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La dispersion des ondes hertziennes dans les solides au voisinage du point de fusion

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Academic year: 2022

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(1)

HAL Id: jpa-00205162

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00205162

Submitted on 1 Jan 1924

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La dispersion des ondes hertziennes dans les solides au voisinage du point de fusion

J. Errera

To cite this version:

J. Errera. La dispersion des ondes hertziennes dans les solides au voisinage du point de fusion. J.

Phys. Radium, 1924, 5 (10), pp.304-311. �10.1051/jphysrad:01924005010030400�. �jpa-00205162�

(2)

LA DISPERSION DES ONDES HERTZIENNES DANS LES SOLIDES AU VOISINAGE DU POINT DE FUSION

Par M. J. ERRERA

Sommaire. 2014 Nous étudions la variation avec la fréquence (03BB variant de 300 m à 1 000 km) du pouvoir inducteur spécifique des solides au voisinage du point de fusion.

Notre dispositif expérimental est la méthode de capacité de Nernst modifiée. Les expé- riences de contrôle nous ont donné des pouvoirs inducteurs spécifiques constants pour les

liquides étalons utilisés (donc sans aucun phénomène de « dispersion électrique »). Cette première série porte sur la glace, le sulfate diméthylique, le nitrobenzène, l’acide acétique,

l’alcool butylique tertiaire, le benzène et le cyclohexane, le bromure d’éthylène, le chlorure

de benzoyle, le métacrésol. Les courbes de dispersion dépendent de la température. A toute température, le pouvoir inducteur spécifique croit avec la longueur d’onde. Très prononcé

au voisinage du point de fusion, cet accroissement devient faible à basse température. La

solidification entraîne une variation brusque du pouvoir inducteur spécifique, variation qui peut changer d’ailleurs de sens avec 03BB. Pour les hautes fréquences, la solidification diminue le pouvoir inducteur spécifique ; à basse fréquence, au contraire, il semble que les corps augmentent de pouvoir inducteur spécifique en se solidifiant. L’interprétation

la plus naturelle est d’admettre que le pouvoir inducteur spécifique d’un milieu matériel peut dériver de deux effets : d’une part, la polarisation par déplacement ou orientalion de

particules lourdes et chargées; d’autre part, le mouvement des électrons à l’intérieur de chaque particule qui entraine la polarisation des éléments constitutifs. Ces effets ont une

importance relative différente suivant la fréquence et la température. L’état solide, au point de vue électrique, caractérisé par un pouvoir inducteur spécifique faible et constant,

commence à une température différente suivant la fréquence.

1. Introduction. - On admet (’) que l’origine du pouvoir inducteur spécifique d’un

milieu se trouve dans la polarisation, qu’elle soit due aux électrons ou aux atomes, aux molécules ou groupes de molécules (à l’état d’ions), écartés de leur position d’équilibre, ou

bien encore à l’orientation d’ensemble de particules neutres formant dipole électrique.

L’étude des variations du pouvoir inducteur spécifique nous donne un aperçu sur le mécanisme de cette propriété électrique de la matière et, par là même, sur les mouvenJeJ1 i ts des éléments constitutifs.

Nous examinons dans ce travail le pouvoir inducteur spécifique dans le domaine de

température voisin du point de fusion et ses variations avec le changement d’état, la tempé- rature, et la fréquence du champ électrique dans le domaine hertzien.

Drude (2), le premier, a montré que le changeinent d’un corps était le plus souveil t accompagné d’une brusque modification de la valeur du pouvoir inducteur spécifique.

D’autres auteurs (j) après lui ont mesuré également, avec des courants de haute fréquence, (cle 90e à 10~ S-1) le pouvoir inducteur spécifique de nombreux corps à l’état solide et liquide :

le pouvoir inducteur spécifique était généralement variable, et plus petit à l’état solide qu’a

l’état liquide.

Nous verrons clans la suite ce qu’il faut ajouter et Inodifier à ces résultats.

La variation du pouvoir inducteur spécifique des solides mn fonction de la (1) P. DEBYE. Verhandlungen der Deutschen Physikalische Gesellschaft, t. 15 (1913), p. 777.

(2) P. DRUDE Zeitschrift fur Physikalische Chemie, t. 23 (1897), p. 267.

