INFECTION NEUROLOGIQUES
ET
CANCER
DES Neurologie 14 et 15 mars 2°14 Luc Taillandier CHU PoiFersObjecFfs
InfecFon du SN et cancer
Situer épidémiologiquement la problémaFque Préciser les situaFons à risques
Connaître les grands moyens de prévenFon Appréhender les spécificités cliniques
Appréhender les spécificités LCR et radiologiques Savoir évoquer les diagnosFcs différenFels
Contexte
AmélioraFons thérapeuFques
Immuno-‐depression(s) -‐> infecFons SN
Morbidité (hospitalisaFons, séquelles) + Mortalité
Δ selon cancer, traitement et facteurs associés AffecFons fungiques + virales > bactéries
Démarche diagnosFque +++
ê
EPIDEMIOLOGIE
FACTEURS DE RISQUE PREVENTION
SPECIFICITES CLINIQUES SPECIFICITES LCR ET IMAGERIE
DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL ILLUSTRATIONS
EPIDEMIOLOGIE
Leucémie ou lymphomes > tumeurs solides Greffe de moelle
15 % des paFents avec infecFon sévère du SN Champignons – Parasites > virus > bactéries
Neurochirurgie
¾ des méningites bactériennes ou fungiques
EPIDEMIOLOGIE
FACTEURS DE RISQUE
IMMUNOSUPPRESSION
PREVENTION DU RISQUE INFECTIEUX SPECIFICITES CLINIQUES
DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL SPECIFICITES LCR ET IMAGERIE
ILLUSTRATIONS
Neutropénie
(1g/l)Agranulocytose
(0.5g/l)Déficit quanFtaFf (CT) et qualitaFf (hémopathies) Risque selon durée
7 à 10 jours
infecFons bactériennes (CG+ et BGN, germes IC)
> 10 à jours
infecFons fungiques
Déficit immunité humorale
Absence de réponse Ac à une sFmulaFon Ag DiminuFon d’une ou n classes d’Ig
Mécanismes variés
Pathologies : MM, LLC Thérapies : ex rituximab
Risques d’infecFons graves
Germes encapsulés (S pneumoniae, N meningiFdis, Haemophilus)
Virus (VZV, HSV)
Déficit immunité cellulaire
Lymphopénie T ou B
Mécanismes variés (tumeurs, traitements)
T dépléFons et traitements
Fludarabine -‐ analogue purines -‐ Fludara® : LLC
Alemtuzumab -‐ anF CD52 (L, T, Monocytes et Macrophages) -‐ SC
Mabcampath® : LLCB après chlorambucil et fludarabine
Lemtrada® : forme ac;ve de SEP rémiAentes
Rituximab – anFCD20 (LB) -‐ Mabthera® : LNH – LLC -‐ PR + PAM + G avec PA
Bortezomid -‐ inhibiteur proteasome -‐ Velcade® : MM
Stéroïdes
Greffes allogéniques
ê
B dépléFons (LLC, MM)
≅
immunité humorale
InfecFons bactériennes encapsulées Haemophilus influenzae
Streptococcus pneumonia
Neisseiria meningiFs
Neurochirurgie
Méningites post opératoires et cancer
Rares tableaux complets
Faibles réacFons cellulaires (<100 leucocytes) Cocci Gram + > Gram -‐ > infecFons fungiques
13% de mortalité à un mois
0.8 à 1.5 des craniotomies pour cancer
Neurochirurgie
Cathéters
> 10 % des cathéters
Début dans les 4 semaines après la chirurgie Signes cliniques « décapités » (stéroïdes)
Péritonite
Cellularité parfois normale /cuture posiFve AblaFon cathéter pour DVE
Foyers infecFeux
Sinus (aspergillose – mucormycose) Dents Poumons (BK, nocardioses)
EPIDEMIOLOGIE FACTEURS DE RISQUE
PREVENTION DU RISQUE INFECTIEUX
SPECIFICITES CLINIQUES DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL SPECIFICITES LCR ET IMAGERIE
ILLUSTRATIONS
VaccinaFons
Pneumocoque Haemophilus
Grippe
AnFbioprophylaxie et lymphopénie T
Cotrimoxazole Valaciclovir
Durée du traitement T4>200
AnFbioprophylaxie et neutropénie
Discutée
Cas très parFculiers
Autres prophylaxies
Facteurs de croissance hématopoiéFques G CSF
AugmentaFon de la dose intensité des CT
RéducFon durée neutropénie, morbidité et mortalité infecFeuse CT < 10% -‐ 10 à 20% -‐ plus de 20%
FilgrasFm Neupogen – LenograsFm Granocyte – pegfilgrasFm Neulasta
