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EGLISE CATHOLIQUE DANS LE LOIRET MARS

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Academic year: 2022

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EGLISE

CATHOLIQUE DANS LE

LOIRET

MARS 2022

e de la Foi

NUMÉRO 59 - COMMUNICATION@ORLEANS.CATHOLIQUE.FR ABONNEMENT PAPIER 29,90€ ET NUMÉRIQUE

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SOMMAIRE

LE DIOCÈSE EN IMAGES 03

ACTUALITÉS 04 EN ROUTE VERS LES JMJ 2023 05

MISSION ST PIERRE-ST PAUL

MISSION DE FRANCE : REGARDS 06

SERVICE DIOCÉSAIN DU MOIS 08 Catéchuménat

TÉMOIGNAGES 09 UN NOUVEAU BAPTISTÈRE 10

CHRONIQUE ÉCOLOGIE 11 Chrétiens écologie Loiret

AGENDA DU MOIS 11 Pâques est proche. Nous allons fêter le cœur de notre

foi chrétienne : Jésus mort et Ressuscité, qui nous donne la Vie nouvelle dans l’Esprit. À la Vigile pascale, dans la nuit du samedi au dimanche de Pâques, avec les catéchumènes, adultes et jeunes, qui seront baptisés, nous proclamerons notre foi. Des questions nous seront posées : « Croyez-vous en Dieu, créateur et Père, en Jésus mort et Ressuscité, en l’Esprit Saint ? et à l’Eglise, à la Communion des saints, au pardon des péchés et à notre propre résurrection ? »

Réfléchissons un instant : y croyons-nous vraiment ? Certes, la foi reste un chemin où beaucoup est encore à approfondir. Une foi qui ne s’interrogerait plus ne serait plus la foi. Le Chrétien n’est pas quelqu’un de bardé de certitudes mais un pèlerin qui expérimente la présence aimante du Christ qui illumine sa vie.

L’humble « persévérance » quotidienne, à « l’écoute de la Parole de Dieu, avec un cœur bon et généreux » (Lc 8, 15) vaut mieux que les grands élans sans lendemain. Y croyons-nous vraiment ? Si oui, tenons bon ! Comme le dit de l’Apocalypse (14, 12) « Ici on reconnait la persévérance des saints, ceux qui gardent les commandements de Dieu et la foi de Jésus » Notre planète Terre est ébranlée, que va-t-elle devenir ? C’est le moment de nous encourager mutuellement à vivre notre foi dans l’espérance et le don de nous- mêmes par amour.

Sur cette route, avec ses joies et ses obstacles, nous ne sommes pas seuls. Jésus nous a promis d’être avec nous jusqu’à la fin du monde (Mt 28, 20) et nous a donné son Esprit : Dieu en nous, ce n’est pas rien ! Y croyons-nous vraiment ? Marie, la mère de Jésus, dans son silence douloureux au pied de la croix, sa proximité avec ceux qui souffrent et sa confiance en Dieu, nous montre le chemin.

Les saints sont nos amis et nous stimulent par leurs paroles et leur vie donnée. Méditons ce que disait il y a 150 ans St Charbel, un saint très aimé des Libanais qui souffrent tellement aujourd’hui, tout comme les Ukrainiens et tant d’autres peuples du monde : «  La violence régira toute la terre… Résistez et soyez fermes dans la foi et la charité… tenez bon dans votre foi en Christ, n’ayez pas peur, ayez confiance en Dieu, le Dieu de la Résurrection et de la Vie » !

L’ÉDITO DE MGR BLAQUART

LA PERSÉVÉRANCE DES SAINTS

Eglise Catholique dans le Loiret  - La vie du diocèse d’Orléans - CPPAP 1023L 83705 - ISSN 2493-464X

• Rédaction & administration : évêché d’Orléans, 14 cloître Saint-Aignan, 45057 Orléans cedex 1  - Tél:

0238788600 - www.orleans.catholique.fr - journal@

orleans.catholique.fr • Abonnement 1 an : 29,90€ ou de soutien : 50€ • Directeur de la publication : Père Karl-Aymeric de Christen, vicaire général • Rédacteur en chef : Tiphaine Verley • Comité de rédaction  : Adrien Ferreira, Christian Laflèche, Henri Matadeen, Père Hervé O’Mahony, Marie-Thérèse Paumier, Caroline Perocheau-Arnaud, Katia Strasman, Alix Tardif • Réalisation : Diocèse d’Orléans • Impression : BBV Imprimerie • Routage : Dautry  • Tirage : 500 exemplaires.

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1 Retraite sacerdotale diocésaine, février 2022, La Puye.

2 Exposition sur le Saint-Suaire, jusqu’à Pâques, Cathédrale Ste-Croix d’Orléans.

3 “L’homme intérieur à l’heure de l’homme augmenté”

par le P. Charmetant, jésuite, 31 janvier 2022, séminaire.

