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The Physical Review; T. XII, fasc. 6; - T. XIII, fasc. 1 à 6; - T. XIV, fasc. 1 à 2

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HAL Id: jpa-00240641

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00240641

Submitted on 1 Jan 1902

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The Physical Review; T. XII, fasc. 6; - T. XIII, fasc. 1 à 6; - T. XIV, fasc. 1 à 2

L. Houllevigue

To cite this version:

L. Houllevigue. The Physical Review; T. XII, fasc. 6; - T. XIII, fasc. 1 à 6; - T. XIV, fasc. 1 à 2. J.

Phys. Theor. Appl., 1902, 1 (1), pp.513-527. �10.1051/jphystap:019020010051302�. �jpa-00240641�

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longueur cl’oude avant la modification. Comme ces deux radiations n’ont plus exactement la même période, elles donneront lieu à des battements. Les franges seront donc mobiles.

A cette occasion, M. Corbino présente un excellent exposé histo- rique de la théorie de M. Gouy et des controverses de ce savant avec

M. Poincaré et M. Carvallo. Puis il expose la vanité d’autres solu- tions apparentes du problème expérimental. E. CARVALLO.

C.-II. WIND. 2014 Zur Anwendung dcr Fourierschen Reihenentwickelung in dcr Optik (Sur l’emploi de la série de Fourier en optique). 2014 Physik. Zeitschr.

2. Jahrg., p. 189-196; 1901.

Les rayons lumineux sont attribués aux ondulations, les rayons

cathodiques à l’émission. Auquel des deux systèmes doit-on ratta-

cher les rayons Rôntgen? L’auteur opine pour les ondulations. La

perturbation propagée serait due aux chocs de l’anticathode par les électrons partis de la cathode. Quelle que soit sa forme, elle peut

être développée en série de Fourier. D’après la théorie de M. Gouy,

un réseau effectuerait cette décomposition et donnerait un spectre dévié. Les tentatives faites dans ce sens sur les rayons Rôntgen ont généralement échoué. Pourtant MM. Haga et ~’~Tind ont cru trouver

une espèce de déviation d’où ils concluent à des longueurs d’onde de i/4 uu. à 1/iOO p.p. (Wied. A>1., 68, 884; 1889).

A cette occasion, l’auteur constate que la théorie de M. Gouy est trop peu répandue, et, pour la répandre, il l’expose. Son exposition

ne me parait pas apporter de clarté nouvelle. E. CARVALLO.

THE PHYSICAL REVIEW;

T. XII, fasc. 6; - T. XIII, fasc. 1 à 6; - T. XIV, fasc. 1 à 2.

T. XII,.

J. ZEhE~VY. - The influence of température upon the photoelectric efl’ect (Influence de la température sur la déperdition électrique des corps illuminés).

- P. 321-339. ,

Hoor a observé que la déperdition de charge par exposition à la

lumière des corps électrisés négativement diminue quand la tem-

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:019020010051302

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514

pérature s’élève. Stoletow a obtenu un résultai inverse. L’auteur, par des expériences très étendues, concilie ces deux résultats : un fil de-

platine chargé négativement se décharge d’abord moins vite quand

la température s’élève; mais la vitesse de décharge passe par un minimum (entre fU0° et 200°) et croît ensuite jusqu’aux plus hautes.

températures employées (7000). ..

La loi de décharge par la lumière dépend aussi de 1 histoire anté- rieure du fil ; la décharge est beaucoup plus rapide, pour une tent-

pérature donnée, quand on l’atteint par refroidissement que par échauffement.

Même aux températures élevées, oit l’électricité s’échappe des

corps par convection calorifique, il ne semble pas que la lumière ait

une influence quelconque sur la déperdition des charges positives.

A.-C. CItEH ORE. - Currents and 1)otentials on submarine cables produced by sine-waves electromotive forces (Distribution des intensités et des potentiels produite dans un câble sous-marin par les forces électromotrices sinusoïdales)-

- P. 340-352.

Ce. travail comporte l’étude spéciale d’un des câbles transatlan-

tiques ; les résultats sont exprimés sous forme graphique.

