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להגדיל תורה ולהאדירה. Les horaires de ce Chabat Terouma-Zakhor 8 Adar Nuit (pour chema) : Cha harit : Chers amis,

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Academic year: 2022

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Texte intégral

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ד"סב

Les horaires de ce Chabat Terouma-Zakhor – 8 Adar 5781

Nuit (pour chema) : 18h56

Cha’harit : 9h

Fin chema : 09h40/10h27

Min’ha : 17h45

: Chers amis,

Cette semaine nous remercions Jonathan Aleksandrowicz et Samuel Chicheportiche pour leurs passionnantes contributions. Veuillez noter qu’un Kiddoush est offert conjointement par M. Gluckman pour le yortzeit de son père ןהכה ףסוי ןב קחצי ainsi que par Mme. Hofman pour le yortzeit de son père דוד ןב השמ. Enfin, n’oublions pas la kria de Parashat Zakhor qui aura lieu demain.

Bon limoud et Chabat Chalom à tous !

לידגהל הרות

הרידאהלו

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C’est sans doute faire preuve d’une légèreté coupable1, mais, au regard du תישארב רפס et de la première partie du תומש רפס qui se distinguaient par un sens consommé du romanesque, la המורת תשרפ pourrait paraître ennuyeuse. En effet, après les événements de la sortie d’Égypte et de la révélation du יניס רה qui – c’est peu de le dire – frappaient l’imagination, la description technique des éléments constitutifs du ןכשמ, des ustensiles aux poutres, semble, elle, s’adresser aux seuls artisans et architectes.

Au fond, ce préambule faussement polémique interroge ce qui meut profondément notre étude de la הרות, ce qui active et soutient notre désir de l’étudier dans son entièreté, sans se laisser rebuter par ses passages plus « austères », dirons-nous. Il en va de ce qui transforme notre étude en le seule aventure humaine digne d’être vécue et nous fait nous exclamer

« Heureux sommes-nous ! comme est agréable notre lot ! » Toutefois, une aventure n’est accessible qu’à ceux qui en éprouvent le désir.

Ainsi, le second verset de המורת תשרפ évoque-t-il cet élan. Dieu s’adresse à השמ et lui dit :

« Parle aux enfants d’Israël et qu’ils prennent pour moi un prélèvement ; de tout homme porté par son cœur, prenez mon prélèvement ». Le commentaire de Sforno2 précise bien qu’il s’agit d’un élan personnel et certainement pas d’un prélèvement collectif qui ressemblerait à une taxe3, car ne seront acceptés que les dons des personnes volontaires. Pas question de commandement ni de devoir, c’est l’intimité et le désir qui sont explicitement requis.

Suit la description de ce que seront ces dons ; enfin, quelques versets plus loin, est indiqué l’objectif de leur recueil : « Et [sous-entendu, ‘grâce à ces dons’] ils feront pour Moi un Sanctuaire, et Je résiderai םכותב (parmi eux/en leur sein) ».

Or, cet objectif porte la marque de la contradiction. Puisque les dons consistent en matériaux pour construire un Sanctuaire dont tous les commentateurs s’accordent à le voir construit « au Nom de Dieu »4, pourquoi est-ce le mot םכותב au pluriel qui est choisi plutôt que celui de וכותב

1 Mais peut-être faut-il savoir conserver l’esprit léger pour le poser telle une plume mouillée d’encre nouvelle sur un texte vu et revu ?

2 Rabbi Ovadia Ben Yaacov Sforno, maître italien du XVIè siècle.

3 Ce n’est pas le לקשה תיצחמ

4 Voir le commentaire de Rachi

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(en lui/en son sein) au singulier ? En d’autres termes, pourquoi construire un Sanctuaire à l’intention de Dieu si ce n’est pas pour qu’Il réside dedans ? Pourquoi Dieu résiderait-Il parmi eux/en leur sein alors qu’on a fait pour Lui un Sanctuaire, lieu supposé de Sa résidence ?