4 Pièce de théâtre “Pardon ?” suivie d’un débat, 10 mars

2022, église Ste-Jeanne-d’Arc, Orléans.

5 Groupe de rencontre synodale, février 2022, Beaugency.

Couverture : Appel décisif, 6 mars 2022, St Jean de Braye 4e de couv : Lancement de la campagne denier 2022.

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LE DIOCÈSE EN

IMAGES

© Pèr e Jacques Pissier

© SDIC Orléans

© Cathédrale Ste-Croix© Séminaire ND de l’Espérance ©Groupe paroissial Beaugency

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ACTUALITÉS

Que s’est-il vécu en France et dans nos paroisses du Loiret ? Des maisonnée et des petits groupes de partage ont prié pendant une semaine. Le samedi ou le dimanche avant ou après la messe, en journée ou le soir un temps de prière a été proposé par les communautés. Le

dimanche 20 mars, des prières universelles spécifiques ont été lues et partagées. Toutes ces propositions suivaient une trame commune partagée par toute la France. Vous pouvez revivre ces temps en téléchargeant les documents nécessaires sur le site du diocèse.

Une journée tant attendue : le 20 mars

Par Tiphaine Verley, responsable communication

Ils en ont tous témoigné, l’expérience de Lourdes les a bouleversés… Pour certains, c’était une confirmation ; pour d’autres une véritable conversion.

En tous les cas, aucun des évêques de France présents à la plénière de novembre n’est reparti avec le même regard.

Désormais, les victimes ne se sentiront plus comme celles par qui le scandale arrive, et l’Église les verra comme des membres meurtris de la communauté, des enfants de Dieu abimés par des abus innommables, des personnes blessées à accueillir, accompagner, aimer.

Les décisions prises ont été de toute nature : juridique, financière, pastorale, institutionnelle, et aussi mémorielle. Le 20 mars, 3e dimanche de Carême, a été choisi comme Journée mémorielle pour les personnes victimes d’abus dans l’Église. Une date cohérente car le Carême est le temps de la conversion, du retour à Dieu, de l’écoute de la Parole. Le 20 mars, nous avons ouvert ensemble une nouvelle page de l’histoire de l’Église, une page lumineuse qui éclaire sur ces années où nous n’avons pu ou su protéger les personnes victimes, ni les écouter, ni dénoncer les faits.

Une journée « Témoins pour une vie nouvelle » où par différentes démarches nous convertissons nos regards, notre écoute et nos comportements. Un nouveau chapitre où l’espérance du Christ nous invite ensemble à cheminer pour panser les blessures du passé et s’unir pour travailler à un avenir plus sûr dans la maison de Dieu.

Lancement de petites maisonnées fraternelles dans le Montargois Par Katia Strasman

Ça y est, c’est parti pour les petites maisonnées dans l’est du Gâtinais ! Montargis se lance pour la période du Carême pour vivre les 6 semaines de l’essentiel avec l’aide du site Newpastoral.

Une cinquantaine de

maisonnées fraternelles ont vu le jour depuis le début du mois de mars après une belle préparation de nos communautés par nos prêtres et l’équipe pilote.

Quelques difficultés à remplir nos maisons dans le choix des invités ; aller au large de nos églises, s’adresser à des personnes qui ne viennent pas à la messe, voire qui ont des reproches à faire à l’institution, n’est pas aisé ! Il a fallu essuyer quelques refus mais nous avons reçu aussi de grandes joies et beaucoup d’enthousiasme à l’idée de ce temps de partage.

L’Esprit nous a accompagnés tout au long de cette préparation et a mis sur notre chemin de belles rencontres.

Et maintenant… il n’y a plus qu’à vivre ce temps de Carême en compagnie des merveilleux témoins à travers les 6 vidéos de l’essentiel, et laisser le Seigneur travailler le cœur de chacun ! Une soirée d’action de grâce est prévue le 29 avril avec, nous l’espérons, tous les participants de nos petites maisons. Et vive la fraternité !

Pardon ?

Une pièce de théâtre pour parler d’abus sexuels d’un prêtre sur un enfant ? Voilà un sujet terrible…

300 personnes se sont pourtant retrouvées le 10 mars dernier d’abord dans une attente lourde face à la scène vide… Puis l’entrée des 4 acteurs a emporté ensuite le public dans une heure d’histoire d’amour poignante à travers le jeu précis et un texte sans concession. Laurent Martinez, auteur et acteur, ne cache rien à ses spectateurs de l’impact des abus sur la vie affective, relationnelle, sexuelle et spirituelle des victimes. Il expose toute son âme et ses souffrances, là où, on ne peut le plus souvent qu’entrapercevoir la douleur. L’engagement de ces acteurs confine à la mission : celle d’ouvrir les cœurs ; le courage de l’auteur dépasse la seule démarche personnelle : il pose les questions de la construction et reconstruction de la personne victime, de l’impact sur l’entourage direct, d’une Église blessée ou inconsciente, du tabou criminel, du criminel victime, de la mécanique du mal... Dans les abus, tout est confus, seule la lumière de la vérité et de l’amour peuvent sauver !

