LES MACROLIDES
Pr Agrégé Samir BEN YOUSSEF ENMV ST
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Antibiotiques antibactériens
Origine naturelle (Streptomyces)
Semi-synthèse
Structure hétérosidique
Lactone macrocyclique (olide) + oses aminés
Activité bactériostatique
Spectre étroit : G+ et mycoplasmes
Introduction des classes
d’anti-infectieux en thérapeutique
1940 1950 1960 1970 1980 1990 2000…. Penicillines 1940 Tetracyclines 1949 Chloramphenicol 1949 Aminosides 1950 Macrolides 1952 Polypeptides 1958 Quinolones 1962 Oxazolidinones 2000 TMP 1970 Glycylcyclines 2005Abelardo Aguilar is the Filipino doctor
who co-created the drug Erythromycin
Définition - Importance – Historique I. PHARMACIE CHIMIQUE
1. Structure 2. Classification 3. Préparation
4. Propriétés physiques et chimiques II. ETUDE BIOLOGIQUE
1. Pharmacocinétique 2. Activité antibactérienne 3. Usages thérapeutiques 4. Toxicité Conclusion
LES MACROLIDES
1. STRUCTURE GENERALE
Structure hétérosidique qui libère à l'hydrolyse pour
aglycone une lactone macrocyclique :
Lactone (= ester dans un cycle) à 14, 15 ou 16 atomes
LES MACROLIDES
1. STRUCTURE GENERALE
Structure hétérosidique qui libère à l'hydrolyse pour
aglycone une lactone macrocyclique :
Lactone (= ester dans un cycle) à 14, 15 ou 16 atomes
Reliée à trois oses aminés au maximum
Ce cycle lactonique porte deux types de substituants :
des hydroxyles en nombre limité
des groupements méthyles
La lactone est reliée directement par une ou deux
liaisons osidiques aux oses
L'une des liaisons osidiques implique toujours
l'hydroxyle porté par C5
La partie osidique est constituée d'hexoses
Ces oses sont souvent déshydroxylés (désoxy-oses)
et aminés (désosamines)
Un de ces oses est toujours diméthyl-aminé
1. STRUCTURE GENERALE
OH OH O CH3 4 5 3 2 1 O N O O HO CH3 CH3 + Oses aminés 2 à 3 oses
1. STRUCTURE GENERALE
LES MACROLIDES
C O O Lactone macrocyclique (Olide)i. Macrolides à cycle lactone à 14 atomes
Erythromycine, Oleandomycine
ii. Macrolides à cycle lactone à 15 atomes :
a. Azalides : Azithromycine
b. Triamilides : Tulathromycine,
iii. Macrolides à cycle lactone à 16 atomes
Spiramycine, Tylosine, Josamycine, Kitasamycine = Leucomycine
Selon le nombre d’atomes de la lactone, on distingue :
9
2. CLASSIFICATION
O OH O 1 14 2 3 5
Macrolides à cycle lactone à 14 atomes Erythromycine, Oleandomycine
CLASSIFICATION DES MACROLIDES
9
12 LACTONE
PROPIOCINE®
LACTONE
O
OH
O
N
H
1 15 2 3 5 Macrolides à cycle lactone à 15 atomes : Triamilides, Azalides
Tulathromycine, Azithromycine
CLASSIFICATION DES MACROLIDES
Tulathromycine : DRAXXIN®
Azithromycine : ZITHROMAX®
CLASSIFICATION DES MACROLIDES
Macrolides à cycle lactone à 16 atomes
Spiramycine, Tylosine, Josamycine,
kitasamycine = Leucomycine, tilmicosine
CLASSIFICATION DES MACROLIDES
O OH O 1 16 2 3 5 LACTONE
Spiramycine : ROVAMYCINE®
CLASSIFICATION DES MACROLIDES
Macrolides naturels
Bactéries du genre streptomyces
S. erythreus érythromycine S. ambofaciens spiramycine Tylosine Tilmicosine Erythromycine Tulathromycine
3. ORIGINE-PREPARATION
LES MACROLIDES
L'érythromycine est un mélange d'érythromycines A, B, C et D.