~’.-P. BOYXTOX. 2013 Trie two spécifie l~eats of Î.izes (Rapport - C pour les gaz

P. 3~3-358.

De la formule de Van der ~‘Taals, et en supposant C constant,

l’auteur tire une expression de c

c

. qu’il èompare avec les résultats obtenus par la détermination expé-

rimentale de cette quantité pour l’air, l’hydrogène et l’anhydride carbonique.

11. TIIOW’>;RIDGE. --- On a furm of arlificial subn1arine cable (Modèle

. de câble sous-marin artificiel). - P. 339-362.

Description d’un modèle dans lequel on cherche à répartir unifoi -

(4)

515 mément la capacité sur la longueur du câble, comme elle est distri- buée dans la réalité.

F. SLATE. 2013 Force due to continuous imhact (Pression due à une succession

de chocs). - P. 363-365.

Observations relatives au théorème des quantités de mouvement,.

E.-F. NICHOLS. - The imilder physical laboratory of Dartmouth College (Institut de physique Wilder, à Dartmouth Colle~e). - P. 366-311.

Vue, plan et arrangement intérieur de cette création nouvelle, due

en totalité à la générosité de 1B1. Wilder.

BARNESet C~~hER. - On a method for the deterinination of the critical velocity

of fluids (Mesure de la vitesse critique des fluides). - P. 3î2-314.

Quand on fait passer un courant d’eau dans un tube chauffé, soit

par l’extérieur, soit intérieurement à l’aide d’un fil placé dans son

axe et parcouru par un courant électrique, il existe une vitesse d’écoulement que les auteurs appellent critique ; au-dessous de cette

vitesse, réchauffement des couches liquides n’est pas uniforme,

tandis qu’il l’est pour les vitesses supérieures à cette limite.

VON 1"ESENDONIi. - Note on some modifications of electric clischarge caused by dielectrics (Modification des décharges produite par le voisinage d’un diélectrique). - P. B’~~-3’T6.

Remarque sur un mémoire antérieur de Iltimphreys, analysé pré- cédemment, et tentative d’explication des effets signalés par cet auteur.

J. BENTON. - A simple apparatus for illustrating forced vibrations (Appareil

pour montrer les vibrations renforcées). - P. 3-À î-3 îS.

C’est simplement un pendule formé d’une boule suspendue à un

caoutchouc dont on peut faire varier la longueur.

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516

T. XIII.

ROLLA R~MSEY.- The effect of gravity and pressure on electrolytic action (Force électromotrice due à la gravité et aux variations de prcssion)..-- P. 1-30.

On mesure la force électromotrice due à la gravité par la méthode du renversement ; le voltamètre est entièrement rempli et mobile

autour d’un axe horizontal qui permet de permuter les positions des

électrodes. Les observations ont porté sur les sulfates de zinc et de

cadmium et ont donné des résultats complexes.

En revanche, l’influence de la pression sur la force électromotrice des éléments de piles se manifeste nettement ; les éléments à étudier

sont enfermés dans un piézomètre et soumis à une pression crois-

sante, à température fixe. Voici quelques résultats :

BERGEN DA YIS. - On a newly-discovered phenomenon produced by stationary

sound-waves (Nouveau phénomène produit par les ondes sonores stationnaires).

- P. 31-41. "

Un petit cylindre fermé à un bout et placé dans des ondes sta-

tionnaires tend à s’orienter perpendiculairement à l’onde, et aussi à

se déplacer dans un sens normal à cette onde. Cette proposition

est démontrée à l’aide de petits cylindres de gélatine ou de papier, suspendus à un fil formant balance de torsion, et placés dans l’inté- rieur d’un tuyau sonore. On peut aussi, avec quatre cylindres suspendus

en croix à un support très mobile, constituer un moulinet qui tourne

très vite dans les ventres et s’arrête aux noeuds.

En faisant vibrer dans le tuyau des gaz différents (air, acide ear- bonique, gaz d’éclairage, hydrogène), on constate que la pression

exercée sur le cylindre est très sensiblement proportionnelle à la

densité du gaz.

