Équipe | COLOCO / ADH
Comité éditorial | Gilles Clément, Agnès Berland-Berthon, Pablo Georgieff, Stéphane Hirschberger, Gaëlle Tilmant-Barthe
Groupement | Coloco, ADH, Biotope, A&C, Proteis, Antéa Coordination | Romain Quesada et Mahaut Clément
COMMUNES GRAND CAILLOU
EYSINES
LIVRABLE – TRAVAIL EN COURS JUIN 2014
COMMUNES GRAND CAILLOU
EYSINES
07 08 09
06 08 10 12 18
06 08 10 12 21
07 – 15 10 12 17 – 21 23 – 29 31 – 35 37 – 39 41 – 43
06 08 11 15 – 29 16 20 22 26 31 – 53 32 44 52 55 – 57 59 – 61 63 – 65 67 – 73 C ARNE T INTRODUCTION
• PROLOGUE I – INTRODUCTION
II – LE TRIPTYQUE ENGAGEMENT / CONSTRUCTION / COMPOSITION
CORPUS – C ARNE T INDICE POTENTIEL DE NATURE
• BAOBAB ET INDICE POTENTIEL DE NATURE
• INDICE NATURE MOTEUR DE PROJET
• OBJECTIF CUB
• TROIS VOLETS POUR UN INDICE
• JUSTIFICATION ET MODE D'EMPLOI
CORPUS – C ARNE T BAOBAB
• LA BOÎTE À OUTIL BIOTOPIQUE DE L'AGGLOMÉRATION BORDELAISE
• RESSOURCES
• LEVIERS D'ACTION
• PROJETS
• VERS DE NOUVELLES COMPÉTENCES
CORPUS – DÉMARCHE DE TERRAIN I – INTRODUCTION
• LE CALENDRIER DE LA MISSION
• LA MÉTHODOLOGIE D'ÉLABORATION DE L'IBM
3II – LA CARTE DU BIEN COMMUN
III – LES FICHES MÉTHODOLOGIQUES
IV – ACCOMPAGNEMENT PÉRIODIQUE ET RÉVISION CBC V – CONSTELLATION D'ACTIONS
VI – LA CARTE DES MUTATIONS MÉTROPOLITAINES
COMMUNES – C ARNE T MUSSONVILLE / BÈGLES
• CARTOGRAPHIE ET LOCALISATION DU PÉRIMÈTRE
• CONTEXTE DU PÉRIMÈTRE D'ÉTUDE
• BAOBAB – INDICE POTENTIEL DE NATURE I – EXPLORATION ÉLUS, TECHNICIENS, COMMUNES, CUB
1. PRÉPARATION DES EXPLORATIONS ET PRISE DE CONNAISSANCE DES DOCUMENTS 2. SETS DE TABLE
3. PLANCHES BOTANIQUES ET DONNÉES NATURALISTES 4. FICHES RECONNAISSANCE DE TERRAIN COMPLÉTÉES II – EXPLORATION USAGERS
1. INTERVIEW 2. SESSION TRIPORTEUR
3. SYNTHÈSE DES FICHES COMPLÉTÉES III – CARTE DU BIEN COMMUN IV – FICHES D'OBJECTIFS
V – CALENDRIER ET FICHES D'ACTIVATIONS VI – INDICE POTENTIEL DE NATURE
SOMMAIRE GÉNÉRAL
COMMUNES – CARNET EMBOUCHURE DE L'EAU BLANCHE / VILLENAVE D’ORNON
• CARTOGRAPHIE ET LOCALISATION DU PÉRIMÈTRE
• CONTEXTE DU PÉRIMÈTRE D'ÉTUDE
• BAOBAB – INDICE POTENTIEL DE NATURE I – EXPLORATION ÉLUS, TECHNICIENS, COMMUNES, CUB
1. PRÉPARATION DES EXPLORATIONS ET PRISE DE CONNAISSANCE DES DOCUMENTS 2. SETS DE TABLE
3. PLANCHES BOTANIQUES ET DONNÉES NATURALISTES 4. FICHES RECONNAISSANCE DE TERRAIN COMPLÉTÉES II – EXPLORATION USAGERS
1. INTERVIEW 2. SESSION TRIPORTEUR
3. SYNTHÈSE DES FICHES COMPLÉTÉES III – CARTE DU BIEN COMMUN IV – FICHES D'OBJECTIFS
V – CALENDRIER ET FICHES D'ACTIVATIONS VI – INDICE POTENTIEL DE NATURE
COMMUNES – C ARNE T L’ESPAGNOL / GRADIGNAN
• CARTOGRAPHIE ET LOCALISATION DU PÉRIMÈTRE
• BAOBAB – INDICE POTENTIEL DE NATURE I – EXPLORATION ÉLUS, TECHNICIENS, COMMUNES, CUB
1. PRÉPARATION DES EXPLORATIONS ET PRISE DE CONNAISSANCE DES DOCUMENTS 2. SETS DE TABLE
3. PLANCHES BOTANIQUES ET DONNÉES NATURALISTES II – EXPLORATION USAGERS
III – INDICE POTENTIEL DE NATURE
COMMUNES – C ARNE T ROLLAND - GARROS / MÉRIGNAC
• CARTOGRAPHIE ET LOCALISATION DU PÉRIMÈTRE
• BAOBAB – INDICE POTENTIEL DE NATURE I – EXPLORATION ÉLUS, TECHNICIENS, COMMUNES, CUB
1. PRÉPARATION DES EXPLORATIONS ET PRISE DE CONNAISSANCE DES DOCUMENTS 2. SETS DE TABLE
3. PLANCHES BOTANIQUES ET DONNÉES NATURALISTES II – EXPLORATION USAGERS