Macrolides de semi-synthèse
Les macrolides ne sont pas des composés à haut poids
moléculaire ; leur poids moléculaire est habituellement compris entre 500 et 1 000 Daltons.
Les macrolides sont peu solubles dans l'eau,
Solubles dans les solvants organiques liposolubles
peu d'hydroxyles ou de groupements polaires
cycle lactonique apolaire assez volumineux
La présence de plusieurs carbones asymétriques leur
confère une action sur la lumière polarisée variable selon les composés.
4. PROPRIÉTÉS PHYSIQUES ET CHIMIQUES
LES MACROLIDES
3 propriétés chimiques importantes :
i. Structure d'hétérosides aminés à l'origine
d'une bonne stabilité
ii. Plusieurs fonctions basiques portées par les oses
(oses aminés), et dans le cas des azalides (tulathromycine) incluses dans la structure macrocyclique
iii. Présence d'hydroxyles qui permet la préparation
d'esters
4. PROPRIÉTÉS PHYSIQUES ET CHIMIQUES
LES MACROLIDES
Assez bonne (hétérosides aminés)
Groupements basiques dans leur structure
protège de l'hydrolyse les liaisons osidiques ; par effet répulsif à l'encontre des molécules d'eau
Stabilité aussi bien aux agents physiques (chaleur) que chimiques (acides, bases).
4. PROPRIÉTÉS PHYSIQUES ET CHIMIQUES
LES MACROLIDES
Propriétés chimiques
Stabilité à pH acide Administration per os
Stabilité de l'érythromycine est nettement
inférieure à celle des autres macrolides. Elle est plus sensible aux acides et aux bases
Ses solutions aqueuses doivent être
tamponnées ou préparées extemporanément
4. PROPRIÉTÉS PHYSIQUES ET CHIMIQUES
LES MACROLIDES
Propriétés chimiques
Fonctions amines tertiaires
Caractère de bases
faibles : pKa de 7-9
Préparation de sels
utilisés en thérapeutique
4. PROPRIÉTÉS PHYSIQUES ET CHIMIQUES
LES MACROLIDES
Propriétés chimiques
Préparation de sels :
diverses fonctions basiques permettent la préparation d'une grande diversité de sels :
Action d’acides minéraux ou organiques
Pour les sels minéraux (pH )
Intolérances au point d’injection
4. PROPRIÉTÉS PHYSIQUES ET CHIMIQUES
LES MACROLIDES
Propriétés chimiques
l'érythromycine est employée sous forme de
thiocyanate, de glucoheptonate, de lactobionate,de stéarate et d'estolate (ou laurylsulfate de propionate)
la spiramycine est employée sous forme de chlorhydrate,
d'adipate et d'embonate (pamoate)
la tylosine sous forme de phosphate et de tartrate
la tilmicosine sous forme de phosphate
LES MACROLIDES
Certains sels, ceux facilement ionisables et dissociables,
sont hydrosolubles. Ils permettent la préparation de solutions aqueuses injectables.
Il s'agit de tous les sels d'acides minéraux (chlorhydrate, phosphate) et de quelques sels d'acides organiques
(thiocyanate, glucoheptonate, lactobionate, tartrate).
Sels de base faible et d'acide fort solutions aqueuses
un pH acide assez éloigné de la neutralité à l'origine d'intolérances locales au point d'injection.