(3) Voir, pour cette bibliographie et les suiyantes, l’article de E. Schr0153dinger dans le Handbuch der Elektrizität und des Magnetismus, de Graetz, t. 1 (1918), p. 157.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphysrad:01924005010030400

(3)

305 a été étudiée en 18~U par dans tous les cas étudiés jusqu’ici, l’abaissement de

température est accompagné d’une diminution ilv pouvoir inducteur spécifique. ,

La variation du pouvoir inducteur spéeificjue avec la fréquence, la cc dispersion éler- tJ’ique », daiis le cloiiiaiiie des ondes hertziennes, a été mesurée en 1889 par J. J. Thomson (2) >

pour certains solide. Il résulte des quelques travaux faits depuis que la dispersion, lors- qu’elle existe, est presque toujours anomale; le pouvoir inducteur spécifique augmente

donc avec la longueur d’onde, et les variations observées ne dépassaient pas quelques

centièmes. A côté de cette variation continue du pouvoir inducteur spécifique avec la lon-

gueur d’onde, on connaît, depuis CoMey (1), pour certains liquides, pour les longueurs d’ondes comprises tout au début des ondes hertziennes entre quelques centimètres et 1 m, des bandes étroites de dispersion : on est pour les expliquer par des phénomènes de réso-

nance et de mouvements propres des lnolécules ; l’allure de ces courbes est conforme à la

théorie de Drude.

,

Les variations du pouvoir inducteur spécifique des solides clans le domaine de fréquence correspondant à des longueurs (fonde supérieures à 1 0!)0m n’ont pas encore fait l’objet

d’études systématiques. Nous manquons cle courbes de dispersion et d’étude de l’influence de la telnpérature sur la dispersion faites, avec des ondes non amorties pures, par des ,

méthodes qui compensent la coii(luctivité du diélectrique étudié.

~2. Dispositif expérimental. - Le dispositif expérimental employé est le même que celui que nous avons décrit précédemment (4) : c’est la méthodes de capacité de Nernst (~)

modifiée. La longueur d’oncle est mesurée à l’entrée du pont même cù se trouve une self-

ilductance avec laquelle l’oll(letllèll’e est couplé par incluction. Pour les basses fréquences,

un contrôle qualitatif est fait par comparaison avec des diapasons étalonnés.

Les corps soigneusement purifiés faisant l’objet de cette première élude onl-leiir point

de fusion aux environs de 0°C. Ils sont introduits liquides dans le récipient servant aux

mesures et celui-ci est placé dans le cryogène de J. Duclaux (1). Cet appareil, basé sur l’absorption de chaleur par évaporation d’un liquides, mettait à notre disposition une enceinte

fermée à température constante entre + 15° et

-

8U° C..

3. Expériences de contrôle. -..N~ous avons mesuré, d’abord à température ordinaire,

ensuite dans le cryogène à basse telnpérature, avec la gamme de longueur d’ondes (de boo m

Ù 1 000 km) employée dans nos mesures, des capacités (entre autres, des mélanges de

toluène et d’alcool méthylique) ayant une conductivité supérieure, égale et inférieure à celle des cas étudiés. Nous n’avons trouvé aucune variation de la valeur du pouvoir 111c111Cteul’

spécifique. Dans la plupart de nos expériences, la résistance du vase de mesure était de l’ordre de quelques mégolims (’).

4. Résultats expérimentaux. - Glace.

-

Le pouvoir inducteur spécifique de la glace, depuis 1892, a déjà fait l’objet de nombreuses recherches expérimentales. Schroedin- (8), qui a rassemblé les valeurs variant de 2 à 94 trouvées par les divers auteurs à une

température voisine de 0° C et à des fréquences comprises entre 0 et 108 s--1 dit : « que les avis sont partagés sur la cause de ces divergences : s’agit-il de véritable dispersion ou de

causes d’erreurs qui disparaissent aux hautes fréquences (conductivité, polarisation élec- trolytique)’r ». Dewar et Fleming (y), en 1897, ont étudié l’influence de la température entre

-

206° et

-

7- C avec un courant d’une fréquence de 120 périodes par seconde. Le pouvoir

(1) W. CASSIE. Proceedings of the Royal Society, t. 48 (1889). p. 357.

(2) J.-J THOMSON. Proceedings of the Royal Society, t. 46 (1889), p. 292.

(3) A COLLEY. Physikalische Zeilschrift, t, 10 (1909), p. 29, 471, 657; t. 11 (1910), p. 324.

(4) J. ERRERA. Journal de Physique. t. 3 (1922), p. 401.

(5) W. NERNST. Zeitschrift für Physikalische Chemie, t. 13 (1894), p. 622.

(6) Cet appareil a été mis obligeamment à notre disposition par la maison Jouan, à Paris.

(7) Il semble que la résistance du solide aux environs du point de fusion varie avec la fréquence, celle- ci augmentant lorsque la fréquence diminue.

(8) Loc. cit.

(9) S. DEWAR et S. A. FLEMING. Proceedings of the Royal Society, t. 61 (1897), p. 316.

(4)

inducteur spécifique varie de 2 à 71. Leur méthode de mesure ne comprenait pas de com-

pensation de la conductivité et celle-ci passait de 1 mégohm à

-

10’ C, à 25 000 ohms à

-

200fJ C.

