L e s C o n s u l a t s s u i s s e s à l ' é t r a n g e r r e ç o i v e n t l e j o u r n a l . pa
Quatorzième Année. — N
030.
P r i x d u n u m é r o 10 c e n t i m e s .
Dimanche 16 Avril 1899.
B u r e a u x : R u e de la S e r r e , 5 8 .
n i a n : Six mois:
Suisse . . . . Fr. 6»— Fr. 3»—
Union postale » 12»— » 6»—
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O r f ç a n e d e I n !Société i n t e r c a n t o i i a l e <IeM IndiiMtrleM t i n J u r a , (IeM C h a m l » r e M d e c o m m e r c e , î l e s I t u r e a i i x d e c o n t r ô l e e t (IeM S y n d i c a t M profeMMioimelM.
Finances fédérales
L e C o n s e i l f é d é r a l t e r m i n e r a p r o b a - b l e m e n t c e t l e s e m a i n e la d i s c u s s i o n s u r l e s b u d g e t s a p p r o x i m a t i f s d e s c i n q p r o - c h a i n e s a n n é e s q u e les d é p a r t e m e n t s o n t é l a b o r é s e n v u e d e r é a l i s e r d e s éco- n o m i e s . L o r s q u e c e l t e d i s c u s s i o n s e r a t e r m i n é e , l e s b u d g e t s r e t o u r n e r o n t à c h a q u e d é p a r l e m e n t . C h a c u n d ' e u x d e - v r a p r o c é d e r à u n e e n q u ê t e s u r l e s r a - d i a t i o n s o p é r é e s p a r l e C o n s e i l f é d é r a l a u x d é p e n s e s q u i le c o n c e r n e n t . A p r è s e e t t e n o u v e l l e e n q u ê t e , le C o n s e i l fédé- r a l d é l i b é r e r a e n s e c o n d e l e c t u r e s u r la s i t u a t i o n f i n a n c i è r e d e la C o n f é d é r a t i o n . C ' e s t s e u l e m e n t à ce m o m e n t , c'est-à-dire d a n s p l u s i e u r s s e m a i n e s , q u ' i l p r e n d r a d e s d é c i s i o n s d é f i n i t i v e s .
I
Informations
L e s i n t é r e s s é s p e u v e n t d e m a n d e r d e s r e n s e i g n e m e n t s s u r l e s m a i s o n s
K e m b e r , S i l v a & C o , 15 Charterhouse St., L o n d r e s E . C .
G . K a p p e r , -1 Alvington Crescent Dalston,
L o n d r e s N . E .
au Secrétariat général de la Chambre cantonale du Commerce, à la Chaux-de- Fonds.
Régime appliqué en Danemark aux voya- geurs de commerce et aux échantillons qui les accompagnent.
Les voyageurs de commerce paient au Da- nemark une patente de UiO couronnes (La couronne vaut 1 fr. i l : elle η 100 a v e ) . Si les voyageurs représentent plusieurs maisons ils paient 100 couronnes pour la première et SO pour chacune des suivantes. La patente est valable du jour de sa délivrance au jour cor- respondant de l'année subséquente.
Nous empruntons à l'Exportation fran-
çaise les renseignements suivants concernant les formalités à remplir : Les voyageurs de commerce doivent prendre la patente au pre- mier bureau de douane qu'ils rencontrent à leur entrée et présenter un certificat des auto- rités de l'endroit où ils sont domiciliés, cons- tatant qu'ils voyagent pour leur propre compte ou pour le compte d'autrui. Dans ce dernier cas ledit certificat doit contenir les noms des commerçants ou fabricants pour lesquels ils voyagent. Avant de commencer leurs opéra lions les voyageurs doivent faireviser la patente par la police de la localité ou elle a été délivrée.
A leur arrivée dans chaque ville où ils exer- cent leur métier, ils doivent également la faire viser par les autorités douanières et par la police. Ces visa sont donnés gratuitement.
Les commis-voyageurs ne peuvent point vendre leurs échantillons, ils ne peuvent que rechercher des commandes. Il leur est défen- du d'exercer leurs fonctions en dehors des villes ou de s'adresser à des particuliers ; seuls les articles dont les commerçants, artisans ou industriels, ont besoin pour leur commerce métier ou industrie, peuvent être offerts en vente par les voyageurs et ceux-ci doivent se conformer à cet égard a u x dispositions du S 3 de la loi du 29 décembre 1857 sur le com- merce en gros.
