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Exposition de 1900

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V' - V ..

Les Consulats suisses à l'étranger reçoivent le journal.

pa

Douzième Année.— N0103.

P r i x d u n u m é r o 1 0 c e n t i m e s .

Mardi 28 Décembre 1897.

B u r e a u x : R u e d e l a S e r r e , 5 8 .

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» de l'étranger 25 » » Minimum d'une annonce 50 cent.

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O r g a n e d e l a S o c i é t é i n t e r c a n t o n a l e d e s I n d u s t r i e s d u J u r a , d e » C h a m b r é e d e c o m m e r c e , d e s B u r e a u x d e c o n t r ô l e , e t d e · S y n d i c a t s p r o f e s s i o n n e l s ·

Collectivisme et coopératisme Nous avons reproduit; dans notre nu- méro d u %i courant, un article du ré- dacteur d'un journal socialiste suisse, le D' Hans Millier, qui s'élevait contre les tendances centralisatrices et élatistes du parti démocrate socialiste.

Au même moment paraissait, dans Y Emancipation, un intéressant article, qui, à propos de la verrerie ouvrière d'Albi, t'ait le procès d u collectivisme auquel conduit fatalement l'étatisme et qui indique la coopération comme une solution du problème social.

Nous avons lait ressortir plus d'une fois, dit M. de Boyve, l'auteur de l'ar- ticle en question, la nécessité de répan- dre l'instruction économique parmi les coopératcurs qui, ignorant bien souvent le b u t qu'ils poursuivent, ne peuvent distinguer le fossé qui sépare le collec- tivisme du coopératisme.

Cette ignorance paralyse notre mou- v e m e n t !

Mais, comment se former une opinion, quand d e s députés, voire même u n an- cien ministre, viennent proclamer, sur ce sujet, les idées les plus fausses.

Je viens de lire, dans le Voltaire d u 20 novembre, un article où l'auteur, M. Mesureur, se lamente sur le sort de la verrerie d'Albi et sur la douleureuse décision prise d'opérer une retenue de 50 % s u r le salaire quotidien des ou- vriers et d e 20 °/o s u r celui des femmes et d e s enfants.

Nous déplorons, nous aussi, cette di- minution de salaires qui va être la cause pour ces malheureux travailleurs de beaucoup de privations.

Mais nous nous séparons entièrement de M. Mesureur, quand il déclare « q u e la cliùle de la verrerie d'Albi serait un échec p o u r la c o o p é r a t i o n » : cette affir-

mation est une grosse erreur. Celte er- reur continue, quand M. Mesureur, qui n'est pas collectiviste, ajoute « que le succès de la verrerie d'Albi aurait été le démenti le plus retentissant d o n n é aux doctrines sociales professées par les initiateurs qui o n t proclamé, maintes fois, la nécessité d'une refonte complète de Ia société, de ses lois et d u régime de la propriété. »

La verrerie d'Albi est,, nous le décla- rons, un essai collcctivisfe fait dans des conditions exceptionnelles de réussite, avec des capitaux considérables, et non pas une tentative coopérative. Son suc- cès serait, au contraire, tout à l'avantage des idées de ses initiateurs et mériterait d'attirer l'attention de tous les hommes de bonne foi.

Dans la verrerie ouvrière, les ouvriers sont de simples salariés ; 60 % des bé- néfices sont attribués au capital-actions, à titre de dividendes, et les souscripteurs d'actions ne sont pas les travailleurs eux-mêmes, mais des syndicats, des groupements, des collectivités diverses.

Les 4 0 % restant doivent servir à d o n n e r des secours, des pensions de retraite, selon l'usage dans certaines maisons pa- tronales.

Notre système coopératif est tout au- tre : — il donne aux travailleurs la part de bénéliees qui leur revient et il entre- tient ainsi entre eux l'émulation néces- saire, sans laquelle aucun progrès n'est possible, tout en resserrant, par la pour- suite d'un idéal commun, les liens qui les unissent.

Kn pratiquant n o s principes coopéra- tifs, ceux qui sont encore salariés à ce jour, arriveront, peu à peu, à devenir

propriétaires: c'est la généralisation de la propriété individuelle et l'abolition progressive du salariat — c'est l'appli- cation de notre devise: — Tous pour chacun, chacun pour tous.

A la verrerie d'Albi, au contraire, on travaille p o u r la collectivité et les ou- vriers sont de simples salariés, c'est l'application des principes collectivistes qui o n t pour but. l'abolition de la p r o - priété individuelle, de Ja grande d'abord, de la petite ensuite, pour faire de tous les citoyens des employés de la Société, travaillant p o u r Elle et salariée p a r Elle, sous la direction de fonctionnaires élus.

