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Coefficients du viriel de la réfractivité du méthane : comparaison avec le viriel diélectrique et l'absorption induite

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(1)

HAL Id: jpa-00245636

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Submitted on 1 Jan 1987

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Coefficients du viriel de la réfractivité du méthane : comparaison avec le viriel diélectrique et l’absorption

induite

G. Montixi, R. Coulon

To cite this version:

G. Montixi, R. Coulon. Coefficients du viriel de la réfractivité du méthane : comparaison avec le viriel

diélectrique et l’absorption induite. Revue de Physique Appliquée, Société française de physique /

EDP, 1987, 22 (9), pp.1007-1012. �10.1051/rphysap:019870022090100700�. �jpa-00245636�

(2)

Coefficients du viriel de la réfractivité du méthane : comparaison

avec

le

viriel diélectrique et l’absorption induite

G. Montixi et R. Coulon

Laboratoire de

physique

des Interactions

Atomiques

et Moléculaires, Faculté des Sciences et

Techniques

de Saint-Jérome, rue Henri Poincaré, 13397 Marseille Cedex 13, France

(Reçu

le 6

février

1987, révisé le 22 mai 1987, accepté le 5 juin

1987)

Résumé. 2014 Une amélioration sensible de la méthode interférentielle de mesure de l’indice de réfraction du gaz

comprimé

permet de

préciser

la valeur des trois

premiers

coefficients du viriel de la réfractivité. La confrontation avec les coefficients déduits de

l’absorption

induite par collisions dans

l’infrarouge

et ceux du

viriel

diélectrique

devient alors

plus significative.

Abstract. 2014 An

appreciable improvement

of the interferential method of refractive index measurement of a

compressed

gas allows a

precise

determination of the first three virial coefficients of

refractivity.

The

comparison

with the coefficients deduced from IR collision induced

absorption

and with the virial dielectric coefficients becomes then more

significant.

Classification

Physics

Abstracts .

51-70 .

1. Introduction.

Les coefficients du viriel de la réfractivité du méthane

ont été

publiés précédemment [1]

pour la

longueur

d’onde À =

0,6329

ktm du laser He-Ne.

Dans le

présent

article nous décrivons une amélio-

ration de la méthode interférentielle de mesure

qui

a

permis, grâce

à

la

détermination de la fraction de

frange,

de mesurer les indices de réfraction à basse

pression

avec une

précision analogue

à celle

déjà

obtenue à

pression plus

forte. Par

ailleurs,

les

mesures ont été faites pour

7 longueurs

d’onde du

spectre

visible,

et nous avons

comparé

les résultats

avec des valeurs déduites des spectres

d’absorption

induits en

infrarouge proche

et

lointain,

utilisant une

valeur connue du second coefficient du viriel diélec-

trique B,,.

Nous déterminons

également

une valeur du second coefficient du viriel de la

press,ion Bp

en bon accord

avec les données des

équations

d’état. Toutes

préci-

sions sont contenues dans la thèse de Montixi

[2].

2. Méthode

expérimentale.

La détermination

précise

des coefficients du

viriel

de la réfractivité des gaz,

qui

apporte des informa-

tions intéressantes dans l’étude des

phénomènes

induits par

collision,

nécessite une mesure

soigneuse

de l’indice de réfraction du gaz ainsi

qu’une

connais-

sance aussi bonite que

possible

de la densité p.

Une double

interpolation [3,4]

à

partir

des don-

nées de Douslin et al.

[5]

sur des

développements polynomiaux

d’ordre convenable :

permet,

dans notre domaine

expérimental,

de déter-

miner p à mieux

que 3

x

10- 4 près

en ce

qui

concerne le méthane à condition de

déterminer p

et

T avec une

précision

du même ordre.

Il reste à effectuer la mesure de l’indice absolu de réfraction dans les meilleures conditions.

La méthode

[2-4]

consiste à

compter

le nombre N de

franges qui défilent,

de la

pression

de mesure au

vide, lorsque

l’on évacue une cuve contenant un

étalon interférentiel de

Fabry-Perot sphérique.

A la

précision

des mesures

effectuées,

on doit

tenir compte de la variation de

longueur

de l’étalon

produite

par la

compressibilité

de la

cale ;

si

Lg(p, T)

est

l’épaisseur

vraie pour le gaz aux condi- tions

(p, T)

et

Lg (0, T) l’épaisseur

sous vide à même

température,

on a donc

Le

comptage

s’effectuant initialement à une

frange

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/rphysap:019870022090100700

(3)

1008

près,

la

précision

sur n était

à condition que le nombre de

franges dépasse 104 (les

incertitudes sur L et À restant

toujours négligeables [3].)

Dans le cas du

méthane,

et compte tenu de la

longueur

de notre étalon interférentiel

(100

mm soit

L = 400

mm),

cette

précision

ne peut être atteinte que pour des

pressions supérieures

à 40 bar.

