La Chiujc-de-Fonds, Samedi 6 Décembre 1930. ureauje; Rue de la Serre 58. Quarante-cinquième Année. — I I

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La Chiujc-de-Fonds, Samedi 6 Décembre 1930. ureauje; Rue de la Serre 58. Quarante-cinquième Année. — I I

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96. U Ï E D É M N HORLOGÊRE

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La conférence économique inter- nationale de Genève

L a conférence économique a terminé ses travaux.

En douze jours, du 17 au 28 novembre, elle a liquidé un ordre du jour volumineux. Mais elle n a pas réalisé l'action concertée de son titre.

Quels sont ses résultats?

L a convention de trêve douanière, plus simplement convention commerciale, n'est pas mise en vigueur.

Les dix ratifications obtenues sont insuffisantes.

On espère qu'en reportant au 25 janvier 1931 les délais précédemment arrêtés au 1er novembre 1930, les adhésions supplémentaires nécessaires auront été obtenues.

L e progrès des « négociations ultérieures », n'est guère plus marque.

D'abord le traitement des étrangers. Echoué à Paris, il retombe à Genève. O n estime que la question sera plus mûre pour une conférence qui doit être prochaine.

L a requête des Etats agricoles de l'Est euro- péen a été maigrement prise en considération. O n trouve parfait, en principe, d'organiser le commerce des céréales; très bien, également, d'en- faire autant pour le crédit agricole. Mais on réduit, à trois re- prises, les possibilités de réaliser une entente euro- péenne avec les industriels de l'Occident, en limi- tant, celle-ci, d'abord, territonalement, aux seuls importateurs participant au trafic oriental, ensuite, quantitativement, en réclamant la fixation de contingents déterminés; enfin, juridiquement, en quelque sorte, en soumettant les accords futurs à L'assenti- ment des gros concurrents agricoles d'Outre-mer:

le Canada, les Etats-Unis et l'Argentine. L a mise

Feuilleton

L'Industrie horlogère allemande.

4. Fluctuations économiques.

Hue statistique exacte et fructueuse des mouvements clos affaires, en regard des conditions écono- miques, n'a été établie, par l'association centrale que

• depuis 1127. La courbe est basée seulement sur la valeur des ventes et n'est pas établie d'après le genre des produits ni d'après la consommation inté- rieure ou extérieure.

Toutefois, comme les affaires d'exportation sont île beaucoup les plus importantes, les fluctuations résultant des conditions économiques peuvent être basés, pour 1925 à 192S, sur le chiffre d'exportation.

En fixant la moyenne des années 1925-1926 a 100, on constate qu'en 1925, la courbe qui descendait en janvier à 04, monte en juin à 190, pour redes- cendre en juillet à 75 et remonter en décembre à SS. Pour les autres années, les fluctuations vont de 67 en février 1926, pour atteindre 123, en septembre 1928.

Les chiffres relatifs au chômage reflètent les dif- ficultés d'écoulement des produits pendant les an- nées 1026, les premiers mois de 1927 et ensuite de l'année 1929.

En 1925, dans l'industrie horlogère, le nombre des

an garde des Etats agricoles, à la dernière séance, sur les dangers de reporter à plus tard une action de secours aux paysans donne la mesure de la satisfaction des intéressés.

L a démobilisation des tarifs ne semble pas plus avancée. L a remarque que de 1927, la première conférence économique internationale, à aujourd'hui, la moyenne des tarifs douaniers est devenue plus agressive — taux industriels stationnaires, agricoles accrus — paraît avoir très légèrement ému. Toute- fois, des négociations — que de négociations! — commencées ici-même, vont se poursuivre; les unes bilatérales, selon la proposition hollandaise, plus réaliste, les autres plurilatérales, selon la proposition britannique, au surplus parfaitement soutenable en certains cas. Quel que soit le système adopté, un accord profitera aux tiers en vertu de la clause de la nation la plus favorisée, point encore condamnée.

Comme l'a ténonsé le président de la conférence, M . Colijn, ces négociations seront la pierre de touche de l'esprit de solidarité des Etats. U n échec entraînerait, sans nul doute, le renversement de la dernière ligne de défense libre-échangiste d'importance, formée par la Grande Bretagne et les Pays- Bas, le déclanchement du conflit tarifaire mondial latent, que l'action de la S. d. N . , tant critiqué pour- tant, a retenu jusqu à présent, puis la guerre tout court, d'après la formule usuelle. Qu'on n'en soit pas encore là est prouvé par le bon espoir de M. N e - derbragt, de la délégation hollandaise, que nous avons pu rejoindre et qui se flatte d'apporter déjà quelques certitudes à son gouvernement.

