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J. THOMSEN. — Thermochemische Untersuchungen (Sur l'affinité de l'hydrogène pour les métalloïdes : chlore, brome, iode, oxygène, soufre, azote et carbone); Annales de Poggendorff, t. CXLVIII, p. 177 et 398

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Submitted on 1 Jan 1873

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J. THOMSEN. - Thermochemische Untersuchungen (Sur l’affinité de l’hydrogène pour les métalloïdes : chlore, brome, iode, oxygène, soufre, azote et carbone);

Annales de Poggendorff, t. CXLVIII, p. 177 et 398

Violle

To cite this version:

Violle. J. THOMSEN. - Thermochemische Untersuchungen (Sur l’affinité de l’hydrogène pour les mé- talloïdes : chlore, brome, iode, oxygène, soufre, azote et carbone); Annales de Poggendorff, t. CXLVIII, p. 177 et 398. J. Phys. Theor. Appl., 1873, 2 (1), pp.329-337. �10.1051/jphystap:018730020032901�.

�jpa-00236870�

(2)

329 la variation de a sera

ou

Or on sait que E diminue

lorsque

t augmente, de sorte que dE dt est

négatif

et, pour les métaux

étudiés,

une

très-petite

fraction

de

E;

donc l’effet d’une traction est

d’augmenter

le coefficient de dilatation d’une

très-petite

fraction

(de 1

à

1) de l’allonge-

ment

proportionnel

de la

tige.

Un raisonnement

analogue

permet de lier les écarts des lois de Nlariotte et de

Gay-Lussac

que

présentent

les gaz.

En

effets,

le

produit

pv = SO de la

pression

d’un gaz par le volume de l’unité de masse est défini

quand

on connaît la

pression

et la

température

t du gaz, de sorte que an = nz dt -p n

dp;

la valeur de 711

définie par cette

équation

est le

produit

p0 v0 par le coefficient ce de dilatation à

pression

constante. La valeur de n

indique

de combien

le gaz s’écarte de la loi de

Mariette;

car, si le gaz suivait cette

loi,

Q serait

indépendant

de p. Or des

expériences

de M.

Regnault

il

résulte : 1 ° que n est

négatif, puisque

le

produit

pv diminue

quand

la

pression

augmente ; 20

qu’il

diminue avec la

température

en

valeur absolue. Donc

dn

dt est

positif et

tend vers zéro

uand t

aug-

dn dm da

mente; mais

=

po

v0:

donc le coefficient de dilatation

dt dp dp

à

pression

constante croît avec la

pression,

d’autant moins que la

température

est

plus élevée;

la

première

loi entraîne la seconde et

réciproquement.

J. THOMSEN. 2014 Thermochemische Untersuchungen (Sur l’affinité de l’hydrogène

pour les métalloïdes : chlore, brome, iode, oxygène, soufre, azote et carbone);

Annales de Poggendorff, t. CXLVIII, p. I77 et 398.

M. Thomsen a

entrepris

de reviser les nombres donnés par

Dulong, Hess,

Favre et

Silbermann, Abria,

Andrewvs et divers

autres savants, comme

exprimant

les

quanuités

de chaleur

dégagée

dans la combinaison de

l’hydrogène

avec les divers métalloïdes .

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018730020032901

(3)

330

Sauf de

légers changements,

dus au

perfectionnement

des méthodes

calorimétriques,

les résultats

qu’il

a obtenus confirment en

général

les valeurs

numériques

et les déductions

théoriques qui

avaient

cours dans la science.

Nous allons exposer ces résultats.

PREMIERE FAMILLE.

I. Chlore et

hydrogène.

L’auteur a combiné directement les deux gaz,

préalablement desséchés,

comme l’avaient fait avant lui MM.

Abria ,

Favre et

Silbermann. Les deux gaz arrivaient dans une boule de

platine

d’en-

viron un demi-litre de

capacité,

servant de chambre à

combustion;

ils

s’y

combinaient sous l’influence de l’étincelle d’induction et l’a- cide

chlorhydrique

formé allait ensuite se

condenser,

hors de

l’ap- pareil,

dans un

système

de tubes à

absorption

contenant

simple-

ment de l’eau distillée. La chambre à combustion était

placée

dans

un calorimètre renfermant 3 litres d’eau. Les

opérations

calorimé-

triques

étaient conduites avec l’habileté ordinaire de l’auteur.