Bien sûr, on pourrait tenter de répondre que du fait sa centralité géographique dans le camp, le Sanctuaire est au milieu des לארשי ינב. Réponse habile qui néglige cependant l’élan du cœur initial dans le processus d’érection du Sanctuaire.

Reprenons ce processus en quatre phases. Les trois premières sont évidentes : (1) un élan du cœur, de l’ordre de l’intime, (2) occasionne un don matériel, (3) permettant construire un édifice matériel, (4) afin que la divinité réside…où ? Pour respecter la dynamique, il faut que Sa résidence ne soit pas matérielle mais retourne et rejoigne l’origine du don : l’intime. En ce sens, םכותב ne peut faire référence qu’à l’intimité des לארשי ינב et pas à la géographie du campement – à moins de vouloir laisser les versets boîter et laisser croire que le Sanctuaire serait le lieu physique et donc païen du divin.

Cheminons encore avec Sforno pour comprendre ce qu’implique la résidence divine : « Je résiderai parmi eux/en leur sein pour recevoir leur prière et leur culte, à la manière dont Je t’ai montrée [à השמ] Ma Présence sur la montagne : sur le couvercle (de l’Arche sainte), entre les Chérubins ».

Ce commentaire est composé de deux parties. La première, évoque la prière et le service. La seconde, insiste sur le mode de résidence de la divinité sur terre, et paraît contredire notre démonstration sur le lieu du divin, puisqu’elle semble Le placer dans le Sanctuaire : dans une partie spécifique, sur un objet spécifique, de surcroît.

Mais alors pourquoi construire tout le Sanctuaire, les ustensiles et autres objets si la présence divine est à ce point spécifiée !? Cette spécification renforce paradoxalement encore plus la question sur le pluriel du mot םכותב et impose presque d’opter pour le singulier וכותב !

Au premier problème, il faut répondre avec Sforno que le Sanctuaire dans son ensemble évoque l’architecture de la divinité. Ce qu’on appelle la théosophie5. C’est-à-dire que la structure de l’édifice et ses ustensiles décrivent le rapport entre la divinité et ses manifestations6. En étant radical, il faut admettre que l’édifice et ses ustensiles ne valent rien par eux-mêmes : ils revêtent une fonction symbolique ! Et Sforno maintiendra cette ligne tout au long de sa description des objets du culte. Que la présence divine apparaisse spécifiquement sur le couvercle du ןורא

5 Littéralement « Sagesse sur le divin ». Par exemple, toute étude des dix תוריפס est une théosophie.

6 Voir notamment le ט״מ ׳ס ריהבה רפס et le début de la אטוז ארדא.

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שדוקה (l’Arche sainte), entre les chérubins, représentation du Trône de Gloire, n’empêche pas que chaque élément du sanctuaire manifeste quelque chose du divin. Par exemple, la Table des pains renvoie à la Justice divine et à la Protection divine.

Au deuxième problème, il faut répondre en mettant en demeure ce que nous venons de dire sur la symbolique du Sanctuaire : en quoi tout cela, nous regarde, nous, simples êtres humains ? Sforno ne fait pas l’économie de cette mise en demeure.

Sur l’extrait du verset concernant le שדוקה ןורא (l’Arche sainte) « Et les chérubins étendront leurs ailes vers le haut », il explique que les chérubins suggèrent avant tout l’idée de l’intelligence humaine qui tente de comprendre les mystères du divin. Et pourquoi étendent-ils leurs ailes vers le haut ? Parce qu’ils symbolisent l’être humain qui tente de s’arracher à sa condition matérielle afin de comprendre et de connaître son créateur selon ses possibilités intellectuelles !

Ici, il y a la mise en place d’une expérience potentiellement accessible à chacun mais toujours singulière.

