• Aucun résultat trouvé

DIX MILLE BRASSES DE COURAGE

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "DIX MILLE BRASSES DE COURAGE"

Copied!
22
0
0

Texte intégral

(1)
(2)
(3)

DIX MILLE BRASSES

DE COURAGE

(4)

du même auteur aux Éditions Magnard

LES MARCASSINS Grand Prix de Littérature du Salon de l'Enfance 1965

(5)

DIX MILLE BRASSES DE COURAGE

Yves Pélerin

Illustrations de Xavier SAINT-JUSTH

f a n t a s i a m a g n a r d

122, boulevard Saint-Germain. Paris 6

(6)

A Jean Caubet qui guida ma main d'écolier, me fit aimer les arts, les lettres, la nature.

A Léonce Bourliaguet homme de bien, homme de paix, pédagogue hors du commun.

A v o u s d e u x , m e s b o n s m a î t r e s , m a r e c o n n a i s s a n c e .

© by Editions Magnard, Paris, 1970.

(7)

PREFACE

1610 - 1627

Dix sept ans d'une histoire dans l'Histoire de France.

Un jeune Roi, Louis XIII, fils ainé d'Henri IV, à qui heureusement les historiens d'aujourd'hui redonnent sa vraie place et reconnaissent ses mérites à la tête de la France d'alors.

Un Roi longtemps méconnu, écrasé croyait-on, par la personnalité de Richelieu.

Pour ce Roi atteint d'une maladie incurable depuis l'âge de vingt ans, un jeune de notre pays a tenté l'impossible.

Pour Louis XIII qui voulait par dessus tout le bien et le bonheur de son peuple, un petit Gascon a réalisé un des plus grands exploits physiques imaginable.

Ecoutez son histoire. C'est une histoire vraie.

(8)
(9)

les avait créés.

1 EAN Lanier ne dormait pas. Du

reste, avait-il dormi cette nuit là ? Cette nuit comme tant d'autres où, dans le noir, le froid, le silence troublé de tant de criquetis (1), ses soucis pre- naient une importance telle qu'il lui semblait en perdre la raison. Dans quelques semai- nes l'hiver serait là. Et jamais Jean Lanier n'avait connu un tel découragement à l'approche de la triste saison. Cet- te année pas de provisions de bois sous la cahuette (2) couverte de chaume jouxtant le logis. Les labours à peine commencés, vite abandonnés. Tout accablait le pauvre homme. Bientôt 1620. Bientôt dix ans que le bon roi Henri, l'ami et le défenseur des paysans avait disparu sous le couteau de Ravaillac.

(1) légers craquements (2) petite cabane ou cahute

(10)

Dix années et depuis que de drames !

Finie la paix précaire si patiemment construite par le Béarnais. Finie la trêve entre parpaillots et papistes (1).

Chacun s'était réarmé. Les villes renforçaient les forti- fications. Les esprits étaient fous d'un côté et de l'autre.

La France retombait dans ses disputes de clochers, de communes, de provinces. L'Edit de Nantes si difficile- ment accepté par les uns avait été très vite oublié par les autres. Ici et là le soldat redevenait le maître. La terre n'était que fraitis (2). Les troupes en marche pratiquaient partout la picorée (3) et personne n'avait pouvoir de les en empêcher.

Jean Lanier secoue la tête comme pour en chasser ses cauchemars, écarte la vieille couverture et prend appui sur un avant-bras. Sous la porte, un filet froid s'insinue, fouille les moindres recoins de la pièce et s'élève vers le lit du maître de céans qui frissonne. D'un geste vif, Lanier repousse la literie et saute sur le sol de terre battue. Il fait sombre. A tâtons il s'approche de la cheminée. Ses doigts dans le noir lui révèlent l'objet, le mur, le recoin, le meuble familler. Le voici près de l'âtre. De ses grosses mains, il arrache une branche dans le fagot et fouille la cendre chaude. Quelques braises rougissent aussitôt at- tisées par le courant d'air de la porte. Jean Lanier jette entre les gros chenets de fer une brassée de bois. Accrou- pi, il souffle pour activer le feu. Le grislement (4) s'ac- centue. Timide tout d'abord, la flamme s'enhardit puis, vorace, attaque le petit bois sec.

