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EVALUATION DE LA QUALITE DE L’IMAGE PAR LE CONTROLE DE LA PRECISION DU CALIRAGE DE L’APPAREIL DE RADIOIAGNOSTIC :

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Academic year: 2022

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Texte intégral

(1)

1 REPUBLIQUE DU BENIN

************

MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE

************

UNIVERSITE D’ABOMEY-CALAVI

************

ECOLE POLYTECHNIQUE D’ABOMEY-CALAVI

************

DEPARTEMENT DE GENIE D’IMAGERIE MEDICALE ET DE RADIOBIOLOGIE

************

RAPPORT DE STAGE DE FIN DE FORMATION POUR L’OBTENTION DU DIPLOME DE LICENCE PROFESSIONNELLE

Présenté et soutenu par:

Jérémie BADA

Tutrice:

Mme Mireille DJIDONOU Technicienne Supérieure

Année académique 2014-2015 8ème PROMOTION

EVALUATION DE LA QUALITE DE L’IMAGE PAR LE CONTROLE DE LA PRECISION DU CALIRAGE DE L’APPAREIL DE RADIOIAGNOSTIC : CAS DE l’HOPITAL

DE MENONTIN THEME:

PRESIDENT:

Dr MEDENOU DATON Maitre-assistant des

Universités du CAMES Enseignant Chercheur à

l’EPAC / UAC

JUGE:

Dr Julien DOSSOU Maitre-assistant des

Universités du CAMES Enseignant Chercheur à

l’EPAC / UAC

SUPERVISEUR:

Mr Roland TOPANOU

Enseignant Chercheur à

l’EPAC / UAC

(2)

I

REPUBLIQUE DU BENIN

************

MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE

(MESRS)

************

UNIVERSITE D’ABOMEY-CALAVI (UAC)

************

ECOLE POLYTECHNIQUE D’ABOMEY-CALAVI (EPAC)

************

DEPARTEMENT DE GENIE D’IMAGERIE MEDICALE ET DE RADIOBIOLOGIE (D/GIMR)

************

DIRECTEUR

Professeur Titulaire Félicien AVLESSI

DIRECTEUR ADJOINT

(Chargé des Etudes et des Affaires Académiques) Professeur Clément BONOU

CHEF DE DEPARTEMENT Professeur Nicolas ATREVI

ANNEE ACADEMIQUE : 2014-2015 8è Promotion

(3)

II

LISTE DES ENSEIGNANTS AYANT INTERVENU EN IMAGERIE MEDICALE AUCOURS DE NOTRE FORMATION

ENSEIGNANTS PERMANENTS

NOM(S) PRENOM(S) MATIERE(S) ENSEIGNEE(S) AHOYO Théodora Microbiologie générale

AKOWANOU Christian Sciences physiques

AKPOVI Casimir Physiologies cellulaire et humaine

ATREVI Nicolas Embryologie humaine, Anatomie radiologique II, Neuro-anatomie, Techniques radiologiques III ALITONOU Guy Chimie générale, Chimie organique

DOSSOU Cyriaque Techniques d’expression et méthodes de communication III – IV

DOSSOU Julien Notions de radiobiologie et de radioprotection DESSOUASSI Noël Biophysique de l’imagerie

GANDJI Servais

Anatomie radiologique I, Techniques radiologiques II et Notions générales d’échographie

GBAGUIDI Bertin Enregistrement d’images et Techniques Radiologiques I

HOUNSOSSOU Hubert Biostatistique, Anatomie générale I –II LOZES Evelyne Immunologie générale

MEDENOU Daton Appareillage I et II, Physique électronique SEGBO Julien Biologie moléculaire

SOUMANOU Mohamed Biochimie générale

TOPANOU Roland Techniques radiologiques I et II

YANDJOU Gabriel Techniques d’expression et méthodes de communication I – II

YOVO Paulin Pharmacologie

(4)

III

ENSEIGNANTS VACATAIRES

NOM(S) PRENOM(S) MATIERE(S) ENSEIGNEE(S) ABLEY Sylvestre Déontologie médicale

AGOSSOU Gilles Législation et droit du travail

ANAGONOU Sylvère Education physique et sportive I – II BIAOU Olivier Notion de Sémiologie radiologique AHOGA Gervais Soins infirmiers

DANSOU Bertin Anglais III – IV DEHOUMON Justin Sémiologie médicale DOSSEVI Lordson Techniques instrumentales FOURN Léonard Santé publique

HOUNDEFFO Tiburce Sémiologie gynéco-obstétricale HOUNNOU Gervais Sémiologie chirurgicale

HOUNNON Hyppolite Mathématiques KOFFI Aristide Anglais I – II KOUNASSO Gabriel Informatique

(5)

IV

DEDICACES

(6)

V

Je dédie ce travail :

A ma très chère mère, Elise HONFOGA

Pour tout l’amour et les multiples sacrifices consentis à mon égard. La bonne éducation et la réussite de tes enfants sont pour toi une priorité majeure.

Et tu ne ménages aucun effort pour y parvenir. Que le Seigneur te comble de ses bénédictions et te permette de jouir pleinement du fruit de tes efforts ;

A mon père Jalilou BADA

Pour tous les sacrifices et efforts consentis à mon égard. Merci d’être présent pour moi.

Que le Seigneur te bénisse et te protège.

(7)

VI

Remerciements

(8)

VII

Je voudrais adresser mes sincères remerciements :

A Dieu le père, le tout miséricordieux.

Pour m’avoir donné la santé et le courage d’accomplir ce travail.

Aux autorités de l’EPAC,

Vous faites assez de sacrifices pour notre formation, que le tout puissant vous bénisse.

A Monsieur Roland TOPANOU, notre superviseur,

Qui malgré vos multiples occupations, vous avez accepté de superviser ce travail. Votre rigueur et vos conseils, témoignent de votre souci pour un travail bien fait et des étudiants bien formés. Recevez nos sincères remerciements et notre profonde gratitude. Que le Seigneur vous bénisse.

Au Professeur Nicolas ATREVI, Chef du département de Génie de l’Imagerie Médicale et de Radiobiologie.

Votre rigueur et vos conseils témoignent de votre souci pour un travail bien fait et des étudiants bien formés. Recevez nos sincères remerciements et notre profonde gratitude.

A Madame Mireille DJIDONOU,

Notre tutrice de stage qui a accepté travailler avec nous.

A tout le corps enseignant du département du Génie de l’Imagerie Médicale et de la Radiologie,

Nous vous présentons nos sincères remerciements pour la qualité des enseignements.

A tous ceux qui de près ou de loin ont contribué à la réalisation de ce travail,

Que le seigneur vous le rende au centuple.

(9)

VIII

HOMMAGES

(10)

IX

Au Président du jury

Merci pour l’honneur que vous nous faites en acceptant de présider ce jury.

Trouvez ici l’expression de nos sentiments les plus profonds ainsi que notre gratitude.

Aux honorables membres du jury

Recevez ici nos profonds remerciements pour la considération que vous nous accordez en acceptant de juger ce travail. Infiniment merci à vous.

