,agrégé, < Juges MONGOUR, agrégé,

Le Candidat répondra aux questions qui lui seront faites surles diverses parties

de l'Enseignement médical.

TOURS

IMPRIMERIE E. ARRAULT ET Cie 6, Rue de la Préfecture, 6

1902

(2)

FACULTÉ

DE

MÉDECINE

ET DE PHARMACIE

DE BORDEAUX

M. de NABIAS Doyen. | M. PITRES

PROFESSEURS

Doyen honoraire.

MM. MICE DUPUY....

MOUSSOUS. \

Professeurshonoraires.

Clinique interne ^

Clinique externe

j

Pathologie etthérapeutique générales

Thérapeutique Médecine opératoire Clinique d'accouchements.

Anatomiepathologique...

Anatomie

Anatomie générale et his¬

tologie Physiologie Hygiène

MM.

PICOT.

PITRES.

DEMONS.

LANELONGUE

VERGEEY.

ARNOZAN.

MASSE.

LEFOUR.

COYNE.

CANNIEU.

VIAULT.

JOLYET.

LAYET.

AGRÉGÉS EN EXERCICE Médecine légale Physique médicale

Chimie

Histoire naturelle Pharmacie Matière médicale Médecineexpérimentale...

Cliniqueophtalmologique..

Clinique des maladies chi¬

rurgicales des enfants..

Cliniquegynécologique .. . Clinique médicale des ma¬

ladies des enfants Chimie biologique Physique pharmaceutique.

MM.

MORACHE.

BERGONIÉ.

BLAREZ.

GUILLAUD.

FIGUIER.

de NABI AS.

FERRE.

BADAL.

PIÉGHAUD.

BOURSIER.

A. MOUSSOUS.

DENIGÈS.

SIGALAS.

section de médecine (Pathologie interne et Médecine légale).

MM. SABRAZÈS.

Le DANTEC.

HOBBS.

MM. MONGOUR.

CABANNES.

section de chirurgie etaccouchements VILLAR.

Pathologie externe CIIAVANNAZ.

BRAQUEHAYE.

BÉGOUIN.

Accouchements..

Anatomie.

section dessciencesanatomiques etphysiologiques

^ MM. RENTES. | Physiologie

/ CAYALIÉ. I Histoire naturelle

section des sciencesphysiques Chimie M. BENECH. | Pharmacie

COURS COMPLÉMENTAIRES :

Cliniquedesmaladies cutanées etsyphilitiques

Clinique des maladies desvoies urinaires

Maladies du larynx, desoreilleset dunez Maladiesmentales

Pathologieexterne Pathologie interne Accouchements

Physiologie Embryologie Ophtalmologie

Hydrologie etminéralogie Pathologie exotique

Le Secrétaire de la Faculté .

FIEUX.

ANDÉRODIAS.

MM. PACHON.

BEILLE.

M. DUPOUY.

MM. DUBREUILH.

POUSSON.

MOURE.

RÉGIS.

DENUCÉ.

RONDOT.

FIEUX.

PACHON.

PRINCETEAU.

LAGRANGE.

CARLES.

LE DANTEC.

LEMAIRE.

Par délibération du 5août 1879, la Faculté aarrêtéqueles opinions émises dans les Thèses qui

sont présentées doivent être considérées comme propre; à leurs auteurs, et qu'elle n'entend leur

donner niapprobation niimprobation.

(3)

A LA MEMOIRE

DE MON PÈRE ET DE MON FILS MAURICE

A MA MERE

A MON FILS ROGER

A ceux quej'aime je dédie

ce modeste travail en gage demon affection.

(4)
(5)

A MON CHER ET EXCELLENT MAITRE

MONSIEUR LE DOCTEUR WOLFF

professeur de physique

a l'écolede médecine et de pharmacie de tours

A MON PRÉSIDENT DE THESE

MONSIEUR LE PROFESSEUR BERGONIÉ

ciief duserviceélectrothérapiquedes hôpitauxde bordeaux correspondant de l'academie demédecine

chevalier de la légion d'iionneur

A MONSIEUR PIC-PARIS

mairede lavilledetours chevalier de la légion d'honneur

Hommages respectueux

et reconnaissants.

1

(6)

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(7)

introduction

Lors dela réorganisation de

l'École

de médecine de Tours,

M. Liard, Directeur de

l'Enseignement

supérieur, venu pour

l'inauguration

des nouveaux bâtiments et laboratoires, expri¬

mait le désir de voir créer comme annexe de

l'important

éta¬

blissement

hospitalier

decettevilleunservice

d'électrothérapie

et de

radiographie.