(1) protestants - catholiques (2) friche

(3) pillage

(4) crépitement de brindilles enflammées

(11)

Pesamment, le paysan se relève, regarde un moment le feu, cet ami des pauvres et des humbles. La pièce, éclairée par la danse des flammes est sortie de la pénombre.

Jean Lanier tâte ses habits mouillés de la veille et qui sèchent sur une barre de bois suspendue au plafond par deux cordelettes de chanvre. Satisfait, il attrape d'abord les bas qu'il passe en sautillant tantôt sur un pied, tantôt sur l'autre. Puis il enfile les braies, sorte de culotte très ample, serrées par des lanières sous les genoux. Ainsi habillé le maître du logis n'a plus l'air ridicule qui était le sien lorsqu'il évoluait tout à l'heure avec sa très longue chemise battant ses mollets. Au contraire. La chemise serrée, on devine maintenant le torse puissant, les solides épaules, les jambes fortes et musclées habituées à la mar- che, à l'effort.

Jean Lanier chausse ses deux énormes sabots de bois garnis de paille, et retrousse ses manches malgré le froid du matin. Le feu éclaire son visage buriné et soucieux que n'arrive pas à adoucir la longue chevelure tombant sur les épaules.

— Païe ! (1)

D'un recoin de la pièce, une voix brouillée de sommeil appelait.

— Te voilà réveillé mon Pierre et je n'ai pas encore trait la Rousse.

Jean Lanier, un léger reproche dans sa réponse, se retourne à l'appel de son fils.

Tous deux vivaient seuls dans la petite maison com- posée d'une pièce. La mère, disparue depuis sept ans lors d'une épidémie de peste, avait laissé seul le paysan qui (1) père en patois

(12)

élevait son fils unique avec une tendresse et un dévoue- ment admirables. Bien souvent la présence de Pierre l'avait retenu de s'engager dans l'armée royale. Les malheurs, la misère des paysans de l'époque lui en avaient donné de multiples occasions. Mais au dernier moment, son fils, la pensée de l'avenir de son fils, la protection de l'enfant dans ce monde en folie l'avaient empêché de donner suite au projet. Lui tué, qui se serait occupé de son héritier ? De plus il y avait son maître, le gentilhomme Arnaud Bourillon qui comptait pour beaucoup dans sa décision.

Rares en effet étaient les nobles ou les riches fermiers possédant les qualités de cœur d'Arnaud Bourillon. Les paysans travaillant sur ses terres n'avaient pas la sensa- tion d'être les héritiers des serfs comme c'était le cas dans beaucoup d'endroits encore.

Non !

Arnaud Bourillon soutenait ses travailleurs, les payait convenablement, les protégeait avec ses gens d'armes.

Son autorité, sa bravoure gasconne, dépassaient les fron- tières du cercle de Basse Guyenne. Il était catholique, mais les protestants le respectaient car il admettait, tolérait et s'inclinait devant les idées, les croyances d'autrui. A la Saint-Barthélémy quoique très jeune, — il avait à peine 20 ans — il n'avait pas hésité à sauver et protéger quel- ques-uns de ces pauvres diables voués à la fureur bestiale des hommes.

Dès lors, il fut Arnaud « Le Bon ».

Seulement, malgré l'affection qu'il portait au maître, Lanier, homme dur et courageux, ne pouvait que trem- bler chaque jour davantage devant l'amoncellement des nuages sur notre pauvre pays. Les rondes continuelles d'Arnaud Bourillon entouré de ses gens n'arrivaient pas à empêcher les pillards de saccager les récoltes, de voler

(13)

dans les fermes et de tuer ou de torturer les paysans. La situation se détériorait de jour en jour à un point tel qu'il n'était plus possible d'envisager un travail régulier. Les terres les plus éloignées, depuis de longs mois, ne con- naissaient plus la charrue. Pourtant, Monsieur Bourillon préférait laisser subsister cet état de choses, plutôt que d'exposer la vie de ses laboureurs.

Jean Lanier pensait en partie à cela en s'approchant du lit de son fils.

De ses petits bras, l'enfant entoura le cou de l'homme qui le souleva lentement. Assis en tailleur, son sourire était franc.

— Ouvre la fenêtre, Paie, pousse le contrevent.

— J'y vais, mon Pierre, mais attache ton lacet de chemise. Il fait froid ce matin.

Le contrevent rabattu, le petit jour clair apparut. Une très belle journée en perspective songea Lanier en reve- nant vers l'enfant.