Une amélioration

peut

être obtenue par

1’utüisa--

tion d’une méthode

graphique

donnant N à mieux

que 1/10e de

frange près,

en choisissant la

pression

de mesure de sorte que le défilement démarre

près

d’un maximum de la fonction

d’Airy (Fig.1).

En

effet,

l’observation de la finesse

expérimentale

F

de

l’étalon

(Fig. 2)

permet de recalculer pour tout

point

entre deux ordres entiers le

rapport

entre l’intensité I en ce

point

et l’intensité maximale

Io grâce

à

l’expression

de la fonction

d’Airy :

dans

laquelle

cp = 2

03C0nL/03BB représente

le

déphasage qui

varie de 2 7T pour une variation d’ordre

égale

à

1.

On voit

(Fig. 2)

que les

points

ainsi recalculés

correspondent

bien au tracé

expérimental,

et

qu’au voisinage

d’un maximum un écart de 1/20e de

frange

entraîne une variation

d’énergie

de

près

de 25 %.

L’ordre au

départ

de

l’expérience

peut donc être aisément déterminé à

0,05 près.

Quant à l’ordre en

fin

d’expérience (cuve vide)

on le connaît avec une

précision

semblable par des mesures d’excédents fractionnaires usuelles

déjà

décrites

[2].

Cette

technique

permet de conserver une incerti- tude relative inférieure à

10-4

sur N

jusqu’à

des

pressions

inférieures à une dizaine de bar dans le cas

du méthane.

3. Détermination des divers coefficients de la réfracti- vité.

3.1 PREMIER COEFFICIENT

AR.

- Il s’obtient par

extrapolation

à

pression

nulle de la fonction : 0’ =

(n2-1).RT/(n2+2).P

=

f (P/RT).

(5)

En

effet,

à

partir

des

développements

du viriel de la réfractivité et de la

compressibilité du

gaz, un calcul

simple [2]

montre

qu’en

basse

pression

on

peut

écrire :

Fig.

1. -

Enregistrement

du

démarrage

d’une

manipula-

tion. L’ordre

correspondant

à

l’équilibre

de balance de

mesure de

pression

initiale est très voisin de l’ordre entier,

(l’incertitude

dans ce cas ne

dépasse

pas 1/50°

d’ordre).

[Recording

of the start of the

experiment.]

La courbure de la fonction 03A6’ =

f(P/RT)

est

négligeable

si l’on se restreint à un domaine de

pression

inférieur à 40 Bar

(Fig. 3).

L’extrapolation

linéaire à

pression

nulle permet donc de déterminer

AR

et la pente

(BR - AR Bp).

Pour confirmer les valeurs de

AR

ainsi trouvées

nous avons, aux différentes

longueurs d’onde,

étudié

la fonction :

(4)

Fig.

2. - Fonction

d’appareil

du Fabry-Perot

sphérique. - Enregistrement

conduisant à F = 5,5. + Points calculés

(relation 4).

[Spherical Fabry-Perot

apparatus function. - Record

corresponding

to F = 5,5. + Calculated

points (relation 4).]

qui

montre

toujours

une

remarquable

linéarité pour des

pressions

allant de 40 à 400 bar

[1, 2].

L’extrapolation

à

pression

nulle fournit

A’,

d’où

AR = A’/3

donnant des valeurs en

parfaite

coïnci-

dence avec celles déduites de 03A6’.

On trouvera ces valeurs dans le tableau

1,

figure

en outre la

polarisabilité électronique

03B1e

proportionnelle

à

AR. Signalons qu’une

nouvelle

mesure

interférométrique

de Achterman et

Rogener

[7]

donne à À =

0,6329

03BCm une valeur de

AR identique

à la nôtre.

Notons enfin que l’étude de la

dispersion AR

=

f (À ) permet

le calcul de

AR

à

fréquence

nulle

que nous trouvons en

parfait

accord avec la valeur

résultant des mesures de Watson et

Ramaswany [6]

soit :

Tableau I. -

Coefficients

du viriel de la

réfractivité AR, @BR, CR

et de la

pression Bp

du méthane à 7

longueurs

d’onde

du spectre visible. La dernière colonne donne la

polarisabilité électronique

aux

différentes fréquences.

[Refractivity

virial coefficients

AR, BR, CR

and second pressure virial coefficients

Bp

of the methane at seven wave-

lengths.

The last column

gives

electronic

polarisability

at many

frequency.]

(5)

1010

Fig. 3. - Fonction 0’ =

f(P/RT)

pour

CH4

à différen-

tes longueurs d’onde, entre 10 et 40 bar environ.

[Function

03A6’ =

f(P/RT)

for

CH4

for seven

wavelenghts

between 10 and 40

bar.]

3.2 SECOND ET TROISIÈME COEFFICIENT

BR

ET

C R,

- La connaissance de A’ et B’

grâce

aux

« droites »

F’ (p ) permet

le calcul de

BR

et

CR

par les

expressions [2]

et

où C’ peut donc être considéré comme

nul,

à la

’précision

des mesures.