M. ledocteurWolfT, professeurde

physique àl'École,

accepta

dese

charger

decette création.Nous faisionsalors nosétudesà l'Ecole de Tours ; nous avons eula satisfactiond'être attachée à ce service dès le débutetnous ne l'avons pas quitté

depuis

six années.

Ayant

suivi constamment lestravaux etles examens dema¬

lades envoyés à cette

clinique,

nous avons cru qu'il pourrait

être intéressant tout à la fois d'écrire l'histoire de ce service etde montrer lesrésultats

importants

quel'onyavait obtenus.

Qu'il nous soit permis tout d'abord, au début de cetravail,

de remerciernotrechef de service M. ledoccteurWolff.Ladette

dereconnaissancequenous

avonscontractéeenversluiestd'au¬

tant plus grande que,

depuis

bientôt septans qu'il nous a fait

legrand honneur de nous accepter d'abord comme interne, puis comme aide de

clinique,

il nous a

toujours

témoigné la plus grande

bienveillance;

c'est lui- qui nous a appris ce que

nous savons en

électrothérapie

; et, si nous avons pu mener à bience modeste travail, nous le devons à sonappui qui ne

nous ajamais fait défaut.

Nous souhaitons qu'il lui prouve combienson

enseignement

nous a été profitable pendant les trop courtes heures qu'il

(8)

8

nous a été donnéde passer avec

lui dans

son

service de l'hô¬

pital.

M. le docteur

Delagenière, professeur de clinique chirur¬

gicale,a

bien voulu

nous

communiquer les observations, com¬

plétéesau

point de

vue

opératoire de différents malades qu il

avait adressés àlaclinique et nous

donner quelques conseils

pour

la rédaction des parties plus spécialement chirurgicales

de notre thèse ; nous

apprécions vivement l'aide obligeante

qu'il

nous a

apportée.

Notre souvenir ému va aussivers nos

premiers maîtres de

l'École deTours, versceux

qui ont guidé

nos

débuts dans l'hô¬

pital, qui

nous

ont aidée de leurs conseils pendant nos années

d'externat etd'internat; nous les

prions d'agréer ici publique¬

mentnosremerciements lesplus

respectueux.

Nous tenons àrendre hommage à

la mémoire de

nos

chefs de

service, les docteurs

Duclos et Hippolyte Thomas.

Nous sommes heureuse

d'exprimer tout particulièrement

notrereconnaissance àM. le docteur

Meunier, dont

nousavons

eu la bonnefortuned'êtrel'interne

pendant deux années. Nous

aimons ànous

rappeler les précieuses leçons qu'il nous faisait,

chaque

matin, aulitdumalade, etc'esttoujoursavecuneémotion

bien réellequenous nous

souvenonsdu jour où, arrivée au terme

denos études,ilnous

fallut

nous

séparer d'un tel maître.

M. le

professeur Bergonié

nous a

fait le grand honneur d'ac¬

cepter

la présidence de notre thèse. Nous en sommes d'autant

plus

heureuse

que nous

espérons que cet éminent professeur,

dont la haute compétence

fait loi

en

électrothérapie, voudra

bien accepter

l'hommage de

ce

travail, pour lequel il nous a

donné de si

précieux conseils

;

qu'il reçoive ici, avec nos re¬

merciements, l'assurance

de notre profond respect !

ç?

(9)

HISTORIQUE

Le service d'Électrothérapie a reçu comme premier outil¬

lage :

Une pile de trente-deuxéléments au bisulfatedeHg; lecou¬

rantcontinu fourni par cette pile a étédistribué à trois postes; l'un d'eux seulementétaitcomplété par un

milli-ampèremètre apériodique

permettant de .mesurer l'intensité du courant et par un rhéostat du professeur

Bergonié

de petit modèle.

Un

interrupteur

à mouvement

d'horlogerie

permettait de transformer ce courant à chacun des trois postes en courant continu

rythmiquement interrompu

; chacun de ces postes

était séparé par un paravent.

Un appareil à chariotà trois bobines, à fds de divers dia¬

mètres, actionnépar piles aubichromate, servaitpour la fara-

disation.

L'électricité pour la franklinisation était fournie par une machineCarréet par unemachine de Wimshurst type Bonetti

mues àla main.

Pour la galvanocaustie une pile au bichromate de six élé¬

ments était utilisée.

Les débuts furent très modestes : les malades furent reçus dans une salle unique de 4o mètres carrés, qui contient

les instruments de

physique

dans lebâtiment qui lui est spé¬

cialementaffecté.

