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Fiche de formation: Volailles fermières : vers et vermifuges

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Academic year: 2022

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Fiche de formation: Volailles fermières : vers et vermifuges

Chez les volailles fermières, les principaux helminthes parasites sont les vers ronds qui se localisent dans

l’appareil digestif, mais aussi dans l’appareil respiratoire. En routine, une à deux vermifugations annuelles peuvent suffire. Dans certains cas, rares en élevage fermier, un traitement plus spécifique peut s’avérer nécessaire. Tous les vermicides/vermifuges sont sur prescription, ce qui rend très attractives les purges naturelles vendues en libre- service.

Prévenir en conseillant une vermifugation régulière, c’est la mission prioritaire de la pharmacie. La pathogénicité d’un helminthe est liée à l’espèce, à sa charge parasitaire et à sa localisation dans le tube digestif. Tous ne sont pas pathogènes. Dans certains cas, ils peuvent induire des retards de croissance, une dégradation de l’indice de

consommation, de la diarrhée et jusqu’à de la mortalité. Avec l’accès au parcours extérieur, le risque de contamination augmente. En cas d’infestation, notamment dans un contexte de développement des productions plein air, recommandez de bien identifier les vers impliqués pour mieux s’en protéger.

Pour les poules pondeuses, le risque croît aussi avec le développement des élevages au sol et en volières. L’hygiène est cruciale, car les œufs de certains vers sont résistants jusqu’à un an dans l’environnement.

Principaux vers ronds

1) Ascaris

Les ascaris sont les vers les plus fréquents. Ils peuvent contaminer toutes les volailles. Ils mesurent de 3 à 10 cm pour un diamètre de 1 à 2 mm. On peut en voir dans les fientes après leur élimination. Ils sont les plus faciles à repérer lors de l’autopsie, à l’œil nu, en ouvrant la totalité de l’intestin grêle. Ils ne sont pathogènes que présents en quantité importante.

• Signes au comptoir :

Les signes sont variés et dépendent du niveau d’infestation : – diarrhées ;

– altération de l’état général ;

– retard de croissance, ou chute de ponte ;

– carences graves en acides aminés, oligo-éléments et vitamines ; – les grands vers provoquent parfois des ruptures de l’intestin grêle.

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Dans les cas sévères, chez la poule pondeuse, cela peut aller jusqu’à un blocage du transit intestinal, voire une remontée jusqu’à l’oviducte. Le passage dans l’œuf de la poule est donc possible. Le risque d’exposition est plus fort dans les élevages sur parcours.

• Molécules actives et calendrier de traitement

Les ascaris sont simples à éliminer, car les vermifuges courants sont actifs : lévamisole, pipérazine, benzimidazoles…

Proposez une vermifugation systématique 2 fois par an.

2) Capillaires

Les Capillaria mesurent de 1 à 2 cm, ce sont des vers petits et très fins, leur aspect est celui d’un cheveu, ils sont donc difficiles à voir à l’œil nu. Ils parasitent l’intestin, mais aussi le jabot. Les espèces annulata et contorta sont localisées dans le jabot et l’œsophage. Capillaria obsignata se situe surtout dans l’intestin grêle et peut être très pathogène en grande quantité. Il induit une inflammation de la muqueuse, de la diarrhée voire de la mortalité. Les capillaires affectent particulièrement les gallinacés et les palmipèdes.

• Signes au comptoir

Les capillaires provoquent une baisse de la consommation, un amaigrissement et une prostration. Ils sont parfois à l’origine de mortalités importantes à cause de leur nombre élevé :

– altération de l’état général,

– retard de croissance, ou chute de ponte.

– diarrhée,

– amaigrissement, aussi bien chez la pintade, la dinde que le poulet.

• Molécules actives et calendrier de traitement

Les capillaires sont simples à éliminer, car les vermifuges courants sont actifs : lévamisole, pipérazine, benzimidazoles…

Proposez une vermifugation systématique 2 fois par an.

3) Hétérakis

Les hétérakis, fréquents chez le poulet et rares chez la dinde, mesurent de 1 à 2,5 cm pour un diamètre inférieur à 1 mm.

Ce sont des parasites du cæcum. Les œufs, très semblables à ceux des ascaris, sont difficiles à différencier au microscope.

La recherche d’hétérakis permet d’évaluer le risque histomonose chez la dinde et d’envisager une vermifugation, même si cet helminthe est peu pathogène.

• Signes au comptoir

Les hétérakis provoquent des parasitoses graves chez les faisans et transmettent l’histomonose chez la dinde.

Signes au comptoir :

– altération de l’état général ;

– retard de croissance, ou chute de ponte ; – diarrhée ;

– amaigrissement.