Chaque être humain dispose de moyens intellectuels pour comprendre quelque chose du divin, mais cette compréhension dépend de l’intelligence de chacun. L’expérience est donc nécessairement singulière car intime7. C’est une véritable aventure, unà laquelle on choisit de participer lorsque l’on est emporté par un élan intérieur, « porté par son cœur », comme le dit bien le deuxième verset de המורת תשרפ.

Processus identique à l’élan du cœur qui a motivé le don permettant de construire le Sanctuaire afin que la divinité réside : c’est l’histoire d'un aller et d’un retour.

Ainsi, le Sanctuaire ne sert pas la résidence de Dieu ; il est construit pour que Dieu ne réside pas dedans mais en nous ! Il est un symbole montrant que si notre monde peut mériter la Présence divine, ce n’est que lorsque, portés par un élan du cœur, nous partons à sa recherche.

7 Incidemment, cela rappelle pourquoi les visions des prophètes, malgré des similitudes conceptuelles, pouvaient tant différer. Et peut-être est-ce un début d’explication du הבכרמ השעמב ןישרוד ןיא : on ne peut même l’enseigner du tout au tout à une seule personne, car cette connaissance est d’abord une expérience singulière, selon ce que porte le cœur de chacun.

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La difficulté des mots de la parasha terouma m’est apparue au cours d’une étude sur un passage de la massekhet baba batra 12a qui met en relation l’homme, le mizbeah et un passage du livre de בוֹ ּ֣י ִא (Job).

Il s’agit du passage suivant : « י ֵת ְש וֹל שֵי ה ֶת ְשִיְו ם ָד ָא לַכאֹּי ֶש ם ֶדוֹק ה ָפי ֵח ן ִמ ְד י ִמי ִד ְב ַא י ִב ַר ר ַמ ָא ןַני ִמ ְג ְר ַת ְמוּ ת ֹּחֻל בוּבְנ בי ִת ְכוּ ב ֵב ָלִי בוּבָנ שי ִא ר ַמ ֱאֶנ ֶש ד ָח ֶא ב ֵל א ָל ֶא וֹל ןי ֵא ה ֶתוֹשְו לֵכוֹא ֶש ר ַח ַא ְל תוֹב ָב ְל

ןי ִחוּל לי ִל ֲח » (« Rabbi Avdimi de Haïfa dit : avant que l’homme mange et puis boive, il a deux cœurs, après avoir mangé et bu il n’en a plus qu’un. Comme il est dit, « l’homme nevouv aura un coeur », comme il est écrit, « Avec des tables nevouv, tu le fera » qu’Onkelos traduit en disant « des tables hallil »).

Cette étude m’a poussé à m’attarder sur le sens d’un mot, « בוּ ֥בְנ » (« nevouv ») qui caractérise le mizbeah et sur la façon dont Onkelos le traduit, étant le seul à expliquer ce mot obscur. Je désirais vous faire part de cette réflexion.

Le verset en 27:8 nous dit que le mizbeah doit être constitué de planches dont la

caractéristique est d’être « nevouv », « וֹ ֑תֹּא ה ּ֣ ֶשֲע ַת ת ֹֹּ֖חֻל בוּ ֥בְנ», « (avec) des tables « בוּ ֥בְנ », tu le fera (le mizbeah) ». Rappelons que le mizbeah est le lieu où sont brûlés les korbanot (sacrifices) et où sont réalisées les libations.

Le mot בוּ ֥בְנ est obscur, difficile à comprendre. Il n’est employé que deux fois dans tout le houmash, à chaque fois à propos de la qualité des planches du mizbeah (chemot 38:7 et ici même). Impossible en apparence de saisir le sens de ce mot en le replaçant dans un autre contexte, dans le houmash. Pour tenter de percer le sens du mot « בוּ ֥בְנ » et donc de comprendre la caractéristique du mizbeah, l’ensemble des commentateurs s’en

remettent au Targoum d’Onkelos qui traduit le mot « בוּ ֥בְנ » par « לי ִל ֲח », qui peut signifier

« ciseler », « tourner », « percer », « être vide » (comme le précise Jastrow). Le rav,

linguiste et grammairien Ernest Klein, précise que le mot « לי ִל ֲח » peut également signifier

« tube », « flûte », et renvoyer à l’akkadien « hallalu », « jouer de la flûte ». Le mot « לי ִל ֲח » et donc « בוּ ֥בְנ » exprimerait à la fois une manière de construire les planches du mizbeah (en les ciselant, en les tournant), et une qualité qui caractérise ces mêmes planches (qui seraient alors conçues comme un tube, une flûte).