III – INDICE POTENTIEL DE NATURE
COMMUNES – C ARNE T COURTILLAS -BROSSARD / PESSAC
• CARTOGRAPHIE ET LOCALISATION DU PÉRIMÈTRE
• BAOBAB – INDICE POTENTIEL DE NATURE I – EXPLORATION ÉLUS, TECHNICIENS, COMMUNES, CUB
1. PRÉPARATION DES EXPLORATIONS ET PRISE DE CONNAISSANCE DES DOCUMENTS 2. SETS DE TABLE
3. PLANCHES BOTANIQUES ET DONNÉES NATURALISTES II – EXPLORATION USAGERS
III – INDICE POTENTIEL DE NATURE
06 09 13 – 27 14 16 24 29 – 33 35 – 45
06
09
13 – 31
14
16
28
33 – 43
45 – 51
06
09
13 – 19
14
16
18
21 – 29
31 – 39
06
08
11
15 – 29
16
20
22
28
33 – 49
34
42
48
51 – 53
55 – 57
59 – 61
63 – 69
COMMUNES – C ARNE T RAVEZIES -LA VACHE / BRUGES -LE BOUSC AT
• CARTOGRAPHIE ET LOCALISATION DU PÉRIMÈTRE
• CONTEXTE DU PÉRIMÈTRE D'ÉTUDE
• BAOBAB – INDICE POTENTIEL DE NATURE I – EXPLORATION ÉLUS, TECHNICIENS, COMMUNES, CUB
1. PRÉPARATION DES EXPLORATIONS ET PRISE DE CONNAISSANCE DES DOCUMENTS 2. SETS DE TABLE
3. PLANCHES BOTANIQUES ET DONNÉES NATURALISTES 4. FICHES RECONNAISSANCE DE TERRAIN COMPLÉTÉES II – EXPLORATION USAGERS
1. INTERVIEW 2. SESSION TRIPORTEUR
3. SYNTHÈSE DES FICHES COMPLÉTÉES III – CARTE DU BIEN COMMUN IV – FICHES D'OBJECTIFS
V – CALENDRIER ET FICHES D'ACTIVATIONS VI – INDICE POTENTIEL DE NATURE
COMMUNES – C ARNE T GRAND -C AILLOU / E YSINES
• CARTOGRAPHIE ET LOCALISATION DU PÉRIMÈTRE
• CONTEXTE DU PÉRIMÈTRE D'ÉTUDE
• BAOBAB – INDICE POTENTIEL DE NATURE I – EXPLORATION ÉLUS, TECHNICIENS, COMMUNES, CUB
1. PRÉPARATION DES EXPLORATIONS ET PRISE DE CONNAISSANCE DES DOCUMENTS 2. SETS DE TABLE
3. PLANCHES BOTANIQUES ET DONNÉES NATURALISTES 4. FICHES RECONNAISSANCE DE TERRAIN COMPLÉTÉES II – EXPLORATION USAGERS
1. INTERVIEW 2. SESSION TRIPORTEUR
3. SYNTHÈSE DES FICHES COMPLÉTÉES III – CARTE DU BIEN COMMUN IV – FICHES D'OBJECTIFS
V – CALENDRIER ET FICHES D'ACTIVATIONS VI – INDICE POTENTIEL DE NATURE
C ARNE T SI BAOBAB M'ÉTAIT CONTÉ
• LES PROFILS
• STRATÉGIE D'ACTIVATION DU RÉSEAU NATURE
C ARNE T PROLONGEMENT
• FICHES ACTIONS
06 08 11 15 – 31 16 18 24 28 33 – 49 34 41 48 51 – 53 55 – 63 65 – 67 69 – 75
06 08 11 15 – 25 16 18 20 22 27 – 35 28 30 34 37 – 39 41 – 43 45 – 47 49 – 55
06 – 56
57
06 LA PRÉSÉANCE DU VIV ANT À L 'OUVRA GE | JUIN 2 01 4
Jalle de Blanquefort
CARTOGRAPHIE ET LOCALISATION DU PÉRIMÈTRE D'ÉTUDE
PÉRIMÈTRE
D'ÉTUDE
07 GRAND -C AILL OU E YSINES
Hippodrome du Bouscat Parc intercommunal
des Jalles
08 LA PRÉSÉANCE DU VIV ANT À L 'OUVRA GE | JUIN 2 01 4
CONTEXTE DU PÉRIMÈTRE D'ÉTUDE
Périmètre d'étude Tracé de la ligne D
du tramway
09 GRAND -C AILL OU E YSINES
Rocade Quartier
de l'Hippodrome
10 LA PRÉSÉANCE DU VIV ANT À L 'OUVRA GE | JUIN 2 01 4
11 GRAND -C AILL OU E YSINES
Pour que « la Nature » préserve et/ou retrouve sa place sur l’ensemble du territoire de la CUB il faut imaginer des processus de projet au cours desquels elle soit, pour toutes les situations, tous les programmes, toutes les échelles, pour les projets envisagés, pour toutes les situations considérées comme stables où elle pourrait les provoquer, permet- tant une politique territoriale spécifique.
Pour ce faire il faut déjà connaître l’état du territoire de la CUB au regard de la place qu’y occupe « la Nature », imaginer un indi- cateur, un indice, qui pourrait être l’Indice Biotopique Métropolitain de la CUB (IBM3).