Prophylaxie (primaire ou secondaire après J6/J9) ou traitement curaFf + de 65 ans – R >20% -‐ risque >10% + 1 FR
Perfusion d’iG polyvalentes
IgG> ou = à 5 g – LLC, MM + hypoGG + infecFons répétées
Isolement protecteur
Neutropénie < 500 – masque+surblouse+gants NS Secteur protgé à air ultra flltré
EPIDEMIOLOGIE FACTEURS DE RISQUE
PREVENTION DU RISQUE INFECTIEUX
SPECIFICITES CLINIQUES
DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL SPECIFICITES LCR ET IMAGERIE
ILLUSTRATIONS
Tableau classique
Fièvre
Confusion -‐ Troubles de la conscience -‐ Epilepsie Syndrome méningé -‐ Nerfs crâniens
Tableau « décapité »
PrésentaFons SNC
Localisées
Abcès
Aspegillose ou toxoplasmose > bactéries (nocardia)
Infarctus sepFques (parfois hémorragiques)
champignons vasotropes (aspergillose ou zygomycetes) ou virus
Encéphalites focales
Diffuses
Leptoméningites Encéphalites
Méningo-‐encéphalites
PrésentaFons SNC
Vascularites
Stephan JL et al. Med Ther 2011.
Bactéries Virus Champignons
Streptococcus pneumoniae Salmonelles Mycoplasma pneumoniae Mycobacterium tuberculosis Treponema pallidum Borrelia burgdorferii HépaGte C Cytomegalovirus Epstein-‐Barr virus VIH Parvovirus B19 Virus varicelle-‐zona (VZV) Entérovirus West Nile AcGnomycoses Candida albicans Aspergillus Cryptococcus
PrésentaFons SNP -‐ Muscles
Myosite proximale
Staphylococcus aureus Streptococcus pneumoniae
Escherichia coli
Tableaux de « Guillain Barre » ou de CIDP
CMV – EBV
Nerfs crâniens + sinusite
Aspergillus Mucoraceae
EPIDEMIOLOGIE FACTEURS DE RISQUE
PREVENTION DU RISQUE INFECTIEUX SPECIFICITES CLINIQUES
DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL
SPECIFICITES LCR ET IMAGERIE
ILLUSTRATIONS
ParFcularités LCR
50000 plaquezes
ê réacFon inflammatoire avec immunodépression
ParFcularités neuro-‐imagerie
Stéroides et ê des pdc Vacularites infecFeuses
(VZV, CMV, mycobactéries, mucormycoses, aspergilloses, candidoses, cryptococcoses)
Anévrysmes mycoFques (aspergillus, endocardites)
InfecFons
Leuco
encéphalopathies AVC Encéphalites limbiques Syndrome de masse focal Azeintes tronc cérébral
LEMP Endocardites HSV 1 et 2 Aspergillose Listeria Vascularites HHV 6 Abcès pyogènes
S Aureus Bacteroides sp P acnes Nocardia asteroides Cryptococcose VZV Toxoplasmose VZV
Aspergillose Candidose LEMP
Mucomycose Lymphome
EBV induit
Pathologies non infecFeuses associées au cancer
Leuco
encéphalite AVC Encéphalite limbique Syndrome de masse focal Azeinte tronc cérébral
IRIS « Immune ReconstrucJon Inflammatory Syndrome » RRA « RadiaJon Related Arteriopathy »
Hashimoto IRIS Encéphalopathie de Wernicke
PRES NBTE Syndrome paranéoplasique
AnJ HU, Ma, NMDA R, VGKC
Tumeurs
secondaires Démyélinistaion osmoJque
ADEM Vascularite Etat de mal Radionécrose PRES
RT Pseudo progression GvHD Amphotéricine B Valproate Rituximab Radionécrose
EPIDEMIOLOGIE FACTEURS DE RISQUE
PREVENTION DU RISQUE INFECTIEUX SPECIFICITES CLINIQUES
SPECIFICITES LCR ET IMAGERIE
DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL
ILLUSTRATIONS
DiagnosFc différenFel
Place du neurologue
Azeinte néoplasique
Neurotoxicité des traitements leucoencéphalopathies, pseudoprogression …
Méningites lymphocytaires médicamenteuses
Valacyclovir, cotrimoxazole, CT IT, céphalosporines azathiprine, isoniazide, IgIV, AINS
Etat de mal épilepFques
Pdc méningées diffuses après PL
ModificaFons radiologiques induites par épilepsie
Démarche diagnosFque
Place du neurologue
Histoire
Examen clinique
Imagerie : IRM > scanner
Diffusion + mulFmodalité
≠ infecFon/tumeur/complicaFon RT ou CT
LCR
Autres prélèvements microbiologiques