On peut se demander ce q u e devien- drait u n pays sous un p a r é ï r r é g i m e de compression.

L'échec de la verrerie ouvrière d'Albi, s'il a lieu, n e sera donc pas u n échec pour la coopération, bien au contraire;

il servira à démontrer encore u n e fois que, dans toute association, l'application de n o s principes est indispensable.

Quand les hommes seront tous d e s anges — ce qui ne parait pas le cas — le système collectiviste pourra être essayé et réussir.

Pour le moment, contentons-nous d e faire de la coopération. Elle a eu ses échecs, sans doute, mais elle peut, p a r contre, se glorifier de succès éclatants, aussi bien en France qu'en Angleterre.

Cela suffit pour nous montrer la voie dans laquelle nous devons marcher.

OE B O Y V E .

Une loi sur les arts et métiers à Zurich

un s'occupe à Zurich, depuis trois ans, de la confection d'une loi sur les arts et métiers et la direction de l'intérieur a soumis, le printemps passé, un projet remanié à la com- mission cantonale pour l'industrie et les métiers.

Cependant ce projet n'a pas été discuté au Conseil cantonal et on attribue ce retard aux nombreuses critiques dont il aurait été l'objet parmi les artisans et le monde des ulîaires.

On cite entre autres, l'article 5 qui est rédigé comme suit :

(2)

5G8 L A F É D É R A T I O N H O R L O G E R E S U I S S E

«Les palrons qui occupent des ouvriers ou

«des ouvrières hors de leurs ateliers, qui leur

«fournissent du travail à domicile, sont res-

« ponsables dans le cas où les locaux d'habi-

« talion servant d'ateliers à ces ouvriers ne

« répondraient pas aux exigences de la loi. » Il n'est guère possible de concevoir une plus grosse énormité, qui équivaudrait à la suppression, de par la loi, de toute industrie domestique et qui, en attendant cette suppres- sion, jetterait dans le chômage forcé et dans la misère, tous les ouvriers qui travaillent chez eux.

Le contrôle des pierres de montres On lit dans la Solidarité horlogère : Permettez quelques mots dans cette ques- tion.

La seule vraie solution serait, a mon avis, une interdiction sévère de fabrication et d'em- ploi de mauvaises pierres, reliée à un contrôle officiel. Une interdiction également contre le commerce de colportage de pierres pour l'hor- logerie à domicile.

On ne colporte pas à domicile d'autres four- nitures de la montre.

La conséquence première de ces mesures serait sûrement une heureuse centralisation de la fabrication des pierres de montres. Je dis intentionnellement une centralisation heu- reuse, car il vaudrait cent fois mieux qu'il y ait moins de fournisseurs de pierres mais plus conséquents, que ce n'est le cas aujourd'hui, où chaque peut vendre son travail au fabri- cant pierriste. Les grands fournisseurs pour- raient avoir leurs représentants et de petits dépositaires qui à leur tour s'en tireraient mieux qu'avec le colportage. Ces grands four- nisseurs pourraient en outre assortir les pier- res de telle façon qu'elles pourraient subir le contrôle-officiel. La meilleure qualité devrait alors être employée dans le pays, et la mar- chandise tarée vendue en Hongrie ou ailleurs, soit à nos fabriques concurrentes. Si l'étran- ger réclame aussi des pierres contrôlées, cela n'en vaudra que mieux et permettra d'autant plus facilement de destiner les mauvaises pierres à leur vrai but: au garnissage des chemins de jardins ou promenades. On ren- drait ainsi un signalé service à l'industrie horlogère d'abord, puis à la branche des pierres plus particulièrement.

Il n'en résulterait pas une augmentation bien sensible du prix de la montre, mais bien alors une amélioration notable de sa qualité.

Si au lieu, par exemple, d'une montre de dames à cylindres bon marché qui est pour- vue de 4 soi-disant rubis qui ne sont que quatre misérables grenats avec des trous bruts et délabrés, et dont les pierres se paient de i l à 12 cent., on avait quatre trous a pierres propres, bien polis, en grenat, auxquels on pourrait a aussi juste litre dire rubis qu'on les désigne sous «diamants» en Amérique, et qui coûteraient peut-être 25 cent., ce serait cependant alors une montre et non plus un clou.

Là où la pierre peut être quelque peu plus forte, comme pour les moyennes et dans les échappements pour les montres de grand ca- libre, a l'exception des pierres de balanciers des montres à ancre, on peut tranquillement employer le grenat bien travaillé. Pour les petites montres et les soignées, il va de soi qu'on ne doit employer que de bons rubis ou des saphirs. Le grenat mince se casse facile- ment et occasionne des retenues injustes aux ouvriers (casuel).