Cet indice n’est intéressant que s’il va au- delà du diagnostic pour devenir un moteur de transformation positive du territoire ; indice « initial » qualifie une situation à un instant t, indice « cible » lui donne un objectif à atteindre au regard des enjeux et des poten- tiels qu’elle porte à l’échelle du territoire de
la CUB ; IBM3 « indice 1 » (puis indice 2, 3, 4 …) peut être mesuré au bout d’un certain temps ou au terme d’un projet transformant la situa- tion initiale.
Il faut accompagner la mise en place de ce(s) dispositif(s), donc définir les moyens d’incitation, de partenariat ou de coerci- tion qui garantiront sa bonne application ; il faut donc construire une boîte à outils dans laquelle piocher selon les circonstances, qui doit contenir aussi bien des outils d’accom- pagnement que des outils de projet, des outils de communication comme des outils d’action, des outils d’incitation comme de contrôle ou de coercition ; ce pourrait être la Boîte À Outil Biotopique de l’Agglomération Bordelaise (BAOBAB).
BAOBAB – INDICE DE POTENTIEL NATURE
APPROCHE MÉTHODOLOGIQUE
12 LA PRÉSÉANCE DU VIV ANT À L 'OUVRA GE | JUIN 2 01 4
RESSOURCES
Qui regroupe les outils de connaissance du territoire et leur gestion/ communication
• Connaissance du territoire
occupation du sol, TVB (Trame Verte et Bleue), Atlas de biodiversité Communale
« ABC », outil de veille projets / foncier …
• Annuaires
des producteurs locaux, des associations locales, des « jar- diniers »volontaires, de « paysa- gistes/ingénieurs conseils en biodiversité » potentiels …
• Guides
d’aménagement et de gestion :
« guide du jardin écologique »,
« petit guide des jardiniers »,
« guide de l’agriculture urbaine » …
d’installation et de bon usage :
« installer une ruche sur mon toit », « accueillir les oiseaux »,
« vivre avec les insectes (les reptiles, les chiroptères…)
• Chartes
LABEL CUB produits agri- coles et artisanat, « mon pied de façade planté », « ma zone humide » …
• Expositions
Exposition-type, prête à fabri- quer, thématique itinérante …
• Ressources humaines
chefs de projet nature, ambas- sadeurs de la biodiversité …
LEVIER D’ACTION
Qui comprend les dispositifs et les compétences pour accompagner l’évolution du territoire
• Convaincre
équipe d’« ambassadeurs de la biodiversité » : réseaux privés CLSH, écoles, réunions, ate- liers, apéritifs, distributions de graines, jardin pédagogiques dans les cours …
• Inciter
« conseils en biodiversité » en mission sur terrain, iden- tifier des situations de projet
« exemplaires », accompagner leur réalisation, communiquer sur la base de ces exemples, instaurer un « CERFA bio- diversité » informatif dans le cadre des autorisations administratives …
• Négocier
démarcher, faire connaître les outils d’accompagnement possible et les risques de non-respect des engagements, mettre en relation d’éventuels partenaires, envisager le cas échéant des partenariats …
• Imposer
rendre opposable le « cerfa
biodiversité », construire une fiscalité adaptée …
• Financer
des campagnes de petits équipements, des panneaux de sensibilisation, des réserves foncières …
PROJET
qui illustre la manière dont le territoire peut être aménagé
• Situations génériques
interventions systématiques possibles : les giratoires, les rencontres « corridor éco- logique »/espace public, les périmètres d’équipements, les grandes emprises de sta- tionnement, les bassins d’eau pluviale, les plans forestiers, les cours d’école …
• Bâtiments-type
suggestions d’évolutions : les parcelles maraîchères, les entrepôts et volumes commerciaux, les immeubles de logement, les pavillons individuels …
• Projets « clef en main »
parcours, exposition, trottoirs plantés, bosquet isolé, petite
« zone humide », potager de poche, forêts comestibles …
• Détails-type
les eaux de pluie (récupérer, stocker & réutiliser), les 5 façades des bâtiments : toitures & façades plantées, les surfaces : rendre per- méables les surfaces imper- méables, les clôtures : lieu de vie et de passage, faune et flore, les équipements particuliers : installer une ruche, un hôtel à insectes, un nichoir à oiseaux, une mangeoire, un abreuvoir …
BAOBAB
Dans les outils qu’elle comprend, certains existent et sont actifs, certains ont besoin d’être activés ou actualisés ; certains seront possibles rapidement, d’autres nécessiteront plus de temps ou d’investissements ; certains sont indispensables les uns aux autres et détermineront un ordre de priorité, d’autres sont autonomes… BAOBAB devra déjà être composée avec ce qui existe puis complétée.
Nous proposons 3 grands « tiroirs » dans BAOBAB :
13 GRAND -C AILL OU E YSINES
Indice (initial, indice 1, indice no … il s’agit de temporalités) est un constat calcu- lable, sur la base de données vérifiables et doit donc être établi à l’échelle d’une unité d’in- tervention possible ; nous proposons l’unité foncière.
Une unité foncière est un îlot de pro- priété d'un seul tenant, composé d'une parcelle ou d'un ensemble de parcelles appartenant à un même propriétaire ou à la même indivision.
Indice cible est un objectif à atteindre, il ne peut pas être établi à la même échelle où
il imposerait l’injonction et tous les moyens nécessaires ; il ne peut pas non plus être sim- plement fixé pour la globalité du territoire ce qui supposerait que toutes les situations rencontrées atteignent le même (ville dense comme tissu pavillonnaire lâche, infrastruc- tures de transport comme espaces agricoles ou forestiers) ; il ne peut être défini que pour un « quartier » ; nous proposons que ce « quar- tier » s’appuie sur le zonage PLU, avec une valeur cible par zone qui doit être atteinte en moyenne sur une même zone contigüe, l’ensemble du territoire devant atteindre en moyenne la cible arrêtée pour la CUB dans son ensemble.