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Prions ensemble pour les JMJ ! Pour se préparer spirituellement jusqu’en 2023, les jeunes qui partiront aux JMJ vous proposent de se joindre à eux pour la prière du chapelet. Cette prière a lieu tous les 23 du mois, sur les réseaux sociaux jusqu’en juillet 2023. 20 mois pour permettre de se questionner sur les 4 mystères (lumineux, douloureux, joyeux et glorieux). Jeunes et moins jeunes : rejoignez-nous ! Prochain rendez-vous : Acte 4 le 19 novembre 2022.

Je souhaite partir aux JMJ :

Les JMJ, c’est quoi ? C’est un rassemblement des jeunes du monde entier avec le Pape. Une célébration de la jeunesse catholique pour vivre un temps fort dans la foi, la joie et la fraternité. Le Pape donne rendez-vous aux jeunes du 1er au 6 août 2023 à Lisbonne.

EN ROUTE VERS

LES JMJ 2023 !

Les JMJ ont déjà commencé ! Les Journées mondiales de la Jeunessse (JMJ), c’est un rassemblement de tous les jeunes catholiques du monde entier en un lieu, pour partager des moments de communion et de foi autour de la jeunesse en quête de joie et de fraternité. Un chemin a déjà commencé, ici, dans le diocèse d’Orléans lors des JDJ (Journées diocésaines de la Jeunesse) où les jeunes Loirétains se rencontrent et se préparent avant de partir rencontrer le Pape à Lisbonne en août 2023.

Acte 1 : novembre 2021 La première JDJ a eu lieu le dimanche 21 novembre 2021.

Durant cette première journée, les lycéens, étudiants et jeunes professionnels, venus des quatre coins du diocèse, ont participé à plusieurs ateliers. Au programme : apprendre le refrain de l’hymne des JMJ, ou encore

« Je vous salue Marie » en portugais. Ils ont également pu découvrir des danses portugaises et goûter à des mets du pays pour les initier à la culture locale. Des temps de parole, des rencontres, des louanges et des prières ainsi qu’une messe en présence de notre évêque. Par groupe, ils ont pu échanger sur le message du Pape François, et des jeunes ayant déjà participé

à des JMJ ont témoigné dans l’optique de les préparer complétement à cette aventure portugaise. Ce premier acte marque donc le lancement des JMJ.

Actes 2 et 3 : janvier et mars 2022

Pour l’acte 2, les jeunes étaient invités à participer à la journée diocésaine “Synode en action”

sur la rencontre personnelle avec le Christ en janvier dernier.

Le 19 mars dernier, les jeunes avaient rendez-vous pour l’acte 3 ! Une marche de l’église Notre-Dame des Miracles à Orléans jusqu’à l’église de Saint- Ay en passant par l’église de La Chapelle-Saint-Mesmin. Une créanciale leur a été remise au départ, sur laquelle ils ont reçu un tampon à chaque étape jusqu’à Lisbonne. En plus de la marche, la journée a été rythmée par des temps prière, des témoignages et une messe en présence de l’évêque, ainsi que des activités comme la visite de la grotte de Saint-Mesmin et sa légende, une épreuve de portugais et des activités festives avec de la danse, des jeux, de la musique... Toujours dans une idée d’ouverture à la culture portugaise et de préparation aux JMJ.

Par Ambre Dalleau, service civique à la Pastorale des jeunes.

pastoraledesjeunes45 @gmail.com

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Être en équipe Mission de France Par Monique Martinet, Briare

C’est pour moi comme une histoire, celle de ma vie, qui commence dans les annnées 1980 en participant à l’équipe pastorale de

notre secteur avec des prêtres qui voulaient vivre les intuitions de la Mission de France (MdF). Cette équipe d’abord appelée « équipe associée » nous permettait de relire ensemble toutes nos rencontres au quotidien. Cela permettait de construire des projets de pastorale en essayant de répondre au mieux aux attentes des habitants de notre territoire, d’être au plus près, partager leurs joies, leurs peines, être solidaire et essayer de comprendre comment Dieu se dit à travers les hommes. Beau programme jamais terminé car, encore aujourd’hui, c’est toujours d’actualité ! Les rencontres régionales et nationales m’ont permis de renforcer mes convictions, mais aussi de partager mes craintes et mes doutes. Dire Dieu aujourd’hui n’est jamais facile.