(11)

X

LISTE DES SIGLES ET ABREVIATIONS

ASP : Abdomen Sans Préparation DFF : Distance Foyer-Film

DOF : Distance Objet-Film DR : Docteur

EPAC : Ecole Polytechnique d’Abomey-Calavi HM : Hôpital de Mênontin

HSG : Hystérosalpingographie LB : Lavement Baryté

Ma : Milliampèrage

MAs : Milliampèrage seconde Ms : milliseconde

Pr : Professeur

UAC : Université d’Abomey-Calavi

(12)

XI

LISTE DES TABLEAUX

Tableau I : Statistiques des examens réalisés au cours de notre stage ... 11

Tableau II: Facteurs techniques employés pour l’expérience de la toupie manuelle 22 Tableau III : Facteurs techniques employés pour l’expérience de l’échelle de MEYER ... 24

Tableau IV : Facteurs techniques employés pour l’expérience de la cassette WISCONSIN ... 26

Tableau V : Résultat du test de vérification du calibrage de la minuterie ... 28

Tableau VI : Résultat du test de vérification du calibrage de l’intensité ... 29

Tableau VII : Résultat du test de vérification du calibrage du kilovoltage ... 30

Tableau VIII : Répartition des réponses concernant le contrôle du calibrage du tube radiogène ... 31

Tableau IX : Répartition des réponses sur la disponibilité du matériel de contrôle du calibrage de l’appareil de Radiologie ... 31

Tableau X : Répartition des réponses sur le désir d’un contrôle périodique de l’appareil à rayon-X ... 31

Tableau XI : Répartition des réponses concernant la périodicité souhaitée pour la maintenance ... 32

Tableau XII : Répartition des réponses concernant le résultat du bon calibrage des facteurs techniques ... 32

LISTE DES FIGURES ET PHOTOS

Photo 1 : Résultat du test du calibrage de la minuterie ... 28

Photo 2 : Résultats du calibrage du temps de pose ... 29

Photo 3 : Résultat du calibrage du kilovoltage ... 30

Photo 4 : La toupie manuelle ... 43

Photo 5 : L’échelle de MEYER ... 43

Photo 6 : Cassette WISCONSIN ... 43

(13)

XII

Figure 1 : Plan sommaire du service d’imagerie médicale... 6 Figure 2: Tube à rayons-X ... 17

(14)

XIII

RESUME

La maintenance et l’assurance qualité des équipements dans une unité de radiodiagnostic sont des facteurs indispensables pour garantir un diagnostic fiable. Le présent rapport fait l’état des lieux d’un de ces deux facteurs dans l’unité de radiodiagnostic de l’Hôpital de MENONTIN à savoir la maintenance qui prend en

compte le contrôle de calibrage des facteurs techniques du tube à rayons-x.

Cependant pour éviter que cette unité connaisse les mêmes problèmes que les autres unités (panne de l’appareil, dysfonctionnement de certaines touches du pupitre de commande), nous avons décidé de réaliser les différents tests nécessaires pour vérifier l’état du calibrage des facteurs techniques du tube à rayons-x installé dans cette unité.

A l’issu de ce rapport, il est recommandé d’effectuer périodiquement ces tests, d’acquérir le matériel adéquat pour la maintenance, d’encourager tous les techniciens à réaliser ces tests et de recruter un maintenancier qualifié.

Mots clés : Maintenance, tests de vérification, précision du calibrage des facteurs techniques.

ABSTRACT

A maintenance and an assurance quality of equipment in radiodiagnostic unity are indispensable factors to assure a real diagnostic. The present report makes the inventory of fixtures of one those two factors in the unity of radiodiagnostic of the hospital Mênontin, the maintenance. X-rays are frequently performed in this department.

However in order to avoid that this radiodiagnostic knows the same problems as that the others unities (stop work because of a breakdown or defective); we decide to make different necessary test in other to check the technical factors of that machine is good. At the end of this report, we have made recommendations to do those tests; we have also made proposals for the acquisition of suitable maintenance equipment, and there cruitent of a qualified maintenance staff.

Key words: Maintenance, checking test, accuracy of caliber of technical factors, x-ray department

(15)

XIV

SOMMAIRE

LISTE DES ENSEIGNANTS AYANT INTERVENU EN IMAGERIE MEDICALE AU COURS DE NOTRE FORMATION ... II DEDICACES ... IV REMERCIEMENTs………VI HOMMAGES ... VIII LISTE DES SIGLES ET ABREVIATIONS ... X LISTE DES TABLEAUX... XI LISTE DES FIGURES ET PHOTOS ... XI RESUME ... XIII

INTRODUCTION ... 1

PRESENTATION DU CADRE DE STAGE ... 3

1.1. PRESENTATION DE L’HÔPITAL DE ZONE DE MÊNONTIN ... 4

1.2. MISSION ... 4

1.3.STRUCTURES ... 5

1.4. RESSOURCES HUMAINES ... 8

DEROULEMENT DU STAGE ... 9

2.1.OBJECTIFS DU STAGE ... 10

2.2. ACTIVITES EFFECTUEES AU COURS DU STAGE ... 10

2.3. DIFFICULTES RENCONTREES ... 12

2.4. CHOIX DU SUJET ... 12

ETUDE DU THEME ... 14

3.1. GENERALITES SUR LE THEME ... 15

3.2. OBJECTIFS DE NOTRE ETUDE ... 20

3.3. CADRE, MATERIELS ET METHODES D’ETUDE... 20

3.4. EXPERIENCES ... 22

3.5. ENQUETES ... 27

(16)

XV

3.6. RESULTATS ... 28

3.7. COMMENTAIRES ... 32

CONCLUSION ... 35

SUGGESTIONS ... 37

REFERENCES ... 40

Annexes ... 42

(17)

1

INTRODUCTION

(18)

2 L’Ecole Polytechnique d’Abomey-Calavi (EPAC) a été créée en 1977 sous la dénomination de Collège Polytechnique Universitaire grâce à la coopération Bénino- Canadienne. Elle est une entité de formation professionnelle de l’Université d’Abomey- Calavi. Pour répondre aux exigences du système LMD, l’EPAC forme depuis 2005 des étudiants à des diplômes de licences professionnelles dans plusieurs domaines dont l’Imagerie Médicale.

Afin d’offrir une formation de qualité à ses étudiants, l’EPAC organise un stage pratique pour leur permettre de compléter leur formation théorique, et mieux s’adapter aux réalités du terrain. C’est dans ce cadre que, nous avons effectué notre stage de fin de formation dans le service d’Imagerie Médicale de l’Hôpital de Mênontin. Ce stage de trois(3) mois s’est déroulé du 18 Mai au 31 Août 2015. Au cours de ce stage, nous avons été confrontés à plusieurs difficultés. Parmi celles-ci, une a retenu notre attention ; il s’agit des interruptions anormales de l’émission des rayons-X pendant l’exposition. Ceci nous a amené à savoir si la quantité de rayons-X débitée par le tube correspond, à la quantité présélectionnée.

C’est ainsi que nous avons mené une étude sur le thème : « Evaluation de la qualité de l’image par le contrôle de la précision du calibrage de l’appareil de radiologie : Cas de l’hôpital de MENONTIN »

Notre étude s’articulera autour de 3 principaux points à savoir :

 Présentation du cadre de stage

 Déroulement du stage

 Etude du thème

(19)

3

PREMIERE PARTIE :

PRESENTATION DU CADRE

DE STAGE

(20)

4 1 .1. PRESENTATION DE L’HÔPITAL DE ZONE DE MÊNONTIN

Le Centre de Santé de Mênontin aujourd’hui appelé Hôpital de Mênontin, fut créé en 1996 grâce par l’Archevêque Feu Monseigneur Isidore de SOUZA avec le concours de la Banque Mondiale. Cette initiative fait suite à l’expérience réussie de la construction du Centre Médical Saint Luc en 1990 par le même Archevêque, alors curé de la paroisse Sainte Rita, aidé par CEBEMO (Organisation Catholique pour la Coopération et le Développement des Pays Bas). Il a été inauguré le 23 juillet 1996 et a effectivement démarré ses activités le 24 juillet 1996. La gestion du centre fut confiée à une association dénommée Association Médico-sociale de Mênontin reconnue par l’arrêté N°91/0140/MISAT/DAI-SI Associa du 09 septembre 1991. Elle était présidée par Feu Mgr Isidore de SOUZA et composée de quinze (15) membres Fondateurs. Un mandat de gestion d’une durée de 10 ans renouvelable par tacite. La reconduction fut signée entre l’Association Médico-sociale de Mênontin et le Ministre de la santé publique en date du 12 février 1992. Le centre bénéficie d’une autonomie administrative et financière dans le respect des clauses dudit mandat et obéit aux règles d’une gestion privée à vocation sociale.