La flûte est un tube plein, dont le coeur de matière a été extrait pour que le creux qui désormais constitue ce tube permette à l’air de le traverser et que de la musique

apparaisse. Il semble donc que les planches qui constituent le mizbeah doivent être vides comme un tube creux pour que le mizbeah, à l’image d’une flûte soit rempli d’un vide utile.

Mais utile à quoi ?

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Dans la Mekhilta de Rabbi Yshmael, Rabbi Nathan précise que le mizbeah devait être rempli de terre, pour être rattaché à la terre : « רמאנש ,השענ המדאב לולח ,רמוא ןתנ יבר )׳ח:ז״כ תומש( ותוא השעת תוחול בובנ » (« Rabbi Nathan dit, il doit être construit (pour être) vide de terre comme il est dit : « tu le fera de planches nevouv »). Ainsi, à chaque fois que le campement des bnei Israel se déplaçait et s’arrêtait, l’espace vide du mizbeah était comblé avec de la terre dans sa partie inférieure. Une fine grille de cuivre assurait la séparation entre le vide inférieur et supérieur. Le vide du mizbeah est ainsi un vide utile, un creux nécessaire pour accueillir de la terre de l’endroit est faire du « mizbeah

nechochet » (mizbeah de cuivre) un « mizbeah adama » (mizbeah de terre) qu’H’

demande à Moché de construire en 23:8 : « יל השעת המדא חבזמ » (Tu feras un mizbeah de terre).

Pourtant, à la différence d’une flûte, ce creux ne résulte pas d’un évidement de matière.

Comme le précise rashi, « des tables de bois de chittim avec un vide à l’intérieur, non comme un même tronc » qui serait évidé (« א ֵהְי אֹּלְו ,עַצ ְמ ֶא ְב ל ָל ָח ֶהְו ד ַצ לָכ ִמ םי ִט ִש י ֵצֲע ת ֹּחֻל ד ָח ֶא ץ ֵע וֹלֻכ »). Le mizbeah n’est pas un bloc plein qui serait creusé et vidé de sa matière car dans ce cas, les tables qui constituent le mizbeah seraient alors des tables

manquantes de la matière qui était là auparavant.

Les tables du mizbeah sont plutôt construites pour contenir un creux, comme les espaces vides du coeur (ventricules et oreillettes), organe creux disposé à accueillir et distribuer le sang en circulation dans ses cavités ou la matrice d’un graveur disposée à accueillir l’encre pour l’impression d’une estampe.

Le mizbeah doit ainsi être disposé par un vide d’accueil, à recevoir de la matière non formée (la terre) pour qu’en s’en remplissant il atteigne son but, devenir un mizbeah de terre (המדא חבזמ).

Pourquoi créer un vide destiné à être rempli de matière ?

En français, le vide est soit absence, soit négation. Aucun mot en français ne réussit à rendre compte de l’idée d’un vide qui serait « quelque chose ». L’idée de vide est négation de l’être avec le mot « néant » ou avec le mot « nul » (pas quelqu’un). L’idée de vide est absence d’être avec le mot « vide » (qui ne contient rien de perceptible), ou avec le mot « rien » qui désigne en fait « quelque chose » (res en latin signifie une chose).

La possibilité d’un vide qui ne serait ni totalement absence, ni totalement négation se retrouve au sujet de la création du monde. Ramban (Nahmanide) explique dans son commentaire sur תישארב qu’H’ a créé le monde à partir du zéro absolu « תטלחומ הסיפא».