— Dis-moi Païe, le laboureur des soucis t'a encore tra- cé des sillons supplémentaires sur le front. Je le maudis, ce drôle !

Avec un petit air de reproche, Pierre s'adressait à son père tout en suivant du doigt les grosses rides. Le brave homme sourit puis s'abîma à nouveau dans ses sombres pensées. Pesamment, il s'assit à côté de son fils.

— Allons Paie, chasse tous ces soucis. Je vais vite me préparer et souviens-toi, tu m'as promis que s'il faisait beau aujourd'hui, nous irions labourer à Monsalès près de chez Monsieur Bourillon.

— Tu as raison, fils, allons-y ! Ah ! Seigneur, si je ne t'avais pas comme maître pour me commander, que de- viendrions-nous ?

Et tous les deux éclatèrent de rire en s'étreignant.

(14)

Le pot de lait chaud fourni par La Rousse fut vite avalé. Pierre s'était encore plus vite habillé. Mais plutôt que de prendre les sabots, le temps étant clair, il enfila ses bobelins, chaussures grossières à lacets, avec lesquelles il était plus facile de courir.

Devant la grange, Jean Lanier attelait Casta et Bermé, deux très belles vaches Garonnaises, bien nourries, solides au travail et que le repos forcé dû aux évènements faisait engraisser de belle manière.

— Allez ! drôle, en route ! Approche là que je te fasse grimper sur ton amie. As-tu pris la musette, au moins ?

— Mais oui, Paie, bien sûr. Sans oublier l'oignon et le bacon (1).

Pierre, dans le foyer, se chargeait le plus souvent de la cuisine. Il est vrai que pour ses dix ans, celle-ci ne soule- vait pas de gros problèmes. Les deux pauvres paysans ne connaissaient que très rarement le bonheur d'une bon- ne table et Pierre n'avait pas à se compliquer l'existence pour les repas. Les soupes, avec un mince morceau de lard fumé, se composaient toujours de légumes saison- niers. Dans le bouillon, on trempait des morceaux de fouace, la galette de froment cuite sous la cendre. Les légumes suivaient accompagnés de pain frotté de lard et largement aillé. Une fois par semaine environ, un poulet, ou un pigeon agrémentait l'ordinaire. Malheureusement on ne pouvait conserver longtemps les restes, ce qui ne permettait pas plus de deux jours de bombance.

— En route, Maître Pierre, la journée sera dure.

Marchant devant l'attelage, Jean Lanier l'aiguillon sur l'épaule, rythme l'avance des bêtes. L'air est de plus en plus froid avec le lever du jour. Deux fois déjà, des (1) lard saié

(15)

palombes en vol rapide sont passées sur leur tête se diri- geant vers les cols des Pyrénées. Juché sur sa monture, Pierre avec fierté redresse sa petite taille. De la main, il caresse fréquemment le flanc de la bête. Chez lui tout est sourire, insouciance, bonheur. Il n'en est malheureu- sement pas de même de son père. Jean, inquiet, tourne fréquemment la tête d'un côté, de l'autre. N'a-t-il pas aperçu tout à l'heure près du fossé de Janat, plusieurs hommes allongés, enroulés dans des couvertures en gue- nille ? Près d'eux. il avait discerné même des armes.

Sans aucun doute, ces citoyens-là n'ont rien de paisibles voyageurs, ni de soldats rejoignant leur corps. Sans cela ils eussent dormi sous un bon et honnête couvert.

Jean Lanier n'est plus très loin maintenant de la grosse ferme fortifiée de son maître Arnaud Bourillon.

Et voici qu'arrivent soudain plusieurs cavaliers. Lanier guide son attelage sur le côté du chemin, car il ne fait pas bon gêner certains de ces Messieurs. Ils ont le cuir facile au bout du poing pour fouetter au passage les gê- neurs. Bien vite toutefois le paysan sourit. Il a reconnu à la tête du groupe Thomas Gasquet, régisseur de Mon- sieur Bourillon. Lanier arrête ses vaches et salue les arri- vants.

— Bonjour Thomas, salut vous autres !

— Bonjour Lanier, j'allais justement chez toi. Adieu, toi, Lanier le fils. Te voilà encore grandi depuis un mois que je ne t'ai vu. Tu pourras bientôt attraper les cerises sans monter aux arbres.

Tous les cavaliers s'esclaffent, la petite taille de l'en- fant ne lui permettant pas encore ce genre d'exploit.