Quatre expériences

ont donné les nombres suivants pour l’allinité du chlore et de

l’hydrogène, rapportée

à une

molécule,

soit

36gr,

5

du

composé,

affinité que nous

désignerons,

pour

abréger,

par

(H, Cl) :

21975, 22018,

22003, 22008 unités de chaleur;

on a

donc,

en prenant la moyenne,

(H, CI) -- 22001

unités de chaleur;

telle est la

quantité

de chaleur

qui correspond

à la formation de l’acide

clilorhydrique

gazeux. La

quantité

de chaleur

qui répond

à

la formation de toutes

pièces

de l’acide

chlorhydrique hydraté, quantité

que nous

représenterons

par

(H, CI, Aq),

a été

également

mesurée par

l’auteur,

et il l’a obtenue en

ajoutant

à

(H, Cl)

la

quantité

de chaleur

(HCI, Aq) dégagée

dans

l’absorption

de l’acide

gazeux H Cl par

l’eau,

cette dernière

qLla2ltlté

ayant été déterminée directement.

Le tableau suivant résume ses recherches sur l’acide

chlorhy-

(4)

driclue.

On a mis en

regard

les nombres donnés auparavant par Abria

(1846),

Favre et Silbermann

(1853), Favre (1868),

et Ber-

thelot

(1865):

II. Brome, iode et

hydrogène.

L’affinité de

l’hydrogène

pour le brome et l’iode a été mesurée par la même méthode que MM. Favre et

Silbermann,

c’est-à-dire

en traitant la dissolution aqueuse de bromure ou d’iodure de po- tassium par le chlore et en se servant des nombres trouvés dans les recherches antérieures sur la formation des chlorures et bromures.

Voici les résultats :

DEUXIÈME FAMILLE.

Oxygène, soufre.

On a

procédé

à la détermination de l’affinité de

l’hydrogène

pour

l’oxygène

en utilisant le méme

appareil qui

avait servi à déter-

miner l’aimité du chlore pour

l’llydrogène.

La

quantité

d’eau

formée dans

chaque expérience

s’élevait à environ 8 gramnes.

Trois

expériences

ont

donné,

pour la formation d’une molécule

d’eau,

34194, 34233, 34115

unités de chaleur,

en moyenne

(5)

332

En

rapprochant

ce résultat des nombres

antérieurs,

on a

L’auteur,

comme l’avait

déjà

fait NI.

Hautefeuille,

a mis à

profit

la réaction de

l’hydrogène

sulfuré sur une solution d’iode dans

l’acide

iodhydrique très-concentré;

il trouve, pour l’affinité du soufre et de

l’hydrogène,

1B1. Hautefeuille a trouvé

(Comptes

rendus de l’Académie des Sciences, t.

LXVIII)

MM. Favre et Silbermann avaient trouvé auparavant

2740

par

un

procédé

moins exact à la vérité. La

précipitation

du soufre par l’iode n’est pas d’ailleurs exempte

d’objection,

le soufre se

séparant

à l’état mou et non cristallisé.

TROISIÈME FAMILLE.

Azote.

L’affinité de l’azote pour

l’hydrogène

a été déduite de la réac- tion du chlore sur

l’ammoniaque,’

conformément au

procédé

de

MM. Favre et Silbermann. Le tableau suivant résume les recher- elles de l’auteur et celles de ses devanciers sur ce

point :

(6)

QUATRIÈME FAMILLE.

Carhone.

L’auteur admet la chaleur de combustion du gaz des

marais,

telle

qu’elle

résulte des

expériences

de

Dulong,

d’Andrews et de Favre

et Silbermann,. Ces trois séries

d’expériences

donnent en

effet,

pour la

quantité

de chaleur

dégagée

par la combustion de i gramme de gaz des

marais,

13185, 13108, 13o63 unités de chaleur,

en moyenne

13119,

ce

qui fait,

pour la chaleur de combustion d’une molécule de gaz des

marais,

Trois

expériences

sur la combustion de

l’éthylène

conduisent

l’auteur à

prendre,

pour la chaleur de combustion de ce gaz,

nombre

qui

ne diffère pas

beaucoup

de celui

qui

a été

déjà

donné

par les expérimentateurs

cités

plus

haut.

Les méthodes

d’analyse

de NI.

Thomsen,

relatives à

l’éthylène,

nous semblent toutefois laisser à

désirer ;

car il admet la

présence

d’un huitième de gaz des marais dans son

éthylène :

le gaz des marais

n’ayant jamais

été observé dans la

préparation

ordinaire

de

l’éthylène,

sa

présence supposée

résulte sans doute d’une erreur

d’analyse.

Une remarque

analogue s’applique

à la

présence

d’un

vingtième d’éthylène supposé

dans

l’acétylène

par M. Thomsen.