INDICE DE POTENTIEL NATURE
très bon bon correct faible mauvais critique
objectif global
100 60 20 -20 -60 -100
15 GRAND -C AILL OU E YSINES
ÉLUS, TECHNICIENS,
COMMUNES, CUB
16 LA PRÉSÉANCE DU VIV ANT À L 'OUVRA GE | JUIN 2 01 4
Le PLU communautaire montre que les parcelles incluent dans le périmètre d'étude sont considérées comme à urbaniser (Au).
Ligne D du tramway
Îlot 50 000 logements Le Bouscat libération centre ville
Projet de gestion différenciée de l’hippodrome Boucle verte
de la CUB
Périmètre d'étude
1. PRÉPARATION DES EXPLORATIONS
ET PRISE DE CONNAISSANCE DES DOCUMENTS
17 GRAND -C AILL OU E YSINES QUARTIER ISOLÉ / TRAMWAY / RÉHABILITATION
Le quartier du Grand-Caillou constitue une des polarités d’Eysines avec une offre diversifiée et qualitative de services et équi- pements (groupes scolaires, crèche, maison de quartier, salle de spectacle, MDSI ...) et de commerces de proximité. Il bénéficie d’une bonne desserte en transports en commun qui sera optimisée avec l’arrivée du tramway et la future station place du Rouaillou. Ce nouvel équipement va modifier l’insertion du quar- tier dans la ville et dans l’agglomération et introduire de nouveaux usages. Construit à la lisière de l’espace bâti communal, à proxi- mité de l’avenue du Médoc, le Grand-Caillou et les Hauts de l’Hippodrome sont enclavés dans la ville pavillonnaire venue s’agglomé- rer autour. Cette disparité est d’autant plus accentuée que l’architecture et la compo- sition urbaine du Grand-Caillou s’organise autour d’une tour de douze étages, bâtiment culminant de la commune et d’un mail cen- tral. En matière d’habitat le parc de logement est exclusivement de type collectif et essen- tiellement (97,5 %) de statut locatif social.
Le quartier est constitué de deux résidences d’habitat social gérées par Domofrance. D’un point de vue social, un certain nombre de données socio-économiques différencient ce territoire des autres quartiers de la commune et révèle une réelle précarité :
• Un taux de chômage plus élevé que la moyenne régionale et locale environ 25 % contre 9 % sur la commune d’Eysines.
• Un accroissement du nombre de travailleurs pauvres.
• Un nombre de familles monoparentales plus important que la moyenne avec des situations socio-économiques souvent précaires : près de 30 % contre 17 % sur la commune.
• Une augmentation du nombre de personnes isolées.
Cette situation a conduit la ville à construire en partenariat avec la CUB et le bailleur social Domofrance un projet urbain
« politique de la ville » qui vise d’une part à réhabiliter la Résidence Grand-Caillou et d’autre part à favoriser l’intégration urbaine, redynamiser la vie du quartier et l’offre de services et d’équipements aux habitants.
18 LA PRÉSÉANCE DU VIV ANT À L 'OUVRA GE | JUIN 2 01 4
Vue de la tour - QG des jeunes
Barre 13
Barre 12
Marcher ensemble en échangeant des idées est depuis l’Antiquité une circonstance favorable à l’émergence d’une expérience partagée. Ce diagnostic en marchant est un moment très riche de découverte ou de re-découverte du territoire, où chaque expert et habitant peut partager ses connaissances et son expérience. La conduite de ces explorations, l’écoute, la relance opportune, permettent à chacun d’exprimer sa compréhension, ses craintes et ses espoirs.
Ce matériel humain, à la fois scientifique, technique et émotionnel est pour nous au coeur de la lecture des paysages.
Les « sets de table » sont les supports à la collecte de l'information en temps réel lors de l'exploration.
2. LES SETS DE TABLE
19 GRAND -C AILL OU E YSINES
Le parking du Spar, aujourd'hui réduit
Travaux du parking devant le Spar - Suppresion des bancs et des arbres
20 LA PRÉSÉANCE DU VIV ANT À L 'OUVRA GE | JUIN 2 01 4
3. LES PLANCHES BOTANIQUES
Un relevé floristique sommaire des végé- taux caractéristiques des milieux / sites dési- gnés a été effectué lors des ateliers de site. Il nous donne des indications quant à la nature
des sols (composition physique et chimique), s’il est sec ou humide, à tendance acide ou calcaire.
Eysines Menthe à feuilles rondes Mentha rotundifolia - Lamiacées
09 sept. 2013
Mauve sylvestre Eysines
Malva sylvestris - Malvacées 09 sept. 2013
Liseron des champs Eysines
Convolvulus arvensis - Convolvulacées 09 sept. 2013
Séneçon du Cap
Eysines
Senecio inaquidens - Astéracées 09 sept. 2013 Folle avoine Eysines Avena fatua - Poacées
09 sept. 2013
Vesce commune Eysines
Vicia sativ a - Fabacées
09 sept . 2013
21 GRAND -C AILL OU E YSINES
DONNÉES NATURALISTE
Le site du Grand-Caillou d’Eysines est pro- bablement celui qui possède la palette végé- tale la plus ornementale. Quartier des années 1960, les végétaux plantés datent de la même période et entretiennent une vision dépassée
des aménagements paysagers. Arbres d’ali- gnement, vivaces datées sont autant d’élé- ments floristiques qui nécessiteraient d’être modernisés.
