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Pour optimiser les ressources Fiche Conseil internes et bien gérer les traitements

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Academic year: 2022

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COMPTEZ SUR VOTRE ALIMENTATION POUR AUGMENTER VOS CAPACITES DE DEFENSE ET DE RESISTANCE

Le traitement médical et/ou chirurgical est un élément majeur de votre guérison mais il faut également compter sur vos propres capacités de résistance et de défense. Pour cela, il faut avant tout éviter de mal manger ou de manger moins ; ceci risque de vous faire maigrir voire de vous dénutrir. En vous affaiblissant, vous risquez également de moins bien supporter l’épreuve des divers traitements. Dans cette Fiche, vous trouverez donc les conseils nécessaires au maintien d’apports alimentaires suffisants et des conseils adaptés à tous les petits problèmes que vous pouvez rencontrer lors de vos traitements.

QUELQUES CONSEILS POUR PREVENIR LE RISQUE DE DENUTRITION

Pour cela, il faut évidemment manger plus et mieux, en sélectionnant les aliments qui sont les plus importants pour préserver la masse musculaire, les défenses immunitaires et le tonus en général.

Préservez les aliments riches en protéines pour lutter contre la perte de masse musculaire : viandes, poissons, œufs, produits laitiers

Augmentez la consommation de légumes et de fruits, riches en vitamines et anti-oxydants, pour la vitalité et mieux lutter contre le stress oxydatif.

Maintenez un certain niveau d’apport énergétique quotidien, pour éviter de maigrir. Chaque jour une femme a besoin de 2000 Kcal et un homme d’environ 2500 Kcal. Il faut donc manger suffisamment, varié et préserver la consommation de pain, de féculents, de certaines matières grasses et de quelques produits sucrés (surtout pour le plaisir).

Augmentez votre consommation d’aliments riches en oméga 3, car ils ont des vertus antiinflammatoires et sont utiles pour mieux résister : pensez à manger souvent des poissons gras (saumon, sardine, maquereau, hareng) et à utiliser l’huile de colza pour vos vinaigrettes.

Fractionnez votre alimentation tout au long de la journée : un petit-déjeuner, une collation dans la matinée, un déjeuner, un goûter, un dîner et une collation avant le coucher par exemple.

Donnez du goût et de la couleur à vos repas en utilisant les herbes et les épices, en soignant la présentation des plats, en variant les saveurs.

Pensez à enrichir les différents plats, notamment en aliments et ingrédients riches en protéines (poudre de lait, jambon, œuf …) mais aussi en crème fraîche, fromage fondu …

En cas d’apparition des premiers signes de dénutrition, votre professionnel de santé pourra vous conseiller des produits de supplémentation que l’on trouve en pharmacie tels que des crèmes, des potages, des plats mixés, des boissons … qui sont enrichis en protéines et/ou en énergie.

VOS REPERES ET ASTUCES POUR CONSERVER UNE ALIMENTATION ADAPTEE

Certes, tous ces conseils sont importants à mettre en pratique, mais si votre appétit a baissé, ce n’est pas toujours facile. Alors, voici des conseils sur les différentes familles d’aliments et les repas.

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 Les viandes, poissons et œufs : à chaque repas si possible

Vous aimez de moins en moins la viande rouge… Ce n’est pas un problème, vous pouvez la remplacer par de la viande blanche (veau, porc, volaille…). Si la viande ne vous convient décidément plus, mangez du poisson et des œufs, ils la remplaceront avantageusement.

Vous préférez le poisson… Il est également riche en protéines et apporte aussi du fer, des vitamines et des oligoéléments. À consommer sans modération y compris les poissons gras (saumon, maquereau, hareng, sardines) qui apportent des oméga 3, très utiles pour vous.

Mangez aussi des fruits de mer car ils sont riches en Iode et en zinc, deux éléments importants pour les défenses immunitaires. Le crabe et les crustacés sont riches en protéines ; les huîtres sont très riches en zinc.

Vous digérez mal la charcuterie… C’est normal car avec les traitements vous supportez de moins en moins les excès de graisses. Mangez ce qui vous plaît et sachez que de toutes les charcuteries, le jambon reste une valeur sûre.

Si vous aimez le foie, continuez ! C’est un aliment formidable, riche en protéines, pauvre en graisses, très riche en fer et en de nombreuses vitamines. N’hésitez donc pas à cuisiner du foie avec une bonne purée de pomme de terre !

Vous hésitez à manger des œufs car vous craignez d’augmenter votre taux de cholestérol. Manger des œufs ne modifie pas le taux de cholestérol quand il est normal. Ce serait particulièrement dommage de vous priver d’œufs car ils contiennent des remarquables protéines, du fer et des vitamines... Ils vous seront très utiles pour enrichir vos plats en protéines car faciles à intégrer dans des préparations comme les flans, les soufflés, la crème anglaise, les purées, les potages.