J’ai vécu beaucoup d’évènements organisés par la MdF et notamment le train à Pâques 1987, où j’ai emmené une quizaine de jeunes de l’aumônerie scolaire dont j’étais la responsable ; puis à la Pentecôte 1990, qui fut un rassemblement national très important pour la Mission de France. Ce fut un point d’étape.

En 2002, sous l’implusion de Georges Gilson, qui était évêque de la Mission de France, la Communauté Mission de France a vu le jour.

Ce fut une nouvelle étape qui permettait de réunir sous un même vocable des hommes et des femmes qui, comme il est écrit dans le Manifeste, souhaitent vivre la mission de l’Église comme une aventure spirituelle qui leur permet de lier leur destin aux pauvres, aux prophètes, aux penseurs, et aux chercheurs et à tous ceux et celles qui veulent aujourd’hui construire un monde plus humain. Après avoir été au Bureau national des équipes associées, j’ai participé pendant 6 ans au travail de l’équipe épiscopale. Mais quelque soit ma place dans la Communauté Mission de France, c’est toujours les mêmes convictions qui m’anime : mieux appréhender ce monde si déroutant, si complexe, si difficile parfois ; aller à la rencontre de ceux qui ne croient pas ou qui croient autrement en accueillant leurs mots de foi ou de non-foi, comme un trésor, comme des richesses que nous avons à partager ; fortifier ma foi en ce Christ mort et ressuscité par Amour pour nous ; déceler les signes de l’Esprit dans ce monde tel qu’il est. Avec les années qui s‘écoulent certains d’entre nous ont quitté la région, d’autres sont retournés vers le Père aussi. Depuis 5 ans, avec un autre membre, nous avons rejoint l’équipe d’Orléans.

Propos recueillis par le Père O’Mahony

La Mission de France

AU CŒUR

DE LA MISSION

Propos recueillis par le Père O’Mahony, prêtre de la Mission de France

Historique de la Mission de France

• 1941 : création du

séminaire de la Mission de France.

• 1954 : création de la Prélature (diocèse) de la Mission de France

• 1969 : association entre le diocèse d’Orléans et la Mission de France.

Naissance des « équipes associées »

• 2002 : fondation de la Communauté Mission de France.

• 2022 : dans le diocèse une équipe de 14 membres dont deux cheminants.

Parmi eux, quatre prêtres et deux diacres. Ils reçoivent en février leur nouvelle lettre de mission lors d’une célébration à La Source (photo ci-dessous)

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Bref, nous sommes loin de Pagnol, de l’aïoli et des bougainvilliers, mais nous commençons à nous habituer : la petite ville de Lorris est

charmante ainsi que les habitants que nous avons pu rencontrer.

L’évangélisation est urgente, comme partout. L’autre jour, une petite fille passe avec son papa devant l’église de Chilleurs (ils y passent tous les jours pour rejoindre le bus scolaire) ; je venais d’ouvrir l’église et elle a voulu s’arrêter pour entrer en me disant « j’y suis jamais rentrée ! » mais son papa l’a tirée pour l’en empêcher… Heureusement il y a la petite Eva qui se prépare au Baptême et ses parents qui cheminent avec nous.

Les journées de Giuseppe sont bien remplies : hier il sortait de célébrer la messe dans la chapelle d’un hôpital quand il a croisé un cortège qui y entrait. Il s’informe et comprend que comme le mort avait fait don de son corps à la science, la famille n’avait pas

La Mission ouvrière Saints-Pierre-et-Paul

Claire Patie, membre de la MOPP, et Pierre Fricot, prêtre de la MOPP sont arrivés à Bazoches en novembre 2020 rejoindre Giuseppe Dell’Orto.

Ils venaient du quartier de la Renaude à Marseille. Giuseppe était depuis longtemps

installé dans le Loiret comme évangélisateur laïc de la MOPP avant d’être ordonné prêtre en 2013 et d’être nommé curé de Bazoches. Voici comment ils ont annoncé à leurs amis de la MOPP leur départ pour Lorris.

La vie avec le Seigneur réserve des surprises et il faut s’adapter, mais on n’est jamais déçu ! Nous allons bientôt quitter Chilleurs-aux-Bois (début Juillet), avec son restaurant « À la tête de veau » et celui dédié à Lancelot du Lac (dont le château se situe commune), pour nous installer à Lorris, patrie de Guillaume du même nom. Nous restons dans un environnement de roses : depuis la roseraie d’André Eve à Chilleurs jusqu’au Roman de la Rose à Lorris !

Qu’est-ce que la Mission ouvrière Saints-Pierre-et-Paul ?

Par le Père Giuseppe Dell’Orto, prêtre de la MOPP, curé du secteur Bellegarde, Lorris, Varennes.

Fort heureuseument, il y a, au sein de l’Église, beaucoup plus d’initiatives et d’intuitions que nous pouvons l’imaginer. Des intuitions parfois modestes mais qui sont le reflet du besoin d’une vitalité constante de l’Église toujours à la recherche de de comment annoncer la Bonne Nouvelle.