L’hôpital de Mênontin est situé dans le 9ieme arrondissement de Cotonou au lot 2130- à Mênontin et plus précisément dans la zone sanitaire de Cotonou 05 dont la population était estimée à vingt-cinq mille (25000) habitants. Il est dans une agglomération limitée au NORD par la voie pavée menant au CEG NOKOUE, au SUD par la voie inter-état Cotonou-Niger, à l’EST par le groupe de presse LA FRATERNITE, à l’OUEST par la voie pavée menant au 1ercarrefour après le carrefour de Godomey en allant au stade de l’amitié.

1.2. MISSION

La mission assignée à L’hôpital de Mênontin est de permettre aux populations défavorisées du quartier Mênontin et des quartiers avoisinants: Zogbo, Zogbohouè, Agla, Godomey, etc. d’accéder à des soins de qualité à moindre coût par la pratique d’une tarification communautaire.

(21)

5 1.3. STRUCTURES

L’hôpital de Mênontin est composé des services suivants :

 Services administratifs

 Services médicaux

 Service de médecine générale

 Service de chirurgie générale

 Service de la néonatologie (Maternité)

 Service de la pédiatrie

 Service des urgences

 Services Paramédicaux

 Service d’ophtalmologie

 Un service technique de maintenance L’hôpital de Mênontin est aussi composé :

 d’une unité des soins intensifs

 d’un laboratoire d’Analyses Biomédicales

 d’une unité d’Imagerie Médicale (qui se trouve être notre service d’accueil)

 d’une pharmacie de vente

 d’un service de kinésithérapie

 d’un laboratoire de phytothérapie

 d’un centre de nutrition thérapeutique

 d’un atelier d’orthopédique

1.3.1. Présentation du service d’imagerie médicale

Le service d’Imagerie Médicale est un service spécialisé, composé d’une unité de radiologie où j’ai réellement effectué mon stage et d’une unité d’échographie. On y

(22)

6 accède en prenant à gauche en venant de la petite entrée réservée aux piétons. Il fait face au bloc opératoire et aux services d’urgences (consultation chirurgicale, salle de pansement) et est muni à son entrée d’un rideau pour fermer l’intérieur des locaux.

Figure 1 : Plan sommaire du service d’imagerie médicale

1.3.2. Les infrastructures et équipements Le service d’imagerie médicale est composé :

 d’un hall d’attente

 d’une salle de radiographie

 d’une salle d’échographie

 d’une chambre noire

(23)

7

 d’une salle de garde

 des toilettes

1.3.2.1. La salle de radiographie est constituée

 d’un appareil radiographique ;

 d’un Mammographe ;

 d’une table mobile munie d’un Potter bucky ;

 d’un Potter mural ;

 d’un pupitre de commande très commode avec un paravent plombé ;

 d’un tablier plombé ;

 d’un petit banc sur lequel les patients déposent leurs vêtements ;

 d’un climatiseur, une lampe mobile ;

 d’un négatoscope ;

 d’une toilette.

1.3.2.2. La chambre noire

C’est le laboratoire du service. On y distingue essentiellement :

 une développeuse automatique ;

 un bac de développement manuel ;

 un lavabo ;

 une petite armoire contenant les films ouverts disposés dans des compartiments en fonction de leurs formats ;

 une grande armoire contenant les films non ouverts ;

(24)

8

 une grande armoire contenant le matériel pour les examens spéciaux et dans laquelle on classe les enveloppes suivant leurs formats.

1.3.2.3. La salle d’échographie Elle contient :

 un échographe;

 une table d’examens ;

 un fauteuil ;

 une armoire.

Elle est reliée à la salle de garde qui contient un lit, une télévision et une douche.

Il est à noter que toutes les portes du service sont plombées et les murs ont été construits en bétons armés et plombés.

1.4. RESSOURCES HUMAINES Le personnel est composé de :

 Deux (2) inspecteurs d’action sanitaire. Il s’agit de Messieurs

HOUNKPATIN C. Rogatien le chef service, AKAKPO A. Charles le chef service adjoint.

 Deux (2) techniciennes supérieures en radiologie. Il s’agit de: Madame AGONDOHOUI Sonia et de Madame DJIDONOU Mireille.

D’un aide-soignant qui aide les techniciens dans leur travail. Il s’agit de Monsieur BESSAN Bertin.

(25)

9

DEUXIEME PARTIE :

DEROULEMENT DU STAGE

(26)

10 2.1. OBJECTIFS DU STAGE

2.1.1. Objectif général

L’objectif général est de maitriser la réalisation des activités courantes de l’unité d’imagerie médicale.

2.1.2. Objectifs spécifiques

 Apprendre à gérer, à tenir et à organiser un service d’imagerie médicale.

 Amener à effectuer la pratique de clinique de film après chaque examen.

 Appliquer les lois de la radioprotection aussi bien pour soi-même que pour le personnel, le patient et le public.

 Apprendre les notions élémentaires d’interprétation radiologique sur la base des connaissances en anatomie, en sémiologie, en techniques radiologiques et en pathologies élémentaires radiologiquement décelables.

 Proposer des solutions techniques, administratives et / ou de gestions appropriées.

2.2. ACTIVITES EFFECTUEES AU COURS DU STAGE

A notre arrivée dans le service, nous avons été accueillis par le chef service. Il nous a présenté au personnel et nous a fait visiter le service. Etant trois stagiaires nous venons au service de 8h à 16h du lundi au vendredi et chacun avait un jour de congé pour mieux préparer son rapport. Ainsi le travail a commencé sous l’œil vigilant du technicien de garde.

2.2.1. La salle d’examen

A ce niveau, notre travail a consisté à réaliser les examens. Nous mettions le patient en confiance en lui expliquant brièvement le déroulement de l’examen, nous le positionnions tout en lui donnant des instructions. Nous irradions une fois au pupitre de commande. Ensuite nous déposions la cassette irradiée dans la chambre noire pour le développement du film.

Voici le tableau de récapitulation des examens effectués au cours de notre stage

(27)

11 Tableau I : Statistiques des examens réalisés au cours de notre stage

Type d’examen

Examens suivis Examens réalisés seul Effectifs Pourcentages

%

Effectifs Pourcentages

% Membre

pelviens

559 28 ,81 120 23,35

Poumons 181 9,32 50 9,73

Télécoeur 157 8,09 45 8,75

Membre thoracique

331 17,06 125 24,32

Rachis cervical

40 2,06 14 2,72

Rachis thoracique

30 1,54 10 1,94

Rachis lombaire

137 7,06 50 9,73

Crane-Sinus 179 9,22 50 9,73

Grille costale 71 3,65 50 9,73

ASP 56 2,88 00 00

HSG 53 2,73 00 00

LB 02 0,10 00 00

TOTAL 1940 100 514 100

(28)

12 2.2.2. La chambre noire

Ici, nous avons travaillé sous la lumière inactinique. Le travail a consisté à :

 Décharger la cassette ;

 Imprimer le nom du patient sur le film ;

 Envoyer le film dans la développeuse automatique ;

 Charger la cassette pour un nouvel examen ;

2.3. DIFFICULTES RENCONTREES

Malgré les avantages que nous avons tirés durant notre séjour au service d’imagerie médicale de l’hôpital de MENONTIN, nous avons été confrontés à certaines difficultés que sont :

 L’absence d’un secrétariat ;

 L’absence d’un vestiaire pour les patients ;

 L’absence d’une maintenance préventive pour l’appareil de radiographie ;

 L’absence de matériels de radioprotection (cache gonades, cache thyroïde) ;

 L’absence de matériel de contention pour les enfants ;

 La mauvaise formulation des bons d’examens.