LES MACROLIDES
Spiramycine adipate embonate chlorhydrate Tylosine phosphate tartrate Hydrosolubilité Liposolubilité
+
+
+
+
+
LES MACROLIDES
Sels employés
OH COOH CH2 OH COOH liposoluble Embonate (pamoate) (spiramycine)
LES MACROLIDES
Sels employés
HOOC CH CH COOH OH OH Tartrate (tylosine) hydrosoluble29 thiocyanate glucoheptonate lactobionate stéarate estolate (laurylsulfate de propionate) hydrosoluble hydrosoluble hydrosoluble liposoluble liposoluble CH3 (CH2)16 COOH N C SH CH2OH (CHOH)5 COOH C11H21O10 COOH CH3 (CH2)10 CH2OSO3H
LES MACROLIDES
Sels d’érythromycine
La présence d'hydroxyles assez nombreux permet
la préparation d'un certain nombre d'esters qui sont généralement insolubles dans l'eau
Les plus importants sont :
l'éthylcarbonate l'éthylsuccinate le propionate l'estolate d'érythromycine
LES MACROLIDES
Préparation d'esters
Principaux esters employés en thérapeutique
LES MACROLIDES
Préparation d'esters
éthylcarbonate C2H5O COOH liposoluble
éthylsuccinate C2H5O CO CH2 CH2 COOH liposoluble
32 Définition - Importance – Historique
I. PHARMACIE CHIMIQUE 1. Structure
2. Classification 3. Préparation
4. Propriétés physiques et chimiques II. ETUDE BIOLOGIQUE
1. Pharmacocinétique 2. Activité antibactérienne 3. Usages thérapeutiques 4. Toxicité Conclusion
LES MACROLIDES
Le devenir dans l'organisme des macrolides est
principalement conditionné par 3 propriétés :
Lipophilie
Bonne stabilité
Caractère basique
1. PHARMACOCINÉTIQUE
Résorption orale satisfaisante
Rapide et complète du fait du caractère lipophile
Résorption de l'érythromycine sous forme de base est
incomplète à cause de son instabilité à pH acide
On utilise des esters insolubles dans l'eau qui évitent le contact avec les molécules d'eau environnantes et la protègent ainsi de l'hydrolyse
LES MACROLIDES
Résorption
Résorption parentérale des solutions aqueuses
assez rapide et complète
La tilmicosine et la tulathromycine
sont présentées en solutions à effet retard
Assurent des concentrations thérapeutiques
suffisantes par une seule injection pour tout le traitement (15 j)
LES MACROLIDES
Résorption
Lipophilie et caractère basique faible
Distribution intracellulaire (et piégeage ionique)
Concentrations jusqu'à 5 ou 10 fois supérieures aux
concentrations plasmatiques
20 fois macrophages
Les macrolides atteignent dans le tissu pulmonaire
des teneurs de 3 à 8 fois supérieures aux taux plasmatiques
LES MACROLIDES
Distribution
Ils se concentrent dans les liquides acides :
Lait (pH ≈ 6,5 - 6,8) :
concentrations 3 fois sup. aux teneurs plasmatiques Intérêt pour le traitement des mammites
par la voie générale
Salive de l'homme (pH ≈ 6,5 - 7,2) et à un moindre
degré des carnivores (pH ≈ 7,3).
Intérêt dans le traitement des infections bucco-dentaires chez l'homme et les carnivores
LES MACROLIDES
Distribution
Les macrolides subissent des biotransformations
modérées dans l'organisme
La fonction lactone de l'érythromycine peut être en
partie hydrolysée dans l'estomac inactivation !
Tous les macrolides subissent surtout
des glucurono-conjugaisons hépatiques
LES MACROLIDES
Biotransformations
Voie biliaire (≈ 80 %) sous forme de dérivés conjugués
qui peuvent ultérieurement subir un cycle entéro-hépatique (spiramycine +++)
Les sous-groupes des azalides et des triamilides
avec la tulathromycine se distinguent par une ½ vie d’élimination très longue : 4 jours environ
Chez les bovins : 1 seule injection conduit à des teneurs efficaces dans les poumons pendant 15 j
LES MACROLIDES
Elimination
2. ACTIVITÉ ANTIBACTÉRIENNE
LES MACROLIDES
Mécanisme d’action
Antibiotiques bactériostatiques qui bloquent
la biosynthèse des protéines bactériennes
Temps-dépendants
Etant des substances basiques ionisables
Leur pénétration est influencée par le pH du milieu ; ils sont plus actifs à pH basique où ils sont le moins ionisés
2. ACTIVITÉ ANTIBACTÉRIENNE
LES MACROLIDES
Mécanisme d’action
L'action antibactérienne des macrolides résulte de
leur fixation sur la sous-unité 50S des ribosomes.