La MOPP : Mission ouvrière Saints-Pierre-et-Paul fait sans doute partie de ces groupes peu connus qui cachent un désir immense de partager la joie de faire connaître Dieu, son existence et son amour immense pour toute l’humanité. Société apostolique missionnaire, elle commence son cheminement officiel en 1955.

Vivre en plein air et sans clôture au milieu des travailleurs la vie des premiers Apôtres : telle est l’ambition de la Mission-Saints-Pierre-et-Paul.

Son programme se résume en deux mots : partager et relier. Partager la vie de Dieu et celle des hommes, relier les hommes entre eux et avec Dieu, en Jésus-Christ. Née en France à partir des intuitions de Jacques Loew, un personnage qui a marqué la mission le siècle dernier, le groupe s’est vite répandu à travers le monde : Brésil, Suisse, Japon, Italie, Allemagne…

TEMOIGNAGE

De Bazoches à Lorris

prévu de célébration, juste un passage par la chapelle. Giuseppe a parlé avec eux et a pu organiser sur le champ un temps prière.

Il rentre ensuite au presbytère pour accueillir deux pèlerins de Saint-Jacques, quelques minutes après, quelqu’un vient l’alerter :

« il y a une folle dans l’église ».

Il se précipite et tombe sur une hystérique qu’il réussit à calmer.

Giuseppe Dell’Orto et Pierre Fricot concélébrant. Il lui donne rendez- vous pour prier pour elle.

Quelques nouvelles de la

Renaude : une famille a téléphoné pour demander ce que nous devenions, c’est le petit Tyron de 4 ans qui a parlé d’abord, avec un accent marseillais tellement sympa, pour dire « vous nous manquez », sa maman a ensuite ajouté que la démolition des bâtiments est maintenant programmée ; ils espèrent qu’on ne va pas les reloger dans une cité

« pourrie » car « la Renaude est devenue pourrie, mais on y est chez nous ».

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MH : Comme vous pouvez l’imaginer, nous n’accompagnons plus aujourd’hui comme

nous le faisions les années précédentes. Nous assurons donc un rôle de veille afin de proposer aux catéchumènes un accompagnement adapté.

Existe-t-il des étapes dans le chemin vers les sacrements d’initiation ?

IB : Le rituel de l’initiation chrétienne des adultes (RICA), qui est le livre officiel d’accompagnement des catéchumènes, nous donne un itinéraire avec des temps et des étapes liturgiques. La première étape est le temps du pré-catéchuménat, de l’accueil, où nous écoutons le désir de la personne. Elle aboutit à une célébration en paroisse : l’entrée en Église. A ce moment, nous ne parlons plus de candidat mais de Chrétien catéchumène.

L’Église reconnait ce désir de se rapprocher du Christ. Le Baptême commence à ce moment-là.

Et pour les jeunes ?

IB : Le catéchuménat s’adresse à la fois aux adolescents et aux adultes. Ils vivent les mêmes temps, les mêmes étapes liturgiques. Nous nous adaptons à leur âge, leur maturité, leur propre cheminement. Le juste équilibre entre le rituel chrétien et la réalité pastorale permet de proposer à chacun un parcours adapté à sa situation.

Quelle(s) joie(s) vous procure cette mission ?

IB : Ma joie c’est d’accompagner, servir et soutenir toutes ces personnes qui disent : « oui » à la mission. Quelle joie, lors des grands rassemblements diocésains, de voir toutes ces personnes venant d’horizons différents se rencontrer et témoigner : « oui le Seigneur est là, l’Esprit saint est à l’œuvre… » MH : C’est un domaine de la pastorale qui me passionne. Il y a une jeunesse de l’Église présente dans le catéchuménat quel que soit l’âge de ceux qui arrivent car la jeunesse est donnée par la rencontre du Christ, par ce jaillissement de la vie nouvelle en Christ qui nous est redonnée avec une fraicheur toujours nouvelle. Cela réveille en nous la foi et nous rappelle le temps des commencements.

Quel(s) défi(s) pour les années à venir ?

MH : Aujourd’hui,

malheureusement, on constate que peu de catéchumènes demeurent pratiquants. C’est le défi qui nous anime pour les années à venir car un Chrétien baptisé mais qui ne pratique pas est un poisson hors de l’eau, il est en danger… Notre attention est donc d’éveiller les catéchumènes à l’après-Baptême car la conversion ne s’arrête pas le jour où ils reçoivent les sacrements. C’est un vrai défi d’accueil et d’attention.

LE SERVICE

CATÉCHUMÉNAT

Ida Bugalho (IB) et le Père Messian Huret (MH) coordonnent le service diocésain du catéchuménat.