Noisetier – Corylus avellana Platane – Platanus x acerifolia
Cotoneaster – Cotoneaster lacteus Murier platane – Morus kagayamae
Érable à feuille de Frêne – Acer negundo Forsythia – Forsythia x
Fusain du japon – Euonymus japonicus Arbre à perruque –Cotinus coggygria
22 LA PRÉSÉANCE DU VIV ANT À L 'OUVRA GE | JUIN 2 01 4
4. LES FICHES DE RECONNAISSANCE DE TERRAIN COMPLÉTÉES
Les critères de lecture que nous avons élaborés comme hypothèse de lecture du territoire nous ont semblé pertinents pour construire l’outil d’évaluation des qualités biotopiques IBM.
Testée en version 1 lors des seconds ateliers de site, elle est l’objet d’un travail d’affinage, test auprès de différents profils. Nous maintenons la direction de travail d’une unique fiche pour tous les publics, qui demande un travail considérable à la fois de vulgarisation et de pertinence scientifique et technique.
Nous sommes à la version 7, et malgré le défi que cela représente, il nous semble fonda- mental que tout citoyen puisse être accompagné à déceler et évaluer ces qualités du territoire.
La fiche d’évaluation de terrain est donc pluriel, destiné à être compilée et synthétisée, mais en maintenant accessible chaque évaluation individuelle pour en mesurer les amplitudes et discordances.
Version 1 des fiches.
Version 5 des fiches.
23 GRAND -C AILL OU E YSINES
Version 7 des fiches.
24 LA PRÉSÉANCE DU VIV ANT À L 'OUVRA GE | JUIN 2 01 4
La fiche intitulée « reconnaissance de terrain » est un document qui a l’ambition de dresser un état des lieux sensible et émo- tionnel d’un lieu défini, sur le terrain ou par le biais d’un document (carte ou image aérienne par exemple). C’est le recueil d’un ressenti, d’une interprétation personnelle de la per- ception que l’on peut avoir d’un lieu sur un instant donné et sur la base de cinq critères que sont la diversité, la fertilité, les usages, le contexte et la gestion.
Ce document permettra d’atteindre un niveau de connaissance des territoires qui se situe quelque part entre la réalité objective d’une situation, d’un état des lieux parfois quantifiable mais jamais exhaustif, et la part plus subjective du regard sur les paysages qui appartient à chacun. Cet outil doit permettre de faire avancer et de mettre au premier plan la réflexion et la préservation du vivant par l’intermédiaire des acteurs de ces lieux qui y sont attachés, liés de près ou de loin.
C’est avant tout un outil d’aide à la compré- hension qui est issu du regard de différents acteurs, recueils instantanés d’une pensée sur leur territoire. Il n’y a pas de réponse juste ou fausse, et il n’est encourue aucune sanc- tion si l’on ne saurait remplir l’intégralité de ce document ... C’est plus sérieusement l’occasion de se pencher sur son territoire au travers d’un filtre interprétable et utili- sable concrètement par la suite et donc de participer aux transformations durables de nos paysages.
COMMENT REMPLIR LA FICHE DE RECONNAISSANCE DE TERRAIN
Le premier encart regroupe les informa- tions sur la personne (qui rempli la fiche ?) mais aussi le lieu renseigné ainsi que les conditions dans lesquelles la fiche a été réa- lisée : où ? (sur le terrain, en salle...), avec quel type de support ? (carte IGN, photographie aérienne...).
« Lecture du paysage/dominance du lieu » : en suivant, c’est une lecture des grandes tendances paysagères du lieu ques- tionné que l’on peut apprécier selon 8 thèmes (« urbaine dense », « périurbaine », « agri- cole... »). Ces critères permettent de dessiner un contexte général selon des pourcentages sans pour autant chercher à atteindre une valeur de 100 %, on peut ainsi être en-dessous mais également au dessus de cette valeur absolue car elle n’est pas l’objectif recherché ici. C’est une tendance, une vue de l’esprit.
CONTEXTE Dans ce thème, c’est de dessiner une carte schématique dont il est question, l’objectif est de griffonner puis légender par de grandes masses ou « patates » les dominantes perçues. La fiche indique dans un cercle les distances et l’orientation à suivre mais il n’y a pas de règles imposées, les formes peuvent se superposer, sortir du péri- mètre du cercle... Libre cours à votre propre représentation du paysage.
FERTILITÉ Le cercle « d’occupation des sols » là aussi en pourcentage, doit être rempli selon les 16 critères établis (« espaces boisés »,
« bâtiments »...). Le schéma se dessine en mar- quant un point de pourcentage sur chacun des 16 rayons du cercle chacun consacré à un type d’occupation des sols, puis de relier ces point pour arriver à une forme fermée, incluse dans ce cercle. En parallèle de ce cro- quis d’interprétation, il est possible de préci- ser la Nature du sol, son imperméabilisation et sa gestion vis à vis des eaux pluviales ainsi que de relever ses éventuelles pollutions. En un coup d’oeil, ce diagramme nous permet d’apprécier l’occupation principale d’un sol.
DIVERSITÉ Il s’agit dans ce critère de définir dans un premier temps les strates de végétation selon un pourcentage qui, là encore, ne cherche pas à atteindre une valeur
FICHE DE RECONNAISSANCE DE TERRAIN – MÉTHODOLOGIE
25 GRAND -C AILL OU E YSINES
absolue mais bien à définir les dominances perçues. Il s’en suit une série de logos pour lesquels il faut estimer le nombre d’espèces (animales puis insectes) aperçues sur le site, en ajoutant si nécessaire des cas particuliers d’espèces caractéristiques détectées.