• Molécules actives et calendrier de traitement

Les vermifuges à base de lévamisole, de pipérazine, de benzimidazoles sont actifs. Proposez une vermifugation systématique 2 fois par an.

4) Syngames

Syngamus trachea est un petit vers hématophage dont le mâle et la femelle sont, chez certaines espèces, accouplés en permanence, formant un Y. Ces « vers rouges » ou « vers fourchus » mesurent entre 0,3 et 2 cm. Ils sont fixés dans la trachée des volailles et provoquent une maladie parasitaire respiratoire.

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La syngamose peut se rencontrer dans toutes les espèces de gallinacés, mais elle constitue une dominante pathologique de l’élevage du faisan.

• Signes au comptoir

La maladie est très fréquente chez les jeunes faisans de moins de 3 mois et en période estivale. Les symptômes sont caractéristiques, c’est le « baille-bec » :

– bâillements, tête basse, ou pliée ;

– bec toujours entrouvert, sifflement assez caractéristique ; – difficultés respiratoires importantes…

Lorsque les parasites sont présents en forte quantité, le sujet meurt par suffocation suite à l’obstruction mécanique de la trachée. C’est souvent le cas chez les jeunes oiseaux du fait du faible diamètre de leur trachée.

• Molécules actives et calendrier de traitement

Nitroxinil, 10 mg/kg de poids de volaille, Dovenix par voie orale (présentation de 50 ml) à la dose de 5 ml/10 L d’eau de boisson pendant 3 jours ; les benzimidazoles comme le flubendazole pendant 7 jours. Traitement au nitroxinil uniquement en cas d’infestation — flubendazole ou lévamisole, en prévention, 2 fois par an.

Ténias et cestodes

Les ténias regroupent plusieurs espèces. Ils mesurent de quelques millimètres à plusieurs centimètres. Ce sont des vers plats composés de segments (anneaux indépendants qui se détachent un à un). Ils s’accrochent par la tête à la muqueuse intestinale de la volaille. Leur mise en évidence est plus facile pour les grandes espèces (Raillietina et Choanotaenia ) qui sont les plus fréquentes et peu pathogènes. En revanche, elle est plus difficile pour les espèces petites et fines dont Davainea, peu fréquente, mais la plus pathogène.

• Signes au comptoir

Les ténias sont peu fréquents et n’atteignent que les jeunes. Tous ont un hôte intermédiaire dans leur cycle, on ne les rencontrera donc que sur des animaux à parcours extérieur.

– altération de l’état général ;

– retard de croissance, ou chute de ponte ; – diarrhée ;

– amaigrissement.

– Mortalité (Davainea)

• Molécules actives et calendrier de traitement

Niclosamide et praziquantel. Aucun antihelminthique n’est autorisé pour les volailles de chair et les pondeuses, mais pour les volailles d’ornement en petit nombre, les propriétaires administrent souvent les spécialités pour pigeons à base de niclosamide.

Epidémiologie

La plupart des vers des volailles pondent des œufs dans le tube digestif qui sont évacués avec les fientes dans le sol. A partir de ces œufs, des larves infestantes se développent dans un délai variant de 10 jours à 1 mois. La transmission peut alors être directe — ingestion orale des larves — ou passer par un hôte intermédiaire comme le verre de terre, l’escargot, la limace, la mouche… Il est pratiquement d’éliminer les larves de l’environnement à moins de traiter le sol avec des produits à base de sulfate de cuivre. La rotation des parcours est un aussi un moyen qui permet de minimiser ces risques en assurant naturellement un nettoyage du sol, et un renouvellement des ressources naturelles.

Passons en revue quelques cycles des principaux parasites :

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• Ascaris : l’infestation se fait par ingestion de larves d’ascaris (cycle direct). Quand une poule avale une larve en picorant sur un parcours, un nouvel ascaris se développe en elle et le cycle continue… La contamination entre tous les sujets d’un groupe est rapide, environ 1 mois. Il existe aussi une possibilité d’infestation en passant par des hôtes intermédiaires, tels que le ver de terre qui accumule les œufs dans son intestin.

• Capillaires : selon l’espèce, ces vers suivent un cycle direct ou un passage par un hôte intermédiaire comme le ver de terre.

• Syngames : La femelle pond des œufs microscopiques qui vont donner des larves L3. Ces larves L3 sont infectent les volailles. Après ingestion par voie orale, elles traversent le jabot, l’œsophage et le duodénum pour rejoindre par voie sanguine les poumons. Là, les larves L3 se muent en L4 et migrent vers la trachée. Elles donnent des adultes qui pondent à nouveau des œufs expulsés par la toux dans l’environnement. Retenez que les larves L3 peuvent survivent 8 à 9 mois dans l’œuf et jusqu’à 1 an dans un mollusque et 4 ans dans un ver de terre (hôte paraténique).