Enfin l’auteur

détermine,

par quatre

expériences,

la chaleur de combustion de

l’acétylène, laquelle

n’avait été encore

l’objet

d’au-

cune

recherche,

et il trouve

(7)

334

Les chaleurs de formation se déduisent facilement de la compa- raison de chacun de ces nombres avec la somme des

quantités

de

chaleur

dégagée

par la combustion des

éléments ,

carbone et

hy- drogène.

La chaleur de combustion de

l’hydrogène

est connue.

Pour la combustion du

carbone,

l’auteur admct les nombres de

Favre et

Silbermann, d’après lesquels

la combustion de 1 gramme de carbone se transformant en acide

carbonique dégage

8080 ou

7800 unités,

suivant que le charbon

employé

est du charbon de bois ou du

graphite.

On trouve

ainsi,

en supposant le carbone à l’état de

graphite

dans tous ces carbures :

Nous reviendrons bientôt sur ces résultats.

L’ensemble de ces recherches donne lieu à

plusieurs

remarques

importantes .

L’affinité de

l’hydrogène

pour le

chlore,

le brome et

l’iode,

dans

les

hydracides

gazeux, a

respectivement

pour mesure 22001, 8440

et 6036 unités de

chaleur,

et la décroissance manifeste de ces nom-

bres,

du chlore à

l’iode,

c’est-à-dire du corps dont le

poids atomique

est le

plus

faible au corps dont le

poids atomique

est le

plus élevé, paraît

être un fait

général.

En

effet,

dans la deuxième

famille,

nous avons, pour la chaleur de formation d’une molécule

d’eau, 34 178 unités,

pour la chaleur de formation d’une molécule

d’hy- drogène

sulfuré 2a56

unités,

et,

d’après

81. Hautefeuille

(loc. cit.),

l’aflinité de

l’hydrogène

pour le sélénium est

négative.

Dans la troi-

sième

famille,

l’affinité de l’azote pour

l’hydrogène

dans l’ammo-

niaque

est

positive

et

égale

à

26707. Que

les affinités de

l’hydrogène

pour les autres corps du groupe aillent en décroissant, cela résulte manifestement de ce

fait,

que les

composés hydrogénés

de ces corps

sont de

plus

en

plus

facilement

décomposables

par la chaleur :

l’hydrogène

arsénié

plus

qiie

l’hydrogène phosphoré,

et celui-ci

plus

que

l’ammoniaque. L’hydrogène

antimonié l’est encore

plus

que tous

trois,

car il se

décompose

franchement à la

température

(8)

ordinaire;

quant au

compose hydrogène

du

bismuth,

il n’cst pas

nettement connu, sans doute à cause de sa trop

grande

instabilité.

Dans le groupe du

carbone,

l’affinité de

l’hydrogène

pour le carbone

lui-même,

dans

l’hydrogène protocarboné,

est

20420,

c’est-à-dire fortement

positive.

Cette affinité est certainement moindre pour le corps le

plus voisin,

le silicium : l’enscmblc des

propriétés

de

l’hy- drogène

silicié ne laisse aucun doute à cet

égard.

Les termes les

plus

élevés du groupe n’offrent aucun

composé analogue.

On peut donc formuler avec l’auteur la loi

générale

suivante :

« Dans

chaque

famille naturelle des

métalloïdes,

l’affiiiité de

l’hydrogène

est

positive

pour le

premier

terme de la série

(chlore, oxygène,

azote ou

carbone )

dans le

composé

saturé

correspondante

elle diminue pour les termes

suivants,

tandis que le

poids atomique s’élève,

et devient

négative

pour les termes les

plus

élevés de la

série. »

Ne serait-il pas

possible

anéme d’aller

plus loin,

de trouver un

rapport

plus

intime entre les affinités et les

poids atomiques?

C’est

ce que l’auteur a

essayé,

au moins pour le groupe le

plus naturel,

le groupe du

chlore ;

mais on rencontre immédiatement cette dif-

ficulté,

que les trois nombres que l’on a trouvés pour les chaleur de formation des trois

hydracides

du

chlore,

du brome et de

l’iode,

ne sont pas directement

comparables,

quant à leur valeur

stricte,

parce que le

chlore,

le brome et l’iode ne sont pas, à la

tempéra-

ture

ordinaire,

au même état

d’agrégation.

En essayant de les y

ramener

(1)

par l’addition aux deux derniers nombres des chaleurs latentes de

v aporis ation

du brome

(Andrews)

et de l’iode

(Favre

et

Silbermann),

on n’arrive

qu’à

ce seul résultat net, à savoir que le

brome,

au

point

de vue de son affinité pour

l’hydrogène,

se rap-

proche plus

du chlore

qu’on

n’aurait pu le supposer

d’après

la va-

leur de son

poids atomique, lequel

est à peu

près

à

égale

distance

des

poids atomiques

du chlore et de l’iode. C’est ce que montre le tableau

suivant,

dans

lequel

on a inscrit les

différences,

relative-

ment aux

composés

du

chlore ,

des

composés correspondants

du

brome et de

l’iode,

non-seulement pour les

hydracides

gazeux, mais

encore pour les solutions aqueuses de ces

hydracides

et pour les

(1) M. Berthelot avait déjà esaayé des rapprochements semblables, Annales de Ciiiinie et de Physique, t. XXll, p. 139; les calculs sont donnés t. XX, p. 452.