USAGES Là encore, une série de logos doivent permettre de comprendre quels sont les usages que l’on peut retrouver sur le site.
Il suffit de cocher ou non les différentes cases pour indiquer si l’usage existe et d’en dessi- ner d’autres si l’usage en question n’est pas représenté.
GESTION Cette dernière partie ren- seigne surtout ce qui est de l’ordre de la ges- tion des milieux par les organismes qui en ont la charge, en pourcentage de surface dans la manière de la conduire, mais également sa nature ou encore sa fréquence.
27 GRAND -C AILL OU E YSINES
28 LA PRÉSÉANCE DU VIV ANT À L 'OUVRA GE | JUIN 2 01 4
QUELS USAGES POUR CES GRANDS ESPACES OUVERTS ?
Le quartier du Grand-Caillou est riche d’une grande surface d’espaces libres. Mais lesquels d’entre eux ont une réelle valeur aux yeux des habitants ? D’après nos interlocu- teurs, c’est l’espace entre les deux tours qui est le plus côtoyé.
Notre première interlocutrice est la gérante du bureau de taxi, locataire d’une local situé au rez-de-chaussée d’un des barres.
« Les enfants et adolescents jouent au foot ici (...) ça embête ceux qui ont des voitures garées à côté, surtout ceux qui en ont une neuve. Mais c’est je crois l’endroit le plus convivial, les parents laissent leurs enfants jouer seuls, ils savent que tout le monde peut les surveiller depuis les balcons. »
Les balcons sont les coursives. Lieu com- mun véritablement investi et partagé à la belle saison. Une grande partie de la surface libre est destinée à l’usage de la voiture (par- king, voiries de dessert). Parkings qui, un jeudi après-midi s’avèrent être presque remplis.
Le soir et le week-end ils sont saturés et le sta- tionnement sauvage est inévitable.
Le bus dessert mal le site depuis la refonte du schéma de déplacement (en attendant l’arrivée du tramway) ce qui n’aide pas à endi- guer ce phénomène.
D’après notre interlocutrice, installée dans ce bureau depuis 1979, l’espace com- mun n’a pas beaucoup évolué, si ce n’est que de nouveaux parkings ont été construits.
Elle n’est pas la seule à travailler ici, tout les locaux en rez-de-chaussée de cette barre sont utilisés par des entreprises. Elle nous confie avec regret : « Domofrance veut que je parte, ils veulent faire des studios à la place de nos bureaux. »
Nous nous adressons ensuite aux comp- tables du bureau voisin hygiène service .
« Les jeunes chahutent en buvant des bières devant le bureau, ils laissent traîner les canettes, mais on s’est pas laissées faire, on le leur a dit, et ça va mieux. Ils ne nous font pas peur, ils sont plutôt gentils avec nous. Ils ne trouvent pas de travail c’est tout. »
Elles nous confient aussi :
« Avant, des employés de Domofrance venaient tous les matins vider les
poubelles, ramasser les déchets, s’occuper des plantes. Maintenant c’est plus aussi régulier, les poubelles débordent, il y a des déchets partout »
Et pour déjeuner, où allez vous ?
« On reste dans notre bureau, où on va derrière le vigean. Il y a souvent des gens qui pique-niquent là-bas. C’est beaucoup plus agréable qu’ici, entre les poubelles et les voitures. »
Notre dernière interlocutrice est une habitante :
« J’ai soixante ans, j’habite au troisième, j’ai mon chariot mais ca me prend du temps pour arriver à monter mes courses.
Certaines fois des jeunes m’aident mais la plupart du temps ils ne traînent pas par ici, ici c’est que des T4, les familles nombreuses habitent les T5, à l’autre bout de la barre. Mes voisins, sont tous plus ou moins âgés. Je n’oserai pas demander de l’aide, je ne veux pas embêter. »
Nous rencontrons des personnes âgées en perte d’autonomie et entendons parler des jeunes qui ne trouvant pas de travail, ont du temps libres. Mais ils se croisent peu ...
Et vous voyez souvent des enfants jouer par ici ? Où jouent-ils ?
« Quand il ont trois ans, il ont trois chevaux là (elle nous montre le square) mais quand ils en ont dix, ils n’ont plus rien. »
Comment sont perçues les espaces ouverts selon vous ? Les espaces communs ?
« Les gens ici, à partir du moment où ils mettent un pied en dehors de leur appartement, ce n’est plus chez eux.
Alors ils jettent les pots de fleurs, pas seulement les plantes, les pots aussi, les couches usagées. »
Et vous vous sentez chez vous ici (nous discutons au pied d’un escalier d’une des barres) ?
« Ici oui, là-bas (dit-elle en désignant le gazon au pied des platanes, 7 m plus loin) non. L’herbe ici sert aux animaux, et à leurs besoins, pas aux enfants »
1. INTERVIEWS
29 GRAND -C AILL OU E YSINES
Faisons le point :
• La voiture occupe une place importante et grandissante sur l’espace ouvert, peu investi par les habitants ;
• Les conteneurs y sont nombreux et lui ôtent son charme ;
• Les habitants partagent les coursives mais peu l’espace ouvert ;
• La présence d’une voirie de desserte
dans l’espace central est regrettée par beaucoup d’habitant ;
• La quantité de place de parking semble être nécessaire, voire insuffisante ;
• L’espace commun est sale, peu investi, de moins en moins entretenu. Les habitants ne se l’approprient peu ;• Le terrain de foot, terrain ou l’on trouve
le plus de déchets, et aussi le lieu le moins utilisés par les habitants.