(6)

517

L’auteur montre que ces résultats sont d’accord avec les théories de Bernouilli, et qu’ils permettent en même temps de calculer l’élongation maxima des molécules vibrantes du gaz.

C.-E. LINEBARGER. - On the heat evolved when liquid are brought in contact

with Irowders (Chaleur dégagée par le contact des liquides avec les solides

pulvérulents). - P. 48-54.

On emploie de la silice en grains très fins (L>C’",0005 et 0~’n,00096

de diamètre) mise en contact avec l’eau, le benzène, le toluène, la nitrobenzine, la pyridine. L’effet calorifique est proportionnel au poids de poudre et indépendant du poids du liquide (à partir d’un

certain minimum de celui-ci) ; plus la poudre est fine, plus l’effet thermique est considérable.

H.-T. BARNES. -- On the density of ice (Densité de la glace). - P. 55-59.

La glace de rivière anciennement formée est plus légère que la

glace récente. Les variations sont d’ailleurs très faibles, de O,9i68’~

pour la glace de l’année à 0,91648 pour la glace de deux ans.

~

~

E.-L. NICHOLS. - Henry-Augustus Rowland. 2013 P. 60-64.

Notice biographique du physicien Rowland, avec portrait.

E.-L. NICHOLS. - The visible radiation of carbon (Radiation visible du carbone).

P. 65-80 et ~.2J-I4!~.

Des baguettes de charbon placées dans une caisse on a fait le

vide sont échauffées par un courant électrique. On mesure leur tem-

pérature à l’aide d’un couple thermo-électrique, et on étudie leur radiation à l’aide d’un spectrophotomètre.

L’auteur s’est trouvé en face d’une anomalie constatée par de nombreuses expériences : un peu au-dessus de 11000, l’énergie dans le jaune du spectre prend par rapport aux autres couleurs un accrois-

sement disproportionné. Les courbes obtenues sont aussi très dif- férentes pour les baguettes brutes et pour celles qui ont été nour-

ries à la manière des filaments de lampes à incande scence dans une

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518

atmosphère de carbures. En étudiant comparativement avec ce spectre celiii de la flamme d’acétylène, l’auteur espérait déterminer

la température de cette flamme, comme celle ou les deux spectres seraient identiques ; il n’a jamais pu réaliser cette identité.

En portant en abscisses les logarithmes des températures abso-

lues et en ordonnées les logarithmes des intensités rayonnées, on obtient, pour chaque longueur d’onde, une ligne droite. Dans leur généralité, les résultats paraissent confirmer la formule de radia- tion indiquée par Lummer et Pringsbeim.

HONDA et SHIlB1IZU. - Magnétisation of iron, steel and nickel wires by inter-

mitent currents (Aimantation du fer, de l’acier et du nickel par courants

intermittents;. - P. 81-90.

° Pour le fer, l’acier et le nickel en fils, l’aimantation produite

par les champs faibles diminue quand on accroît la fréquence du

courant intermittent ; l’effet inverse apparait dans les champs puis-

sants ;

La diminution d’aimantation pour une fréquence définie s’accroît quand le champ croit jusqu’à un maximum correspondant à celui de

la perméabilité ; elle décroît ensuite graduellement ;

3° L’aire de la courbe d’hystérésis correspondant au champ maxi-

mum ~?7, ~ tâ. G. S. croît avec la fréquence jusqu’à un maximum, pour décroître ensuite. Les effets observés présentent une grande analogie

avec ceux’obtenus par Weiss pour le courant alternatif. Elles s’ex-

pliquent en admettant l’existence d’une sorte d’inertie de l’aiman-

"tation.

W.-F. MAGIE. - The spe£ific lieat of solutions which are not electrolytes (Chaleur spécifique des non-électrolytes en dissolution). - P. 91-10~..

Les déterminations ont porté sur la maltose, le sucre de lait, la lévulose, la mannite, la dulcite, la résorcine, l’hydroquinone et la pyrocatéchine en solution dans l’eau ou dans l’alcool. Elles portent

à représenter la chaleur spécifique d’une solution par la formule C = H + A - pB, où H est la chaleur spécifique du dissolvant,

A et B des constantes et 1) le facteur de dissociation, ou rapport de

la masse dissociée à la masse totale du sel.