Les échantillons importés par les voyageurs de commerce paient les droits ordinaires du tarif douanier. En vue d'obtenir à la sortie le remboursement des droits payés à l'entrée, il y a lieu, dans chaque cas, d'adresser à la di- rection générale des douanes une pétition sur papier timbré ((55 o're) et d'y joindre le reçu de la douane. Pour que le remboursement dont il s'agit soit accordé, il faut avoir soin de déclarer à l'entrée que les échantillons sont destinés a être réexportés. Au surplus la réex- portation doit s'effectuer dans le délaide trois mois à compter du jour de l'importation, et le commis voyageur est tenu à la sortie de présenter ses échantillons au bureau de douane qui a perçu les droits.
B r e v e t s d ' i n v e n t i o n
Horlogerie et Bijouterie
LISTE DES DESSINS ET MODÈLES D é p ô t »
N- 5820. 17 m a r s 180'.), 4 :' . h. p. — Ouvert.
— 2 m o d è l e s . — L u n e t t e s de boites de mon- tre avec reliants. — Xeiikomm, Montait-
don et Ildrtel, St-Imier (Suisse). Manda- taire : C. Hanslin & C°, Berne.
Nr. 5821. 18. Miirs 1899, 3 V1 U h r p. — Ver- siegelt. — 50 Modelle. — Calibres fur Taschenuhren. — Uhrenfabrik Langen- dorf, Langendorf (Schweiz).
N" 5823. 18 m a r s 1899, 8 h . p. —Cacheté. — 2 modèles. — Calibres pour montres. — A Lugrin, Orient-de-1'Orbe (Suisse).
N0 5839. 24 m a r s 1899, 8 h. p. — Cacheté. — 7 modèles. — Aiguilles de montres. — Edouard Boillot, C h a u x - d e - F o n d s (Suisse).
N0 5840. 23 m a r s 1899, 8 h. p. — Cacheté. — 1 modèle.—Mouvement de montre seconde au centre et remontoir. — Nvma Zum- stein, Couvet (Suisse).
N" 5841. 25 mars 1899, 10 h. a. — Cacheté.
— 1 modèle. — Boite de montre forme croix. — Gygax & Meier. St-Imier (Suisse;.
N" 5842. 25 m a r s 1899, U h. p . — Ouvert. — 1 modèle. — Boites. — Coxfrères. An- vers (Belgique). Mandataire : Bourry-Sé- quin & C", Zurich.
P r o l o n g a t i o n ! *
N" 4127. 5 m a r s 1897, 8 h. a. — (IIe période 1899/1.902). — 8 modèles. — Calibres et ponts de chronomètres et de montres. — Alarius Favre & Cie, Genève (Suisse) ; enregistrement du 20 mars 1899.
N0 4151. 10 m a r s 1897. 8 h. a. —(11° période 1899/1902). — 1 modèle. — Calibre de montre. — Paul Ditisheim, Chnux-de- Fonds (Suisse) : enregistrement du 20 m a r s 1899.
l t a d i a t î o i i M .
N0 831. 18 janvier 1894. — 4 modèles. — Boitesde montres métal, cuvettes, cadrans.
N0 4032. 19 janvier 1897. — 2 modèles. — Boites de montre.
N" 4033. 19 janvier 1897. — 3 modèles. — Fonds métalliques pour boites de montres et articles de bijouterie.
N0 4052. 23 janvier 1897.
Boites de montres.
N° 4058. 27 janvier 1897.
Boites de montres.
N° 4002. 27 janvier 1897.
Calibre de montre.
— 27 modèles.
— 1 modèle.
— 1 !modèle.T
170 LA FEDERATION HORLOGERE SUISSE
Cours d'instruction pour maîtres de dessin pour la Suisse romande
L'Kcole des Arts et Métiers de Fribourg fera donner, du 15 mai au 15 août 1899, un cours d'instruction destiné à former des maîtres de dessin pour cours professionnels.
Le programme, analogue à celui des cours donnés à Winterthour pour la Suisse alle- m a n d e , prévoit 42 heures de leçons par se- maine et comprend les branches suivantes : éléments de projections, dessin à main levée, dessin d'ornement .et étude des formes orne- m e n t a l e s , méthodologie du d e s s i n , dessin professionnel pour les arts industriels, histoire de l'art et étude des styles et des couleurs, modelage, perspective linéaire.
La Confédération accordera à chaque parti- cipant une subvention égale à celle qu'il rece- vra de son canton.