30 LA PRÉSÉANCE DU VIV ANT À L 'OUVRA GE | JUIN 2 01 4
2. SESSION TRIPORTEUR
Carte dans le territoire, cette carte est une production collective in situ accompagnée par le collectif grâce au Peloton d’Investiga- tion Informelle du Territoire, le PIIT. Elle est une représentation dynamique du territoire, co-construite dans le dialogue avec les jardi- niers du territoire : habitants, gestionnaires, aménageurs, agriculteurs, sportifs ; et tous les usagers du territoire.
En pratique, une série de missions en pelo- ton cycliste marque des étapes pour recueillir les récits, dessins, et autres témoignages de la connaissance des jardiniers du territoire et ses habitants.
À l’aide d’éléments graphiques mobiles (photographies, dessins, Post-it ...), une repré- sentation du territoire composite est élaborée.
Cette oeuvre collective est une représentation partagée du territoire, et contient des évalua- tions, des opinions, des intentions, et des sou- haits. Coloco accompagne son élaboration et se responsabilise de sa mise en forme.
CARTE COMMUN
LA DU BIEN
Activation des potentialités du territoire
L E 2 8 M A I 2 0 1 4 1 0
h0 0 – 2 1
h0 0
EXPLORATION DU TERRITOIRE DU GRAND CAILLOU À EYSINES
Équipe | COLOCO / ADH
Comité éditorial | Gilles Clément, Agnès Berland-Berthon, Pablo Georgieff, Stéphane Hirschberger, Gaëlle Tilmant-Barthe Groupement | Coloco, ADH, Biotope, A&C, Proteis, Antéa — Coordination | Romain Quesada et Mahaut Clément
« L A P R É S É A N C E D U V I VA N T »
P O U R L A P R I S E E N C O M P T E DE L A N AT U R E D A N S N O T R E C A DR E DE V I E
ÉCHANGES AVEC LES HABITANTS RENDEZ-VOUS À 10h00
AU CENTRE SOCIAL – L’EYCHO –
Flyer d'invitation à se retrouver dans le quartier du Grand-Caillou pour une exploration
31 GRAND -C AILL OU E YSINES
32 LA PRÉSÉANCE DU VIV ANT À L 'OUVRA GE | JUIN 2 01 4
33 GRAND -C AILL OU E YSINES
34 LA PRÉSÉANCE DU VIV ANT À L 'OUVRA GE | JUIN 2 01 4
3. SYNTHÈSE DES FICHES COMPLÉTÉES
LECTURE DU PAYSAGE / DOMINANCE DU LIEUPrécisez le pourcentage de chaque Superficie approximative d’application
Urbaine dense Centre ville, bourgs ...
Parcs et jardins Espaces de Nature, prairie ...
Agricole
Champs cultivés, pâturages...
Routière / ferroviaire
Rocade, parking, voirie ... Périurbain
Lotissements, habitats diffus, grands ensembles, collectifs ...
Friches / délaissés À préciser D’activités commerciales
Zones artisanales, industrielles ... Forestière Bois, sous-bois ...
FICHE DE RECONNAISSANCE DE TERRAIN
Propriétaire(s) N° parcelle cadastrale
Sur le terrain En salle Conditions de remplissages
Nom de l’évaluateur Fonction de l’évaluateur
Date
Commune Nom du lieu
Supports de documentation [Photo aérienne, carte IGN ...]
critère renseigné à 66 %,
en majorité par des personnes formées
FERTILITÉ
Imperméabilisation du sol
Argileuse Riche
Sableuse Pauvre
Nature du sol Occupation du sol
En % de la surface de l’échantillon
Par infiltration dans le sol Dans le réseau
Gestion des eaux pluviales
Remarques Friches agricoles
Gravats, sable Cheminements, remblais, déblais, stockage ...
Pâturages
Chevaux, bovins, volailles, ovins ...
Cultures Champs cultivés, sylviculture, viticulture ...
Prairies (non agricoles) Jardins privés
Espaces boisés Forêts, bois, sous-bois
Jardins partagés Bâtiments
Habitations, agricoles, publics ...
Système hydrographique Mares, étangs, ruisseaux ...
Délaissés Friches industrielles, ferroviaires ...
Asphalte, béton Parking, voirie, dalle ...
Réseau hydraulique Bassins d’étalement, fossés de drainage ...
Parcs et jardins publics
Zones humides
Autres (zone polluée, à préciser)
80%
20%
40%
60% %
%
%
Pollutions constatées (à préciser laquelle) Pollution éventuelle du sol
12
2 8 25
52
50% 50%
0 0
0
critère renseigné à 91% , toute catégorie
non renseigné non renseigné
critère renseigné à 100%
critère renseigné à 8%, par une personne formée
critère renseigné à 33%, principalement par des gens formés
55
60
critère renseigné à 16%, 40
uniquement par des gens formés
non renseigné
critère renseigné à 8%, par une personne formée critère renseigné à 75 %, toutes catégories
Domofrance entretien général mensuel
critère renseigné à 91% , toutes catégories Eysines
Paysagistes Coloco
Grand Caillou
Photo aérienne, fiches de reconnaissance de terrain...