Une mission à la fois passionnante et sensible car elle est la porte d’entrée dans la famille chrétienne.

Entretien.

Pour commencer, pouvez- vous nous rappeler ce qu’est le catéchuménat ?

MH : Dérivé du grec : « celui qui est instruit de vive voix », c’est l’accompagnement catéchétique de ceux qui demandent les sacrements de l’initiation : Baptême, Communion, Confirmation. Nous avons souvent tendance à parler de

« demande de baptême », mais il est plus juste d’évoquer les trois sacrements de l’initiation.

Comment le service

catéchuménat s’articule-t-il avec les paroisses ?

IB : Notre évêque, Mgr Jacques Blaquart, a fait le choix de faire vivre les sacrements du Baptême et de la première Communion dans les paroisses lors de la Vigile pascale. Quant à la Confirmation, elle est célébrée à la Pentecôte à la cathédrale avec tous les confirmands du diocèse. Cela lie diocèse et paroisses. Notre service a un rôle d’accompagnement des équipes locales en termes de soutien et de formation.

Par Adrien Ferreira, service communication.

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Chaque année, de nombreux adultes se préparent au baptême dans le diocèse, accompagnés individuellement et en Église. Ils témoignent.

Angélique, catéchumène

« Je m’appelle Angélique, j’ai 30 ans et je suis catéchumène, en chemin vers le baptême.

J’ai toujours eu des questions sur la religion, j’ai toujours senti la présence de Dieu mais sans jamais oser pousser la porte d’une église. Je l’avoue, j’avais peur. Je ne savais pas comment m’y prendre. L’année dernière, pour la préparation de mon futur mariage, j’ai pris contact avec Christine de la paroisse de Pithiviers. Je lui explique notre désir de nous marier à l’église mais aussi celui de me faire baptiser. Elle a été à l’écoute et naturellement accueillante. Elle me propose alors de participer au parcours Alpha, un parcours de 10 rencontres en visio avec d’autres personnes en recherche sur les grandes questions de la foi ! Juste ce qu’il me fallait.

J’ai commencé ma première rencontre avec un peu de stress, l’angoisse de plonger dans un monde encore inconnu pour moi. Mais dès la première rencontre, j’ai été touchée par la bienveillance du père Messian et des autres participants. Au fil des rencontres, je trouve les réponses à mes questions. Un réel partage et écoute entre les participants et surtout un réel cheminement intérieur sur la place de Dieu, de Jésus et du Saint-Esprit dans ma vie.

Je pense qu’on attendait tous avec impatience la rencontre du jeudi soir. La dernière rencontre fut forte en émotions car nous nous sommes retrouvés à la paroisse. Ces échanges m’ont permis de comprendre que Dieu avait toujours été près de moi, même dans les moments où je ne le savais pas. J’ai aussi pris conscience avec émerveillement que Dieu était là à mes côtés et

que je ne le savais pas, que je n’avais jamais été seule et que son amour inconditionnel est en moi et pour moi. C’est dans le partage avec les autres que j’ai beaucoup reçu. Aussi bien en étant invitée à formuler mes convictions et mes questions qu’en écoutant celles des autres.

La foi est un dialogue avec Dieu et avec les autres. J’ai hâte d’être baptisée pour plonger toute ma vie dans l’amour de Dieu, proclamer ma foi et devenir disciple missionnaire de Jésus. »

Maëlle, catéchumène

« Je m’appelle Maëlle et j’ai 18 ans et j’ai la joie d’être catéchumène, c’est-à-dire en chemin vers le baptême. Venant d’une famille athée je n’ai jamais connu la messe, le catéchisme ou autre. Il y a maintenant plus d’un an, Dieu ou même la religion chrétienne m’étaient complètement inconnus. Ma vie a pris un tournant différent au décès de ma grand-mère.

Le 25 décembre 2020 pour la première fois de ma vie j’ai demandé à Dieu d’accompagner ma grand-mère. À ma grande surprise j’ai eu sa réponse dans les secondes qui sont venues.

Les semaines suivantes j’ai eu plusieurs questions qui me restaient dans ma tête : est-ce mon imagination ? Pourquoi est-ce arrivé à ce moment-là ? Pourquoi moi ? Après 2 mois de réflexion, j’ai décidé d’en parler à des amies pratiquantes. Elles m’ont tout de suite proposé de venir à une messe. J’y suis allée et j’ai commencé à prier pour avoir des réponses, des explications… pour la première fois j’ai vu, j’ai senti la présence de Dieu et ses paroles. À partir de cette messe tout a changé pour moi. J’ai rencontré des gens incroyables qui me guident et

TÉMOIGNAGES

m’accompagnent chaque jour dans mon parcours. J’ai donc décidé de participer au parcours Alpha pour mieux comprendre. Aujourd’hui, je suis complètement différente, je suis libérée, épanouie, et surtout accompagnée. Ce parcours a changé énormément de choses chez moi et dans mon train de vie.