On peutobtenir le programme de ce l'*1' cours d'instruction en s'adressant à la Direction de l'Ecole des Arts et Métiers, à F r i b o u r g .
Souhaitons que de nombreux maîtres pro- filent de l'avantage qui leur est offert.
La réforme de l'heure
Extrait du Journal :
Si imprévue que la chose puisse paraître, il se poursuit, en ce moment, une véritable croi- sade contre nos façons ordinaires de marquer le temps.
A en croire, en effet, nombre de mathéma- ticiens et de savants, notre division de la journée en vingt-quatre heures, des heures en soixante minutes, des minutes en soixante secondes et des secondes en dixièmes et en centièmes, est on ne peut plus barbare, et, si l'on veut éviter les pires calamités, il importe fort de la réformer sans retard.
Aussi, le Parlement a-t-il été saisi de la question, de telle sorte qu'en ce moment même une commission de députés [s'occupe de re- chercher ce qu'il convient réellement de faire.
C'est que la question ne laisse pas d'être complexe, les réformateurs de l'heure n'étant point, jusqu'ici, parvenus à s'entendre sur la valeur de la nouvelle unité de temps à adop- ter, et les savants consultés n'ayant pu, da- vantage, se mettre d'accord sur l'opportunité de la réforme proposée.
Ainsi, tandis que M. J. de Rey-f'ailhade, dont les façons de voir sont approuvées par la société de Géographie de Toulouse, p r o p o s é e l'exemple de la décision prise jadis par la Convention nationale do diviser la journée en dix heures ou en cent ces, chacun de ces ces étant l u i - m ê m e subdivisé en déci et en centi-cès, M. Henri de Sarraulon, appuyé d'une décision de la Société de Géographie.
d'Oran, d'un vœu du conseil général d'Oran et du patronage de M. Adolphe Carnot, ins- pecteur général des mines et membre de l'A- cadémie de sciences, fait observer que l'on re- tirerait grand profit, le nombre des heures d'une journée restant, comme il l'est présente- ment, fixé à vingt-quatre, à numéroter ces heures de une à Vingt-quatre au lieu de les compter de minuit à midi et de midi à minuit, et à partager chacune d'elles en cent minutes comprenant elles-mêmes cent secondes.
De toute évidence, de ces deux propositions, celle de M. de Sarrauton offre cet avantage pratique considérable de modifier infiniment moins nos habitudes que celle de M. de Rey- Pailhade. N'obligeant à aucun aménagement particulier du mécanisme de nos montres et de nos horloges, elle nécessite pour toute transformation, la position des heures restant la même, de diviser les cadrans en cent par- ties au lieu de soixante. Avec ce système, le chiffre. 1 indique une et treize heures, le chiffre
"2, deux et quatorze heures, le O, six et dix-huit
heures, etc. Au reste, pour simplifier les cho- ses, et éviter tout calcul, il suffit de disposer au-dessous des nombres J à 12, servant ac- tuellement à marquer les heures, la série des nombres 13 à 24. Suivant l'instant de la jour- née chacun sait s'il doit lire 4 ou 1(5 heures, 9 ou 21 heures, etc.
Cette réforme, en soit assez simple, font r e m a r q u e r s e s préconisa leurs, comporte encore un bénéfice très appréciable, celui de corres- pondre à la division la plus logique de la cir- conférence. Celle en 400 grades dont il est fait usage par le service géographique de no- tre armée, devient d'un emploi fort difficul- tueux en dehors des applications géodosiques:
d'autre part la répartition habituelle en 300°
comprenant chacun GO minutes, comprenant elles-mêmes (ÎO secondes, divisées en dizièmes et centièmes, manque de simplicité puisqu'elle procède à la fois du système duodécimal pour les heures, du système sexagésimal pour les minutes et les secondes et du système décimal pour les petites fractions du temps.
La division de la circonférence en 240 dé- grés, au contraire, division correspondant suivant le système décimal avec celle de la journée en vingt-quatre heures, qui est à peu près unanimement reconnue comme étant, de toutes, la meilleure, non seulement peut con- corder avec touts les besoins sociaux, mais encore offre au point de vue de la marine et de la géographie des commodités précieuses.
Avec ce système, en effet, comme le déclare non sans quelque emphase M. de Sarraulon,
« l a lerre devient un cadran de vingl-quatre heures, et le soleil est l'aiguille resplendis- sante qui, sur ce cadran, marque tout à la fois les longitudes et les h e u r e s » .