 La non disponibilité d’un groupe électrogène de relais pour la fourniture d’énergie électrique au générateur à rayon-x en cas de coupure d’énergie de la SBEE.

2.4. CHOIX DU SUJET

La qualité de l’image en radiologie est l’élément important et indispensable à un diagnostic assez fiable pouvant faciliter la prise en charge médicale ou chirurgicale du patient. En effet, l’image radiologique est l’aboutissement d’une chaine technique complexe et sa qualité est la résultante de(4) caractéristiques que sont : le détail, la densité, le contraste, et la distorsion ou la déformation. Ces caractéristiques sont influencées par les facteurs techniques (KV, mA, S) et autres éléments que sont : les cassettes, les films, la développeuse.

(29)

13 On rencontre dans des services de radiologie des générateurs à rayons- X qui, soit ne débitent pas la quantité ou la qualité de radiations présélectionnées, soit le temps d’exposition ne correspond pas à celui sélectionné. Il est donc important de faire un contrôle régulier du calibrage des facteurs techniques afin d’assurer la durabilité de l’appareil de radiodiagnostic et la continuité des prestations de ce service et participer aux soins des patients. C’est dans cette optique que nous avons abordé ce thème.

(30)

14

TROISIEME PARTIE :

ETUDE DU THEME

(31)

15 3.1. GENERALITES SUR LE THEME

3.1.1. Définition de quelques concepts

3.1.1.1. Les caractéristiques d’une bonne radiographie en radiologie conventionnelle Elles sont les éléments par lesquels nous évaluons un cliché radiographique.

Ainsi, nous dirons que le calibrage des facteurs techniques est bon, lorsque ces éléments sont dans les normes. Il s’agit de la densité, du contraste, du détail et de la distorsion.

. Densité : en radiologie, la densité est le degré de noircissement d’un cliché. Il est contrôlé par le mas et le kV. La densité d’un cliché en radiologie conventionnelle peut être moyenne, bonne, forte ou faible.

Contraste : le contraste en radiologie est la différence de densités entre deux régions adjacentes sur un cliché, ou c’est la distribution de gris. Il est contrôlé par le kV et le mas.

Détail : c’est la netteté et la finesse des contours et des lignes des structures radiographiques. Il est contrôlé par la projection géométrique et on parle de flou géométrique qui peut être dû à la grandeur du foyer, à la DFF et à la DOF, du flou cinétique qui est dû aux mouvements soit du patient, du tube qui est dû à la mauvaise qualité ou à la détérioration des écrans intensificateurs. On dit qu’un cliché radiographique a assez de détail, pas assez de détail, ou que son détail est mauvais.

Distorsion : la distorsion est la modification de l’image réelle avec celle observée sur le film. Elle est contrôlée par la projection géométrique, autrement le centrage du rayon, l’angulation du rayon central, la position de l’objet radiographié, la DFF, la DOF. On a deux sortes de distorsions : la distorsion de grandeur qu’on appelle magnification et la distorsion de forme qu’on appelle modification. L’image en radiologie conventionnelle peut donc être déformée ou fidèle sans distorsion.

3.1.1.2. Impact direct de l’état du matériel sur la qualité des résultats obtenus

Tout médecin radiologue préfère avoir à interpréter une image de qualité même s’il peut tirer des conclusions utiles d’une image médiocre. Mais quand la qualité de l’image est insuffisante, le praticien risque de ne pas disposer de tous les

(32)

16 renseignements de diagnostic possible et d’être amené à poser un diagnostic erroné.

Par ailleurs quand la qualité du cliché le rend inutilisable, il faut le recommencer, d’où une exposition non justifiée pour le patient et un cout accru pour le diagnostic. Il faut donc assurer une maintenance préventive périodique de l’appareil.

3.1.2. Historique

En 1895, les rayons-X ont été découvert par le physicien allemand Wilhelm Conrad Roentgen avec le tube de Crookes qui est un tube à froid contenant un gaz raréfié. Les 1ere expériences pour la production de RX étaient très pénibles, c’est alors avec Coolidge qu’a été inventé le 1er tube à filament chauffant qui sera modernisé plus tard et porté le nom du tube de Roentgen qui peut être à anode fixe ou à anode rotative.

3.1.3. L’appareil a rayon-x

Un appareil de radiologie est constitué d’un tube radiogène, d’un générateur de haute tension et d’une console de contrôle. Ces éléments peuvent être physiquement isolés, comme dans la plupart des installations radiographiques fixes ou être rassemblés dans des unités compactes destinées à se déplacer au chevet du malade.

Le volume et le poids occupés par l’installation radiographique dépendent essentiellement du type de générateur et de sa puissance. Les appareils radiographiques portables rassemblent tous les constituants en un volume réduit de 15 à 20 kg.

3.1.3.1. Le tube radiogène

Le tube radiogène est une enveloppe de verre pyrex, de forme cylindrique à l’intérieur duquel est fait un vide très poussé (de l’ordre d’un nanomètre de hauteur de mercure) et dans cette enveloppe sont logés le bloc cathodique responsable de l'émission des électrons, et le bloc anode source de production des rayons-X.

(33)

17 : Figure 2: Tube à rayons-X

LE BLOC CATHODE

La cathode est la partie négative du tube radiogène. C’est un filament en forme de spirale composé de tungstène et de traces de thorium. Les électrons sont émis à la cathode paru mécanisme de thermo-émission : la cathode est amenée à une haute température par un courant électrique. Les électrons libérés par la haute température sont soumis à une différence de potentiel et sont précipités sur l’anode avec une grande vitesse. Le filament est monté dans une pièce creuse appelée pièce de concentration, dont la finalité est de focaliser les électrons sur l’anode. La cathode est constituée de deux filaments de taille différente, le grand filament permet d’augmenter la production de rayons-X alors que le petit filament permet de concentrer un faisceau d’électron plus faible sur une plus petite surface de l’anode améliorant ainsi la finesse de l’image.

L’ANODE

L’anode est la partie positive du tube radiogène et correspond à la cible. La production des rayons-X se fait à ce niveau, lorsque les électrons accélérés par la différence de potentiel entre les deux électrodes viennent percuter l’anode. On appelle foyer la surface de bombardement des électrons sur l’anode et sa taille est un élément déterminant de la finesse de l’image. Les rayons-X sont partiellement arrêtés par l’anode et la plus grande concentration de ces derniers se retrouve donc dans une direction perpendiculaire à la surface de l’anode : on parle de l’anode réflective.

(34)

18 3.1.3.2. Le générateur de haute tension

Le générateur de haute tension produit un courant anodique allant de la cathode à l'anode, le plus constant possible et une haute tension ajustable entre 50 et 120 kV. Il est constitué de trois(3) circuits électriques :

- Circuit primaire de basse tension ;

- Circuit secondaire de haute tension ;

- Circuit de chauffage du filament.

Un générateur classique est composé d’un redresseur et d’un transformateur.

Le redresseur est constitué habituellement de diodes assemblées de telle manière à ce que le courant circule toujours dans le même sens. Le transformateur assure la transformation d’un courant de tension 220 ou 380V en un courant de haute tension 50 à 120 KV.

3.1.3.3. Console de contrôle

Encore appelée pupitre de commande, la console de contrôle est séparée de la table d’examen par un paravent plombé et permet à l'opérateur d'ajuster les trois (03) paramètres d'exposition radiographique : la haute tension (kV), l'intensité du courant (mA) et le temps de pose (ms). La haute tension représente la force de pénétration des rayons-X et permet de contrôler la quantité et l'énergie des rayons-X produits.