Les malades de cette première période furent : un névro¬

pathe souffrant de constipation et d'accidents nerveux con¬

sistant en vertiges etfaiblesse musculaire etin tellectuelle.

Il fut soumisà lafranklinisation

pendantplusieurs

semaines,

(10)

10

douches, effluves

et étincelles faites avec la boule métallique

surla

région abdominale gauche. Amélioration notable.

La constipation est

moins opiniâtre; souvent une selle se produit immédiatement après la séance, le sommeil est meil¬

leur, les forces

reviennent, et le malade, professeur au lycée,

peut faire

sa

classe plus facilement.

Safemme,atteinte

de cystocèle et de névralgies utérines, est

traitée avec succès par

la faradisation et part complètement

rétablie le 7

septembre 1896.

Un enfant de dix-neuf mois

avait, h la suite d'une polio¬

myélite dont le début remontait à six mois, une atrophie du

membre inférieurdroit; entréau

service le

21

mars 1896, il est

soumisaucourantcontinu

rythmiquementinterrompu d'abord,

puis

au

courant faradique, et sort guéri le 27 juin après la

vingt-sixième séance.

De nombreux malades nous

sont alors envoyés, tant par

les médecins chargés

des services de l'hôpital, que par les

médecins de la ville; nous

donnerons plus loin la statistique

générale des

cas

traités à cette époque.

En môme temps que

commençait à fonctionner ce service

d'électrothérapie,

était installé dans la même salle un appareil

radiographique composé de

:

une bobine de Rhumkorff de

25 centimètres d'étincelle avec

tremblcur à Hg de Foucault

actionnée par

des piles Fuller.

Nousétionsalorsau

lendemain de la découverte des

rayons

X,

et, toute

sommaire

que

fût cette organisation, elle nous permit

cependant de faire des radiographies et des radioscopies, et de

suivreles progrès que

la science faisait dans cette voie.

Enfin, au

commencement de novembre 1896 la Commission

administrative de

l'hospice général, devant les résultats obte¬

nus et se rendantbien compte

de l'avantage qu'il

y a

pour

unétablissement

hospitalier de l'importance de celui de Tours

à

posséder

un

service d'électrothérapie et de radiographie

fonctionnant

régulièrement, voyant,

en

outre, la difficulté

qu'ily

avait à traiter les malades des deux sexes dans cette

pièce

unique, mit le plus louable empressement à favori-

(11)

ser nos efforts en offrant un nouveau local dans

l'hôpital.

Celocal, situéaupremier étage du pavillon destiné à

l'hydro¬

thérapie,

a une superficie totale de 80 mètres carrés et se

compose : d'un immense vestibule, de 2 mètres de large, et s'étendantsur toute la

longueur

de l'appartement, qui sert de

salle d'attente, et donne accès dans quatre

pièces

ayant

cha¬

cune un cabinet.

De ces quatre pièces, deux, primitivement réservées pour

loger deux internes, furentpeu après laissées à la

disposition

du chef de service.

La situation de

l'appartement

au premier étage est défec¬

tueuse, car l'escalier assez étroitrend l'accès du service diffi¬

cile pour les malades qui 11e peuvent marcheret sont appor¬

tés sur des brancards; mais il n'existait pas d'autres salles

disponibles,

et l'on dut accepterce qui était offert.

Dans lapremière salle àgauche, qui servit enmôme temps

de laboratoire, on installa : la pile au bichromate de six élé¬

ments utilisée pour la galvanocaustie, lapile au bisulfate de Ilg,

l'interrupteur

automatique et le courant galvanique et

galvanique

rythmé qui, par un distributeur, fut envoyé à

volonté àtrois postes différents, permettant de traiterà la fois

trois malades.

Chacun de ces postes se compose d'une planchette fixée

contrele mur supportantun rhéostat duprofesseur

Bergonié

etd'un

milli-ampèremètre

apériodiqueavecshunt pouvant me¬

surer une intensité de200 M. A. et permettantde faire varier suivant le besoin et de mesurer l'intensité du courant em-

ployé.

Chacun de ces postes fonctionnant d'une manière auto¬

nome, le distributeur permet de traiter à volonté à chacun d'eux, soit par la

galvanisation,

soit par la galvanisation rythmée.

Le premier, habituellement réservé à

l'électro-diagnostic,

estmuni, en plus de l'installation ci-dessus décrite, d'un ren-

verseurde courant.

Le cabinet attenant à cette piècesert de cabinet noir pour

(12)

lp

photographie et contient les plaques

non

impressionnées

qui

sont

ainsi mises

en

dehors du champ des rayons X.