Ce sont là, assurément, des considérations sérieuses et que l'on ne saurait négliger dans le cas où l'on déciderait quelque transforma- tion au régime actuel de la mesure du temps.
Mais, en pratique un lel changement esl-il très désirable ?
Inconleslablement, une réforme bien com- prise peut avoir des avantages : il n'est pas douteux cependant qu'elle doive entraîner avec elle de nombreux inconvénients.
D'abord, durant un temps plus ou moins long, en raison des habitudes acquises, elle sera l'occasion d'une foule de méprises : puis, ce qui est plus grave, elle nécessitera le rem- placement ou la transformation — souvent fort onéreux — de nombreux instruments.
Or, si des erreurs peuvent être évitées avec un peu d'attention, il n'en saurait être de même en ce qui concerne les appareils de mesure.
Kt cela est si vrai que la Société des Ingé- nieurs civils, après examen de l'affaire, a émis cette opinion que si la numération des heures de 0 à 24 — numération déjà adoptée du reste dans certains pays (Belgique, Suisse.
Italie, Canada, Indes anglaises, etc.) — mé- ritait d'être accueillie avec faveur, la décima- lisation de l'heure, au contraire, serait fâcheu- se, en raison « d u trouble » qui en résulterait, soit dans l'usage des unités dans lesquelles intervient le temps, soit dans l'industrie hor- logere.
Ouant aux électriciens, dont le système des unités électriques, système dans lequel entre continuellement la notion de la seconde sexa- gésimale, ils sont pareillement opposés à toutes transformations, celles-ci devant avoir pour effet immédiat d'entraîner « la ruine du système de mesures le plus cohérent qui existe à l'heure actuelle ».
On le voit, en dépit des efforts de MM. ,1.
de Rey-Pailhade, Henri de S a r r a u t o n . Adol- phe Carnot, etc., etc.. il est fort probable que nous conserverons longtemps encore notre journée de vingt-quatre heures et nos heures de soixante minutes. Peut-être, en revanche, devrons-nous prendre bientôt l'habitude de compter les heures de une à vingt-quatre.
Mais une telle réforme, loin de pouvoir gêner
personne, comporte pour tous de réels avan- tages. Puisse-t-elle donc se voir avant long- temps réalisée !...
Georges Vrroux.
Tarif des chemins de fer
Le comité central de la Société bernoise du commerce et de l'industrie, d'accord avec la section de Berne, adresse au Vorort de la So- ciété suisse du commerce et de l'industrie, pour être soumis au département fédéral des Chemins de fer, un mémoire relatif A l'avanl- projet de loi sur le système de tarifs des che- mins de 1er fédéraux.
Le mémoire approuve d'une manière géné- rale l'avant-projet et reconnaît qu'il constitue une loyale exécution des assurances données au cours de la discussion sur le rachat, en ce qui corcerne le régime des tarifs : mais il de- mande que le système des tarifs appliqué dans le projet soit considéré seulement com- me provisoire, et que la loi reconnaisse à l'administration des chemins de 1er fédéraux la faculté sous réserve de l'approbation du Conseil fédéral, d'apporter de nouvelles ré- ductions au tarif de transport des voyageurs et des marchandises, par l'introduction d'au- tres systèmes.
En même temps, il reconnaît que l'intro- duction des tarifs à échelle constitue une so- lution rationnelle de la question des tarifs. Il propose, en outre, d'étendre à d'autres cas, comme par exemple en cas de récolte de fruits considérable, la faculté prévue par le projet de réduire les taxes d'une manière passagère en cas de nécessité.
- Enfin, il demande que l'on prévoie dés maintenant pour le charbon, le bois, les mi- nerais, le fer brut, ainsi que pour les autres matières b r u t e s , des tarifs d'exception qui resteraient en dessous des conditions du tarif spécial n° 3.