• Ténia : Le ténia ne se transmet pas directement de volaille à volaille. La transmission nécessite un hôte intermédiaire qui ingère les œufs de ténia émis par une volaille dans ses selles. Pour que le ténia puisse parasiter une poule, il faut que celle- ci ait picoré un ver de terre, un escargot ou une limace, eux-mêmes déjà infestés par une larve de ténia. Pour les poules en cages, la mouche joue ce rôle. Les parcours humides, propices à la présence d’escargots ou de ver de terre sont donc propices à la transmission du ténia aux volailles.

Traitements vermicides/vermifuges

Tous les vermicides/vermifuges sont sur prescription. Retenez quelques conseils cruciaux : 1) Il est indispensable de vermifuger tous les sujets en même temps.

2) Premier réflexe universel : ciblez le nombre d’animaux à traiter.

3) Second point clé : évaluez le poids moyen des individus et le poids total du groupe.

4) Enfin, renseignez-vous sur les traitements antérieurs, les vaccinations et les signes présentés par les animaux malades.

N’hésitez pas à faire isoler les malades des animaux bien portants. Rappelez que le diagnostic ne peut être posé avec certitude que par un vétérinaire, à l’aide des informations recueillies au cours de l’autopsie. Cet examen reste le plus utile en pathologie des volailles. Pour quelques euros, les laboratoires vétérinaires départementaux le réalisent en routine.

La vermifugation a pour objectif de maintenir la charge parasitaire à bas niveau, sans l’éradiquer totalement d’où l’intérêt des solutions naturelles couplées à des traitements classiques.

En cas d’infestation, l’identification préalable des helminthes est nécessaire pour choisir les meilleures options de traitement.

• Vermifuges avec AMM volailles et temps d’attente

Ces vermifuges sont les seuls utilisables lorsque les volailles ou leurs œufs sont appelés à être consommés.

– Molécules autorisées sur les nématodes : le lévamisole (20 mg/kg)

, le flubendazole (1,43 mg/kg/jour pendant 7 jours), le fenbendazole (1 à 2 mg/kg/jour pendant 5 jours) et la pipérazine (100 à 200 mg/kg), cette dernière n’étant en revanche pas efficace sur les capillaires.

– En cas d’infestation, le délai de renouvellement du traitement doit tenir compte de la période prépatente (temps entre infestation et excrétion d’œufs), propre à chaque espèce : 5 à 6 semaines pour les ascaris, 3 à 4 semaines pour les Capillaires et 2 semaines pour les ténias. Aucun antihelminthique n’est autorisé sur les cestodes. On ne peut agir que sur l’hôte intermédiaire.

– Mode d’administration : les traitements sont administrés dans l’eau de boisson, afin de traiter tous les sujets en même temps. Enfin, en délivrant un traitement, rappelez les temps d’attentes pour les œufs et la viande. Exemple pour la

pipérazine : viande et abats : 7 jours — œufs : en l’absence de temps d’attente, ne pas utiliser chez les espèces pondeuses productrices d’œufs de consommation, 4 semaines avant le démarrage de la ponte et pendant celle-ci.

• Vermifuges pour carnivores utilisés hors AMM.

Des médicaments pour chiens et chats sont parfois délivrés faute de mieux ou dans certains cas spécifiques. Ils le sont sous votre responsabilité. Exemple, sans prescription : Plurivers (pipérazine), Panacur 250 (fébendazole, posologie 1 à 2 mg/kg/jour pendant 5 jours) chien comprimés hydrodispersibles… Sur prescription : Advocate 40 mg + 4 mg ou

Stronghold 15 mg ; Bravecto Plus 112,5 + 5,6 mg Chat… Ces spot-on sont parfois prescrits hors AMM pour traiter quelques

« volailles de compagnie » contre les parasites internes (vers ronds) et les parasites externes (gales, poux). La posologie chat permet d’évaluer la quantité de produit à poser sur la peau entre les plumes : de quelques gouttes (500 g à 2 kg) à une pipette entière (à partir de 3 à 4 kg).

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Solutions naturelles contre les vers

De nombreuses solutions naturelles contre les vers des poules sont disponibles. Comme tous les produits naturels, ce sont des vermifuges et non des vermicides. En cas d’infestation importante, mieux vaut leur préférer un vermicide classique.

Mais pour les élevages familiaux de moins de 10 sujets, en prévention, 4 à 12 fois par an, ces solutions naturelles peuvent être conseillées pendant une période de 7 à 10 jours. Ces traitements peuvent être complétés par un traitement annuel avec un vermicide.