L'intensité du courant (mA) définit le courant à travers le tube. Quant au temps de pose (ms), il détermine la durée de passage des rayons-X. Les deux (02) dernières grandeurs sont souvent regroupées en une seule, la quantité d’électricité, exprimée en milliampère seconde (mAs). Enfin, un déclencheur permet au technicien de prendre le cliché radiographique. La première étape consiste à faire tourner l’anode et la seconde à faire passer les rayons.

Ces trois paramètres d’exposition radiographique sont réglés de manière à produire de façon adéquate les rayons-X. ils sont choisis par le technicien en fonction de la structure explorée.

(35)

19 3.1.4. Contrôle de la précision du calibrage des facteurs techniques

Les éléments concernés par le contrôle du calibrage sont : - La minuterie

- Le milliampèrage - Le kilovoltage

Vérification de la minuterie (temps de pose « s »)

 But

Ce test consiste à vérifier l’état du calibrage de la minuterie et du bloc redresseur. Pour ce faire, on utilise la toupie manuelle ou la toupie synchrone motorisée compte tenu du courant d’alimentation. En réalité, l’appareil à rayons- X de l’Hôpital de Mênontin est alimenté par un courant triphasé et ne disposant pas de la toupie motorisée nous avons utilisé la toupie manuelle.

 Matériel - toupie manuelle,

- tablier plombé pour la protection de l’opérateur,

- caches plombés pour protéger les régions à irradier ou déjà irradiées, - cassette contenant un film vierge

Vérification du milli-ampérage «mA »

 But

Ce test consiste à vérifier l’état du calibrage du milli-ampérage à l’aide de l’échelle de MEYER.

 Matériel - échelle de MEYER, - caches plombés,

- cassette contenant un film vierge, - densitomètre,

- négatoscope.

Vérification du kilovoltage

(36)

20

 But

Elle consiste à vérifier si le kV affiché correspond au kV débité par l’appareil.

 Matériel

- cassette WISCONSIN contenant un film vierge, - caches plombés,

- densitomètre, - négatoscope, - abaque.

3.2. OBJECTIFS DE NOTRE ETUDE

3.2.1. Objectif général

Contribuer à l’amélioration de la qualité de l’image en radiologie en vue d’optimiser l’efficacité de la prestation de service.

3.2.2. Objectifs spécifiques

 Vérifier si l’appareil de radiologie débite normalement les facteurs techniques choisis au pupitre de commande (KV, mA, T)

 Contribuer à la réduction des pertes de clichés

 Contribuer à réduire la surexposition des patients

 Contribuer à la durabilité de l’appareil de radiologie

3.3. CADRE, MATERIELS ET METHODES D’ETUDE 3.3.1. Cadre d’étude

Notre étude a été réalisée dans le service d’Imagerie Médicale de l’hôpital de Mênontin couvrant la période du 18 Mai au 31 Août 2015.

3.3.2. Matériels

Le matériel utilisé pour notre étude est de deux ordres : le matériel lourd et le matériel léger.

Le matériel lourd, alimenté d’une source énergétique comporte :

(37)

21

 L’appareil à rayons X

 La développeuse automatique

 Le négatoscope

Le matériel léger

 casette 18x24cm,

 toupie manuelle,

 cassette WISCONSIN

 échelle de Mayer

 tablier plombé

 cache plombé,

 densitomètre,

 abaque.

3.3.3. Méthode d’étude 3.3.3.1. Type d’étude

Il s’agit d’une étude prospective.

3.3.3.2. L’échantillonnage

Notre échantillon est constitué, de (4) techniciens de radiologie et (1) technicien de la maintenance.

 Critère d’inclusion

Sont inclus dans notre échantillon (4) techniciens de l’unité de radiologie de l’HM et le technicien de la maintenance durant la période du 18 Mai au 31 Août 2015.

 Critère de non-inclusion

Tous les techniciens qui ne sont ni du service de radiologie ni de la maintenance.

3.3.3.3. Collecte des données

Notre technique de collecte de donnée comprend essentiellement la recherche documentaire, les informations recueillies auprès du personnel du centre.

(38)

22 Dans ce contexte, divers documents relatif relatifs à la thématique ont été consultés sur le net, cours d’appareillage, cours de technique radiologique et d’autres rapport de soutenances.

Au- delà, nos recherches ont été sanctionnées par des enquêtes auprès du personnel du service de radiologie et de la maintenance.

3.4. EXPERIENCES

Pour aider à la résolution du problème sur lequel porte notre travail, nous avons réalisés trois (03) types de tests aidant à vérifier l’état du calibrage des facteurs techniques de l’appareil à R-X de l’HM. Ce sont :

 l’expérience de la toupie manuelle,

 l’expérience de l’échelle de MEYER,

 l’expérience de la cassette WISCONSIN.

3.4.1. Expérience de la toupie manuelle

Description de la toupie manuelle (photo 4)

La toupie est un disque métallique en plomb généralement ou en alliage métallique percée d’un petit trou vers la périphérie et surmonté d’un axe autour duquel elle pivote. Il existe deux types de toupie :

- la toupie manuelle (TM), utilisée pour les appareils monophasés,

- la toupie synchrone motorisée (TSM) utilisée pour les appareils polyphasés.

Déroulement de l’expérience

L’utilisation de la toupie manuelle nécessite deux opérateurs :

- l’un, protégé par un tablier plombé, tourne et surveille la vitesse de rotation de la toupie,

- l’autre, choisit les facteurs techniques et irradie.

Facteurs techniques utilisés

Tableau II: Facteurs techniques employés pour l’expérience de la toupie manuelle

(39)

23 Facteurs techniques

Expériences

Ua(KV) Ia(mA) T(mS) DFF(Cm)

N 1 60 100 63 100

N 2 60 100 56 100

N 3 60 100 50 100

N 4 60 100 50 100

Evaluation et résultats obtenus Après développement, on obtiendra :

- des points pour la toupie manuelle en monophasé

- un arc de cercle pour la toupie synchrone motorisée en polyphasé.

Pour la toupie manuelle

Pour les appareils monophasés, l’émission des rayons-X est fonction de la fréquence du courant de la source d’alimentation. Si l’on choisissait des temps de pose de 1/10 de seconde et 1/5 de seconde, on obtiendrait respectivement 5 et 10 points. Si les résultats prévus ne sont pas obtenus, il sera nécessaire de répéter l’expérience 2 à 4 fois.

Si pour 1/5 de seconde on obtient pour quatre expositions 7 points, on peut conclure que le bouton d’exposition s’ouvre avec retard. Si par contre on obtient soient 8; 7;9;10 on dira que le contact du bouton d’exposition fonctionne de façon intermittente. Avec la toupie manuelle on ne pourra pas évaluer une défectuosité du bloc redresseur.

Pour la toupie synchrone motorisée

Pour les appareils triphasés, l’émission des rayons-X dure tout le long du temps de pose sélectionné. Pendant une seconde on obtiendra un cercle soit 360°.

Si l’on choisit des temps de pose de 1/5 ; 1/10 ; 1/20 de seconde on obtiendra des arcs dont les valeurs angulaires seront respectivement de 72° ; 36° et 18°.

(40)

24 Si pour 1/20 de seconde on obtient 15° au lieu de 18° on conclura à une défectuosité du bouton d’exposition. Si au contraire on obtient plusieurs arcs de cercle au lieu d’un, on dira que le bloc redresseur est défaillant.

3.4.2. Expérience de l’échelle de Mayer

Description de l’échelle de MEYER (photo 5)

Il s’agit d’un bloc métallique en aluminium ou alliage d’aluminium taillé en escalier. Chaque escalier est appelé échelon.

Déroulement de l’expérience

L’échelle est placée sur la cassette dans le champ d’irradiation parallèlement l’axe cathode-anode et perpendiculairement au rayon central qui traverse l’échelle par son centre. On cache les zones du film réservées aux prochaines irradiations ou aux irradiations passées.