En pratique :

Si vous aimez tout : chaque jour mangez 2 fois et au choix de la viande, du poisson, des œufs et autres (fruits de mer, abats). Par exemple, sur la semaine (soit 14 repas principaux) 4 à 5 fois de la viande rouge comme le bœuf, l’agneau, 4 à 5 fois de la viande blanche comme le veau, le porc dont le jambon, 2 à 3 fois du poisson, 2 à 3 fois les œufs…

Si vous mangez très peu de viande : remplacez-la par du jambon, du poisson, des œufs, des fruits de mer (crabe, crevettes, huîtres, moules…).

 Les produits laitiers : au moins 3 fois par jour

Indispensables pour leur apport en calcium, ils sont aussi une très bonne source de protéines et de vitamines du groupe B. Dans l’idéal, ils seront présents à chaque repas, sous différentes formes : lait (nature ou dans des recettes), yaourts variés (nature, aux fruits, au lait entier), fromage blanc, petits-suisses, fromages sans restriction. Prenez des entremets et des laitages en dessert et entre les repas (crème caramel, crème anglaise, oeufs au lait, flan…).

En pratique :

Si vous aimez les laitages : répartissez vos 3 produits laitiers par jour comme bon vous semble : du lait le matin, un yaourt à midi et du fromage le soir

- un yaourt le matin, du fromage à midi, du fromage blanc le soir – un yaourt le matin, des œufs au lait à midi, un plat au gratin le soir…

Si vous n’aimez pas les laitages : pensez à les introduire dans des recettes que vous aimez ou découvrez : flans salés, flans sucrés, crèmes renversées, gâteau au yaourt …

Les fruits et légumes : votre source de vitamines et d’anti-oxydants !

Riches en vitamines, en minéraux, en fibres et en anti-oxydants, ils sont indispensables à l’optimisation de vos capacités de résistance. Mangez-en le plus souvent possible (idéalement 5 fois par jour) en sélectionnant ceux qui vous plaisent et que vous digérez le mieux.

Quant aux fruits, mangez en 2 à 3 par jour en choisissant le plus souvent possible des fruits riches en vitamine C (orange, pamplemousse, fruits exotiques comme le kiwi, la mangue, la papaye, la goyave, les fruits de la passion). À consommer crus, en compote, en jus, en salade…N’hésitez pas à vous faire des grands jus de fruits pressés, gorgés de vitamines, surtout si vous avez peu d’appétit.

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Pensez aussi à ajouter à vos plats des herbes aromatiques et des épices pour les rendre encore plus savoureux mais aussi pour les enrichir en anti-oxydants car on sait qu’ils en sont riches : cannelle, gingembre, curry, paprika, cumin …

En pratique : les fruits et légumes sur une journée…

Au petit-déjeuner : Une clémentine, une orange, ou un kiwi... ou un grand verre de jus d’agrumes ou jus de fruits exotiques de préférence. Au déjeuner : Une entrée de crudités, un plat avec éventuellement des légumes (sinon ce sera le soir), un fruit en dessert. Au dîner : Un potage, des crudités et des légumes en plat si vous n’en avez pas mangé au déjeuner, un fruit en dessert.

Les féculents et produits céréaliers : votre source d’énergie

Ils vous donnent des forces pour mieux affronter l’épreuve que vous traversez. Chaque jour, la moitié de ces calories doit être fournie par les glucides présents dans le pain et les féculents. Essayez d’en manger à tous les repas, pour arriver globalement à près d’une baguette de pain par jour et un plat de féculents.

Le pain et analogues : à répartir sur tous les repas et en variant entre le pain blanc, le pain complet, le pain aux céréales, le pain de mie, les biscottes, la brioche, les céréales de petit-déjeuner…

Le plat de féculents quotidien : il peut s’agir de pâtes, de riz, de semoule, de pommes de terre, de légumes secs (lentilles, haricots blancs ou rouges, flageolets, pois cassés, fèves…).

En pratique : ¼ de baguette le matin au petit déjeuner, et répartir les ¾ restants aux deux repas principaux et dans l’après-midi. Privilégiez les féculents au déjeuner car c’est le repas qui doit être le plus calorique.

Si vous avez peu d’appétit et que vous saturez vite, enrichissez le plus possible votre assiette : gratinez vos pâtes ou votre riz, ajoutez de la sauce tomate, rajoutez un jaune d’œuf dans votre purée…

Matières grasses : pour le plaisir mais aussi la santé !

Si vous manquez d’appétit, surtout ne faites pas de restriction sur les matières grasses. Elles vous apporteront des calories et du plaisir car, on le sait, sans un minimum de matières grasses il n’y a pas de saveur. Donc ajoutez à vos plats, un peu de beurre, de crème fraîche.