(8)

519

)1.BHTI ~ ATKINS. 2013 Polarization and interne resistance of electrolytie cells (Polarisation et réhislance intérieure des éléments voltaïdues;. - P. 102-124 et 182-192.

La méthode employée consiste à polariser le voltamètre par un courant envoyé pendant un temps variable à volonté par un pendule interrupteur, et à décharger ensuite dans un balistique. Elle donne à

1 0/0 près la résistance intérieure du voltamètre. Elle permet égale-

ment de mesurer la capacité de polarisation des électrodes et le maximum de polarisation, pour une combinaison donnée de métal et d’électrolyte. Les résultats généraux sont les suivants :

Il Les électrodes de Cu dans sa ~Cll, de Zn amalgamé dans

’~O’1n donnent, lorsqu’elles sont immergées depuis peu, des polari-

sations ~) qui sont très bien représentées par la formule de Bartoli-

iViedebur~%q :

P~ et P2 SOIIt Ies polarisations maxima pour les deux électrodes,

d’aires S, et 5.,, q la quantité d’électricité qui a traversé la cellule, ,~~ et ~2 des c ons tante s ;

2° Avec les électrodes indiquées ci-dessus, la résistance intérieure

est constante ;

3° Les courbes de polarisation relatives à Ag dans AgAzO3, Zn dans Zn50B satisfont à la formule ci-dessus dans leur partie moyenne.

l~° Le platine poli dans sa qI2 ne satisfait pas à la forn1ule.

~I. BOKTI1BVAY et S. àIAGRENZIE. - On the period of a rod V~bI’utln~ in a liquid (Période de vibr ation d’une tige oscillant dans un liquide). -

P. ’i~ ~-16~.

Si T est la période vibratoire dans le vide, T’ la période dans un

milieu de densité p, à la densité du corps vibrant et K une constante,

on trouve par le calcul sensiblement.

Expérimentalement, on trouve les résultats suivants :

Il Le rapport ~,, pour une section donnée de la verge, est indé-

T Pour un

pendant de sa longueur ; -,

(9)

520

T

Pour une verge de section donnée, ee ;f i, est es sensiblement le même pour le laiton et l’acier;

:3° ,T,~ T pour une barre à section rectangulaire de largeur donnée,

est inversement proportionnel a son épaisseur; pour une épaisseur

donnée, il est proportionnel à la largeur.

Qir. FRANKLIIN. - Poynting’s theorenl and the distrihution of electric field inside and outside of a comductor carrying electric current (Le théorème de Poynting

et la distribution de champ électrique au voisinage d’un conducteur traversé par un courant)1 - P. 165-181.

Le théorème de Poynting sur le flux d’énergie dans un champ électromagnétique constitue la solution la plus simple, mais non pas la solution nécessaire du problème. En vue d’examiner de plus près

les critiques formulées à ce sujet par Wedell-Wedelsborc et Goldhammer, l’auteur étudie certains cas particuliers se prêtant au

calcul.

P.-G. :~ LTT1NG. - The metallic reflection of ultra-violet radiation (Réflexion métallique de l’ultra-violet). - P. 193-203.

Le pouvoir réflecteur de l’argent poli, voisin de 80 0,/0 pour les radiations lumineuses, descend rapidement, à partir de À = 350 yp, et tombe à un minimum de 10 0/0 pour ~ = 324 ; il croît et revient

ensuite à 10 0/0 pour A 185. Seul des dix métaux essayés, l’argent présente ces anomalies. L’étude de la réflexion et de la réfraction pour les radiations comprises entre ~ ~ 400 et

/, = 200 est faite ensuite par la méthode photographique pour une multitude de corps : verre, cyanine, CS2 , benzine, alcool éthylique, xylol, glycérine, naphte, kérosène, etc. Les résultats sont représentés

par des graphiques et des photographies de spectres.

J:R. BENTON. - Efl’eet of drawing on the elasticity of copper wire

(Efl’et du tréfilage sur l’élasticité du cuivre). - P. 231-2~5.