On ne peut donc se borner à exiger l'indi- cation de la sorte des pierres, mais bien leur nombre, car on ne servirait guère, de cette façon, l'ensemble, et aucune loi ne sera édic- tée pour quelques fournisseurs de rubis. Les ouvriers et les fabricants devraient se ten-

dre la main pour ne confectionner que des pierres de très bonne qualité ; le paiement équivalent viendrait de lui-même, de même qu'après le contrôle officiel, le contre-contrôle pour ceux qui auraient à faire après aux trous de pierre. 11 serait du reste curieux de savoir si avec l'emploi de meilleures pierres, qui par la force des choses doivent coûter plus cher que la patraque actuelle, on ne pourrait faire tout autant d'économie. Les plus grandes fa- briques suisses en ont tenté l'essai et s'en trouvent bien. Elles imitent en cela les fa- briques américaines.

Je suis persuadé que les petits fabricants y trouveraient aussi leur avantage. Mais ce qui ne se fait pas de bon vouloir devra finalement être obtenu par des moyens légaux. C'est ainsi qu'il avait été procédé pour le contrôle

des matières d'or et d'argent. S.

L'article ci-dessus, — que nous avons reproduit p o u r mettre nos lecteurs au courant de l'état de la question soulevée par la Société des pierristes de Bienne

— ne nous dit malheureusement pas comment sera établi ce contrôle officiel semblable à celui des matières d'or et d'argent.,

C'est grand dommage, car là est le nœud de la question et il ne sera pas possible à nos cercles horlogers, de se prononcer sur l'idée des parlisans du contrôle des pierres de montres tant

et d'élégance — des articles de fabrica- tion a l l e m a n d e ?

Même difficulté de s'y reconnailre dans les outils, dans la coutellerie, dans les instruments de précision. Il serait fort utile de savoir si ce qu'on nous vend comme acier de toute première qualité n'est pas de Ia dernière, sinon du fer.

Il y aurait là de quoi occuper de nom- breux contrôleurs fédéraux. Est-ce là ce que l'on désire et veut-on nous amener, en commençant par les pierres de m o n t r e s , au contrôle de tous les objets de con- sommation quelconque et à l'interdic- tion de vente de tout ce qui ne porte- rait pas l'estampille fédérale ?

La logique, si l'on entre dans les vues des promoteurs du contrôle des pierres, voudrait que l'on poussât l'application du principe jusqu'au bout... le bout, serait la suppression de l'industrie privée et la main inise de l'Etat, avec monopole ex- clusif, sur lous les moyens de produc- tion.

Le problème serait résolu, du moins pour la production indigène, car tout produit fabriqué en Suisse porterait la marque de l'Etal, ce qui ne serait d'ail- pi'on ne saura pas par quels moyens leurs pas une absolue garantie de quali- pratiques on entend l'organiser.

Nous nous demandons aussi, pour- quoi on voudrait l'aire intervenir un contrôle olliciel pour la qualité le nom- bre et la nature des pierres de montres, alors qu'onx'rfe7"parle pas de contrôler d'autres parties de la monlre tout aussi importantes : les balanciers, les assorti- ments, les pignons, les spiraux, etc., etc.

En réalité, dans une montre, lout — sauf ce qui donne l'apparence extérieure

— est essentiel à divers degrés et la marche d'une monlre peut dépendre de la plus ou moins b o n n e exécution de l'une ou l'autre des parties constitutives de cet instrument pour la mesure du temps.

Si donc l'on voulait entrer dans l'idée des promoteurs d'un contrôle officiel des pierres de montres, il faudrait logi- quement en arriver à contrôler de même toutes les parties de la monlre.

Et pourquoi contrôler seulement la montre ? Il y a bien d'autres objets d'utilisation courante et nécessaire, que l'on achète sans savoir toujours au juste si le prix que l'on paie est en rapport direct avec la valeur réelle: sans que l'on soit bien_cxaclement lixé sur la na- ture même des éléments constitutifs du produit, faute de savoir l'apprécier.

Tels, par exemple, les draps pure laine ou mi-laine : les tissus soie ou soie et coton. Dans quelle proportion le co- lon tîgure-l-il dans mainte étoffe dile pure laine ou soie sans mélange ?

Et dans la confection : ne vend-on pas comme étant de provenance pari- sienne, — ce qui en augmente le prix tout en valant un certilical de bon goût

le, mais une cerlilude de renchérisse- ment des prix de revient.

Alors, que ferions-nous des articles similaires de provenance étrangère? Leur fermerait-on la p o r t e ? ce qui aurait pour conséquence (pie l'étranger fermerait la porlc aux n o i r e s !

Voilà pourtant où nous conduirait Ia maladie de centralisation et de bureau- cratie qui sévit dans certains milieux.