L a convention sur les prohibitions — le titre est décidément trop long — entrerait dans ce qu'on pourrait appeler les négociations antérieures. Elle n est toujours pas signée. Mais l'expectative ac-

des chômeurs partiels de 32,5; en 1926, de 3,018 et 2,812; en 1927, de 1,370 et 1,165;

en 1928, de 427 et 1,107 et en 1929, de 1,096 et 6,545.

II. Structure du commerça intérieur.

L'industrie pendulière place le 40 o/o de ses produits dans le pays et l'industrie de la montre en place le 60 o/o- L'industrie indigène couvre les besoins indigènes en pendules à peu près pour le 100 o/o et ceux en montres pour le 45 o/o environ.

La valeur de la totalité de l'horlogerie consommée en Allemagne, comporte en 1928, 80 millions de RM. qui se partage, en parts égales, entre les montres et la grosse horlogerie.

La structure du marché indigène de l'horlogerie est caractérisée par l'existence d'un commerce d t détail, expérimenté, instruit et bien organisé, ayant conservé, dans une large mesure, le caractère d t l'artisanat.

La voie normale de la fabrique aux clients pour l'écoulement des produits, passe tout d'abord par les grossistes, puis par les détaillants. Il est vrai de dire, qu'en marge, existe toute une série d'autres voies, mais dont l'influence sur le mouvement des affaires est restée peu importante jusqu'ici.

Le commerce de détail est organisé depuis 1870;

celui de gros depuis 1892. L'Union centrale des horlogers détaillants à Halle embrassait, en 192S, 290 organisations locales, soit le 90 o/o des horlogers allemands. Le 72 o/u des membres sonl répartis en

tuelle a quelque chance de ne pas se prolonger.

L a Grande-Bretagne, en effet, a déclaré son inten- tion de supprimer, dès le 15 janvier prochain, la fameuse dérogation sur les matières colorantes. L e parlement suivra-t-il un gouvernement très attaqué?

O n l'ignore. Mais si la mesure s'avérait réalisable, elle entraînerait, vraisemblablement, un geste ana- logue de la part du Japon et, par répercussion, une attitude plus conciliante de l'Allemagne, fortement en cause, dans sa question des droits agridoLs sou- levée par la Pologne. Celle-ci, en adhérant alors, permettrait la ratification de la convention. Est-ce trop beau pour être possible?

C'est superficiellement que le problème non tarifaire a été étudié. C'est le moins qu'on puisse dire de la clause de la nation la plus favorisée, dont la discussion avait été réclamée par le Dane- mark, de la création d'un organisme de conciliation et d'arbitrage commercial, proposé par la France, de la réglementation douanière, du dumping, du protectionnisme indirect, parmi lequel la question vétérinaire, qui fut à l'origine de la guerre de 1914

— conflit austro-serbe des porcs — et qui réappa- raît dans les difficultés pendantes entre l'Allemagne et la Pologne. Soulever tous ces problèmes deux jours avant la clôture paraît une gageure. Il faut se déclarer heureux que l'opposition entre les délé- gations française, proposant la discussion des questions « mûres », et italienne, remettant de confiance la suite de l'étude au Comité économique de la S. d. N . , n'ait pas donné lieu à une querelle nouvelle. U n e fois de plus, la face fut sauvée par un compromis.

Ce bilan n'apporte rien. Certes! Tout de même, il laisse encore de l'espoir. Evidemment, il en est, et ce sera la majorité, probablement, qui retireront 168 corporations avec contrat collectif, 10 «/o en corporations libres et 18 °/o en sociétés indépendantes.

1. Commerce d'horlogerie en gros.

Le nombre des grossistes en horlogerie n'a pu être déterminé exactement. En 1928, l'Association!

des horlogers grossistes allemands, à Leipzig, réunis- sait 178 membres; on suppute le nombre des outsiders à un chiffre égal; il est très variable, car il s'agit généralement d'anciens voyageurs cherchant à se rendre indépendants et qui, souvent, disparaissent n'ayant pas les moyens financiers pour pouvoir se (maintenir. Il y a Idonc, en tout, 350 commerces d'hor-

logerie de gros, plus 120 fabriques entrant en ligne de compte pour le marché intérieur; chaque grossiste fournit, en moyenne, à 40 magasins de détail.

Si on calcule le chiffre d'affaires des succursales de vente des maisons Junghans et Kienzle, celui réa- lisé par les associations horlogères d'achat en commun et qui sont considérées comme grossistes, celui des outsiders et des ventes d'articles spéciaux (montres de contrôle et horloges de tour), on obtient un mouvement de 50 millions, alors que la consommation indigène d'horlogerie dans son ensemble est évaluée à 80 millions.

Le commerce de gros est généralement limité aux produits horlogers; les articles de bijouterie n'entrent qu'en seconde ligne et seulement dans des pro- portions restreintes. Quelques grossistes, spéciale- ment ceux de Hambourg, livrent aussi à l'étranger.