Ladeuxièmepièce à

gauche est réservée

pour

la gynécologie.

Elle contient un lit etun voltaire à

spéculum, les boîtes à pansements, les sondes et les différents accessoires néces¬

saires pour

effectuer à volonté la galvanocaustique et la fara-

disation. Comme source électrique on se sert

d'appareils

au bisulfate de Hg etau

bichromate déjà décrits.

L'appareil

pour

la faraffisation est installé dans la première

pièce à

droite. Un distributeur permet de l'appliquer à trois

postes

différents.

On fait usage pour ce

courant du chariot de Du Boys-Rey-

mond à trois bobines à fils de diamètres différente ; on l'ac¬

tionne avec des

piles

au

bichromate.

Cette pièce est

surtout destinée à la franklinisation, dont le

fonctionnement constant estassurépar une

machine de Wims-

liurst à plateaux

d'ébonite

avec

secteurs de om,4o cle dia¬

mètre ; une machine de

Wimshurst

type

Bonetti à plateaux

de verre sans secteurs de om,46 de diamètre ; une

machine

Carréde

grand modèle. La force motrice faisant défaut,

ces

machines sontmuesà la main.

Cette

partie du service est très pénible et forcément défec¬

tueuse.

D'abord elle nécessite la présence

parfois désagréable d'un

aide ; puis ces

machines

mues

à la main n'ont

pas un

rende¬

ment uniforme; deplus,

elles

ne sont pas

isolées et,

comme elles sont très sensibles aux variations atmosphériques, pen¬

dant la

période de brume et d'humidité, fréquente à Tours, il

a parfois été très

difficile d'obtenir

un

rendement suffisant

surtout pour

fonctionner pendant plusieurs heures.

Enfin, dans la quatrième et

dernière salle ont été installés

les appareils à

radiographie et radioscopie comprenant:

une

nouvelle bobine donnant om,26 d'étincelle et un interrupteur

à tige

verticale,

à

vitesse variable et à moteur électrique de

Ducretet. 11 est actionné par quatre

éléments Fuller

; un rhéostat métallique à curseur

intercalé

sur son

circuit permet

(13)

i3

d'enrégler la vitesse. Uncommutateurgenre Berlin, fixésurle socle de

l'interrupteur,

sert à ouvriret à fermerle courant qui

va auprimaire de la bobine et aussi à en renverser le sens.

Un supportpour tubes à pied lourd.

Des tubes de différents modèles.

Une table pour faire les

radiographies.

Unchâssis au

platinocyanure

de

baryum

5o/6o, un autre de

18/24; unejumellepermettant de suivreles variations d'éclai¬

ragede

l'ampoule

pendant la pose.

Un châssis pour la

radiographie

avec plaque de plomb et plaque d'aluminium; châssis remplacé dans bien des cas par la simple feuille de papier noir dit à aiguilles.

Un système de rideaux noirs permettant d'obtenir l'obscu¬

rité absolue qui est de

rigueur.

Comme source électrique on nedispose dans cette salleque de piles à deux liquides, ce qui est absolument défectueux à

causedu peu dedurée del'action, quipar cela même nécessite des manipulations

désagréables

pourles recharger trop sou¬

vent. Leur rendement est, en outre, inégal, et le

dégagement

des vapeurs d'acides pendantla marche est inévitable.

Malheureusementil n'a pas été possible d'userd'accumula¬

teursàcause de la difficultédu transportpourles faire rechar¬

ger, les usines étant très éloignées de

l'hôpital.

A ces appareilset dans la même pièce ont été ajoutés le résonateur du Dp Oudin et les instruments nécessaires pour certaines applications de haute fréquence.

Comme personnel pouraider le médecin dans sa

besogne,

il se résumeà une infirmière donnée par l'hôpital et

employée

à tourner les machines statiques.

Le plan inclus donneune idée assez complète de notre ins¬

tallation, devenue trop

exiguë

dans ces derniers temps, le

nombre des malades en 1900 ayant été en moyenne de vingt-

cinq

à trente à

chaque

séance.

Le service a fonctionnérégulièrementpour

l'électrothérapie

trois fois par semaine, de 1 heure à 5 heures du soir; et selon

les besoins pour la

radiographie

et la

radioscopie.

(14)

Les observationsdesmalades ont été rédigées avec

soin, et

les clichés

radiographiques enregistrés.

Noustenons àdirequecette

installation

a

été combinée dans

toutes ses

parties

par

notre excellent chef de service, M. le

professeur WollT, et réalisée

par

lui seul,

que

c'est grâce à son

dévouement et à son désintéressement que

de nombreux

ma¬

lades ont pu en

bénéficier, et

nous avons

été très heureuse de

lui aider dans cette tâche.