La terre de diatomée est employée contre les : vers ronds comme les ascaris, les capillaires et les hétérakis. Elle peut être combinée avec des plantes et d’autres produits naturels : ail (ascaris et ténias), graine de courge ou de citrouille, vinaigre de cidre, chou, thym, noix d’Arec…

Vous avez à votre disposition des vermifuges naturels pour volailles prêts à l’emploi.

Enfin, pensez à conseiller systématiquement avant et après le traitement vermifuge, une cure de vitamines sur 7 jours au moins. N’oubliez pas notre Hotline vétérinaire si vous séchez face à une question.

Signes d’infestation tardifs : conseillez une prévention régulière

Une volaille parasitée peut ne pas montrer de signes visibles pendant des mois, maigrir sans que l’on s’en aperçoive, et finir par mourir. C’est pourquoi il est important de conseiller une vermifugation systématique, au moins deux fois par an.

Signes courants de présence de vers

• Amaigrissement : malheureusement inaperçu à ses débuts. L’aspect physique de la volaille atteinte est masqué par son plumage. Il faut écarter les plumes et la peser en cas de doute.

• Baisse de ponte.

• Diarrhée (jaunâtre ou avec du sang), signe fréquent en cas de vers intestinaux.

• Anémie : état affaibli, troubles nerveux, boiterie… Les ascaris libèrent des toxines entraînant ces symptômes.

Conseils pour la litière et les parcours

Pour l’élevage en extérieur, la rotation des parcours peut permettre de réduire l’infestation parasitaire. En poulaillers, une litière épaisse et entretenue limite le contact avec le sol et les fientes. C’est également le cas du sol en béton. La qualité du nettoyage et de la désinfection sont importantes. Enfin, recommandez la lutte contre les vecteurs potentiels (mouches, vers de terre, escargots, limaces).

Prévalence : enquête Synergie

L’enquête Synergie réalisée en 2015 dans 85 élevages de poulets bio avait montré un taux de portage de près de 59 % d’Ascaridia et/ou d’Heterakis. Il s’agit des deux espèces les plus communément recherchées. Les capillaires sont moins recherchés faute d’outils, leur prévalence en volailles de chair serait d’environ 30 %.

Comment peser une poule

Pour peser une poule, conseillez la double-pesée. L’éleveur se pèse sans la poule, ensuite avec elle. La différence, indiquera son poids précis à 100 g près. Pour un groupe, peser quelques poules, puis faire une moyenne et multiplier par le nombre d’animaux à traiter pour obtenir un chiffre en kg de volailles.

Choix du vermifuge

Anthelminthiques classiques : lévamisole, fenbendazole, flubendazole, pipérazine... Les vers plats sont sensibles au niclosamide et au praziquantel. La syngamose se traite avec le nitroxinil, Dovenix par voie orale (présentation de 50 ml). Il s’utilise à la dose de 5 ml pour 10 litres d’eau de boisson pendant 3 jours.

Pour les élevages plus importants, conseillez de préférence le Flubendazole 3 dans l’aliment à 60 ppm pendant 7 jours ou, dans l’eau de boisson, Flimabo ou Panacur AquaSol, mais ces produits sont chers à l’unité plus de 200 € HT, car ils permettent de traiter de très quantités de volailles.

Vermifuges naturels

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Biocanina et d’autres proposent des gammes naturelles pour volailles avec des aliments à base de plantes ou de produits minéraux qui ont des propriétés répulsives contre les vers comme l’ail ou de la terre de diatomée.

Produits à tenir en stock

1) Vermifuges pour petits élevages de volailles

Nom Laboratoire Présentations Prix achat HT €

Sur prescription

Polyvermyl Inovet Biové 50 cp 7,40

Teniverm 0,5 Inovet Biové 50 cp 5,80

Teniverm 3 Inovet Biové 50 cp 8,40

Capizol Virbac 100 mL 6,20

Soluverm Inovet Biové 60 mL 4,80

Soluverm Inovet Biové 250 mL 8,20

Pipérazine 35 Dopharma 1 L 14,60

Naturel sans prescripton

Parasites internes MBC Biocanina 30 mL 10,40

2) Vermifuges sur prescription et hors AMM

• Vermifuges voie orale : Plurivers, Opovermifuge, Panacur 250

• Vermifuges bovins pour syngamose : Dovenix

• Vermifuges Spot on : Advocate 40 mg + 4 mg, Stronghold 15 mg rose, Bravecto Plus Spot-on 112,5 + 5,6 mg…

3) Aliment complémentaire : Complexe multivitaminé

• Biocalphos, Biovitase, Lactacal, Vitavia, Vitavil Aminé…

Références

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