Facteurs techniques utilisés

Tableau III : Facteurs techniques employés pour l’expérience de l’échelle de MEYER

Facteurs techniques Expériences

KV Ma T (ms) DFF (cm)

N 1 60 100 56 100

N 2 60 125 56 100

N 3 60 160 56 100

N 4 60 200 56 100

Evaluation et résultat attendus

On développe le cliché et on passe à sa lecture densitométrique et de préférence on choisit de lire l’échelon du milieu. La comparaison des densités devrait donner les mêmes résultats.

(41)

25 Si la densité de l’échelon reste constante pour toutes les expériences c’est que le calibrage du mA reste encore précis.

Dans le cas où le calibrage de la minuterie est précis et que la densité de l’échelon diffère, c’est que le calibrage du mA est déréglé et on peut déterminer l’élément incriminé.

3.4.3. Expérience de la cassette Wisconsin

Nous avons utilisé la cassette WISCONSIN à l’intérieur de laquelle nous avons placé un film vierge de format 18 x 24cm. La cassette a été placée sur la table d’examen de façon à ce que la longueur soit parallèle à l’axe cathode-anode. Chaque région est centrée et irradiée et les autres sont protégées par un cache plombé. A chaque région sont assignés des facteurs techniques dépendent du courant d’alimentation. Le tube à rayons-X de l’HM est alimenté par un courant triphasé, les facteurs techniques utilisés sont consignés dans le tableau III :

Description de la cassette WISCONSIN (photo 6)

Il s’agit d’une cassette-test ayant subi des modifications, elle ne contient qu’un seul écran renforçateur et a pour dimension 20 x 25,4 cm.

. Elle est divisée en six (6) régions à savoir : A, B, C, D, HVL et Information. Les régions A, B, C, D sont divisées chacune en deux colonnes de dix (10) trous (la colonne de droite et la colonne de gauche) et chaque paire de trous constitue une ligne pour un échelon. La région HVL permet d’évaluer une filtration excessive ou insuffisante du kilovoltage. La colonne de droite est une colonne référentielle.

Déroulement de l’expérience

La cassette est placée sur la table de façon à ce que la longueur soit parallèle à l’axe cathode-anode. La première région est centrée et les autres recouvertes de caches plombés et on procède de la même manière pour les autres régions.

(42)

26

Facteurs technique utilisés

Tableau IV : Facteurs techniques employés pour l’expérience de la cassette WISCONSIN

Régions DFF (cm) KV Ma T(s)

A 50 60 125 0,50

B 100 80 125 0,10

C 100 100 125 0,10

D 100 120 125 0,10

HVL 100 60 125 0,10

Evaluation et résultats attendus

A l’aide d’un densitomètre on mesure les densités des images circulaires correspondantes à des échelons numérotés de 1 à 10 de chaque colonne. On fait la mesure de la densité de la colonne de gauche de chaque échelon et celle de droite.

Ensuite, on retient le numéro de l’échelon où la différence de densité du couple est la plus petite possible ou nulle ainsi que le numéro de l’échelon qui suit immédiatement celui qui est retenu.

La formule appliquée est : 𝐷𝑅 = 𝑁°(𝑎) +𝐾𝑎−𝑅𝑎

𝐾𝑎−𝑘𝑏

𝐷𝑅 : Densité Recherchée

K : densité de l’image de la colonne de gauche

R : densité de l’image de la colonne de droite ou référence N°(a) : numéro de l’échelon retenu

b : échelon qui suit immédiatement l’échelon retenu

Au cas où les densités de référence ne sont pas uniformes, on détermine une densité moyenne de référence 𝑅𝑎𝑏: 𝑅𝑎𝑏 = 𝑅𝑎+𝑅𝑏

2

La formule appliquée est : 𝐷𝑅 = 𝑁°(𝑎) +𝐾𝑎−𝑅𝑎𝑏

𝐾𝑎−𝐾𝑏

(43)

27 Connaissant la densité recherchée, on se réfère à la courbe correspondante à la région pour laquelle le calcul a été fait pour déterminer le kV débité par le générateur à rayons-X. Cette détermination peut se faire de 2 manières :

Détermination par lecture sur l’abaque

Il s’agit de situer la densité recherchée sur l’ordonnée de la courbe correspondante à la région et au type du courant d’alimentation. On trace une horizontale à partir du niveau de la densité recherchée jusqu’à la courbe. De là on mène une parallèle à l’axe des ordonnées qui coupe l’axe des abscisses en un point. Il suffira alors de noter la valeur du kV correspondant au kV débité par

l’appareil et de le comparer au kV affiché

Détermination par calcul

La détermination par calcul ne fait que confirmer la détermination par lecture. Entre les deux méthodes il se pourrait qu’il y ait une différence minime dont on ne saurait tenir compte. La formule à utiliser pour chaque région et chaque type d’appareil est inscrite sur chaque abaque correspondant.

Critères de validité des résultats

La cassette WISCONSIN est passible d’une erreur de lecture de plus ou moins 3 kV. Dans la bande des 60 kV et des 80 kV, une variation de plus ou moins 5 kV est acceptable. Dans la bande des 100 kV et de 120 kV, une variation de plus ou moins 8 kV est la limite de l’acceptable.

3.5. ENQUETES

Pour compléter notre recherche, nous avons partagé des fiches d’enquête aux techniciens de radiologie de l’hôpital de Mênontin. Le but de cette enquête est d’avoir des renseignements sur l’état de leur appareil à rayons-X, sur leur capacité à intervenir sur le tube, avoir leur avis sur la capacité de leur unité de maintenance à régler les problèmes que pourrai avoir le tube à rayons-X et surtout connaitre les suggestions qu’ils peuvent apporter pour assurer une durabilité de leur appareil à R-X pour éviter qu’il ne tombe en panne ou pour être réparé convenablement en cas de panne.

(44)

28 Cette fiche comporte 19 questions et ne pouvant utiliser les résultats de toutes ces interrogations, nous avons retenu celles que nous avons jugées capitales.

3.6. RESULTATS

Après avoir réalisé les différents tests nécessaires pour le contrôle des calibrages, nous avons rapporté les résultats obtenus sous forme de tableau et de photo.

Les résultats obtenus pour la vérification de l’état du calibrage de la minuterie ont été consignés dans le tableau V.

Tableau V : Résultat du test de vérification du calibrage de la minuterie Temps de pose(s)

Valeur de l’arc

1/16 1/18 1/20 1/20

Valeur normale de l’arc 23° 20° 18° 18°

Valeur mesurée 55° 80° 110° 55°

Photo 1 : Résultat du test du calibrage de la minuterie

Le tableau VI présente les données du test du calibrage de l’intensité du courant.

(45)

29 Tableau VI : Résultat du test de vérification du calibrage de l’intensité

Expériences Densité optique obtenue

A 2 ,21

B 2,50

C 2 ,50

D 2,60

a b c d Photo 2 : Résultats du calibrage du temps de pose

Le tableau VII présente les résultats du test de vérification de l’état du calibrage du kilo-voltage.

(46)

30 Tableau VII : Résultat du test de vérification du calibrage du kilo-voltage

REGIONS Ua affiché Densité

recherchée Ua mesurée Variation

A 60 - - -

B 80 - - -

C 100 18,59 95 5

D 120 10,97 116 4

HVL 60 - - -

Photo 3 : Résultat du calibrage du kilo-voltage

Les informations recueillies des fiches d’enquête distribuées aux techniciens de l’unité de radiodiagnostic de l’HM, ont été réparties dans les tableaux ci-dessous.

(47)

31 Tableau VIII : Répartition des réponses concernant le contrôle du calibrage du tube radiogène

Un contrôle du calibrage a-t-il été effectué sur le tube à rayon radiogène de l’HM ?