Je souhaite continuer mon chemin de foi en apprenant encore plus sur la parole de Dieu, et je désire continuer à vivre avec Dieu toujours.

Aujourd’hui je continue avec bonheur le chemin vers le baptême pour approfondir ma foi. »

Adrien, accompagnateur

« Lorsque que le prêtre de ma paroisse m’a proposé, pour la première fois, d’accompagner deux jeunes adultes vers le baptême, je me suis dit : comment vais-je trouver les mots pour exprimer le don de Dieu ? Sans rien connaître de l’Église, ces jeunes étaient venus avec un certain courage, toquer à la porte du presbytère de leur village.

Une fois mes appréhensions dépassées, j’ai découvert une grande joie à me tenir à disposition de ces catéchumènes. Partager le bonheur de vivre en Christ me permet de revivre, à chaque rencontre, mon propre baptême.

Cette année, je vivrai pour la première fois le baptême de ces jeunes que j’accompagne depuis plusieurs mois. Une chose est certaine : l’émotion sera au rendez-vous. Puisse le Seigneur les accompagner sans relâche sur leur chemin vers la sainteté et nous donner d’autres catéchumènes ! »

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Par Alix Tardif, comité de rédaction.

Et maintenant ?

Entre son inauguration le 5 décembre dernier et le mois d’août prochain, seize enfants y auront été baptisés. Mgr Blaquart, venu en personne bénir cette « fontaine du Salut », selon ses propres mots, a insisté : « Il faut que les signes parlent ». C’est pourquoi la paroisse lui confère une réelle dimension pastorale et catéchétique. En écho à l’orientation synodale de rencontre personnelle avec le Christ, elle invite jeunes et moins jeunes à réfléchir à leur propre baptême lors de veillées de prières, temps de réflexion, formations, témoignages de catéchumènes, visites d’autres baptistères ou simplement en entamant la discussion avec les visiteurs de passage.

Le projet est financé sur les fonds propres de la paroisse et par une souscription auprès des paroissiens.

Vous pouvez apporter votre contribution en envoyant un don à : Paroisse du Sacré Cœur, église Saint Jean-Baptiste - 2 rue du Ballon 45650 St Jean le Blanc Vous recevrez un reçu fiscal et un CD en remerciement.

Pour en savoir plus :

Présentation du baptistère : https://www.youtube.com/

watch?v=I4tTrzDQfkk

Album du baptistère : http://www.rivedeloire45.fr/

Oeuvres de l’artiste :

http://www.bris-sculpture.com

symbole, l’enjeu était liturgique et missionnaire : « Qu’avons- nous fait de notre baptême ? » Une symbolique particulière Dans la plupart de nos églises, explique le père Bernard Héraut, nouveau curé de la paroisse, le baptistère est à l’entrée, signifiant que notre vie chrétienne commence par le baptême. Or, ici, il se trouve dans la nef, au milieu de la travée de gauche, sur le chemin de l’autel. Comme pour faire écho au chant choisi pour l’inauguration : « Réveille les sources de l’eau vive qui dorment dans nos cœurs, Toi Jésus qui nous délivre, Toi le don de Dieu ».

Cette œuvre à la fois sobre et flamboyante est un sujet de formation à elle seule. Elle se révèle d’abord de haut en bas : un ciel déchiré, avec une colombe en son milieu qui plonge vers la cuve, s’appuie sur les témoignages des Évangiles, notamment celui de Marc (« Et aussitôt, en remontant de l’eau, il vit les cieux se déchirer et l’Esprit descendre sur lui comme une colombe »).

Du bas vers le haut ensuite : sur un sol représentant la terre, un socle octogonal évoque le 8e jour, celui de la Résurrection. La cuve circulaire dit la perfection de Dieu. Très profonde, dorée à l’or fin, munie d’un bouchon portant une croix glorieuse, elle plonge le baptisé à la suite du Christ pour avec Lui passer de la mort à la Vie.

Quel est le comble pour une église nommée Saint-Jean- Baptiste ? Ne pas avoir de baptistère ! C’était pourtant le cas de l’église de Saint-Jean-Le- Blanc, paroisse du Sacré Cœur.

Il y a 7 ans, Marcel Bardon, diacre, interpella son curé :

« Père, vous n’avez donc pas de baptistère ? ». Ce manque apparut alors évident, et une équipe se forma autour du Père Gilles Rousselet pour réfléchir à un projet inédit et plein d’enjeux : redonner tout son sens au nom de l’église !

Un projet à multiples facettes Le choix de l’artiste fut unanime : Jean-Jacques Bris, maître dinandier aveyronnais spécialiste du mobilier

liturgique, façonnerait l’œuvre.