Cinq cent

cinquante-quatre malades ont été traités à la cli¬

nique,

deux

cent

vingt-deux recherches d'éléctro-diagnostic

ontété faites du ieravril 18g5au

3i juillet

1901,

cent vingt-six radiographies

ont

été prises, de nombreux

examens

à l'écran

ont été faits. Nous en donnerons ici la statistique

complète

;

nous parlerons peu

des

examens

radiographiques pratiqués,

ils se font

généralement

en

présence du médecin qui les

demande et

qui prend lui-même

avec nous

les renseignements qui lui sont nécessaires,

STATISTIQUE

D'ÉLECTROTIIÉRAPIE

AVRIL l8p5 A NOVEMBRE 1896.

Nombre desmalades entrés àla clinique, 58.

Classement par affection et par

ordre de fréquence

: Neurasthénie, 6 ;

Paralysie infantile, 5; Paralysie faciale, 2; Hémiplégie, il ;

Paralysie infectieuse, 3; Névralgies, \ ;

Impotences etatrophies

traumatiques, 3

; Maladies des oreilles, î ;

Affections utérines, 5;

Épilepsie,

î ; Eczéma, 2 ;

Recherches d'éléctro-diagnostic, i5.

Parmi ces malades, certains sont

hospitalisés, d'autres sont

adressés à la clinique par

des médecins de la ville, soit

avec

(15)

un

diagnostic

ferme pour être traités dans le service, soit

dans le but d'obtenir un

électro-diagnostic

qui permettra

d'affirmerun

diagnostic

indécis et

d'indiquer

enmême temps

quel

pourra être le pronostic dans des cas douteux.

Ces recherches délicates, qui nécessitentunecertaine habi¬

leté, ainsi que lestraitements difficiles sont toujours faits, soit

parle chef de service, soit, en sa présence, par l'aide de cli¬

nique,et une note détaillée desrésultats del'examen estdonnée

au médecin traitant.

Il en est de même pour les épreuves

radiographiques,

qui

toutes sont

repérées

et numérotées surle cliché.

STATISTIQUE D'ÉLECTROTHÉRAPIE

DU 1erNOVEMBRE 1896AU 3l JUILLET ÎQOI.

Nombre des maladesadmis pendantces quatre années, 718.

Classement par affectionet par ordre de fréquence: Impotence etatrophies traumatiques, 45;

Goitre exophtalmique, 2 ; Affections du larynx, 12 ; Maladies des oreilles, 16;

Cyanose des extrémités, 1 ; Adénites chroniques, 8;

Tumeur adénoïde du cou et de la région parotidienne, 2 ;

Hémiplégie, 78;

Paralysiefacialepériphérique, 17 ;

Paralysie infantile, 23 ;

Chorée, 3;

Hystérie, 22 ;

Atrophie musculaire progressive, 3 ; Paralysies toxiques, 9 ;

Ataxie, 6;

Rhumatisme, 38 ;

Paralysie agitante, 1 ;

Fissure sphinctéralgique ethémorrhoïdes(haute fréquence), 3 ; Névrites périphériques d'origine traumatique, 11 ;

Dermatoses, 19;

Spasme de l'œsophage, 1 ; Maladies del'estomac, 14;

(16)

Occlusion intestinale, 1 ;

Névralgies, 3o; Névrites, 16;

Maladies diverses des veux, 10 ;

Constipation, 36;

Incontinence d'urine, 17 ;

Hypertrophie de la prostate, i3 ; Affections utérines, 39;

Paralysies infectieuses, 10 ;

Poliomyélite antérieure, 4; Polynévrite spontanée, 1 ;

Recherches d'électro-diagnostic, 207.

STATISTIQUE DES RADIOGRAPHIES

Affections de la tête et du tronc;

Crâne: balle de revolverdans le crâne, 3 ; Face: balle logée dans la face, 2 ;

Œsophage d'enfant contenantun sou, 1 ; Affections du membre supérieur :

Doigt et main : fracture d'une phalange, 3

Fracturedu troisième métacarpien, 1 ; Ostéitedes métacarpiens, 3;

Mains contenant des corps étrangers, i5 ; Mains atteintes d'arthrite tuberculeuse, 2 ; Mainsatteintes de rhumatisme déformant, 4; Mains mutiléespar suitede traumatismes, 5; Malformations de la main, 2 ;

Polydactylie, 2 ;

