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J. HARTMANN. — The Apparatus for the Electric Heating of the Potsdam Spectograph n° 3 (L'étuve électrique du spectrographe n° 3 de l'Observatoire de Potsdam). — Astroph. Journ., avril 1902, p. 172-190

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Academic year: 2021

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HAL Id: jpa-00240788

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00240788

Submitted on 1 Jan 1903

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J. HARTMANN. - The Apparatus for the Electric Heating of the Potsdam Spectograph n° 3 (L’étuve électrique du spectrographe n° 3 de l’Observatoire de

Potsdam). - Astroph. Journ., avril 1902, p. 172-190

J. Baillaud

To cite this version:

J. Baillaud. J. HARTMANN. - The Apparatus for the Electric Heating of the Potsdam Spectograph n° 3 (L’étuve électrique du spectrographe n° 3 de l’Observatoire de Potsdam). - Astroph. Journ., avril 1902, p. 172-190. J. Phys. Theor. Appl., 1903, 2 (1), pp.50-50. �10.1051/jphystap:01903002005000�.

�jpa-00240788�

(2)

50

J. HARTMANN. 2014 The Apparatus for the Electric Heating of the Potsdam Spec- tograph n° 3 (L’étuve électrique du spectrographe 3 de l’Observatoire de Pots-

dam). 2014 Astroph. Journ., avril 1902, p. 172-190.

Les changements de température, dans un spectroscope, rendent

les raies diffuses et les déplacent, de sorte que, si l’appareil n’est pas maintenu à température constante, les déteriiiinations des vitesses radiales sont à peu près impossibles. M. Deslandres est le premier qui ait réalisé artificiellement cette condition, en eniern>ant son spec- troscope dans une enceinte à doubles parois, entre lesquelles circule

l’eau de la ville. En .Nniéiique, on réchauffe l’intérieur de l’enceinte à l’aide d’un courant électrique, l’observateur réglant lui-même le

courant. A Potsdam, c’est aussi l’électricité que l’on emploie, mais

le réglage se fait automatiquement. Deux longs thermomètres sont

disposés le long de la boîte qui entoure les prismes. Dans leurs

réservoirs sont soudés deux fils de platine, et dans leurs parties capillaires deux autres fils de platine, mobiles, viennent en contact

avec le mercure. Ces contacts commandent, à l’aide de relais, les

circuits de deux rhéostats qui réchauffent l’air extérieur à la boîte des

prismes, et contenu dans une enceinte en bois léger. Ce dispositif

,

maintient constante, à 1/10 de degré près, la température de

l’enceinte pendant toute une journée. Il faut avoir soin de régler les

contacts de platine de façon à ce que, lorsque l’appareil entre en fonction, ils correspondent à la température des prismes. 1BJ. Hart-

niann (1 ) a montré qu’un corps qui obéit à la loi de refroidissement de Newton a approximativement la même température que celle qui

~

régnait, dans l’air environnant, un temps déterminé auparavant. Pour

le spertrograplle 3, c*est 92 minutes. Un thermographe de Riclzard permet de déterminer cette température.

J. BAILLAUD.

Sir NORMAN LOCKYER. 2014 On the Spark Discharge from Metallic Poles in Water

(Sur les étincelles produites dans l’eau entre des électrodes métalliques).

2014

Astroph. Journ., avril 1902; p. 190-199.

Le Dr Nvilsing avait étudié l’influence de la pression sur le spectre,

en mettant à profit la très haute pression qui se produit quand

l’étincelle éclate dans un liquide,. De cette étude, il avait conclu que (1) Zeitsclu>Íf/ Inslrurnenlenkunde, XVII, 16 ; lSJi.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:01903002005000

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