Il Si un fil de cuivre est d’abord recuit au rouge par un courant

électrique, et ensuite étiré, son module de rigidité décroît et son

module d’ Young croît.

°

(10)

521

Chaque passage à la filière produit une nouvelle diminution du module de rigidité et un accroissement du module d’~’oung ; mais

les effets deviennent de moins en moins sensibles.

31 Si, après tous ces passages à la filière, le fil est finalement recuit,

le module de rigidité revient à une valeur de beaucoup supérieure à

sa valeur d’origine et le lodule d’Young à une valeur très inférieure à sa valeur première.

B.-E. MOORE. - The absorption spectrum of colloïd ferric hydrate (Spectre d’absorption de l’oxyde ferrique colloïdal). - P. 246-249.

Étude spectrophotométrique de Fe’’03 colloïdal à différentes dila- tations.

W. DU~11E. -The absolute tTIeaSUl’en1ent of self-inductance (Mesure ab.,olue d’une self-induction). - P. 2~0-252.

Exposé d’une méthode assez simple pour mesurer 1.J sans avoir d’étalon à sa disposition. On divise la bobine en deux parties ,qu’on

fait parcourir par le courant dans le même sens ou en sens inverse.

La self-induction est L’ dans le premier cas, I~" dans le second, et on

L’

mesure _

t: = A ainsi que 1"induction mutuelle M des deux parties.

On a alors :

G.-W. STEM’ART. - The distribution of energy in the spectrum of acetylena

flame (Distribution de l’énergie dans le spectre de la flamme d’acétylène). -

P. 2p ~-28~. ,

Les observations sont faites à l’aide d’un spectroscope à prisme de

fluorine, accompagné d’un radiomètre à déflexion. Les résultats bruts subissent une série de corrections sur lesquelles il est longue-

ment insisié ; les courbes corrigées obtenues avec différents types de brûleurs s’étendent de À == 0,3 [L à À = 6,3 ~.; elles montrent toutes

un maximum d’énergie pour 4,4, 0,9, 2,7. De ces résultats, on peut déduire le rayonnement lumineux efficace, c’est-à-dire le rap-

port de l’énergie lumineuse à l’énergie totale rayonnée; cette quan-

(11)

522

tité est trouvée de 0,100 pour la flammc cylindrique d’un brÙlcur

Bunsen et de 0,131 pour la flamme papillon. Dé,jà, Steivart et Iloxie

avaient trouvé la même grandeur égale à 0,105.

-C. BARUS. - Temporary set as associated -Bvitti n1agnetization (1B[odification....

temporaires accompagnant l’ai tilanta Lion). - P. 283-306.

Le couple qui maintient une torsion donnée d’un fil de fer se mo-

difie quand on produit un champ magnétique. Des effets obtenus, les

uns disparaissent par l’agitation moléculaire, les autres sont per-

~nanents.

~E. NIGIIOLS et G. HULL. - A prclin1in2ry communication on the pression of

heat and light radiation (Pression exercée par les radiations tombant sur une

paroi). - P. 30 i-3 ~0.

On sait que, d’après les calculs de Maxwell, des ondes tombant

sur une surface exercent sur elle une pression égale à l’énergie par

unité de volume dans l’espace traversé par la radiation. En vue de confirmer cette proposition, les auteurs utilisent un radiomètre à .déflexion dont les ailettes, soumises à un flux lumineux, éprouvent

une déviation; connaissant les constantes de l’appareil, on en peut

déduire la pression exercée. Il faut ensuite mesurer l’énergie conte-

nue dans l’espace radiant. On construit dans ce but un bolomètre -dont la résistance sensible r est un disque de platine ayant la section du flux cylindrique qui tombe sur les ailettes du radiomètre. On me- .sure réchauffement produit par ce llux et, en le supprimant, on

cherche quel courant électrique i, traversant la plaque r, y produit

le même échauuément. Alors W = ri2 m 181 mesure en ergs-seconde l’énergie de la radiation contenue dans un cylindre de section égale

à celle du lltix, et de longueur 3 X 10’° cm ~ V. L’énergie par

. , ,. ’2 X 7

unité de volume est donc, S étant la section du flux, Z r ~ ~.0 .vs

On a trouvé ainsi que la pression réelle sur les ailettes valait 1,34 X 10-, dynes, tandis que l’énergie mesurée par le bolomètre a

.été de 1,05 X 10 -". De nOllB’elles expériences, plus précises, sont en

’cours d’exécution.