La capacité financière du commerce de gros s'etant

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N» 96. — 6 décembre 1930. L A F É D É R A T I O N H O R L O G È R E SUISSE 949

définitivement leur confiance à oes réunions inter- nationales, généralement stériles. Ce pessimisme, malheureusement, ouvre ia porte aux pires extré- mités, car si les hommes n'ont plus une espérance, si faible soit-elle, de s'entendre, il ne leur reste qu'à chercher à s'imposer leur volonté par. la force.

Il faut être optimiste.

Une occasion unique d'aboutir a, cependant, été perdue: l a crise économique et financière mondiale.

Oui, nous savons, celle-ci a toutes chances de se prolonger. Et, cependant, n'est-ce pas à l'heure de l'échec des solutions nationales qu'il eût été plus particulièrement profitable de faire intervenir 1 entente internationale? L'Europe aussi, se trouvait, pour une fois, presque entièrement représentée — vingt-six Etats, — reviendra-t-elle unanime? L a S.

d. N., enfin, survivrait-elle, de longues années encore à des désillusions réitérées?

Il est vrai que les obstacles n o n t pas manqué.

A commencer par l'ordre du jour, trop chargé, par la procédure, discutable, par l'opposition des mé- thodes, même, et surtout, chez les représentants les plus autorisés de la paix. L a présence des obser- vateurs extra-européens, au nombre de six, n a pas facilité la tâche des experts agricoles.

L'insuccès provient, au fond, de l'égoïsme indé- racinable des peuples, expression collective de 1 é- goïsme individuel. Ce n'est pas que chacun ne soit persuadé d e la folie des barricades économiques, c'est que chacun attend d'autrui la mesure qui doit le sauver. Il s'ensuit une joute oratoire où le plus diplomate doit avoir l'avantage. O n ne ratifie que lorsqu'on n'apporte rien. Au cas contraire, on se donne l'apparence d'adhérer; alors qu'en réalité, le conditionnel dont on s'entoure réduit le geste à néant. C'est la même relativité dans la définition des systèmes douaniers. Se déclare libre-échan-, giste celui qui reste dans une honnête moyenne de PEQtfiçtion,. au surplus sans risque pour lui, alors qu'il glisse, subrepticement, un droit prohibitif sur les matières qui le gênent. Il est, enfin, bien certain que plusieurs pays européens n'ont pas le centre de leur intérêt dans le continent. Si cela est juste de la Grande Bretagne, oelà l'est, plus encore, de l'Espagne ou du Portugal.

Nous résignerons-nous devant l'apparemment iné- vitable? P a s encore. L a crise a déjà suscité plus de compréhension. Les Etats partisans de la protec- tion ont aussi une certaine gêne à en faire l'aveu publiquement. L'impuissance nationale en face d'un mal international et les précisions sur les mesures restrictives de tous conduiront bien un jour — il faut, du moins, l'espérer — au sacrifice spontané de

chacun, seule voie de salut. Ch.B.

Commerce extérieur

Guatemala.

D'après les plus récentes statistiques officielles qui ont été publiées, le commerce extérieur du Guatemala s'est élevé, en 1928, à:

un total de §58,322,453,

dont '.1 28,211,572 pour les exportations, et $ 30jll0,881 pour les importations,

marquant une très légère diminution sur l'année pré- cédente avec une balance défavorable, alors qu'en 1927, les exportations ont dépassé les importations de presque S 10 millions.

Le commerce extérieur du Guatemala qui s'était maintenu aux environs de S 30 millions depuis 1919 jusqu'en 1923, est passé brusquement à § 4 3 millions, cette année-là pour se maintenir ensuite à environ S 57 millions.

En 1927, il était de S 58,477,920.

Chronique du travail

augmentation du chômage. Ce n'est qu'après de nouveaux reculs que le chômage a notablement aug- menté, et encore ne faut-il pas perdre de vue que le chômage partiel s'est accru dans une plus forte mesure que le chômage complet. C'est pourquoi le nombre des chômeurs est actuellement moins important qu'au cours de la période de crise des années 1921 à 1923 et n'est pas beaucoup plus élevé, si l'on fait abstraction des chômeurs partiels, qu'en octobre 1926.

Comparativement au mois correspondant de l'année passée, on constate une augmentation de 8469 de- mandes d'emploi. Participent surtout à cette augmentation l'horlogerie ( + 2313), l'industrie textile

( + 1 5 7 4 ) , le bâtiment ( + 1 5 3 4 ) et l'industrie des métaux et machines ( + 1 0 6 9 ) .

Dans /'industrie horlogère, le marché du travail ne s'est pas sensiblement modifié. 11 demeure défa- vorable. Cependant, le chômage partiel comme le chômage complet n'ont plus augmenté depuis le mois d'août.