Nouvelles diverses
D o u a n e s . — On pensait généralement, et le Conseil fédéral était lui-même de cet avis, que l'on avait atteint le maximum des recettes douanières. M. Hauser prédisait même un re- cul pour cette année. Or, le 1er trimestre de 1899 déroute toutes les prévisions, car. non seulement il n'y a pas de recul, mais encore on constate une plus-value d'environ un mil- lion sur les receltes de la période correspon- dante de 1898 et de plus d'un million et demi sur les prévisions budgétaires. Les optimistes auraient-ils raison une fois de plus ί
La production de l'argent en 1898 a été la plus considérable qu'on n'ait encore vue. à l'exception de celle de 1892 : soit ItH) millions d'onces, contre 183 millions en 1897 et 165 millions en 1890, d'une valeur de 52·"»
millions de francs. Les Etats-Unis ont produit 00 millions, le Mexique 55 millions. Le prix moyen à New-York a été de 58,20 cents par once, répondant à une valeur réelle d'un dol- lar américain d'argent de 40 cents. Le prix Ie plus élevé à New-York a été celui de septem- bre, soit 00,08 cents, le prix le plus bas 54,90 par once en mars. En dehors de ΓKsI, des ventes ont été faites à l'Kspagne et à l'Italie qui continuaient à grand tort de frapper de la monnaie d'arçent.
Cote d e l ' a r g e n t
du i5 Avril i8gy
Argent fin en g r e n a i l l e s , fr. 105.— le kilo.
A r g e n t fin l a m i n é , devant servir de base pour le calcul des litres de l'argent des boites de montres fr. 107.— le kilo.
Tableau comparatif
des poinçonnements effectués et des essais faits par les bureaux de contrôle des ouvrages d'or et d'argent
p e n d a n t l e 1 " t r i m e s t r e d e c h a c u n e d e s a n n é e s 1 8 Q 8 e t 1 8 Θ 9 .
Bureaux
1. BieniK1 . . . . 2. Chaux-de-Fds.
3. Delêmonl. . . 4. Fleurier . . . 5. Genève . . . . 6. Granges (Solaire).
8. Neuchalel . . 9. Noirmonl . . 10. P o r r e n t r u y - . 1 1 . St-ImLer . . . 12. Schaffhouse - 13. Trnmclan . .
ToIaI Plus 1899 Moins 1899 Berne, le 11 a
Bottes de montres poinçonnées Bottes d'or
1898 5.639 91.737 5.790 1.536 3.228 405 18.987
— 3.771
1 2.030 104
— 133.228
—
— vril 1899.
1899 6.594 110.185 5.(519 1.882 2.794 389 19.825
— 4.437
— 1.974
•—
— 153.699
20.471
—
Boîtes d'argent 1898 1899 119.080 106.088
21.018 22.344 39.441 38.100 87.830 9.671 9.313 96.373 98.481 58.019 23.601 123.140 74(5.411
—
—
13.784 16.445 39.157 3(5.829 101.388 14.176 8.513 100.064 104.643 56.644 22.164 113.564 733.459
— 12.952
Total des boites
1898 1899 124.719
112.755 28.134 40.977 41.328 88.235 28.658 9.313 100.144 98.482 (50.049 23.705 123.140 879.639
—
14,2 112.682 12,8! 123.969 3,2^ 22.064 4,6 41.039 4,7 39.623 10.0J 101.777
3,3 34.001 1,1 8.513 11,4 104.501 11,2J 104.643 6,8' 58.618 2,7 22.164 14,0' 113.564
100 I 887.158
— I 7.519
I
12.5 14,0 2,5 4,6 4.5 11,5 3,8 0,9 11,8 11,9 6,6 2,6 12,8 100
0,9
Boîtes payant double taxe, et
çonnement 1898 1899
539 307 12 6 56 131 : —
98 744 303
— 420 2.693
—
535 (506 48 254 12 140 36
— 36 2.735 600
— 534 5.536 2.843
Objets de bijouterie etd'orfèvrerie poinçonnés
1898 1.571
157
— 2 1.308
— 1 1
—
—
— 5.154
— 8.194
— 19.2
1,9 0,0 16,0
— 0,0 0,0
—
— 62,9
— 100
'—
1899 2.227
291 08 2 1.545
— 3 16
—
—
— 4.528
— 8.680
486 25,7
3,4 0,8 0,0 17,8
— 0,0 0,1
—
— 52,2
100 6,0
Essais de ingots d'or et d araent 1898
568 2.206 156 122 1 185 142 11 120 130 117 78 119 3.955
— 14,3 55,8 3,9 3,1 0,0 4,7 3,6 0,3 3,1 3,3 3,0 1,9 3,0 100
—
1899 529 2.394 125 107 3 216 139 40 130 187 205 104 114 4.293 338
Bureau fédéral des matières d'or et d'argent.
12,3 55,8 2,9 2,5 0,0 5,0 3,2 0,9 3,0 4,4 4,8 2,5 2,7 100 8,5
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