Effectifs Fréquence en %

NON 04 100

OUI 00 00

TOTAL 04 100

Tableau IX : Répartition des réponses sur la disponibilité du matériel de contrôle du calibrage de l’appareil de Radiologie

Y-a-t-il de matériel pour le

contrôle du calibrage ? Effectifs Fréquences en %

OUI 00 00

NON 04 100

TOTAL 04 100

Tableau X : Répartition des réponses sur le désir d’un contrôle périodique de l’appareil à rayon-X

Voudriez-vous un contrôle périodique du calibrage de l’appareil à rayon-X ?

Effectifs Fréquences en %

OUI 04 100

NON 00 00

TOTAL 04 100

(48)

32 Tableau XI : Répartition des réponses concernant la périodicité souhaitée pour la maintenance

Périodicité de

maintenance souhaitée Effectifs Fréquences en %

Trimestrielle Semestrielle

Annuelle Aucune

00 04 01 00

00 75 25 00

TOTAL 04 100

Tableau XII : Répartition des réponses concernant le résultat du bon calibrage des facteurs techniques

Un bon calibrage améliore-t-

il la qualité de l’image ? Effectifs Fréquences en %

OUI 04 100

NON 00 00

TOTAL 04 100

3.7. COMMENTAIRES

Des résultats issus des tests effectués sur le dispositif, nous pouvons déduire les commentaires qui suivent :

Du tableau V qui présente les tests sur la minuterie nous pouvons dire que pour un temps de pose de 1/20 de seconde, nous avons obtenu deux résultats différents, dont les valeurs des arcs sont respectivement 110° et 55° alors qu’on devrait obtenir 18°. Ayant utilisé la toupie manuelle au lieu de la toupie synchrone motorisée, nous ne pouvons pas conclure sur la précision du calibrage de la minuterie.

(49)

33 Le tableau VI qui nous renseigne sur les résultats du milliampèrage nous montre que pour les (4) quatre expositions , nous avons obtenu deux valeurs identiques que sont B et C (2,50) et deux valeurs différentes à savoir A=2,21 et D=2,60 alors que ces résultats devraient être normalement tous identiques.

Nous pouvons donc conclure à un début de dérèglement du milliampèrage et les causes peuvent être :

 un dérèglement au niveau de la bobine d’atténuation,

 une défectuosité au niveau du milli- stabilisateur,

 une défectuosité au niveau du compensateur de charge spatiale,

 le filament cathodique sous-chauffé.

A partir des résultats obtenus après les tests du kilovoltage présenté par le tableau VII, nous pouvons dire que nous avons respectivement obtenu pour les régions C et D, 95 KV et 116 KV alors que les kV affichés sur le pupitre de commande étaient respectivement 100 et 120. De l’analyse de ces résultats nous remarquons une variation pas très importante entre les KV affiché et les KV débités car nous avons pris en compte une marge d’erreur de +/- 8 pour les régions de de 100-120 KV. Cela nous amène à déduire que le calibrage des 100KV et 120KV serait relativement précis car la tension débitée serait dans les normes par rapport à la tension affichée sur le pupitre de commande.

La qualité du film ne nous a permis de déterminer les KV au niveau des régions A et B. Nous déduisons que le calibrage au niveau de la haute tension des KV 60 et 80 ne serait pas précis.

De l’analyse des enquêtes réalisées auprès du personnel du service, il ressort du tableau VIII que jamais un contrôle du calibrage des facteurs techniques n’a été fait sur le tube radiogène de l’hôpital de MENONTIN.

De même le tableau IX, révèle que le service de maintenance de l’hôpital de MENONTIN ne dispose pas de matériel nécessaire pour le contrôle du calibrage.

En outre, le tableau X, montre que les techniciens de l’unité de radiodiagnostic de l’hôpital de MENONTIN souhaitent un contrôle périodique du calibrage de l’appareil à rayon-X.

(50)

34 Aussi du tableau XI, il ressort que 75% de la population enquêtée souhaite une maintenance semestrielle et 25% une maintenance annuelle.

Enfin, le tableau XII, nous confirme que la bonne calibration des facteurs techniques permettra d’améliorer la qualité de l’image.

(51)

35

CONCLUSION

(52)

36 Notre stage de fin de formation s’est déroulé dans le service d’Imagerie Médicale de l’hôpital de Mênontin. Nous avons réalisé un certain nombre d’examens standard, ce qui nous a permis d’acquérir une bonne dextérité dans la conduite des tâches dans un service de radiologie. Et cela nous amène à dire que nos objectifs sont vraiment atteints. Toutefois, afin d’améliorer nos performances dans la réalisation des examens standard, nous souhaitons vivement faire des stages de perfectionnement, ce qui nous permettra également de réaliser assez d’examens spéciaux.

Ce stage nous a aussi permis de faire une étude sur l’état de la calibration des facteurs techniques de l’appareil de radiodiagnostic. Et suite à nos recherches, les résultats nous montrent qu’il y a une défectuosité au niveau du milliampèrage et du kilovoltage. En ce qui concerne le temps de pose les tests ne nous ont pas permis de conclure.

Pour remédier à cette situation, nous suggérons que le contrôle de calibrage des facteurs techniques soit périodiquement fait et que les tests pour le contrôle des dimensions du foyer soient également réalisés. Il faudrait aussi vérifier les autres éléments qui interviennent dans la qualité de l’image ; il s’agit de la distance foyer-film, des écrans renforçateurs, des solutions de développement, de l’angulation du tube.

(53)

37

SUGGESTIONS

(54)

38 Les suggestions apportées dans ce document constituent des propositions dont la mise en application pourrait être bénéfique pour les utilisateurs de l’appareil radiographique, le personnel administratif et les usagers de l’HM. Nous suggérons :

Aux personnels de l’unité de radiodiagnostic de l’HM :

-d’avoir le réflexe de contrôler chaque matin avant de commencer le travail si l’appareil à rayons-X ne présente pas des défectuosités visibles,

-d’établir un planning pour une maintenance préventive en accord avec l’unité de maintenance,

-d’établir un planning en collaboration avec l’unité de maintenance pour réaliser les tests de vérification de la précision du calibrage des facteurs techniques mais également tous les autres tests de contrôle du tube à rayons-X.

Au Ministère de la Santé :

-De contrôler régulièrement si les équipements dont dispose toute unité de radiodiagnostic répondent aux normes requises en matière de radioprotection et d’efficacité,

-De contribuer à l’achat du matériel de contrôle du calibrage des facteurs techniques du tube à rayons-X et si possible au même moment que l’achat de l’appareil à rayons- X,

-De mettre à la disposition de chaque unité de radiodiagnostic un chef maintenancier responsable de tous les autres qui réalisera une maintenance préventive et si besoin est curative et évaluera le travail réalisé par les maintenanciers locaux.

Aux autorités de l’EPAC :

-Acquérir de nouveaux matériels de contrôle afin de renforcer les travaux pratiques dans le cours d’appareillage.

-De développer la filière «Maintenance des Appareils Biomédicaux et Hospitaliers»

(MBH), ceci permettra d’avoir des maintenanciers capables d’intervenir sur les différents appareils d’un hôpital et surtout sur l’appareil à rayons-X,

(55)

39 -D’organiser, promouvoir et vulgariser des formations de remise à niveau pour tous les maintenanciers.

A l’endroit de l’administration de tous les hôpitaux possédant une unité de radiodiagnostic en leur sein :

-D’acquérir le matériel adéquat ou créer un partenariat avec l’Ecole Polytechnique d’Abomey-Calavi (EPAC) dont le but sera d’établir un planning précis, renouvelable pour la location de ce matériel

-D’ajouter à l’achat de l’appareil à rayons-X le matériel pour le contrôle tel que : la toupie manuelle et synchrone motorisée, la cassette WISCONSIN, l’échelle de MEYER, le disque étoilé, le cylindre de centrage et le cylindre à barre de RMI.