Le bon sens du peuple suisse en fera justice.

La chambre suisse de commerce le rachat des chemins de fer

et la Banque d'Etat

A propos d'une correspondance de Berne au Journal de Genève, la Cham- bre suisse du commerce a adressé, à ce journal, le communiqué suivant :

Les 17 et 18 décembre a eu lieu, à Berne, sous la présidence de M. le con- seiller national Cramer-Frey, une assem- blée de la Chambre du commerce suisse.

Il fut premièrement décidé de soumettre aux sections une proposition tendant à ce que la Société commerciale el indus- trielle suisse s'abstint comme telle de toute manifestation d'opinion ultérieure dans la question du rachat. Les différen- tes sections seraient donc libres de prendre position comme elles l'enten- dront dans celle circonstance. La Cham- bre de commerce elle-même s'est pro- noncée, avec dix voix contre une, poul- ie rachat des chemins de fer.

L'assemblée s'est ensuite occupée d'un projet de loi élaboré par le prési- dent, relatif à la création d'une banque centrale d'émission. Différentes commu

(3)

LA F E D E R A T I O N I i O R L O G E R E SUISSE 5(59 nications, en partie erronées, ont été

laites à la presse, concernant ce projet et les décisions de la Chambre de com- merce. Comme ce ne sont pas les or- ganes spéciaux de la Société commer- ciale et industrielle suisse, mais cette

société elle-même qui s'est engagée à s o u m e t t r e au Conseil fédéral u n projet relatif à une banque centrale par actions, également prévue par l'art. 39 de Ia Constitution fédérale, il ne sera possible

•de donner des indications précises sur Ja base et l'organisation de cette banque que lorsque les délégués de la société se seront prononcés sur le projet de la C h a m b r e de commerce.

Ce projet sera premièrement commu- niqué aux banques concordataires suis- ses, puis aux sections de la Société suisse du commerce et de l'industrie : il l'era l'objet d'une assemblée extraordi- naire des délégués de cette société qui a u r a lieu au commencement de mars

1898.

Conseil fédéral

Lc Conseil fédéral a réparti les Dé- partements pour 1898 de la manière sui- vante : Département politique M. Ru(Iy, suppléant M. Millier; Intérieur M. Laché- nal, suppléant M. Deucher; Justice et police M. Brenner, suppléant M. Z e m p ;

militaire M. Millier, suppléant M. Rufl'y;

Finances et douanes M. Hauser, sup- pléant M. B r e n n e r : Commerce, indus- trie cl agriculture M. Deucher, sup- pléant M. Làchenal; Postes et chemins de fer M. Zemp, suppléant M. Hauser.

Exposition de 1900

Le secrétaire général du commissariat général de la Suisse à l'Exposition uni- verselle de Paris n'est pas M. Boos- Jegher, comme on l'a annoncé, mais M.

Jegher, ingénieur à Zurich.

Nouvelles diverses

Exposition de 1 9 0 0 . — Des conférences ont eu lieu, ces derniers jours, entre des financiers de Genève et de Zurich, au sujet de la construction d'un grand village suisse, analogue à celui de l'exposition de Genève, à l'exposition universelle de Paris en 1900. Le consortiume est définitivement constitué.

T r a i t é de c o m m e r c e . — Le Sénat fran- çais a adopté le traité de commerce avec le Japon.

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cide salicylique. Les objets sont rapidement badigeonnés avec un linge. On répète la même opération le lendemain, mais cette fois, on fait sécher rapidement dans un endroit chaud, puis on donne à l'objet une légère couche de siccatif à l'huile. Celte dernière manipulation doit également être faite deux ou trois fois, en ayant soin que chaque couche de siccatif soit uniforme.

M a n i è r e de d i s t i n g u e r le f e r de l'acier.

• Si l'on dépose pendant quelques minutes une goutte d'acide sulfurique sur de l'acier, et que l'on rince l'objet après, il reste une tache noire, tandis que sur le fer il se produit une tache grise en faisant la même opération.

La différence provient de la grande quantité d'acide carbonique contenue dans l'acier, tan- dis que le fer en contient très peu. Cet essai est utile pour éprouver la dureté de l'acier et le bon acier se reconnaît a ce que la lâche noire se produit très rapidement. On ne peut opérer que sur des objets terminés et polis où l'on a soin de ne laisser tomber que le moins d'acide possible, afin de ne pas déprécier l'objet. Dans le cas où celui-ci aurait été en- duit d'une légère couche de graisse pour le préserver de la rouille, il faut l'essuyer con- venablement pour permettre à l'acide d'agir.

Une autre précaution éprendre, c'est de ne pas essuyer la tache noire faite par l'acide sulfurique, mais de la rincer simplement à l'eau. (La Science pratique.)

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