Nous donnons ici (fig. 1. et tableau I) les courbes de dispersion que nous avons

obtenues.

Fig. 1.

-

Variation du pouvoir iwlncLeur spécifique de la glace en fonction de la longueur d’onde.

TABLEAU 1

Pour les basses fréquences et les températures voisines de 0° C, le pouvoir inducteur spécifique de la glace se rapproche de celui de l’eau; nous pu établir, en abaissant

encore la fréquence, s’il le dépasait. Mais Thomas (1), en 1910, avec un courant d’une fréquence comprise entre 40 et ~0 s-1 trouve, pour la glace à

-

C, un pouvoir inducteur spécifique de B4. Il utilisait une méthode de capacité qui tenait compte de la conductivité.

Aux basses températures, au contraire, et déjà à

-

4-il C, le pouvoir inducteur spécifique

de la glace ne varie presque pas et, à - 200° C, toutes les valeurs trouvées aux différentes

fréquences par d’autres auteurs sont comprises entre 2 et 3.

(1) P. THOMAS. Physical Review, t. 31 (1910), p. 278.

(5)

307

~° Sultate dirnéthylique (Point de fusion : - 9~6~8o C).

-

Son pouvoir inducteur spéci- fique à l’état liquide augmente, comme c’est le cas général, lorsqu’on abaisse la tempéra-

ture. A 16° C, nous trouvons un pouvoir inducteur spécifique de 57; à

-

10° C, 69,5; à

-

25° C, 81 (pour X = 1 km).

A l’état solide, nous obtenons les courbes de dispersion suivantes (fig. 2 et

tableau II).

TABLEAU Il

-

Fig. 2.

-

Variation du pouvoir inducteur spécifique du sulfate dimétlylique (- - - -) et du nitro-

benzène (2013’20132013201320132013) ) en fonction de la longueur d’onde.

3° Alitrobenzène (Point de fusion, + 3,7° C).

-

Le nitrobenzène à l’état liquide a un pouvoir inducteur de 3~, i ;

A Fêtât solide, à 0°~C, Abegg et Seitz trouvent une valeur de 41, pour A

----

x (figure 2

,

et tableau III).

(6)

4° Acide acétique (Point de fusion, + 1 j’ ,3° C).

-

Pour l’acide acétique liquide, à 20°C, nous trouvons un pouvoir inclucteur spécifique de 9,~~. Comme le montrent nos résul- tats (fig. 3 et tableau IV), c’est pour ce corps que le pouvoir inducteur spécifique, à l’état solide, pour les basses fréquences, dépasse le plus celui du liquide. Aux hautes fréquences,

1

le pouvoir inducteur spécifique du solide est, comme dans les autres cas, inférieur à celui du

liquide.

TABLEAU IV

.

-

Variation du pouvoir

inducteur spécifique de l’a-

cide acétique (---)

et du bromure d’éthylène

) en fonc tion

de la longueur d’onde.

(7)

309,

51 Alcool b2ctylilue tertiaire (Point de fusion, + 25° C). - A l’état liquide, à 18°C,

nous trouvons le pouvoir inducteur spécifique de cet alcool égal à 1~?, ~ (pour ),

=

8 km). A

l’état solide, nous trouvons les valeurs portées dans le tableau V.

TABLEAU Y

6° et 7° Bejizèjte et cyclohexaiie.

--

Le benzène liquide a un pouvoir inducteur spécifique

de ‘?,‘~8; le cyclohexane à 18"C, d’après nos mesures, 1.,7.Xous trouvons pour ces 2 corps une diminution du pouvoir inducteur spécifique à l’état solide pour les hautes fréquences et une dispersion anomale, mais les variations sont de l’ordre des erreurs de mesures.

8° B1’olnure (Point de fusion, -~ 9,5,C).

-

Nous avons lrouvé 5,3 pour le

pouvoir inducteur spécifique du bromure liquide à f.0° C.

Les courbes de dispersion (voir fig. 3) à l’état solide sont données par le tableau VI.

_

.

TABLEAU YI

9° de benzoyle (Point de fusion, - C).

-

trouvons pour le liquide, à

~©° C, un pouvoir inducteur spécificlue de 22,9; à 0° C, 29,2. ~-B l’état solide, on obtient les valeurs portées dans le tableau (fig. 4).

10° ivétacrésol (Point de fusion, + 3,5° C).

-

A l’état liquide, à I i° C, le pouvoir

inducteur spécifique du métacrésol est, d’après nos mesures, 12,7 ; à l’état surfondu, à

- 11" C, 19,7.

(8)

TABLEAU

Fig. 4.

-

Variation du pou- voir inducteur spécifique du chlorure de benzoyle en

fonction de la longueur d’onde.