L e m a r c h é s u i s s e d u t r a v a i l p e n d a n t l e m o i s d ' O c t o b r e 1 9 3 0 .

(Communiqué par l'Office fédéral de l'industrie, des arts et métiers et du travail)

D'après le relevé exécuté à la fin d'octobre 1930, les offices du travail avaient d'inscrites, à cette date, 15,268 demandes d'emploi (contre 11,613 à la fin du mois précédent et 6799 à la fin d'octobre 1929) et 1754 offres d'emploi (contre 2652 à la fin du mois précédent et 3015 à la fin d'octobre 1929).

L'augmentation que dénotent les demandes d'emploi est due en partie à la saison (groupes professionnels exposés au chômage hivernal) et en partie à la situation économique. A vrai dire, le marché du travail s'est, selon certains offices, légèrement amé- lioré dans diverses branches d'industries; cependant, les avis défavorables prédominent. Le chômage partiel, qui jusque là avait été plus ou moins confiné à l'industrie horlogère, à l'industrie textile et à l'industrie des métaux et machines, a pris de ci de là de l'extension dans--d'autres industries au cours du mois d'octobre; on a noté également quelques améliorations. Cependant, d'après les rapports expli- catifs des offices, aucune tendance ne prédomine, nettement jusqu'à présent. Abstraction faite des in- fluences saisonnières, la situation du marché du travail demeure satisfaisante dans la plupart des branches de l'artisanat, alors qu'elle s'est, dans l'ensemble, sensiblement alourdie dans l'industrie tra- vaillant pour l'exportation.

En raison des conjonctures économiques, le marché du travail s'est sensiblement alourdi au cours de ces derniers mois, mais on ne saurait prévoir d'orea et déjà comment il évoluera.

La situation s'est cependant moins aggravée qu'il n'apparaît à l'état de l'emploi. En effet, le recui de l'emploi s'est d'abord traduit par une atténuation de la pénurie d'ouvriers, notée lors de la conjonc- ture favorable de ces années passées dans la plupart des groupes professionnels, plutôt que par une

Chronique des Associations patronales

F é d é r a t i o n i n t e r c a n t o n a l e d e s F a b r i c a n t s d e p a r t i e s d é t a c h é e s e t a n n e x e s d e l a m o n t r e .

La 12e Assemblée générale ordinaire de cette Fédération aura lieu le Mardi 9 décembre 1930, à 16 heures, au Buffet de la Gare, à La Chaux-de- Fonds, avec Vordre da jour suivant:

1. Verbal de la dernière Assemblée.

2. Nomination des Scrutateurs.

3. Rapport du Comité.

4. Rapport des Vérificateurs de comptes.

5. Examen et approbation des comptes.

6. Décharge aux Contrôleurs, au Caissier, et au Comité.

7. Modification des Statuts.

8. Nomination du Comité et des Contrôleurs pour l'année 1931.

9. Examen du budget pour 1931, et fixation des cotisations.

10. Divers.

La dernière Assemblée générale convoquée ; pour le 29 mai 1.929 n'ayant pu avoir lieu, le quorum n'étant pas atteint, cette Assemblée siégera quel que soit le nombre des sociétaires présents ou repré- sentés, suivant article 18 des Statuts.

Informations

réduite dans les années d'après-guerre, l'industrie se trouva obligée, dans certains cas, de s'y substituer.

La marge commerciale (Handelsspanne) du commerce de gros a été fixée par convention, pour les

pendules, à 25 o/o, pour les réveils bon marché à 20 o/o du prix de vente, c'est-à-dire 331/3 o/o res- pectivement 25 o,o du prix d'achat. Pour les montres de poche, cette marge varie entre 20 et 30 o;0 du prix de vente. Il faut ajouter à ces taux une prime de vente de 1 à 3»o.,Les magasins de détail ob- tiennent de 7 «o à 15 o/o de rabais pour des achats en gros. La marge relativement élevée du commerce de gros s'explique par les gros frais généraux et les ris- ques qu'il a à supporter. Le grossiste reçoit la mar- chandise franco station et a à sa charge les frais de

transport jusqu'au domicile du détaillant. Pour des payements comptant, il est consenti un rabais de 5 «n.

D'après les renseignements de l'Union des grossistes,

Allemagne, en 1925 et 1928, 15,000 horlogers, dont 12,900 se rattachant à l'Union. C'est dans les pro- vinces agraires du Schlesvig, Holstein, Mecklenbourg.

Hanovre, Grenzmark, que les horlogers sont en plus grand nombre; étant données la grande dispersion des cercles de consommateurs et leur peu d'importance seuls de petits magasins peuvent subsister. Le contraire se produit dans les grandes villes et les régions industrielles, où chaque magasin est obligé d'avoir un stock important de marchandises. 11 y a environ 24,000 personnes occupées dans le commerce de détail, dont 10 «o d'apprentis. Le nombre des magasins est d'environ 12,000.

b) Mouvement total du commerce de détail.