Avec Marcel Bardon, ils ont étudié minutieusement les textes relatifs au baptême, des racines bibliques juives jusqu’au Nouveau Testament, particulièrement les lettres de Saint Paul et la première épitre de Saint Pierre. Allier art et liturgie était un défi de taille ! C’est pourquoi ce baptistère, imprégné des Évangiles, est le fruit d’un dialogue constant avec l’artiste. Rien ne devait être laissé au hasard, tout devait avoir du sens. Car au-delà du

Inauguré le 5 décembre, ce baptistère a fait l’objet d’une profonde réflexion artistique, théologique et liturgique, et s’inscrit désormais dans une démarche paroissiale fédératrice et missionnaire.

UN NOUVEAU

BAPTISTÈRE

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En ce temps de carême que nous avons commencé par cette phrase, nous pouvons nous demander par quel bout commencer !

Voici un passage de la prière chrétienne avec la création à la fin de l’encyclique Laudato Si :

« Ô Dieu, […] apprends-nous à te contempler dans la beauté de l’univers, où tout nous parle de toi. Éveille notre louange et notre gratitude pour chaque être que tu as créé. Donne-nous la grâce de nous sentir intimement unis à tout ce qui existe. Dieu d’amour, montre-nous notre place dans ce monde comme instruments de ton affection pour tous les êtres de cette terre, parce qu’aucun n’est oublié de toi. […] Seigneur, saisis-nous par ta puissance et ta lumière pour protéger toute vie, pour préparer un avenir meilleur, pour que vienne ton Règne de justice, de paix, d’amour et de beauté. Loué sois-tu. Amen. » Je vois deux pistes possibles d’un chemin de conversion à emprunter.

La première est de s’émerveiller, de contempler la présence de Dieu qui nous parle. Dans la nature : le printemps est merveilleux pour cela. Le soleil revient, les fleurs s’ouvrent, le vent est plus doux, les oiseaux chantent. En tout être humain : un bébé vient de naître, un vieux couple sur un banc, des enfants jouent, une famille se retrouve, des jeunes discutent…

La deuxième piste en découle facilement. Comment ne pas désirer prendre soin de ce que l’on a contemplé, prendre soin de la nature, de ceux qu’on aime, qui nous sont proches ou plus lointains, et à travers eux prendre soin de Dieu lui-même.

Convertissez-vous et croyez à l’Évangile !

Par Véronique Garnier, pour Chrétiens écologie Loiret

AVRIL

À RETENIR

29 mars : Rencontre de la Pastorale rurale à Pithiviers pour préparer la rencontre « Terre d’espérance ».

30 mars : Rencontre des prêtres à Pithiviers.

2 : Récollection des consacrés du diocèse sur la synodalité à Saint-Benoît-sur-Loire

Messe pour l’admission au diaconat d’Éric Didieux à St Aignan.

2-3 : Pèlerinage diocésain des enfants du caté de CM1-CM2 à Lisieux.

3 : Assemblée diocésaine pour le synode mondial.

4-8 : Assemblée plénière des évêques de France à Lourdes.

9 : Soirée de louange autour des psaumes à St-Marc à Orléans.

Visite découverte des jardins de la voie romaine avec les Chrétiens en Monde Rural (CMR).

11 : Messe et repas à Nazareth avec les prêtres résidents.

12 : Récollection des prêtres et des diacres à la Maison St Aignan à Orléans

Messe Chrismale à la cathédrale

14 : Messe du Jeudi Saint à Fay-aux-Loges.

15 : Célébration œcuménique du Vendredi saint.

16 : Célébration de Pâques à la Prison Orléans-Saran.

Veillée pascale à la cathédrale.

17 : Pâques à l’aube (à 6h58) : célébration œcuménique au Campo Santo à Orléans.

17-24 : Pèlerinage à Fatima avec le groupement paroissial de Châteauneuf-sur-Loire.

22-24 : Rassemblement « Terre d’espérance » à Châteauneuf- de-Galaure (Drôme).

26 : Formation “Bien vivre nos réunions d’équipe et appeler de nouveaux membres” à Bouzy-la-Forêt.

Rencontre sur le Dialogue Interreligieux à la Maison St Vincent.

27 : Rencontre avec la DRAC pour le projet d’aménagement de la cathédrale et de l’église St Aignan.

28 : Partage d’Évangile avec la Pastorale de la santé à Orléans.

Rencontre des prêtres du Pôle Ouest à Beaugency et des services diocésains à la Maison St-Vincent à Orléans.

29 : Fêtes johanniques : cérémonie de remise de l’épée à la cathédrale.

30 : Journée fraternelle avec la Communauté Gennésaret.

Rencontre des jeunes du diocèse avec le Père René-Luc.

Retrouvez l’agenda mis à jour quotidiennement sur le site du diocèse.

L’agenda de l’évêque

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