Anévrysme à la suite d'un traumatisme, 1 ; Mains etavant-bras: lésionspar coup de feu, 45 Fractures de l'extrémité inférieure du radius, 5;

Fracture de l'extrémité inférieure du radius et de l'apophyse styloïde du cubitus, 1 ;

Tuberculose des osdupoignet, 3 ;

Fracture du tiers inférieur des deux os del'avant-bras, 2 ;

Ostéomyélitedu cubitus, 1 ;

Ostéite du cubitus, 1 ;

Fracture non réduite de l'extrémité inférieure du cubitus bras droit, 1 ;

Fracture del'extrémité supérieure du radius, 1 ;

(17)

17 ~

Ostéite tuberculeuse, 1 ; Luxation du coude, 1 ;

Fracture du condyle huméral, 3;

Fracture de l'extrémité inférieure de l'humérus, 5 ; Fracture de la diaphyse humérale, 2 ;

Ostéite de l'humérus, î ;

Epaule : lésions osseuses, 3;

Affections du membre inférieur :

Orteilsetpied: ongle incarnégros orteilgauche, î ; Pied écrasé par poids de4oo kilogrammes, î ; Pied : troubles trôphiques chezun tabétique, î ; Ostéite du premier métatarsien, 45

Pied gauche, arthrite syphilitique, î ; Fracture des métatarsiens, 2 ;

Pied-bot congénital,2 ; Pied d'un enfant, ostéite, î ; Balle Flobert dans le pied droit, î ;

Arthritetibio-tarsienne, î ; Pied avecgrains de plomb, î ;

Périostite tuberculeusedu deuxième métatarsien, 2 ; Jambe: fracture du tibia, 2 ;

Fracture du péroné, 3;

Ostéite tuberculeusedu tibia, 3; Balle de revolverdans lajambe, 2 ;

Ostéomyélite du tibia, 1 ;

Ostéo-arthritedu genou, ;

Cuisse: fracture ancienne du fémur,3; Fracture de l'extrémitéinférieure dufémur, 2 ; Bassin d'enfant, 3;

Bassin d'adulte, 9.

Cette

simple statistique

est établie pour donner une idée d'ensemble du travail effectué à la clinique.

Nous ne saurions exposer ici in extenso chacune des affec¬

tions que nousy avons citées, ni indiquer les méthodes diffé¬

rentesemployées pour leur traitement.

Nous nous contenterons de nous appesantir sur quelques observations qui nous ont semblé intéressantes en ce sens qu'ellesmontrent la valeur

thérapeutique

de

l'électrothérapie lorsque

cetteméthodeest appliquée avectoutesles précautions

nécessaires au succès du traitement.

(18)

18

Pour faciliterl'exposé

de

notre

étude,

nous

la diviserons

en

trois classes.

Dans la

première

nous

traiterons l'électrothérapie appli¬

quée :

Aux maladies nerveuses,

poliomyélite, polynévrite, atrophie

musculaire

progressive

;

Aux affections

gynécologiques

; Aux dermatoses.

Dans la deuxième nous exposerons ce que nous avons pu faire en

radiographie, malgré la défectuosité de notre

source

électrique

; nous

reproduirons quelques épreuves radiogra- phiques telles qu'elles ont été obtenues dans le service, épreuves qui

ont

permis

au

chirurgien traitant d'établir des diagnostics positifs dans des lésions

osseuses

diverses

:

Fracture non réduite consolidée en

position vicieuse

;

a0 Lésion

syphilitique.

Nous mettrons en regard

de chacune d'elles les observa¬

tions.

Danslatroisième nous

parlerons de la radioscopie. Ne

nous arrêtant pas aux

services qu'elle

nous

rend

pour

l'exécution

de nos

radiographies,

nous exposerons

in extenso l'observation

iu d'une lésion osseuse acquise à la suite

de traumatisme

; d'un corps étranger

des voies urinaires.

Ces observations, recueillies dans le service de M. le

profes¬

seur

Delagenière,

sont

suffisamment concluantes

pour

montrer

une fois de plus

de quel intérêt

cet examen peut être pour éclairer la religion

du chirurgien

et

localiser

par

cela

même

son intervention.

OBSERVATION

Prise à la clinique électrothérapique du professeur Wolfh

P... Albert, employé de commerce,âgéde25ans, habitant Tours

il est né, est entré à Thospice général, salle 12 6zs, le 6 dé¬

cembre 1898» ,

(19)

19

Antécédents héréditaires: Pèremort à58 ans d'une tumeur rec¬

tale ; mère vivante, a euà 55 ans uneviolente gastrorrhagie avec mélsenà; l'état générala fait présumer un cancer du pylore, elle

est, en outre, arthritique; une sœur, assez délicate des bronches,

estmariée etmère d'une fdlette de huitans.