Ex Poumon/aspergillose, réFne/CMV, sang/listeria
EEG
EPIDEMIOLOGIE FACTEURS DE RISQUE
PREVENTION DU RISQUE INFECTIEUX SPECIFICITES CLINIQUES
LCR ET IMAGERIE
DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL
ILLUSTRATIONS
AffecFons fungiques
Aspergillose (1)
AugmentaFon de fréquence
AmélioraFon diagnosFques + paFents lourdement immunodéprimés Abcès > méningites
A fumigatus > A Flavus
Mécanismes
Hématogène (infarctus CA ou CM) Invasion directe par foyers sinusiens
Enjeu
DétecFon précoce
EvoluFon
Iconographie UMVF
AffecFons fungiques
Gierer et al. Med Ther 1998
AffecFons fungiques
Charlot M et al. Lyon AffecFons fungiques
Aspergillose (4)
 T1 axial avant injection et après injection de gadolinium : absence de rehaussement des lésions T2* : hyposignal périphérique des 2 lésions, compatible avec une composante hémorragique T1 axial avant injection et après injection de gadolinium : absence de rehaussement des lésions T2* : hyposignal périphérique des 2 lésions, compatible avec une composante hémorragiqueLocalisaFons encéphaliques
1 à 5 % candidoses systémiques
Types
C albicans > glabrata>parapsilosis, tropicalis, krusei
Tableau
Méningites, micro ou macroabcès, vascularites
AffecFons fungiques
AffecFons fungiques
Candidoses (2)
Cryptococcus neoformans
Déficit T – stéroïdes au long cours Poumon puis SN
Méningite fébrile subaiguë ou abcès Hydrocéphalie obstrucFve
Baisse brutale AV
AffecFons fungiques
Sidanet, Souksouna G et al 2006 Sidasciences Fener P et al 2014
AffecFons fungiques
AffecFons fungiques
Cryptococcose neuroméningée (3)
St Amant M et al. Radiopaedi.org Poli M. Le\re Neurologue 2011
Agents
Rhizopus, mucor, rhizomucor, cunninghamella, absidia
Points de départ
sinusien ou respiratoire
Douleur faciale, céphalées, cécité, thrombose caroFde
EvoluFon
Invasion vasculaire (infarctus hémorragiques) AffecFons fungiques
Trablesi S et al. Tunisie médicale 2013
AffecFons fungiques
Clark D et al Neurology 2011
AffecFons fungiques
Figure MRI aspects of cerebral mucormycosis Axial enhanced T1-weighted image (A, magnification of the right temporal lobe ×3) and coronal T2-weighted images (B and C) revealed infiltrative T1 hypointense and T2 hyperintense lesion in the right temporal lobe,
with peripheral serpiginous and radial strands enhancement (arrowheads, A).
Dussaule C et al. Neurology 2012;78:e93
InfecFons virales
HSV -‐
Encéphalite herpéFque
Rare car prévenFon Forme inhabituelle
Si survenue évoquer résistance acyclovir
Wu M et al. PLOS ONE 2013
of viral encephalitis after allo-HSCT was 1.2%, and it was mainly caused by HHV-6, followed by EBV, HSV, JC virus, CMV, VZV and adenovirus [11]. This spectrum of causative
viruses associated with encephalitis differs markedly from that seen in immunocompetent individuals (mainly HSV and VZV) [27,28]. However, the investigators did not analyze the Figure 2. MRI of patients with herpesvirus-associated CNS diseases. A: T2-weighted imaging of a patient with EBV and CMV co-infection reveals disseminate abnormality signals changes in spinal cord; B: MRI of a patient with HSV-1 encephalitis shows bilateral and symmetric distribution of hyperintense lesions involving the frontal and temporal lobes, insula and splenium of corpus callosum on FLAIR image; C: Large patchy areas of increased signals are seen in bilateral white matter under the cortex on FLAIR image in a patients with EBV encephalitis; D: Multiple cloudlike lesions adjacent to pallium and paraventricular lesions are hyperintense on FLAIR image in a patient with EBV-associated CNS-PTLD.