Ils empêchent la translocation de l'ARN messager
et ainsi l'allongement de la chaîne peptidique en formation.
Les macrolides sont également à l'origine d’un effet
post-antibiotique : EPA (bactériopause)
Blocage de biosynthèse protéique
(sous-unité 50 S) Blocage de la translocation de l'ARNm
et de la transpeptidation
Antibiotiques
BACTERIOSTATIQUES TEMPS-DEPENDANTS
EPA : effet post-antibiotique
(ou bactériopause)
2. ACTIVITÉ ANTIBACTÉRIENNE
LES MACROLIDES
2. ACTIVITÉ ANTIBACTÉRIENNE
LES MACROLIDES
2. ACTIVITÉ ANTIBACTÉRIENNE
LES MACROLIDES
Spectre d'activité
Etroit Bactéries à G +
Pasteurellaceae (G -)
(Pasteurella multocida, Mannheimia haemolytica)
Mycoplasmes
Triamilides et Azalides : spectre élargi vers
d’autres bactéries à G -
2. ACTIVITÉ ANTIBACTÉRIENNE
LES MACROLIDES
Spectre d'activité
Les CMI de la spiramycine et de la tylosine vis-à-vis
de Pasteurella multocida, Mannheimia haemolytica sont beaucoup plus élevées que celles de la
tilmicosine ou de la tulathromycine.
Mycoplasma hyopneumoniae est naturellement
Gram positif
Gram négatif
Clostridium Staph. (pénicillinase +) Staph. (pénicillinase -) Streptocoques Corynebact- erium Pasteurella Salmonella Escherichia coli Klebsiella Pseudomonas aeruginosa Proteus HS HS HS HS R R2. ACTIVITÉ ANTIBACTÉRIENNE
LES MACROLIDES
Spectre d'activité
2. ACTIVITÉ ANTIBACTÉRIENNE
LES MACROLIDES
Résistances acquises
Les principales résistances acquises aux macrolides
sont plasmidiques.
L'un des principaux mécanismes biochimiques
de résistance aux macrolides consiste en une méthylation de l'ARN ribosomal qui modifie l'affinité des macrolides pour leur cible.
2. ACTIVITÉ ANTIBACTÉRIENNE
LES MACROLIDES
Résistances acquises
Ce sont des résistances croisées entre tous les
antibiotiques du groupe et des antibiotiques
apparentés : lincosamides et composant B des streptogramines (synergistines)
on parle de résistances MLSB
(macrolides-lincosamides-streptogramines B)
Ces résistances concernent les staphylocoques
Infections pulmonaires
Bovins
Mycoplasmoses aviaires
Mammites
Streptococciques et staphylococciques (vache, brebis)
Voie générale et locale
Infections Bucco-dentaires (carnivores) Prostatiques (carnivores)
3. USAGES THERAPEUTIQUES
LES MACROLIDES
Indications
• Présentations injectables
solutions ou suspensions aqueuses
• Présentations orales
comprimés, solutés et suspensions
buvables
prémélanges médicamenteux
• Présentations locales
crèmes intra-mammaires
3. USAGES THERAPEUTIQUES
LES MACROLIDES
Formes pharmaceutiques
Spécialités pharmaceutiques
DENOMINATION
COMMUNE NOM DEPOSE
Érythromycine Oléandomycine Spiramycine Tylosine Tilmicosine Tulathromycine ERYTHROCINE, ERYTHROMYCINE, ERYTHROVET, VÉTAGALLI, IN AMPIMIX, ABBOTICINE (H) in MASTALONE,
CAPTALIN, SUANOVIL, ROVAMYCINE, in SPIRAPHAR, IN STOMORGYL
TYLAN MICOTIL
Associations
Antibiotiques bactéricides sur germes au repos aminosides quinolones Effet additifAntibiotiques bactéricides actifs sur bactéries en phase de croissance
ß-lactamines Antibiotiques bactériostatiques tétracyclines phénicols macrolides sulfonamides diaminopyrimidines Antagonisme
Faible toxicité dans la plupart des espèces animales.