Antécédents personnels : Une pneumonie à quatre ans, lacoque¬

luche àsixans, lafièvre typhoïde à neuf ans.

Service militaire pendantun an sansajournement, sansincidents.

Pas de syphilis, pasde blennorrhagie, pas d'alcoolisme.

Abus de l'usage delabicyclette,courses quelquefoistrèslongues

sans entraînement suffisant. Cependant depuis août 1897 P... avait presque complètementcessé de monter à bicyclette.

Histoire de la maladie: Il a été soigné chez lui depuis lemois de septembre pour les accidents suivants:

Le 24 septembre, versminuit, après unejournéede travailassez

pénible, il avait dû manipuler de grosses pièces de toile, il fut pris

d'unehémoptysie accompagnée de fièvre violente et de céphalalgie

surtout du côtégauche.

Il a continué à cracher le sang età avoir de l'élévation de tempé¬

rature pendantquinze jourset est resté six semaines chez lui entrai¬

tement pour ses poumons.

Dans les premiers jours de novembre il a commencé à faire quelques courtes promenades.

Enrentrant de la quatrième, il a constaté qu'il éprouvait une certaine difficulté à soulever le pied droit, qui semblait ne pas pou¬

voir quitter le sol ; le lendemain il observe les mêmes phénomènes

pour le pied gauche; huit jours après environ, la main droite devient impotente: la cuiller glisse des doigts, et enfin la main gauche est prise à son tour. Au commencement du mois de décembre 1898 le malade ne marche plus que très difficilement.

Ila beaucoup de peine à enlever les pieds du sol, il ne peut

resteren équilibre, mais iln'a pas d'incoordination dans les mou¬

vements, il a du steppage et dupiétinement sur place.

Du côté des membres supérieurs, les mains ne peuvent plus

saisir les objets d'unvolumeunpeurestreint, etrapidement l'impo-

tènce devientgénérale.

Pendantplusieurs jours le médecin qui traite P... chez lui, lui

faitdes séances defaradisation, qui sont très douloureuses et mal supportées.

L'états'aggravant avec rapidité le malade estadressé à la cli¬

nique d'électrothérapie.

Nous conseillons l'entrée àl'hôpital qui est décidée sur-le-champ

(20)

20

et sefait le6 décembre 1898à la salle 12 bis. P...

vient

au

service

le 10 du mêmemois.

Al'examencomplet du maladeon constate

les lésions suivantes

:

Il y a de l'impotence

absolue. On observe

une

paralysie flasque

des quatremembres sans contracture ;

c'est

un

homme bien char¬

penté, mais

considérablement amaigri. Les muscles de la face sont

peu touchésdans leur

ensemble. Il n'en est

pas

de même de ceux

des membres inférieurs et supérieurs, qui sont

particulièrement

atteints. En effet, on constateune atrophie très accentuée

localisée

principalement aux

fléchisseurs des membres inférieurs et

aux

extenseurs des membressupérieurs.

Lesjambes et les cuisses sont

inertes

;

la locomotion est abolie,

le malade doitêtre apportésur un

brancard.

Les mains nepeuventpas être tenues

dans le prolongement de

l'avant-bras, elles retombent en flexion; le malade ne peut

s'en

aider, on est obligé del'habiller, de le faire manger.

Les réflexes tendineux et cutanés sont abolis, sauf le réflexe patellaire qui,

bien

que très

amoindri, subsiste

un peu.

Le maladen'ajamais éprouvé aucune

douleur

nerveuse

périphé¬

rique ; l'exploration et

la percussion de la colonne vertébrale sont

également indolores.

La sensibilité à ladouleuretlasensibilitéthermiquesontintactes.

Lessphincters sont indemnes.

Pas detroubles psychiques, pas de

troubles trophiques cutanés.

Pas de troubles digestifs, rien du côté du foie;

appareil circula¬

toire en bon état; rien du côté du rein, urines normales.

Anorexie; manque de sommeil.

Toux le matin seulement.

A l'inspection du thoraxon trouve:

Une atrophie musculaire généralisée ; une

dépression

sous- claviculairetrès marquée à gauche.

A la palpation:

Une augmentation légère des

vibrations.

A la percussion:

Une submatité ausommetgauche.

A l'auscultation:

Auxdeux sommets une expiration rude et prolongée se faisant

en deux temps, quelques craquements àgauche.

Râles sibilants dansl'aisselle gauche.