L'importance de ce mouvement n'a pu être établie, parce qu'on rencontre beaucoup de difficultés d'obtenir des chiffres même approximatifs. Sur 16 entreprises, le taux des frais généraux est de 17 »> environ au I ^ d c j . a 3 p e r s o n n e s l a v a l e u r m o v c m i e du* moms, ce qui explique la situation financière peu ! ,m o u v e m e n t d e s a f f a i r e s e s t d e 3 4 ü ü 0 R M. c t

satisfaisante de ce commerce. D'autre part, il a ete i -_ii„,. „-„,.„.,„+ r\a , ;, - t S . . . ,. . , . „ . ' , ' ... , ' celles occupant de 4 a o personnes, on peut estimer

?0 n S t a t e. ,q U e r ,U r l i q U l d e r les affaires ^traitées, le ; c e t t e v a ] e u r à -Mfi00 R M»

j D'après l'opinion du Comité de l'Union centrale,

• les exploitations comptant une seule personne réalisent un mouvement d'affaires, y compris les rhabillages et les articles secondaires, de 14 à 15 mille RM.

' Sur ces bases, la valeur totale du mouvement des af- D'après les renseignements de l'Union centrale ' faires du commerce de détail peut être évaluée à des horlogers Retaillants allemands, il y avait en 315 millions de RM. environ.

Avis.

Les maisons

Franz Wemdle, à Pforzheim, et Kolzeff Frères, à Sofia, . -- ; Ont été déclarées en faillite.

Les créanciers de ces maisons sont priés de nous envoyer le relevé de leurs comptes en double, afin que nous puissions sauvegarder leurs intérêts.

-— Nous mettons en garde contre:

Hermann F. Steinmeyer, à Munich,

qui a prêté le serment d'insolvabilité et qui cherche à faire de nouvelles affaires sous le nom de sa femme: F. Steinmeyer.

L'Information Horlogère Suisse La Chaux-de-Fonds. Rue Leopold Robert 42.

Douanes

tiers seulement des maisons existantes suffirait.

2. Commerce de détail.

a) Nombre et importance des exploitations

U n c o m i t é d ' e x p e r t s p o u r l e s t a r i f s s p é c i f i q u e s . Un comité mixte d'experts, comprenant des, fonc- tionnaires de douanes, des représentants des exportateurs, des agents en douane et appartenant aux pays suivants: Allemagne, Belgique, France, Grande- Bretagne, Italie, Pologne, Suisse, se réunira à Genève le 8 décembre courant pour donner au 'Comité éco- nomique son avis sur l'aspect technique de certaines questions se rapportant aux méthodes d'application des tarifs spécifiques (poids brut et' poids net, tares, régime des emballages, e t c . ) .

Le Comité examinera aussi, toujours au point de vue technique, le régime douanier des échantillons sans valeur et des papiers réclame, ainsi que le pro- blême de la nationalité ou origine des marchandises, aux fins de l'application du traitement de la nation la plus favorisée.

S u i s s e . — T a r i f d o u a n i e r à l ' i m p o r t a t i o n . Le Conseil fédéral, par arrêté du 25 novembre, écoulé, a modifié comme suit les taux de droits pour

(4)

950 L A F É D É R A T I O N H O R L O G È R E S U I S S E N« 96 - 6 décembre 1930

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(5)

N

u

96. — 6 décembre 1930.

. . . • . - , - _ „ . __

L A F É D É R A T I O N H O R L O G È R E S U I S S E 951

les instruments et appareils de la position 948 du

tarif d'usage du 8 juin 1921 :

948 a) Compteurs à gaz, appareils enregis- le M- treurs de recettes ou caisses-contrôles 60.—

—a) 1. Machines à écrire 250.—

Machines à calculer, pesant par pièce:

—b) 1. —.12 kg. ou moins 800. -

—h) 2. — plus de 12 kg. jusqu'à 100 kg.

incl. 600.—

—b) 3. — plus de 100 kg. 300.—

Ces nouveaux droits entreront en vigueur le 10 courant.

T r a i t é d e c o m m e r c e e n t r e l a S u i s s e e t l e S a l v a d o r ,

Le traité de commerce, d'amitié et d'établissement entre la Suisse et le Salvador, dénoncé au 1er mai 1930, mais prolongé jusqu'au 31 décembre courant, restera encore en vigueur jusqu'au 30 juin 1931.

C o s t a - R i c a .

S u p p r e s s i o n d e s f a c t u r e s c o n s u l a i r e s . En vertu d'un récent décret, la règle imposant aux exportateurs de joindre à leurs envois de marchandises au Costa-Rica une facture consulaire, vient d'être supprimée.