Choisissez les huiles les plus intéressantes : L’huile d’olive pour ses bons oméga 9, l’huile de colza, de soja ou de noix pour leurs bons oméga 3. Les oméga 3 sont très importants pour vous.

En pratique :

Cuisinez le plus souvent à l’huile d’olive (cuissons) et utilisez l’huile de colza (ou de noix) pour vos vinaigrettes. Au total, consommez 2 à 3 cuillères à soupe d’huiles par jour, à répartir entre les cuissons et les vinaigrettes.

Sucre et produits sucrés : pour le plaisir

Pas de restriction ! Une dimension plaisir à exploiter pour garder ou redonner le goût de manger.

Une cuillerée de confiture ou de miel dans un yaourt ou un fromage blanc, une boule de glace en dessert ou l’aprèsmidi, un carré de chocolat de temps à autre… autant d’occasions de stimuler l’appétit et de vous faire plaisir.

A prendre au dessert et entre les repas.

Boissons : au moins 1 litre d’eau par jour, à compléter par d’autres boissons …

Il est important de boire suffisamment, non seulement pour maintenir un bon niveau d’hydratation vital mais aussi pour bien éliminer les produits de dégradation produits par la chimiothérapie.

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Prenez l’habitude de boire avant d’avoir soif, tout au long de la journée pour atteindre l’objectif d’1,5 L de boisson par jour minimum.

Luttez contre la monotonie en diversifiant votre consommation : eau, jus de fruits, lait, un soupçon de sirop, sodas, thé et café légers, potages…

En pratique : Chaque gorgée est bonne à prendre ! Sur la journée, idéalement il faudrait boire environ 8 verres dont la majorité sous forme d’eau. Pensez à boire un verre d’eau dès le matin puis continuez de boire régulièrement tout au long de la journée. Ayez toujours une bouteille à disposition.

Les produits de supplémentation orale : le plus nutritionnel quand votre alimentation ne suffit plus Si malgré vos efforts, vous avez du mal à couvrir vos besoins nutritionnels uniquement par votre alimentation, il peut être utile d’envisager de prendre des produits de supplémentation orale.

Ils sont vendus en pharmacie, remboursés par la sécurité sociale

Ils existent en salé, en sucré, en liquide, en crèmes, en potages…. Différentes marques existent : Novartis, Nutricia, Nestlé, Frésenius …

Ils vous apportent 200 à 300 Kcal supplémentaires par unité de consommation, ainsi que des protéines (10 à 30 g par unité), des vitamines, des minéraux.

En pratique : Essayez de consommer 1 à 2 produits de supplémentation orale par jour.

Attention, ils sont très satiétogènes et pourraient vous couper l’appétit pour le repas suivant. Donc, prenez-les en matinée avant 10h30 ou dans l’après-midi avant 16 heures voire après le dîner.

VOS PROBLEMES AU QUOTIDIEN

Par ailleurs, tous les traitements sont fatigants et entraînent des effets secondaires qui sont, pour la plupart, des troubles digestifs, des nausées et une baisse d’appétit. Tout cela peut aggraver l’amaigrissement et augmenter le risque de dénutrition. C’est donc un cercle vicieux qu’il faut rompre.

Vous avez souvent des nausées

Prenez des liquides frais : eau, thé frais, soda…

La menthe est connue pour ses effets antinauséeux : sucez des pastilles de menthe, buvez du thé à la menthe…

Évitez les recettes et aliments gras car ils augmentent les risques de nausées.

Fragmentez votre alimentation en faisant 5 à 6 petits repas légers.

Votre goût à changé

Le sucré ne paraît plus aussi sucré (ou au contraire), l’amer semble au contraire trop amer, certains aliments vous dégoûtent (comme la viande rouge). Pas de panique, ce ne sont que des situations transitoires auxquelles il faudra vous adapter pour maintenir un bon état nutritionnel.

Adaptez-vous à vos nouveaux goûts : Sucrez moins, sucrez plus, salez moins, salez plus… l’essentiel étant que vous mangiez avec plaisir.

Si la viande rouge vous dégoûte, remplacez- la part de la viande blanche (veau, porc, volailles, jambon), du poisson et des œufs.

Si vous êtes facilement écoeuré(e) par les odeurs : préparez-vous souvent des plats froids comme les salades composées avec des légumes variés (maïs, endives, betteraves, tomates, concombre, thon, œufs, dès de fromage, poulet, jambon…).

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Vous avez des problèmes de bouche (bouche sèche, aphtes ou irritations…)

Concernant la bouche sèche : c’est une complication systématique de la radiothérapie de la gorge et du cou car elle atteint les glandes salivaires et provoque donc une sensation permanente de bouche sèche, par manque de salive : buvez souvent, sucez des glaçons, apprenez à respirer par le nez, brossez-vous les dents après chaque repas avec un dentifrice fluoré car le risque de gingivite et de caries est élevé.