doi: 10.1371/journal.pone.0077805.g002
Herpesvirus-Associated CNS Diseases after HSCT
Déficit T -‐ Stéroides -‐ bortezomib/MM Zona (jusqu’à 3 dermatome)
InfecFons disséminées
Méningites, méningoencéphalites, névrites craniennes (III), radiculites,
polyradiculoneuropathies
myelites/infractus médullaires, AVC i ou H, nécrose réFnienne, Zoster sine herpete
Pas toujours de méningites
InfecFons virales
InfecFons virales
Varicelle Zona
(1)
chronic vasculopathy. Testing for anti-VZV IgG in the serum alone is not useful because nearly all adults will have positive results.
Prophylaxis and Treatment
Immunocompromised patients should not receive the live-attenuated VZV vaccine. HCT patients receive prophylaxis with valacyclovir. Essentially all syndromes in immunocompromised hosts are treated with intra-venous acyclovir except for those with renal failure. Neurotoxicity of the drugs includes diminished level of consciousness and hallucinations.106Postherpetic pain is treated with topical lidocine, gabapentin, amitriptyline, nortriptyline, desipramine, pregabalin, or duloxetine. After initial treatment with intravenous acyclovir, an extended course of oral valacylovir may diminish post-herpetic pain.107 Retinal necrosis requires treatment with ganciclovir or foscarnet.108
Progressive Multifocal Leukoencephalopathy Progressive multifocal leukoencephalopathy (PML) is a subacute demyelinating disorder due to JCV, a polyoma virus that targets myelin-producing oligodendrocytes with resultant demyelination after lytic infection of these cells. The variable radiographic manifestations of PML reflect a range of immune deficit severity from the most common pattern of nonenhancing supratentorial white matter lesions without edema or mass effect to tume-factive enhancing lesions (Fig. 5) seen with immune reconstitution. Less commonly, the brainstem is the preferential site. A distinct form of PML with
progres-sive cerebellar atrophy due to JCV granule cell neuron-opathy has been described without white matter lesions.109In rare instances, patients may have initially predominant or exclusive infection of the hemispheric gray matter with cerebral pyramidal neuron infection and limited infection of oligodendrocytes. This has been termed JCV encephalopathy with seizures and appears to have a fulminant course.110
In appropriate at-risk populations, unexplained progressive focal deficits with white matter lesions, an appearance that can look like multiple sclerosis, should be investigated with PCR of CSF for JCV.111CSF is usually acellular except for the diagnostic presence of the JCV genome. However, PML has been diagnosed at autopsy when JCV CSF was negative.112Sensitivity of JCV PCR appears to be decreasing in the AIDS population with IRIS. Patients with CD8þ cytotoxic T-lymphocytes in serum have a better prognosis.113,114Contrast enhance-ment of PML lesions on MRI may be associated with a favorable outcome, but the phenomenon of IRIS may be a lethal complication in PML.115Estimated survival at 1 year for HIV-negative patients with PML with a variety of neoplastic diagnoses is improving and now is "58%.115
Treatment remains investigational, though the first line of therapy is to diminish the degree of immune suppression as much as feasible. Early reports of treat-ment with interleukin-2 (IL-2) have not been replicated in large numbers of patients.116,117Clinical improvement has been reported with mefloquine and cidofovir.118,119
The recognition that JCV uses serotonin receptors to infect cells has led to some early clinical investigation of mirtazapine treatment.120,121
Figure 4 Varicella zoster (VZV) infection. This patient developed acute onset of quadriplegia with rapid evolution to locked-in state. Cerebrospinal fluid (CSF) showed >1000 white blood cells with polymorphonuclear leukocyte predominance. (A) T2-weighted magnetic resonance imaging (MRI) scan showing a large area of signal abnormality at the cervicomedullary junction. (B) Gadolinium-enhanced sequence demonstrating patchy enhancement of the area. ‘‘Serpentine’’ enhancement of the spinal cord has been described as characteristic of VZV infection.
CENTRAL NERVOUS SYSTEM INFECTIONS IN CANCER PATIENTS/PRUITT 305
Downloaded by: University of Washington at Seattle. Copyrighted material.