Le mot zéro est particulièrement pertinent pour rendre compte de ce vide qui permet l’accueil de la matière comme potentiel. En effet, en mathématique, le zéro est un entier relatif, un réel parmi les réels de l’univers des possibles. En ce sens, le zéro existe pour lui même, et n’est pas qu’une convention d’écriture, il est la traduction en arabe du sanskrit :

« शून्य » (sunya), « le vide ».

H’ a créé le monde a partir de ce zéro, à partir de ce vide, accueil pour la matière : « והת » ou « hyle » en grec comme le précise Ramban. Ce vide, est un manque. Non pas manque

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par rapport à un état passé, mais par rapport à un idéal de complétude.

Il reste toutefois à comprendre de quelle manière Onkelos a pu comprendre le mot « בוּב ָָ֭נ

» et le traduire par « לי ִל ֲח »

Nous avons dit plus haut que le mot « בובנ » ne semblait pas compréhensible dans un autre contexte du houmash. On le retrouve pourtant dans le ר״נ (livres des prophètes et des hagiographes) et plus précisément dans les livres de וּהָֹ֖י ְמ ְרִי (Yirmyea) en 52:21 au sujet du mizbeah (également) et de בוֹ ּ֣י ִא (Job) dans le discours de Tsophar Le Naamanit.

« ד ֵֵֽלָוִּי ם ֥ ָד ָא א ֶר ֶּ֝֗ ֶפ רִי ֥ ַעְו ב ֑ ֵב ָלִי בוּב ָָ֭נ שי ּ֣ ִאְו » (Job 11:12). Le verset est difficile à traduire

précisément parce que sans la traduction d’Onkelos, le mot « בוּב ָָ֭נ » reste obscur. Comme souvent dans le ר״נ, le texte est écrit en rimes d’idées, l’idée de la première partie de la strophe rime avec la seconde. Pour tenter de comprendre le mot « בוּב ָָ֭נ », tentons de comprendre la seconde partie de la strophe (11:12) : « ד ֵֵֽלָוִּי ם ֥ ָד ָא א ֶר ֶּ֝֗ ֶפ רִי ֥ ַעְו », « Et l’homme naît comme un âne sauvage ».

L’homme naît comme un âne sauvage, c’est à dire, lorsqu’il naît, l’homme est incomplet. Il manque de la connaissance théorique et de la connaissance pratique qui lui permet de devenir un homme complet. Ce manque de connaissance chez l’homme, voilà

précisément l’idée derrière le mot « בוּב ָָ֭נ », un manque à l’origine d’un désir

d’accomplissement. Il faudrait donc traduire la première moitié de strophe de la façon suivante : « Et un homme manquant acquerra un coeur » (cette lecture est celle de Rashi).

Le coeur n’est pas le siège des passions contrairement à ce que l’héritage de la langue française nous laisse entendre. N’en déplaise à Blaise Pascal, le coeur est bel et bien le siège de la raison (המכוח).

Si l’homme fait en lui une place pour ce qu’il lui manque, c’est à dire, s’il prend conscience de la nécessité de ce manque et s’il est disposé à recevoir, alors ce manque se muera en désir, condition préalable à l’acquisition de tout savoir. Et ce vide ne sera jamais

totalement comblé mais en perpétuel évidement comme un coeur qui bat.

Voilà semble t’il le sens du mot « בוּ ֥ב ְנ », ce vide qui caractérise les planches qui

constituent le mizbeah. On pourrait en fait traduire le passage de terouma en l’expliquant ainsi : « tu fera le mizbeah avec des planches, de façon à ce qu’elles contiennent un creux en elles, comme un coeur»

Parution hebdomadaire du Bet Hamidrach Adath Israel 36 Rue Basfroi Paris XI Pour tout renseignement ou remarque, veuillez adresser un mail à rsm@adathisrael.fr

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