Ils peuvent cependant être à l'origine d’accidents
dans certains cas particuliers, surtout :
i. Intolérances locales au point d'injection,
ii. Troubles digestifs
iii. Cardiotoxicité
iv. Interaction médicamenteuse avec les AB
ionophores
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Effets indésirables ou toxiques
LES MACROLIDES
Possibles avec l'emploi de beaucoup de solutions
par suite de leur pH trop acide.
Solutions ne sont jamais utilisées
par voie intra-musculaire ou sous-cutanée chez les équidés et les carnivores.
LES MACROLIDES
4. TOXICITE
i. Intolérance locale au point d'injection
Effets indésirables ou toxiques
Intolérances digestives graves, voire mortelles
Perturbation de la flore caecale à Gram positif :
Chez le cheval avec l'érythromycine
et la tylosine
Chez le lapin avec la tylosine
LES MACROLIDES
4. TOXICITE
ii. Troubles digestifs
Toxicité digestive chez les équidés est directement
proportionnelle aux doses administrées.
Se manifeste aussi bien par voie orale que
parentérale en raison de leur élimination biliaire
L’érythromycine et la spiramycine sont mieux
tolérées chez le poulain non sevré que chez le poulain sevré et le cheval adulte.
LES MACROLIDES
4. TOXICITE
ii. Troubles digestifs
Une cardiotoxicité a été démontrée lors de faible
surdosage par voie parentérale pour la tilmicosine.
Cette toxicité ne se manifeste que par voie
injectable et non par voie orale.
Elle impose de respecter strictement les doses
recommandées.
LES MACROLIDES
4. TOXICITE
iii. Cardiotoxicité
Le risque de cardiotoxicité est réel à partir
du double de la dose prévue pour l’animal.
Les ovins, les caprins et le cheval y sont même
sensibles à la dose thérapeutique bovine.
LES MACROLIDES
4. TOXICITE
iii. Cardiotoxicité
A la suite de 2 accidents mortels aux Etats-Unis
éleveurs qui se sont injectés la solution destinée à des bovins (tilmicosine)
MICOTIL® ne peut être utilisé et administré
que par des vétérinaires.
Les éleveurs n’ont pas le droit d’utiliser
ce produit eux mêmes.
LES MACROLIDES
4. TOXICITE
iii. Cardiotoxicité
Les macrolides sont capables d’inhiber les CYT P450
Ceci conduit à une interaction médicamenteuse
toxique entre les macrolides et les antibiotiques
ionophores incorporés à titre d’anticoccidiens
dans les aliments de la volaille
LES MACROLIDES
4. TOXICITE
iv. Interaction médicamenteuse avec les AB ionophores
Il peut s’ensuivre une baisse de la consommation
d'eau et d'aliment
Entraînant une baisse du gain de poids, constatée
chez le poulet lors d'utilisation simultanée de certains macrolides (érythromycine) avec les
antibiotiques ionophores.
LES MACROLIDES
4. TOXICITE
iv. Interaction médicamenteuse avec les AB ionophores
Effets indésirables ou toxiques
• Absolues
Tylosine : cheval, lapin
Intolérances digestives mortelles • Relatives
Spiramycine, érythromycine : cheval
LES MACROLIDES
Contre - Indications
Bien respecter les voies d'administration recommandées
Des limites maximales résiduelles (LMRs)
définitives ont été fixées pour l'érythromycine,
la spiramycine, la tylosine, la tilmicosine et la
tulathromycine… chez les espèces animales de rente