— Dis-moi Lanier, tu vas te diriger vers Monsalès et y commencer le labour.

(16)

— C'est justement là que je me rendais.

— Parfait. Nous y avons apporté la charrue. Le maître du reste te rejoindra car il doit aller à la ferme des Capi- taines. Pour notre part nous allons tourner toute la jour- née en mission de surveillance. On signale de plus en plus de pillards. Dans le cas où tu verrais approcher ces brigands, abandonne tout et cours te cacher. Nous passe- rons environ quatre fois près de toi. Allez brave homme, bon courage et bon travail. Salut !

— Salut à toi Thomas, salut à vous les amis. Dieu vous garde !

Eperonnés, les chevaux bondirent soulevant quelques cailloux de leurs gros sabots solidement ferrés.

Lanier à son tour repartit. On le sentait soulagé, rassu- ré par cette rencontre et par la force que dégageait la troupe de cavaliers. Allons : Tout n'était pas si sombre.

Une bonne moitié du champ retourné offrait ses sil- lons fumants au soleil lorsqu'arriva Monsieur Bourillon sur un superbe cheval à la longue crinière non taillée.

Devant lui, bien calée et retenue d'une main par le cava- lier, une petite fille dont les très beaux yeux bleus, rieurs, attiraient tout de suite l'attention.

Monsieur Bourillon, et sa fille Claire, deux insépara- ble amis, que l'on rencontrait partout.

Les méthodes d'éducation d'Arnaud Bourillon ne plai- saient absolument pas à sa compagne, la frêle et craintive Agnès. Elle désapprouvait pour sa petite fille de neuf ans, cette vie faite de longues courses à cheval, à travers les dangers de l'époque, dans cette continuelle insécurité du pays. Tout cela terrorisait la pauvre femme.

— Aux plaintes de son épouse, Arnaud répliquait: « Ne vous inquiétez pas, douce amie. Dans le siècle où nous vi-

(17)

vons, plus il y aura d'êtres forts, de gens de caractère, plus vite nos campagnes retrouveront leur calme. Les filles de ce pays autant que les hommes ont leur mot à dire. Je n'ai pas oublié l'exemple de Jehanne la Lorraine, ni celui de Jehanne Hachette. Tranquillisez-vous donc et croyez que nos gens sont fiers de l'héritière d'Arnaud Bourillon. »

Que répondre à ces arguments ? Agnès soupirait, bais- sait les yeux et, en silence, acceptait son calvaire moral.

— Salut Lanier. Salut à toi aussi fils de Jean. Comment vont nos terres et nos bêtes mon bon ami ?

— Bonjour à vous notre maître. Les bêtes vont bien, les terres moins. Tout s'arrangera, je l'espère. Mais à ce que je vois votre demoiselle s'est bien tôt levée. Cest bien ça petite Claire !

— Dis-moi, Jean, acceptes-tu que je te la confie en gar- de? Il y a tellement longtemps que ton Pierre n'a pas joué en sa compagnie. Et tu sais très bien que tous les deux font une sacrée paire de complices.

Le paysan sourit tout en aidant la fillette à descendre de la monture. Il appréciait la simplicité de son maître.

Avec lui, pas de crainte à avoir. Paysans, citadins, bour- geois, militaires, tous étaient des hommes. Certains plus fortunés, mieux nés sans doute, mais tous égaux. Voilà pourquoi dès son jeune âge, Claire se voyait imposer de vivre avec les humbles. L'enfant aimait cette vie, et sur- tout les jeux des petits paysans.

Monsieur Bourillon après un baiser à sa fille, une soli- de poignée de main à Lanier, tourna bride et rapidement s'éloigna.

Le soleil haut maintenant dans le ciel chassait la fraî- cheur du matin. Jean Lanier, courbé sur sa charrue, alignait les sillons. La terre grasse, d'un brun noir, luisait

(18)

une fois retournée. Pierre et Claire, pendant un moment s'étaient amusés à suivre pieds nus le laboureur. Mais bien vite ils avaient rejoint la grosse haie qui était une de leurs terres de jeux favorites où l'on trouvait tant de trésors.