Les deux valeurs de

BR

et de

CR

sont confirmées

par l’étude de l’ordonnée à

l’origine

et de la

pente

de

la fonction :

Les valeurs calculées de

BR

et

CR

ainsi obtenues’

sont

consignées

dans le tableau I. La valeur moyenne :

peut

être

comparée

aux résultats de St Arnaud et

Bose [8] :

et de Olson

[9] :

Quant à

Fig.

4. - Tracé de la fonction 03A6 =

(R - -4R)/p

en fonction de la densité pour CH4 à la longueur d’onde 0,5146 03BCm.

[0 = (R - AR)/p

versus density for

CH4

atk = 0,5145

03BCm.]

(6)

Fig. 5. - Mise en évidence de la courbure de R à 0,6329 J-Lm pour

CH4.

On constate sur cette courbe que l’incertitude

adoptée

soit ± 0,002

x 10-6 m-3. mole-l

est surestimée. En outre, le maximum de la courbe

correspond

bien à

Pmax = -

BR/2 CR

= 8 720 mole. m-3

(P ..x =

200

bar).

[R

versus p for CH4 at k = 0,6329 03BCm. The maximum of R agrees with the calculated value Pmax = -

BR/2 CR

= 8 720 mole.

m-3.]

il est en accord satisfaisant avec la valeur du même Olson :

dont l’incertitude ne

peut

être

précisée.

Comme il a été dit

précédemment (relation (6))

nous avons pu calculer le second coefficient du viriel de la

pression Bp, qui

donne :

Bp

=

(- 44,0 ± 1,5 ) 10-6 m3 mole-1

en excellent accord avec les données connues

[5, 8, 10], qui

vont de

-42,8

à -

44,0

x

10-6 m3 mole-1.

4. Relation avec le viriel

diélectrique

et

l’absorption

induite.

L’étude de la constante

diélectrique

en fonction

de la densité peut se traduire par le

développement de

la relation de Clausius-Mossoti.

et la valeur de

B,

est connue pour

CH4 [11].

Birnbaum et Bose

[12]

relient les coefficients

BR

et

BE

aux

spectres

induits par

collision,

par la relation :

BFIR

se

rapporte

au

spectre

de

translation-rotation, BIR

au spectre de

translation-rotation-vibration,

w est la

fréquence,

p la densité et a

(w )

le coefficient

d’absorption

induite.

Birnbaum et Cohen

[13]

calculent

BFIR

à

partir

du

moment

spectral

de la bande

d’absorption

en infra-

rouge lointain :

et trouvent :

qui conduit,

compte tenu des valeurs de

03B3/03C12

et

a

(w )/03C12

déterminées

expérimentalement

par les mêmes auteurs

[14]

à :

BFIR

=

1,40

x

1O-12 m6 mole -2

pour

CH4

à 298 K .

Par

ailleurs, BIR

est accessible

[12,15]

par

l’expres-

sion

dans

laquelle

ro est le diamètre de la molécule

x =

rlro, a

la

polarisabilité

et

(7)

1012

avec y =

2 (elkT)o,s.

Les

intégrales H6 (y )

ont été tabulées par

Buckingham

et

Pople [16]

pour différentes valeurs de y. Utilisant alors les valeurs des constantes moléculaires usuellement admises

[8] :

on calcule :

On obtient donc à partir des valeurs expérimentales :

alors que l’on déduit de l’absorption induite :

valeurs en

remarquable

concordance.

Notons que les calculs des moments

spectraux

03B31 et al

[13]

ne font intervenir que les mécanismes de

polarisation

de distorsion d’ordre le

plus

bas.

Isnard et al.

[20]

ont montré que la

polarisation

d’orientation n’intervient que pour moins de 20

%,

et que les contributions d’ordre

supérieur jouent

un

rôle

négligeable.

5. Conclusion.

L’amélioration de la

précision

des mesures

d’indice de réfraction des gaz permet

d’opérer

à des

pressions plus basses,

et de déterminer de

façon plus précise

les trois

premiers

coefficients du viriel de la réfractivité.

Concernant le

méthane,

les valeurs trouvées sont

en excellent accord avec celles de la

littérature,

et

recoupent

les études du viriel

diélectrique

et de

l’absorption

induite.

On

peut également

comparer

BR

avec une valeur

calculée à l’aide de la théorie

dipôle-dipôle

induit

[17] qui

conduit à

Na

est le nombre

d’Avogadro

et a o la

polarisabi-

lité moyenne ; pour

CH4,

avec les mêmes valeurs que ci-dessus et

on trouve :

en excellent accord avec le résultat

expérimental,

ce

qui

n’était pas le cas pour

l’argon [18],

l’azote

[4]

l’hélium

[19].

Signalons qu’en

utilisant d’autres valeurs de constantes moléculaires trouvées dans la

littérature,

on obtient des variations de

BIR

et de

BR qui

n’excèdent pas 5 %.

En ce

qui

concerne le coefficient

CR,

aucune

expression théorique

n’a été élaborée pour les molécules

polyatomiques.

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