Le larynx est douloureux au toucher; dans l'arrière-gorge on voitune rougeurdiffuse et des granulations. La voix est éteinte,

le

soir lemaladene peutplusparler.

ter*'

(21)

En dehors des lésionsnerveuses, P...présente donc des lésions tuberculeuses de l'appareil respiratoire et de barrière-gorge.

Pour compléter, au point de vue du systèmenerveuxet muscu¬

laire, les donnéesde la clinique, nous avons procédé à un examen

électrique.

Réactions. Faradisation. Diminution générale de l'excitabilité des nerfs et des muscles, plus marquée à gauche qu'à droite, tant pour les bras que pourlesjambes; 2MA de différence.

Galvanisation.Lasecoussede fermetureavecl'anodeactive est

égale à la secousse de fermeture avec la cathode, 3 MA pour le

bras gauche; pour le bras droit on obtient les mêmes résultats

avec 1 MA 5. Pour les jambes les secousses d'ouverture et de fermeture sont égales avec la cathode active.

En somme il y a modification dans les réactions électriques; les

contractions seproduisent aussi avec plus de lenteur, mais il n'y

a pas de DR complète.

D'après ce qui

précède,

ilrésulte que les lésions présentées

par ce malade sont très complexes.

S'agit-il d'une atrophie musculaire progressive type Aran

Duchenne? Nous 11e le croyons pas, en raison de la marche de cette maladie qui débute par l'atrophie des muscles de la main et, dans la main, par le courtabducteurdu pouce; puis,

gagne progressivement donnant à la main trois types diffé¬

rents, attaquant les avant-bras et n'amenantl'impotence fonc¬

tionnelle que par suite decette atrophie.

Donnant encore des secousses fibrillaircs, mais dont l'en¬

semble ne reproduitpas les symptômes observés ici.

Est-ceune myopathie progressive primitive? Les maladies qui rentrent dans cette classe type,

pseudo-hypertrophique,

Charcot, Duchenne ; type

Landouzy

Déjerine; type

Leyden

Mœbius ; type Erb ; type Zimmerlin ont pour caractères : une altération primitive de la cellule musculaire sans lésion de la moelle et des nerfs.

Elles sont familiales.

Débutent ordinairementdansl'enfanceouà lapuberté.

Pas de contractions fibrillaires.

Pas de D. R.

Doncaucune ressemblance avec l'affection de P...

(22)

On a dans ces dernières années décrit

des formes

anor¬

males de

myopathies, dans lesquelles

se

rencontrent mêlés

des caractères

dépendant ordinairement de l'une

ou

de l'autre

des deux

grandes classes

:

myopathies d'origine myélique,

myopathies primitives

; nous

faisons allusion à l'atrophie du

type

Charcot-Marie.

Celle-là débute bien par

les pieds, les jambes

:

respecte la

face, le tronc; mais elle est

nettement héréditaire, s'accom¬

pagne

de contractions fîbrillaires, de troubles vaso-moteurs.

Nous ne trouvons pas

cela chez notre malade.

Quant à la

polynévrite, si

nous

rapprochons l'ensemble des

symptômes

observés ici de

ceux que

l'on

en

donne dans nos

classiques, nous ne nous y

arrêterons

pas.

En effet, nous trouvons chez notre

malade

comme

étiolo-

gie,

indépendamment de la bacillose, excès de la bicyclette.

Etatfébrile avectempérature à

4o°,5.

Céphalalgie.

Comme symptômes,

affaiblissement et progressivement

abolition des mouvements volontaires commençant par

les

membres inférieurs avec

prédominances du côté gauche. Fai¬

blessemarquée des

fléchisseurs des membres inférieurs et des

extenseurs des membres

supérieurs.

En même temps

atrophie

en masse

des muscles paralysés.

Réflexes cutanés et tendineux abolis.

Pas de troubles des

sphincters ni de troubles trophiques

cutanés.

Cet ensemble se rapporte

bien

à

la description classique à

l'heure actuelle de la paralysie

générale spinale de Duchenne

de Boulogne,

forme de poliomyélite aujourd'hui acceptée

dans la classe desatrophies

myélopathiques.

Le traitement institué est le suivant : courant continu ap¬

pliqué aux quatre

membres

;

à la

nuque

l'électrode indiffé¬

rente de2/|o c2 est

reliée

au

pôle positif

;

l'électrode active

reliée au pôle

négatif est labile. Intensité

7

M. A. Durée

10 minutes pour

chaque membre, trois séances

par

semaine.

Trois semaines après

le début du traitement,

au

courant

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