E q u a t e u r . — E t a b l i s s e m e n t d ' u n d r o i t a c c e s - s o i r e u n i q u e s u r l e s m a r c h a n d i s e s i m p o r t é e s a u t r e m e n t q u e p a r m a n i f e s t e .

Par décret du 22 juin 1930, publié au Registre Oficial du 20 août, et entré en vigueur le 1er juillet, les marchandises importées par paquets postaux et, en général, les importations légalement effectuées autrement que par manifeste (sobordo) acquitteront l'impôt unique de 3 »/o ad valorem qui se substituera aux droits perçus pour le magasinage, les taxes des ports, l'ouverture des colis, le transit par Panama, le transport par le chemin de fer du sud et toutes autres surtaxes spéciales que devaient acquitter les colis.

Cet impôt unique sera perçu sans préjudice des droits et surtaxes établis par la loi douanière et le tarif douanier.

I l e s C a n a r i e s ( p o s s e s s i o n e s p a g n o l e ) . ._... D é c l a r a t i o n e n d o u a n e .

Un décret entré en vigueur le 20 septembre con- tient de nouvelles prescriptions relatives aux décla- rations en douane.

Pour toutes marchandises, même lorsqu'elles sont exemptes de droits de douane, l'importateur devra déclarer la valeur en monnaie d'or, conformément au taux officiel de la douane.

L'importateur doit présenter la facture originale du fournisseur, laquelle indiquera le prix de la mar- chandise au point de départ, avec tous les frais

(assurance, fret, commission, etc.) jusqu'au port d'ar- rivée. Ces détails peuvent être omis, lorsque les marchandises sont facturées c. i. f.

Si l'importateur, à l'arrivée des marchandises, n'est pas en mesure de fournir la facture originale, il doit s'engager à se la procurer dans un délai prescrit, à défaut de quoi il sera tenu de payer une amenda de 5 o/o des droits ou, lorsqu'il s'agit de marchandises exemptes, de 25 pesetas au moins.

Pologne. — Interdiction d'importation.

Nous rappelons aux intéressés que les marchandises suivantes, frappées d'une interdiction d'importation générale, s'appliquant à tous les pays sans excep- tion, peuvent, toutefois, être importées dans les li- mites de certains contingents, ensuite d'accords con- clus par la Pologne avec différents pays. L'utilisation de ces contingents s'effectue à l'aide de permis d'importation qui sont délivrés aux maisons établies, en Pologne, par les services du Ministère du Commerce et de l'Industrie, à Varsovie.

67. Pierres précieuses et pierres pour parure, na- turelles et artificielles.

148 p. 2, a) b). Articles en or et platine, même émail- lés, sauf ceux spécialement dénommés, boîtes de montres, sans pierres précieuses, ouvrages en or et en platine avec pierres précieuses et perles fines.

14S p. 3, a) b). Ouvrages en argent, même émaillés et dorés, sauf ceux spécialement dénommés, boîtes de montres sans pierreries, ouvrages en argent avec pierres précieuses et perles fines.

Registre du commerce

Raisons sociales.

Enregistrement:

28/11,30. — Edouard William Meylan (du Chenit), sertissages et fournitures d'horlogerie, Brassus.

Registre spécial I I : Enregistrement:

29/11/30. — Mointier, Roger-Werner, ouvrier sur ca- drans, Recrêtes 12, La Çhaux-de-Fonds.

Modifications:

28/11/30. — Uhren-Aktien-Gesellschaft (Horlogerie Société Anonyme), Zurich. Le siège a été transféré à Zollikon et la liquidation décidée par assemble!.', générale; liquidateur: Dr. Erich Krause, ressor- tissant affemancl, sign, seul avec l'adj. in Liq.;

Dr. Arthur Curti, Josef Bühler, Paul Hahnel et Richard Katz sont sortis du Cons. adm. Siège:

Riitistrasse 6, Zurich.

28/11/30. — La soc. an. «Echappements S. A. », Orient, est dissoute, la liquidation s'opère par Ar- thur Reymond, du Chenit, sous la raison sociale Echappements S. A., en liquidation.

Radiations :

— Oscar Frésard, horlogerie, joaillerie, or- Lucerne et Lausanne.

21/11/30.

fèvrerk

19/11/30. — Paul-Edouard Berthoud, fabrication d'horlogerie, Genève.

Faillites.

Etat de collocation:

Faillie: Nouvelle Fabrique de Tavannes S. A., Ta- vannes.

Délai pour action en opposition: 9 décembre 1930.

Failli: Goering Ernest, fabricant d'horlogerie, La Chaux-de-Fonds.

Failli: Goytre, Jean, dit Goitry, bijoutier, Passage des Lions 5, Genève.

Failli: Bill Ernest, associé indéf. respons. de la soc.

n. coll. « Bill et Cie », Bienne (ensuite production complémentaire.