(56)

40

REFERENCES

(57)

41 1- CHOGNINOU A, OKE CP, 1985 Contribution à la vulgarisation de quelques tests de contrôle du calibrage des kV, mA, temps de pose et autres données.

Mémoire, CPU, UNB, Bénin, p.33-8 et p.62-77

2- HOUNKONNOU G.N.A, 2009 Maintenance et assurance qualité: cas de l’unité de radiodiagnostic de l’hôpital de zone d’Abomey-Calavi.

Mémoire, EPAC, UAC, Bénin, p.43-50

3- Wikipédia, 2000 Production des rayons-X

http:// fr.wikipédia.org/wiki/production des rayons x consulté le 02Septembre 2015 4- BARTHEZ P, 2001 Constitution du générateur à rayon- X

http://www2.vet-lyon.fr/../tuberadio.htlm consulté le 12Septembre 2015 5- LOURS P. EMAC, 2005 Production des rayons-X

http://nte.enstimac.fr/scimat/co/SM2ac2.htlm consulté le 12Septembre 2015 6- Anonyme Eléments constitutifs du tube radiogène et définition

http://med.univ-rennes1.fr consulté le 12Septembre 2015 7- Anonyme Principe et production des rayons-X

http://membres.multimania.fr/scanrayonx et co.htlm consulté le 12 Septembre 2015 8- MEDENOU D, 2007 Maintenance des appareils biomédicaux

EPAC, UAC, Bénin, p.14-15

(58)

42

Annexes

(59)

43 Annexe 1: Matériels utilisés pour le contrôle de la précision du calibrage des

du générateur à rayons-X.

Photo 4 : La toupie manuelle

Photo 5 : L’échelle de MEYER

Photo 6 : Cassette WISCONSIN

(60)

44 Annexe 2

FICHE D’ENQUETE

Dans le cadre d’une recherche académique sur le thème : « Evaluation de la qualité de l’image par le contrôle du calibrage des facteurs techniques du générateur à rayons-X. »

Nous vous serons reconnaissants de bien vouloir répondre aux différentes questions ci-dessous.

Population cible : les techniciens de l’unité de radiodiagnostic de l’Hôpital de MENONTIN.

Nom : Prénom : 1- Depuis quand l’appareil de radiodiagnostic a été installé ?

2ans 5ans Plus de 5ans 2- Quel est l’état de votre tube ?

……….

……….

3- Quelle est la masse de travail par jour depuis son installation ?

10 30 >30

4- Le contrôle de calibrage a-t-il été réalisé sur le tube à rayons-X ?

OUI NON

5- L’HHM dispose-t-il d’une unité de maintenance ?

6- OUI NON

7- Y a-t-il déjà eu des interventions d’un service de maintenance sur vos tubes ?

OUI NON

8- Cette unité de maintenance est-elle adaptée à l’unité de radiodiagnostic ?

OUI NON

(61)

45 9- L’unité de maintenance de l’HEF dispose-t-elle du matériel nécessaire

permettant d’assurer la maintenance du tube à rayons-X ?

OUI NON

10- Si non, les autres unités de maintenance dispose-t-il du matériel ? OUI NON

11- Si oui cochez ceux dont elle dispose

Echelle de MEYER, pour la calibration du milliampèremètre (mA) Toupie, pour la calibration de la minuterie (S)

Cassette WISCONSIN, pour la calibration du kilo-voltage (KV)

12- Quelle est la périodicité de la maintenance de l’appareil à rayons-X ? MENSTRUELLE SEMESTRIELLE ANNUELLE

13- Souhaitez-vous un contrôle périodique de l’appareil à rayons –X ?

OUI NON

14- Si oui qu’elle est la périodicité souhaitée ?

MENSTRUELLE SEMESTRUELLE ANNUELLE 15- L’appareil tombe-t-il en panne ?

Pas du tout Rarement Souvent Très souvent 16- Un technicien de radiologie peut-il effectuer lui-même les différents tests de

vérification de la précision de la calibration du tube à rayons-X ?

OUI NON

17- Selon vous les tests de vérifications de la précision de la calibration du tube à rayons-X sont-ils importants ?

OUI NON

(62)

46 18- Selon vous après avoir réalisé les tests de vérification de la précision de la calibration des facteurs techniques, avoir décelé le problème et y avoir apporté les solutions adéquates, pensez-vous que cela permettra :

D’améliorer l’efficacité diagnostic ? OUI NON De minimiser la dose d’irradiation ? OUI NON De réduire la reprise des clichés ? OUI NON 19- Que suggérer vous pour l’entretien du tube à rayons-X ?

(63)

47 TABLE DES MATIERES

LISTE DES ENSEIGNANTS AYANT INTERVENU EN IMAGERIE MEDICALE

AUCOURS DE NOTRE FORMATION ... II DEDICACES ... IV REMERCIEMENTs ... VI HOMMAGES ... VIII LISTE DES ET SIGLES ET ABREVIATIONS ... X LISTE DES TABLEAUX... XI LISTE DES FIGURES ET PHOTOS ... XI RESUME ... XIII

INTRODUCTION ... 1

PRESENTATION DU CADRE DE STAGE ... 3

1.1.PRESENTATION DE L’HÔPITAL DE ZONE DE MÊNONTIN ... 4

1.2.MISSION ... 4

1.3.STRUCTURES ... 5

1.3.1.Présentation du service d’imagerie médicale ... 5

1.3.2.Les infrastructures et équipements ... 6

1.3.2.1. La salle de radiographie ... 7

1.3.2.2. La chambre noire ... 7

1.3.2.3. La salle d’échographie ... 8

1.4. RESSOURCES HUMAINES ... 8

DEROULEMENT DU STAGE ... 9

2.1.OBJECTIFS DU STAGE ... 10

2.1.1. Objectif général... 10

2.1.2. Objectifs spécifiques ... 10

2.2. ACTIVITES EFFECTUEES AU COURS DU STAGE ... 10

2.2.1. La salle d’examen ... 10

(64)

48

2.2.2. La chambre noire ... 12

2.3. DIFFICULTES RENCONTREES ... 12

2.4. CHOIX DU SUJET ... 12

ETUDE DU THEME ... 14

3.1. GENERALITES SUR LE THEME... 15

3.1.1. Définition de quelques concepts ... 15

3.1.1.1.Les caractéristiques d’une bonne radiographie en radiologie conventionnelle ... 15

3.1.1.2.Impact direct de l’état du matériel sur la qualité des résultats obtenus ... 15

3.1.2. Historique ... 16

3.1.3. L’appareil a rayon-x ... 16

3.1.3.1. Le tube radiogène ... 16

3.1.3.2. Le générateur de haute tension ... 18

3.1.3.3. Console de contrôle ... 18

3.1.4. Contrôle de la précision du calibrage des facteurs techniques ... 19

3.2. OBJECTIFS DE NOTRE ETUDE ... 20

3.2.1. Objectif général... 20

3.2.2. Objectifs spécifiques ... 20

3.3. CADRE, MATERIELS ET METHODES D’ETUDE... 20

3.3.1. Cadre d’étude ... 20

3.3.2. Matériels ... 20

3.3.3. Méthode d’étude ... 21

3.3.3.1. Type d’étude ... 21

3.3.3.2. L’échantillonnage ... 21

3.3.3.3. Collecte des données ... 21

3.4. EXPERIENCES ... 22

3.4.1. Expérience de la toupie manuelle ... 22

3.4.2. Expérience de l’échelle de Mayer ... 24

3.4.3. Expérience de la cassette Wisconsin ... 25

3.5. ENQUETES ... 27

3.6. RESULTATS ... 28

3.7. COMMENTAIRES ... 32

(65)

49

CONCLUSION ... 35

SUGGESTIONS ... 37

REFERENCES ... 40

Annexes ... 42

(66)

50

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