InfecFons virales
Varicelle Zona
(1)
InfecFons virales
CMV
Gaillard F et al. Radiopaedi.org
Encéphalites (lésions périventriculaires), myélites
Encéphalites Myélites Polyradiculonévrites
Post-‐transplant lymphoproliferaFve disease (PTLD))
InfecFons virales
InfecFons virales
EBV
Baskin H J et al. Pediatric Radiology 2007
EBV encephaliJs. a Axial FLAIR image demonstrates abnormal T2-‐W signal in the bilateral frontal cortex and subcorJcal white ma[er. This is a typical pa[ern for viral encephaliJs. The mulJple vascular territories involved make ischemia unlikely. AddiJonally, a child presenJng with mulJfocal strokes of this magnitude would have a profound clinical presentaJon with fixed neurologic deficits. b, c Axial (b) and coronal (c) FLAIR images demonstrate increased signal in the bilateral basal ganglia reflecJng the unique tropism of EBV for this area
InfecFons virales
EBV
InfecFons virales
EBV
Caillard S et al. Eurocancer 2011
Comprenne qui pourra. Lymphome primaire du SNC. Une lésion avec nodulaires, produit un effet de masse sur la corne frontale du ventricule latéral droit en séquence T1.
L'emplacement et la taille peuvent également aider à distinguer entre l'infection par Toxoplasma et lymphome primaire du SNC. A titre d'exemple, lésions du corps calleux ou dans les zones périventriculaires ou periependimarias, plus susceptibles d'être lymphomes du système nerveux central, alors que les lésions fosse postérieure sont très probablement dus à l'infection. Lésions supérieures à 4 cm de taille sont plus susceptibles lymphomes. Cependant, ces caractéristiques neuroradiologiques pas de discrimination assez bien entre ET et lymphome primaire du SNC. (13)
D'autres infections.
D'autres infections opportunistes peuvent être associés à des lésions du système nerveux central de liaison avec ou sans effet de masse, en fonction de leur taille et de l'emplacement. Ils comprennent les abcès cérébraux secondaires aureus, Streptococcus, Salmonella, Aspergillus, Nocardia, Rhodococcus, Listeria, collections granulomateuses telles que criptococomas inhabituelles et des gencives syphilitiques. (14-18) Toutefois, la plupart des établissements sont moins fréquents que l'ET et lymphomes du système nerveux central et sont souvent associés à des signes d'infection disséminée. (19)
Dans les pays en développement, la neurocysticercose ou de la tuberculose peut se présenter comme une masse unique ou multiple. (8) L'apparition de la
neurocysticercose dépend du stade de l'infection et de la réponse immunitaire de l'hôte. Tuberculomes peut se présenter comme une lésion focale sans signes de maladie systémique ou une infection méningée.
SNC lésions sans effet de masse.
Lésions du SNC généralement sans effet de masse n'est pas améliorée par l'injection de produit de contraste et ne sont pas associés au risque de hernie. La grande majorité de ces blessures sont dues à une leucoencéphalopathie multifocale progressive, ou une encéphalopathie liée au VIH.
PML.
La leucoencéphalopathie multifocale progressive (LEMP) est une maladie démyélinisante causée par le virus JC, un papovavirus qui peut être réactivée dans le contexte d'immunodépression sévère. Typiquement, les patients présents avec PML rapidement progressive des déficits neurologiques focaux, y compris une hémiparésie, des déficits du champ visuel, une ataxie, aphasie et des troubles cognitifs.
PML est généralement caractérisée par zones multifocales de démyélinisation qui sont bilatérales, asymétriques, et préférentiellement localisée dans les zones périventriculaires et sous-corticale de la substance blanche. Les lésions ne sont généralement pas améliorer avec un contraste, et ne montrent aucun œdème péri-lésionnelle; en conséquence, sans effet de masse sur les structures adjacentes. Cependant, la PML peut se produire dans le contexte d'un syndrome inflammatoire de reconstitution immunitaire (CRS) associée à une augmentation des lymphocytes T CD4 compte goutte + et la charge virale chez les patients en multithérapie. Dans ce contexte, la PML / SRI peut se produire avec rehaussement du contraste en IRM, ainsi que l'œdème focal et un effet de masse. (20)
Le diagnostic différentiel de la PML comprend Encéphalopathie à VIH, l'encéphalite à CMV et lymphome primaire du SNC. L'encéphalopathie du VIH.
Encéphalopathie à VIH, présente généralement avec la triade classique de symptômes de démence sous-corticale: troubles de la mémoire avec la vitesse
psychomotrice, des symptômes dépressifs et des troubles du mouvement. Bien que cette condition n'est généralement pas inclus dans la catégorie des lésions de masse de l'effet du système nerveux central, peut masquer une LEMP.