Failli: Müller Karl, horloger, Triengen (Lucerne).

Clôture de faillite:

27/11/30. — Edestein.-Werke A. G. (Jewel-Works Co.

Ltd), Bienne-Boujean.

Concordats.

Délibération sur l'homologation du concordat:

20/12/30. — S. A. Ad. Haas et Co., Muralto.

12/12/30". — Favre Frères, fabricants de montres, Cormoret.

Homologation du concordat:

12/11/30. — Jeanneret Charles, Léonidas Watch Fac- tory, St.-Imier.

Brevets d'invention

Enregistrement:

Ci. 71 f, No. 142794. 7 décembre 1929, 13 h. — Montre de poche. — William Lawrence Royall, 250 Park Avenue, New-York (U. S. A.). Mandataire:

Amand Braun, suce, de A. Ritter, Bâle.

Banque Nationale Suisse.

Situation au 29 Novembre 1930.

Actif. Changement! depute Encaisse métallique : !» dernière situation Or en Suisse 640.618.361,80 Fr.

Or à l'étranger 31.383.873,30 672.001.625,10 + 11.482,—

Disponibilités or à l'étranger 335.170.280,68 + 365.831,85 Portefeuille sur la Suisse . . 29.860.360,88 + 6.610.639,47 Avances sur nantissements . 37.562.722,38 + 827.503,13 Titres 99.286.898,30 + 367.346,15 Correspondants en Suisse . 16.748.324,03 \ , . . . . a. „ - o Correspondants à l'étranger 17.716.048,20'+ 0-l b B»7 2. ' ö Autres actifs . 27.717.851,60 + 1.448.487,09

1.230.764.111,37 Passif.

Fonds propres 34.500.000,— — Billets en circulation . . . . 967.994.220,— +63.498.340,- Autres engagements . . . . 198.879.326,36 — 48.386.080,82 Autres passifs 34.390.065,01 + 685.903,24

1.235.764.111.37

C O T E S

5 décembre 1930 Métaux précieux

Argent fin en grenailles fr. 83.— le kilo.

Or fin, pour monteurs de boîtes » 3500.— >

» laminé, pour doreurs » 3575.— >

Platine > 8.— le gr.

Pour platine fourni par les clients, majoration de fr. 2,50 dès le 10 octobre 1930.

Boîtes or et bijouterie, Cote N° 3 en vigueur dès le 7 juin 1929,.

C o m p t a n t A t e r m e London 2 dec. 3 dec. 2 dec. 3 dec.

(Ces prix s'entendent par tonne anglaise de 1016 kg.

en £ stg.).

Aluminium inter. 85 85

—

» export. 85 85 — Antimoine 46-46.10/ 46-46.10/ — Cuivre 50.8/9 49.5/T/s 50.8/9

» settl. price 50 7/6 49.5 —

» électrolytiq. 55-56.10 55-56.10/ —

» best, selected 52 53 5 51-52.5/ —

» w i r e bars 56.10 55.10 — Etain anglais 115.10-116.10/115.10-116.10/ -

» étranger 114.6/3 114.3 9 lib.11/3

» settl. price 114.5/ 114.5 —

» Straits 118.15/ 118.15/ — Nickel intérieur 170 170 —

» exportation 175 175 — Plomb anglais 17.5/ 175/ —

» étranger 15.17 6 15.15/ 16

» settl. price 15.176 15.15/ - Zinc 14.8/9 14 3*9 14.18 9

» settl. price 14.10 14.5/ — C o m p t a n t Paris 29 nov. 1 dec. 2 dec.

—

— 49.57T/2

— —

115.8,9

—

. — —

— —

15.17.6

—

14.15/

—

3 déc.

(Ces prix s'entendent en francs français par kg. 1000/1000)

Nitrate d'argent 238

Argent 335 Or 17.500 Platine 34.000

» iridié 25 °/o 78 000

Iridium 200.000 238 335 17.500 34.000 78.000 200.000

238 335 17.500 34.000 78 000 200.000 (en francs français par gramme).

Chlorure de platine 15,—

Platinite 17,45 Chlorure d'or 9,25

1 5 , - 17,45

9,25

1 5 , - 17,45

9,25

235 330 17.500 34.000 78.000 200.000

1 5 , - 17,45

9,25

•1 dec.

London 29 nov.

(Ces prix s'entendent par once troy (31 gr. 103) 1000/1000).

Or (shill.) 85/l3/e

Palladium (Lstg.) 7 s/<

Platine (shill.) 140

2 déc. 3 déc.

85a3/ 8

13U 140

85'2 13U 140

85/13/4

140 (par once standard 925/1000 en pence).

Argent en barres 16 °/10 16'/) I6V10 158/'io New-York 29 nov. 1 déc. 2 déc. 3 déc.