Les nids d'abord, de toutes sortes. Ah ! ces nids ! com- bien d'heures d'observation passèrent les deux enfants, au printemps, allongés sur une branche, pour regarder les oiseaux, la couvée, la nourriture des petits ensuite. Com- bien de ruses fallait-il pour ne pas les effaroucher ? Les fruits sauvages, cerisiers aux petites baies acides, pru- neaux de buisson noir, néfliers, noisetiers, leur permet- taient des festins royaux. Ajoutons à cela les cabanes réalisées au plus profond de la haie. Cabanes somptueu- ses, aux murs de branches entrelacées bourrées de paille ou de foin, au sol net de toute herbe avec dans un coin, reposant sur un caillebotis de bois, la réserve de fruits, de légumes. Pour l'heure toutefois, cette réserve se trou- vait dans un piteux état. Pourris les fruits, à cause des guêpes et autres frelons, disparues les noisettes et les noix.

Aussi, les deux enfants prirent-ils le parti de restaurer la cabane, car elle avait tout de même souffert en leur absence. Pierre se glissa à quatre pattes entre les buissons épineux et rapporta des branches que Claire s'ingéniait à placer dans « les murs ».

— Pierre, vite, reviens !

A l'appel de la fillette, l'enfant sursauta. Péniblement il se dégagea de l'enchevêtrement feuillu où il se trou- vait et se dirigea vers Claire.

— Attention ! Pierre, ne remue pas trop, souffla sa camarade.

Et Pierre comprit.

(19)
(20)
(21)

collection fantasia cheval vert à partir de 13 ans 1620 - La France est déchirée par un renouveau des guerres de religion. A dix-sept ans, Pierre Lanier s'engage dans les armées du Roi Luois XIII et rejoint l'île de Ré convoitée par les Anglais.

Après trois mois de siège, il tente un exploit jugé impossible : nager 17 km depuis l'île, à travers les chicanes anglaises, pour atteindre la côte française...

En fin de volume le bon-visa à découper et à coller sur le passeport fantasia

(22)

Participant d’une démarche de transmission de fictions ou de savoirs rendus difficiles d’accès par le temps, cette édition numérique redonne vie à une œuvre existant jusqu’alors uniquement

sur un support imprimé, conformément à la loi n° 2012-287 du 1er mars 2012 relative à l’exploitation des Livres Indisponibles du XXe siècle.

Cette édition numérique a été réalisée à partir d’un support physique parfois ancien conservé au sein des collections de la Bibliothèque nationale de France, notamment au titre du dépôt légal.

Elle peut donc reproduire, au-delà du texte lui-même, des éléments propres à l’exemplaire qui a servi à la numérisation.

Cette édition numérique a été fabriquée par la société FeniXX au format PDF.

La couverture reproduit celle du livre original conservé au sein des collections de la Bibliothèque nationale de France, notamment au titre du dépôt légal.

*

La société FeniXX diffuse cette édition numérique en accord avec l’éditeur du livre original, qui dispose d’une licence exclusive confiée par la Sofia

‒ Société Française des Intérêts des Auteurs de l’Écrit ‒ dans le cadre de la loi n° 2012-287 du 1er mars 2012.

Références

Documents relatifs

Conjugue les verbes suivants à toutes les personnes du passé simple : donner – sauter.. Conjugaison : conjuguer des verbes du premier groupe au passé simple

En effet, on ne peut envisager un bou- leversement dans des domaines aussi différents que la science des matériaux, l’électronique et les technologies de l’information, la biologie,

ou avec le corps de Rihanna et la tête de Jean-Marie Bigard ?.. Tu préfères être un suppositoire ou une

(l''! -dorinèrenl des ',rb~ide~ el qu! finirent par ,'el;drc ces courS ohligaloires. les ouvriers n'ont plus rien il dire, Et ils ne bronchent pa.". EL copcndaut l'homme, même

Avant de te lancer dans la lecture de LA PLUS GROSSE POUTINE DU MONDE, tu dois prendre le temps de bien connaitre le document avec lequel tu travailleras.. Les informations se

C’est en ce sens que nous déploierons nos richesses pour faire d’un SSV d’origine, un engin capable d’aller au bout des 2000 kms de pistes marocaines.... Un soutien

Pour des retraités comme Nelly et Roland, la cueillette n’en sera que plus aisée et moins périlleuse .De plus, la sève brute se répartira dans les branches restantes, les

Tissus mérinos double face (écossais et uni) rose ou or. Livré sous housse plastique et cartonnage luxe. Fer:m.é dimanche et lundi matin. Complet avec pile. Supplément