En IRM, les séquences multiples signaux hyperintenses T2, qui ne sont généralement pas améliorer avec le contraste et situé bilatérale en la matière blanche sous-corticale. (Figure)
Comprenne qui pourra. L'encéphalopathie du VIH.
Augmentation du signal de séquence symétrique bilatérale dans le T2 RMN sans effet de masse dans les deux lobes frontaux associés à une atrophie corticale. Contrairement aux lésions observées dans les lésions PML encéphalopathie à VIH sont généralement symétriques et moins bien délimitées.
L'encéphalite à cytomégalovirus.
CMV encéphalite causée par la réactivation d'une infection chez les patients ayant un faible nombre de cellules 4 CD50 / mm3. Ces patients se présentent avec délire, la confusion et symptômes neurologiques focaux.
Variabilité des présentaFons cliniques et IRM hémisphères + cervelet cellules granulaires + JCV encephalopathie + épilepsie
Greffes de moelle allogéniques LCR a cellulaire
PCR LCR Biopsie
Cidovofir, mefloquine, mirtazapine (R serotonine) 58% de survie à 1 an
InfecFons virales
JCV
InfecFons virales
JCV
InfecFons virales
JCV
Polyoma Virus John Cummingham (3)
CONCLUSIONS
The diagnosis and management of CNS infections in cancer patients remains challenging and requires con-stant attention to emerging infections, prophylactic strategies, transfusion safety issues, epidemiologic trends, travel histories, changing microbial susceptibil-ities, synergistic infections, and evolving cancer regimens that will continue to impact the nervous system. Finally,
the effective consultant should never discount the pos-sibility that two or more disparate diseases, neoplastic, infectious and autoimmune, may exist concurrently. Despite efforts to stratify patients by risk factors, clinical syndromes, and appropriate diagnostic studies, diagnos-tic and therapeudiagnos-tic dilemmas are common and outcomes remain, despite the neurologist’s best efforts, frequently disappointing.
Figure 5 The variable radiographic manifestations of progressive multifocal leukoencephalopathy (PML). (A) Magnetic resonance imaging (MRI) with gadolinium of patient with rapid rise in CD4þ count who developed hemianopia and hemineglect syndrome shows a large enhancing lesion crossing the splenium that was thought to be glioblastoma but on biopsy was John Cummingham virus positive consistent with progressive multifocal leukoencephalopathy with immune reconstitution inflam-matory syndrome (PML-IRIS). (B) Fluid-attenuated inversion recovery (FLAIR) MRI of patient who has received three courses of cyclophosphamide, doxorubicin hydrochloride, vincristine sulfate, and prednisone- (CHOP-) rituximab for non-Hodgkin lym-phoma and presented with progressive memory and language disturbance. FLAIR image shows multicentric areas of white matter abnormality that on gadolinium study (not shown) did not enhance and which at postmortem examination were PML. (C) FLAIR and (D) gadolinium-enhanced MRI showing atypically enhancing lesions of biopsy-proved PML in a patient with low CD4þ count, but no other immunosuppression.
306 SEMINARS IN NEUROLOGY/VOLUME 30, NUMBER 3 2010
InfecFons parasitaires
Toxoplasmose (1)
InfecFons bactériennes
Nocardioses
InfecFon opportuniste gram + altéraFon immunité cellulaire
(greffes, stéroides)
Azeinte SNC dans environ 40% des nocardioses
(surtout si infec;on pulmonaire associée)
InfecJons bactériennes
Listérioses
Bactérie saprophyte G + intracellulaire facultaFve Invasivité (placenta, SNC)
Majorité de paFents fragilisés Moins de 300 cas par an en France
25 à 30 % de mortalité
40% de séquelles neurologiques
Ta#evin P et al 2009 Le#re de l’infectiologue
InfecJons bactériennes
Tuberculose (1)
PaFents immuno compétents et immunodéprimés SN
Méningites subaigues ou aigues
Nerfs craniens (extension aux citernes de la base) Abcès focaux (tuberculome)
Vascularite
InfecJons bactériennes
Tuberculose (2)
InfecJons bactériennes
Tuberculose (3)
Miliaire
Tuberculous meningitis.A, Contrast-enhanced FLAIR image shows mildly enhancing subarachnoid space lesions in the basilar cisterns, with extension into the sylvian fissures
bilaterally, right ambient cistern, and quadrigeminal cistern.B, Contrast-enhanced T1...
Galassi W et al. AJNR Am J Neuroradiol 2005;26:553-559