(Ces prix s'entendent en cents par once de 31 gr. 103).

Argent en barres 35'/« 34 78 348/4 343'„

Escompte et change.

Suisse: Taux d'escompte 2'/20'o

» » avance s/nantissement 31/2°/0

Parti* Eteonpta Demande Offre en (rancs suisseï °/o

France Gr. Bretagne U.S.A.

Canada Belgique Italie Espagne Portugal Hollande fndes néerl.

Allemagne Dantzig Autriche Hongrie Tchecoslov.

Esthonie Lettonie Lithuanie Russie Suède Norvège Danemark Finlande Pologne Yougoslavie Albanie Grèce Bulgarie Roumanie Turquie Egypte Afrique Sud Australie Argentine Brésil Chili Uruguay Colombie Pérou Equateur Bolivie

Venezuela

Mexique Philippines Indes brit.

Chine Japon

100 Frs 1 Liv. st.

1 Dollar 1 Dollar 100 Belga 100 Lires 100 Pesetas 100 Escudos 100 Florins 100 Guilder 100 Reichamk 100 D.Gulden 100 Schilling I0U Pengö 100 Cour.

100 Cour.

100 Lats 100 Lits 100 Tchervon.

100 Cr. sk.

100 Markka 100 Zloty 100 Dinars 100 Francos 100 Drachmes 100 Leva 100 Lei 100 Livres t.

100 Livres eg.

. 1 Liv. st.

1 Liv. st.

100 Pesos 100 Milreis 100 Pesos 100 Pesos 100 Pesos 100 Soles pér.

100 Sucres 100 Bolivianos 100 Bolivars 100 Pesos 100 Pesos 100 Roupies 100 Taels 100 Yens

20.155 25.22 5.18 5.18 72.06 27.27 100.—

560.—

208.32 208.32 123.45 100.88 72.93 90.64 15.33 139.—

100.—

51.80 2666.- 138.89 138.89 138.89 13.05 58.14 100.—

100 6.72 3.74 3.10 2278.40 2592.-

25.22 25.22 220.—

165.—

63.—

536.—

504.—

207.50 103.60 189.16 100.—

258.32 258.—

189.16 258.33

2\', 3 27*

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6

n.

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6-7 7

5.11 20,24 25,04 5,14 5,14 71,80 26,92 57 25 2 3 , - 207,50 206,62 122,95 100,10 72,50 90,15 15.28 136,59 99,07 51.39 2658,- 138,35 137,95 137,95 12,90 57,75 9,125 6,65 3,70 3,06 242,42 2570,- 23,90 22,90 176,—

4 7 , - 62.—

406,89 496 93 159 — 1 0 1 , - 1 3 5 , - 92.37 234 40 252 93 183 — 197-47 253.—

20 35 25 075

517 5.175 72,10 27.12 58,25 23,50 207,65 208,62 123,20 100,^0 72,80 90,30 15.31 137.29

99,07 51,99 2659,- 138 75 1?8 15 1.-8I5 13 05 57,90 9,135 6,80 3,80 3.08 243,60 2571,—

24.10 23,10 178,—

52,—

6 4 , - 407 89 498 93 161,—

103,—

186,—

94,37 236,40 254,93 188,—

199 47 258,—

Imprimeurs: Haefeli & Go., Làt Chaüx-de-Fonds,

(6)

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952

r ' i ^ - ' v i - aat r--^-J-J-y—...-:• .•.••••-^•,--.- ii-i,v,tl--f--T^~^'r-"r-r-*-i-r-'ii'n-iii"-f-iri'B'Tiftfrniiirri-ffiariTin, nmrrhTriririfii~irirnrrYaîaaiiasaaaawBa

L A F E D E R A T I O N H O R L O G E R E S U I S S E N° 96. 6 décembre 1930 -»«• ->»<«

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liftait: Nouvel »An

Comme chaque année, „La Fédération Horlogère Suisse"

publiera dans son dernier numéro de l'année, une série d ' a n n o n c e s s o u h a i t s d e N o u v e l - A n , dont ci-contre un modèle de grandeur et de texte (celui-ci est variable à vo- lonté). Grâce à cette publicité, étendue et peu coûteuse, vous pouvez supprimer l'envoi des cartes habituelles de bonne année. De plus, vous atteignez chacun et vous évitez de froisser des susceptiblités par suite d'oubli dans l'envoi des cartes.

Le dernier délai pour l'acceptation des annonces expirant

!e 20 décembre, nous engageons les clienls à nous communiquer immédiatement le texte à publier en spécifiant bien le nombre

de cases désirées.

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M *

•3 g

II s

A La Maison X.

remercie son honorable clientèle, etc.

ou

La Maison X.

adresse à ses nombreux clients ses meilleurs vceujt, etc.

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