(9)

336

sels ammoniacaux

lialoïdes,

le brome et l’iode étant

pris

à l’étau

de vapeur :

Ce résultat

général

est bien d’accord d’ailleurs avec le caractère

général

des

composés bromés, qui

se

rapprochent plus,

en

effet,

des

composés

chlorés que des

composés

iodés.

Nous avons dit tout à l’heure que l’affinité de

l’hydrogène

pour

le carbone était

positive.

Or nous avons

trouvé,

en supposant le

carbone à l’état de

graphite,

et, en supposant le charbon à l’état de charbon de

bois,

nous aurions

des nombres tout à fait du même ordre de

grandeur.

La formation du

premier

de ces

carbures, l’acétylène,

est donc

accompagnée

d’une forte

absorption

de chaleur. On

pourrait

être

porté

à en conclure que l’affinité du carbone pour

l’hydrogène

est

négative ;

mais il faut remarquer que,

lorsque l’hydrogène

se com-

bine à un carbure

déjà

formé pour donner lieu à un carbure

plus 11hydrogéné,

on a, au

contraire,

un

dégagement

considérable de cha- leur. On a, en

enet,

et l’on ne peut

douter,

par

conséquent,

que l’affinité du carbone pour

l’hydrogène

soit réellement

positive,

ce

qui

résulte d’ailleurs

de l’évaluation

Quant

à la valeur

négative

des chaleurs de formation de l’acé-

tylène

et de

l’éthylène,

elle

s’explique,

comme bien d’autres faits de l’histoire du

carbone,

par cette circonstance que le

carbone,

à

l’état où nous le

connaissons, charbon, graphite

ou

diamant,

est

(10)

337 dans un état

d’inaction,

un état

passif,

dont il faut d’abord le tirer

avant de

pouvoir l’engager

dans une combinaison

chimique

avec

d’autres

éléments,

et cette conversion nécessite une certaine

dépense

de force vive. C’est ainsi que l’on a

et

ou, en d’autres termes, que, tandis que la combinaison du

premier

atome

d’oxygène qui

se fixe sur le carbone pour former de

l’oxyde

de carbone

dégage

seulement 13400 unités de

chaleur ;

l’addition

du second atome,

qui

transforme

l’oxyde

de carbone en acide car-

bonique,

en

dégage 33 400

ou 2

2

f’ois

plus.

La valeur exacte de la

dépense

de force vive nécessaire pour tirer le carbone de sa

passivité

ne peut pas encore être fixée avec certi- tude. Elle

paraît

toutefois avoir pour mesure environ 70000 unités par atome de carbone. C’est seulement

après

avoir été ainsi modifié

par une certaine

quantité

de chaleur

prise

aux corps environnants que le carbone entre en activité avec son affinité

spécifique.

La croissance

rapide

de la chaleur

spécifique

du carbone av ec la

température ( WEBER, Poggendorff’s

Annalen, t.

CXLVIII) plaide

encore en faveur de cette

hypothèse,

que le

carbone,

avant de pou- voir contracter des combinaisons

chimique,

doit modifier son état moléculaire. L’auteur se propose d’ailleurs d’étudier

plus

à fond

ces

phénomènes

dans un

prochain

Mémoire.

Ces

rapprochements

et ces discussions

théoriques

ont été d’ailleurs

déj à présentés

presque

identiquement

par lfl.

Berthelot,

dans le

tome VI des Annales de ChÙnie

(4 e série),

et

depuis,

à l’occasion

de ses

expériences

sur la

synthèse

des carbures

pyrogénés

au

moyen de

l’acétylène

et sur la

synthèse

de l’acide

cyanhydrique

au moyen de l’azote. Il a

également

insisté sur

l’hypothèse

d’un

état

isomérique spécial

du carbone

(t. XVIII,

p.

175) qui précé-

derait les combinaisons directes de cet élément avec

l’hydrogène,

le

soufre,

etc., et il a calculé la

dépense

nécessaire pour y

parvenir,

en comparant la chaleur de formation des deux

oxydes

du car-

bone,

etc. M. Thomsen ne fait

guère

que

reproduire

les mêmes

idées

théoriques.

VIOLLE.

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