Concernant les aphtes et les candidoses buccales : ce sont des complications fréquentes de la chimiothérapie et de la radiothérapie, d’une part en raison de la fragilisation des gencives et d’autre part en lien avec la fragilisation des défenses immunitaires locales. Donc, faites-vous des bains de bouche avec des solutions adaptées, après chaque repas et avant de vous coucher – brossez-vous les dents avec une brosse à dents souple - évitez les aliments irritants comme les épices, le vinaigre, le jus de citron, l’alcool.

Vous ressentez des douleurs en avalant les aliments

Privilégiez les plats en purées et de texture molle, voire liquide. Donc, en plus des boissons, cuisinez des plats comme les purées de pomme de terre et de légumes enrichies avec du jaune d’œuf – faites des crèmes dessert avec des œufs et du lait comme les crèmes renversées, les œufs au lait, les crèmes caramel, la semoule au lait – mangez les laitages comme les yaourts, les fromages blancs, les petits suisses – buvez des potages enrichis avec de la crème fraîche et des petites pâtes – préparez diverses recettes d’omelettes …

Évitez les plats très chauds : mangez plutôt tiède pour les plats principaux, voire bien froid pour les desserts.

Évitez surtout les aliments potentiellement agressifs par leur texture (biscottes, croûtes de pain).

Évitez le vinaigre, le jus de citron, les épices comme le piment et le poivre

Pas de boissons alcoolisées bien évidemment car elles ont un effet toxique direct sur les muqueuses digestives.

Vous souffrez de troubles digestifs

La radiothérapie abdominale, la chimiothérapie, ou la chirurgie du côlon peuvent entraîner des troubles digestifs, dont les plus fréquents sont les diarrhées. Dans ce cas, il faut adapter votre alimentation pour pallier à cette situation désagréable mais transitoire.

Au début, pendant 2 à 3 jours :

Éliminez les aliments riches en fibres : aucune crudité, pas de légumes cuits sauf les carottes cuites, pas de légumes secs, pas de pain complet, pas de céréales de petits-déjeuners, pas de fruits crus sauf la banane, évitez les fruits cuits.

Éliminez seulement le lait et conservez les autres laitages.

Vous pouvez consommer : viandes, poissons, œufs, riz, pâtes, semoule, purée, carottes cuites, banane, pain, biscottes, yaourts, fromage, gelée, miel, chocolat…

Buvez beaucoup pour compenser les pertes : eau, thé léger, tisanes, bouillons de légumes (et non pas du potage, riche en fibres), jus de fruits (mais pas de smoothies, riches en fibres), et sodas.

En pratique :

Au petit-déjeuner: un yaourt avec de la gelée de groseilles, des biscottes beurrées et un verre de jus de fruit - En matinée : une banane – Au déjeuner : du jambon et des pâtes (ou du riz), un yaourt – Au goûter : une banane – Au dîner : une omelette au jambon avec de la purée de carottes et un yaourt.

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Les 3 jours suivants, quand le transit est meilleur :

Ce que vous pouvez ajouter : des fruits cuits (compotes, fruits au sirop) ou des fruits très mûrs (tendres et sans la peau) comme la poire, pomme, pêche… des légumes cuits (tendres et sans la peau) comme les pointes d’asperge, la betterave cuite, les haricots verts extra-fins, la chair de courgette, la chair d’aubergine… et si vous aimiez le lait, vous pouvez de nouveau en reprendre.

Ce que vous ne devez toujours pas consommer : des légumes autres que les légumes très tendres, du pain complet, des crudités, des fruits avec leur peau.

En pratique :

Au petit déjeuner : un yaourt, du pain beurré et confituré, un jus de fruits – En matinée : une crème renversée – Au déjeuner : salade de betteraves, un steack avec des haricots verts, un yaourt et une compote

Au goûter : un verre de jus de fruits et un ou deux biscuits

Au dîner : du poisson avec du riz, du pain et du fromage, une poire bien mûre et sans la peau.

En fin de semaine :

En principe le transit s’est normalisé et vous pouvez manger normalement

En pratique :

Au petit-déjeuner : lait ou yaourt avec pain ou biscottes beurrées, confiturées et fruit ou jus de fruit Au déjeuner : entrée de crudités, plat de résistance, pain, yaourt et fruit –

Au goûter : un fruit ou un laitage et éventuellement quelques biscuits, un peu de chocolat – Au dîner : un plat de résistance, pain, fromage, fruit ou dessert sucré.

Conseils donnés par :

(tampon)

Ces conseils ne remplacent pas la consultation médicale

Pour toute information complémentaire en Nutrition, demandez conseil à votre professionnel de santé.

NUTRINIUM 10 allées des Roses 37510 Ballan – Miré N° Siret : 791560113 Mail : nutrinium@gmail.com

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