(12)

523

E. RUTHEUFORD. 2013 Décharge of electricity from ~lowing platinulll and the velocity of the ions (Décharge du platine incandescent, et vitesse des ions). -

P. :i2l-34’i.

L’auteur commence par exposer très clairement la tliéorie de la

déperdition électrique d’un corps, d’où résultent les lois suivantes : Il Le courant de décliarge est indépendante de l’intensité de l’ioni-

sation, c’est-à-dire de la température de la lame électrisée au-dessus d’une certaine valeur limite;

21 Le courant est directement proportionnel au carré du voltage

entre les lames entre lesquelles s’effeclue la décharge ;

3° Il est directement proportionnel à la vitesse des ions et inver- -sement proportionnel au cube de la distance entre les lames.

Les expériences décrites ne vérifient clue médiocrement ces pré-

visions :

11 La vitesse des ions positifs émanés du platine incandescent n’est pas constante, mais varie dans de larges limites ; .

Les vitesses des ions croissent avec la température des gaz à travers lesquels ils se déplacent;

3° Les vitesses calculées d’aprés les forn-iuies théoriques sont trop faibles, ; pour 2 centimètres de clistance entre les lames, la différence entre le calcul et l’elpérience n’est pas grande; mais, pour 5 centi- mètres, la vitesse réelle moyenne est plus que double de la vitesse calculée.

On peut aussi comparer la vitesse V des ions positifs émanés d’une lame de platine incandescent, telle que la donnent les expériences ac- tuelles, avec celle ‘%’ des ions émanés d’une flamme, donnée par Child : -.

E. BLAKER. - A spectrophotometric comparaison of Ulie relative intensity o f

light from carbon at different temperatures (Spectrophotométrie des rad iations du carbone à différentes températures). - P. 345-368.

Ce travail fait suite à celui de Nicliols, analysé plus haut (1). On opère sur des lampes à incandescence dont on détermine la tempéra-

(’) Voir ci-dessus, p. ~11.

(13)

524

ture par leur p variation 2013 de résistance, en utilisant les résultats de

Ro

Le Chatelier.

Pour les températures entre 950, et ~..7~0°, on étudie la répartition

des intensités lumineuses 1 entre les différentes longueurs d’onde, en prenant pour unité les intensités des mêmes radiations dans la flamme

d’acétylène. Les courbes en 1 et ainsi tracées manifestent très net- tement un maximum entre 0,6 et 0,7 ~., maximum d’autant plus mar- qué que la température est plus élevée. Le carbone incandescent

présente donc nettement le phénomène de radiation sélective.

1w. DUANE. - Note on electrometers (Note sur les électromètres). - P. 36J-37’~.

L’aiguille de l’électromètre n’est pas faite, en général, du même

métal que les quadrants; il faut alors faire intervenir la différence de

potentiel p entre les deux métaux quand on emploie l’électromètre par la méthode idiostatique, et la formule devient alors

ce qui fournit une méthode précise pour mesurer 9, Quand on a

recours à la méthode hétérostatique, cette quantité cl n’entre pas en considération.

E. BICHOLS et E. BLAKER.- A further note on the visible radiation fro1l1 carbon

(Sur la radiation visible du carbone). - P. 375-380.

L’existence du maximum de radiation indiquée plus haut vers

h 0,65 p est rapprochée par les auteurs de ce fait que des lames minces de charbon (dépôts demi-transparents à l’intérieur des

lampes à incandescence) présentent le maximum d’absorption pour la lumière de même longueur d’onde, à la température ordinaire.

T. XIV.

H. GALE. - On the relation between density and index of refraction of air

. (Relation entre la densité et l’indice de réfraction de l’air). - P. 1-16.

Emploi de la méthode interférentielle, avec l’appareil à lames é9aisses de Jamin, modifié smivant les conseils de Michelson. La

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