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R. CLAUSIUS. - Sur une quantité analogue au potentiel et sur un théorème y relatif; Comptes rendus de l'Académie des Sciences, t. LXX, p. 1314; 1870. YVON VILLARCEAU. - Sur un nouveau théorème de Mécanique générale; Ibid., t. LXXV, p. 232-237; 1872

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Academic year: 2021

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HAL Id: jpa-00236853

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Submitted on 1 Jan 1873

HAL

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R. CLAUSIUS. - Sur une quantité analogue au potentiel et sur un théorème y relatif; Comptes rendus de

l’Académie des Sciences, t. LXX, p. 1314; 1870. YVON VILLARCEAU. - Sur un nouveau théorème de

Mécanique générale; Ibid., t. LXXV, p. 232-237; 1872

E. Sarrau

To cite this version:

E. Sarrau. R. CLAUSIUS. - Sur une quantité analogue au potentiel et sur un théorème y relatif;

Comptes rendus de l’Académie des Sciences, t. LXX, p. 1314; 1870. YVON VILLARCEAU. - Sur un

nouveau théorème de Mécanique générale; Ibid., t. LXXV, p. 232-237; 1872. J. Phys. Theor. Appl.,

1873, 2 (1), pp.264-266. �10.1051/jphystap:018730020026401�. �jpa-00236853�

(2)

264

paroi

de

A,

comme au contact des corps flottants

mouillés ;

convexe

contre la

paroi

de

B,

comme au contact des corps non mouillés. Il y

a attraction entre le corps flottant et la

paroi,

dans tous les cas les

deux

portions

du

ménisque liquide qui

les

sépare

ont des courbures de même sens, et

répulsion

dans le cas

contraire,

ainsi que cela a lieu pour deux lames

plongeant

dans le même

liquide

et pour les

mêmes raisons.

R. CLAUSIUS. - Sur une quantité analogue au potentiel et sur un théorème y relatif;

Comptes rendus de l’Académie des Sciences, t. LXX, p. 1314; 1870.

YVON VILLARCEAU. - Sur un nouveau théorème de Mécanique générale;

Ibid., t. LXXV, p. 232-237; 1872.

1. THÉORÈME. - Si l’on

désigne

par x, y, z les coordonnées d’un

point mobile,

par

X, Y,

Z les

co7nposantes

suivant les axes

de la

force qui

lcci est

appliquée,

par p sa distance à un

point

arbitraire

pris

pour

origine,

et par mv2 2 sa

force vive,

on a la relation

En

effet,

en

multipliant

par x les deux membres de

l’équation

d2x

m =

X.

et observant que l’on a

identiquement

il vient

En

ajoutant

membre à membre cette

équation

avec les

analogues auxquelles

donnent lieu les mouvements

projetés

sur

Oy

et

Oz,

on

obtient

l’équation (1).

2. VirieZ d’un

système.

- Considérons un

système

de

points

matériels. En

ajoutant

les

équations (1),

relatives à tous les

points

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018730020026401

(3)

265

du

système,

on obtient la relation

L’expression - 1E(xX+yY+zZ)

est ce que M. Clausius ap-

pelle

le viriel du

système.

L’équation (2) établit,

entre la force vive et le viriel d’un sys-

tème,

une relation

analogue

à

celle,

bien connue,

qui

existe entre

la force vive et le travail total des forces

appliquées.

3. Mouvement stationnaire. -

Supposons

que le mouvement

du

système

soit un mouvement

stationnaire,

c’est-à-dire tel que

chaque point

oscille autour d’une

position

moyenne

fixe,

il en

résulte que la valeur moyenne de la

quantité Emp2

est constante

et, par

suite, d’après l’équation (2),

que la

force

vive moyenne du

système

est

égale

à la valeur moyenne du viriel.

. Viriel intérieur. - Dans

l’application

des théorèmes

précé- dents,

comme dans celle du théorème des forces

vives,

il convient de

distinguer

les forces intérieures des forces extérieures.

Supposons

que l’action mutuelle de deux

points

m et m’ du sys-

tème,

dont la distance est r, soit

dirigée

suivant la droite

qui

les

joint

et soit une

fonction y (r)

de leur distance. Soient x, y, z et

x’, y’,

z les coordonnées de m et

m’,

les

composantes

de l’action

exercée par m’ sur m sont

et, de

même,

les

composantes

de l’action exercée par m sur m’

On en déduit

par

suite,

le viriel des

forces

intérieures est

égal à 1Erc (r),

2 le E

(4)

266

s’étendant à toutes les combinaisons deux à deux des

points

du sys- tème.

5. VirieZ extérieur dans le cas d’une

pression

normale zini-

fo7--ine.

- Dans le cas le

système

est

formé,

comme les corps

naturels,

d’un nombre extrêmement

grand

de

points

extrêmement

rapprochés,

il peut arriver que les forces extérieures se réduisent à une

pression

uniforme p,

s’exerçant

normalement sur toute sa

surface limite. Considérons un

point

x, y, z de cette

surface;

un

élément w de surface en ce

point supporte

la

pression pw,

dont

les

composantes

sont

a,

b,

y étant les

angles

directeurs de la norlnale extérieure à la sur-

face. Le terme

correspondant

du viriel est

et la somme étendue à la surface entière

est 2- pv, v

étant le volume

du corps,

puisque

l’on a,

d’après

un théorème connu de

Géoinétrie,

6. Les théorèmes

précédents paraissent

devoir

jouer

un rôle im-

portant dans l’étude des

propriétés

des corps considérés comme des

systèmes

de

points

matériels. Si l’on

considère,

par

exemple,

un

gaz comme un

système

dont le mouvement est stationnaire et

dont le viriel intérieur moyen est

nul,

on voit que la force vive moyenne V devient

égale

au viriel des forces extérieures. En sup- posant que celles-ci se réduisent à une

pression

uniforme p, on a,

d’après

le

5,

la relation

qui

sert de base à la nouvelle théorie

mécanique

des gaz.

E. SARRAU.

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