A l’état solide, la dispersion est anomale : à

-

10, C et pour = 1 km, le pouvoir

inducteur spécifique est 2,65; pour À === 196 km, il est de 3,8.

En résumé, les faits se présentent ainsi : la courbe de dispersion (variation du pouvoir

inducteur spécifique en fonction de a) dépend de la température. A toute température, le pou- voir inducteur spécifique croît avec la longueur d’onde. Très prononcé au voisinage du point de fusion, cet accroissement devient faible à basse température. La solidification entraîne une variation brusque du pouvoir inducteur spécifique, variation qui peut d’ailleurs

changer de sens avec X. Pour les hautes fréquences, la solidification diminue le pouvoir

inducteur spécifique; à basse fréquence, au contraire, il semble que les corps augmentent

de pouvoir inducteur spécifique en se solidifiant.

L’interprétation qui semble la plus naturelle est que deux phénomènes différents con-

courent à la polarisation diélectrique; selon la température et la fréquence, leur importance

relative change. Le ptenlier, qui est le mouvement des particules (atomes, molécules, ions)

selon des coordonnées linéaires ou angulaires, est déterminé : 1° Par le champ appliqué.

2° Par les forces de rappel vers une position d’équilibre (élasticité d’un réseau cris-

tallin) ou par celles qui s’opposent à l’orientation régulière (agitation thermique).

3° Par l’inertie des particules.

4° Par les résistances d’allure visqueuse.

·

Ces sortes de forces entraînent les conséquences suivantes, conformes aux faits :

1° l’accroissement de fréquence, à température donnée, doit rendre moins prononcée l’ampli-

tude des mouvements, car les effets de l’inertie et des résistances doivent augmenter avec la fréquence imposée ; aux grandes fréquences, tout se passe comme si les particules n’avaient

pas le temps de suivre les inversions ; 2" l’abaissement de température, à fréquence donnée,

doit diminuer cette amplitude par augmentation prépondérante des forces visqueuses.

(9)

311

Le second phénomène est le mouvement des électrons à l’intérieur de chaque particule,

mouvement dont le résultat est de créer une polarisation particulaire, si la particule était

rieutre ; de modifier cette polarisation, si la particule était déjà un dipôle. L’inertie des électrons étant faible, les résistances inexistantes (au moins tant qu’il ne s’agit pas d’émis- sion ou d’absorption), ce second phénomène doit être moins variable ave~c la fréquence et pratiquement indépendant de la température ; sa grandeur correspond d’ailleurs à un pouvoir

inducteur spécifique relativement faible. ‘

On prévoit ainsi qu’à basse température le premier effet, ayant beaucoup diminué,

devient peu important vis-à-vis du second : donc le pouvoir inducteur spécifique varie moins

avec la fréquence ; la température s’élevant, le premier effet augmente et la variation du

pouvoir inducteur spécifique avec la fréquence s’accentue. D’ailleurs, pour les très grandes fréquences, le deuxième effet subsiste presque seul et le pouvoir inducteur spécifique tend

vers une limite indépendante de la température, ce qui est d’accord avec les résultats expé-

rimentaux. Si nous appelons « pouvoir inducteur spécifique propre du solide » celui qui est provoqué par ce second effet, nous voyons qu’au point de vue électrique, l’état solide

commence à une température différente suivant la fréquence.

Expérimentalement, cette variation du pouvoir inducteur spécifique peut être comparée

à celle que subit la chaleur spécifique des solides : elle diminue également avec la tempé-

rature et s’annule même à très basse température : la loi de Dulong et Petit ne se yérifie pll1f’.

La comparaison du pouvoir inducteur spécifique du liquide et de celui du solide, aux

basses fréquences et près du point de fusion, semble montrer une étroite relation. Ne

pourrait-on voir là une présomption en faveur de l’identité des « particules » sous les deux

états. Pourtant, Planck (i), en 1921, a dit: « Qu’il est très douteux que les molécules de l’eau soient les mêmes que celles de la glace ». D’après nos expériences et celles de Thomas,

il semble qu’il y ait des présomptions pour qu’on puisse croire que les molécules de l’eau’et

de la glace sont les mêmes au point de fusion.

Remarquons que, pour les liquides à faible pouvoir inducteur spécifique (compris

entre 2 et 3), le pouvoir inducteur spécifique du solide ne diffère relativement que fort peu de celui du liquide ; déjà, dans le liquide, le premier phénomène (orientation des dipÔles)

est très peu prononcé.

Je tiens à remercier MM. Langevin et Brillouin d’avoir mis à ma disposition les

ressources du Laboratoire de Physique expérimentale du Collège de France et M. Cour-

tines de l’aide efficace qu’il m’a apportée dans ce travail.

(1) M. PLANCK Thermodynamik 6e éd. (1921), p. 139.

Manuscritieçu le 18 juillel 19-21.

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