Juin 2014
Périmètre d'étude
Rocade
Quartier de l'Hippodrome Tracé de la ligne D
du tramway
Comestibles (à préciser) Bio-indicatrices (à préciser)
Strate des arbres
Strate des herbes Strate des arbustes
Strate des mousses et des lichens
Ordinaires (à préciser) « Invasives » (à préciser)
Espèces caractéristiques du milieu observé (végétales, animales, insectes, champignons ...) En % observés
DIVERSITÉ
Les différentes strates de végétation Les principaux animaux
En nombres observés Les principaux insectes Autres
En nombres observés
16 45 12 24
USAGES
Précisez s’il est signalé qu’un usage a un impact négatif sur le siteVille nourricière Sports Culturels Conflits
d’usages Communication,
formation,
pédagogie Sérénité
Mobilité Promenade
CONTEXTE
Carte mentaleRepérage des continuités, corridors écologiques et autres espaces de nature + voisinage / quartier.
GESTION
Fréquence de gestion
Budget alloué à la gestion Nom et fonction du gestionnaire Nature de la gestion
Classe de gestion en % de surface
1Gestion traditionnelle intense
Actuel 0 %
20 % 40 % 60 % 80 % 100 %
2 Gestion traditionnelle moyenne
Actuel 0 %
20 % 40 % 60 % 80 % 100 %
3Gestion traditionnelle faible
Actuel 0 %
20 % 40 % 60 % 80 % 100 %
4Gestion différenciée
Actuel 0 %
20 % 40 % 60 % 80 % 100 %
5Pas de gestion
Actuel 0 %
20 % 40 % 60 % 80 % 100 %
CUB Ville Services de l’État Bailleurs Associations Privés Autres
Organe de gestion Service Opérations principales
critère renseigné à 100 %
35 GRAND -C AILL OU E YSINES
LECTURE DU PAYSAGE / DOMINANCE DU LIEUPrécisez le pourcentage de chaque Superficie approximative d’application
Urbaine dense Centre ville, bourgs ...
Parcs et jardins Espaces de Nature, prairie ...
Agricole
Champs cultivés, pâturages...
Routière / ferroviaire
Rocade, parking, voirie ... Périurbain
Lotissements, habitats diffus, grands ensembles, collectifs ...
Friches / délaissés À préciser D’activités commerciales
Zones artisanales, industrielles ... Forestière Bois, sous-bois ...
FICHE DE RECONNAISSANCE DE TERRAIN
Propriétaire(s) N° parcelle cadastrale
Sur le terrain En salle Conditions de remplissages
Nom de l’évaluateur Fonction de l’évaluateur
Date
Commune Nom du lieu
Supports de documentation [Photo aérienne, carte IGN ...]
critère renseigné à 66 %,
en majorité par des personnes formées
FERTILITÉ
Imperméabilisation du sol
Argileuse Riche
Sableuse Pauvre
Nature du sol Occupation du sol
En % de la surface de l’échantillon
Par infiltration dans le sol Dans le réseau
Gestion des eaux pluviales
Remarques Friches agricoles
Gravats, sable Cheminements, remblais, déblais, stockage ...
Pâturages
Chevaux, bovins, volailles, ovins ...
Cultures Champs cultivés, sylviculture, viticulture ...
Prairies (non agricoles) Jardins privés
Espaces boisés Forêts, bois, sous-bois
Jardins partagés Bâtiments
Habitations, agricoles, publics ...
Système hydrographique Mares, étangs, ruisseaux ...
Délaissés Friches industrielles, ferroviaires ...
Asphalte, béton Parking, voirie, dalle ...
Réseau hydraulique Bassins d’étalement, fossés de drainage ...
Parcs et jardins publics
Zones humides
Autres (zone polluée, à préciser)
80%
20%
40%
60% %
%
%
Pollutions constatées (à préciser laquelle) Pollution éventuelle du sol
12
2 8 25
52
50% 50%
0 0
0
critère renseigné à 91% , toute catégorie
non renseigné non renseigné
critère renseigné à 100%
critère renseigné à 8%, par une personne formée
critère renseigné à 33%, principalement par des gens formés
55
60
critère renseigné à 16%, 40
uniquement par des gens formés
non renseigné
critère renseigné à 8%, par une personne formée critère renseigné à 75 %, toutes catégories
Domofrance entretien général mensuel
critère renseigné à 91% , toutes catégories Eysines
Paysagistes Coloco
Grand Caillou
Photo aérienne, fiches de reconnaissance de terrain...
Juin 2014
Périmètre d'étude
Rocade
Quartier de l'Hippodrome Tracé de la ligne D
du tramway
Comestibles (à préciser) Bio-indicatrices (à préciser)
Strate des arbres
Strate des herbes Strate des arbustes
Strate des mousses et des lichens
Ordinaires (à préciser) « Invasives » (à préciser)
Espèces caractéristiques du milieu observé (végétales, animales, insectes, champignons ...) En % observés
DIVERSITÉ
Les différentes strates de végétation Les principaux animaux
En nombres observés Les principaux insectes Autres
En nombres observés
16 45 12 24
USAGES
Précisez s’il est signalé qu’un usage a un impact négatif sur le siteVille nourricière Sports Culturels Conflits
d’usages Communication,
formation,
pédagogie Sérénité
Mobilité Promenade
CONTEXTE
Carte mentaleRepérage des continuités, corridors écologiques et autres espaces de nature + voisinage / quartier.
GESTION
Fréquence de gestion
Budget alloué à la gestion Nom et fonction du gestionnaire Nature de la gestion
Classe de gestion en % de surface
1Gestion traditionnelle intense
Actuel 0 %
20 % 40 % 60 % 80 % 100 %
2 Gestion traditionnelle moyenne
Actuel 0 %
20 % 40 % 60 % 80 % 100 %
3Gestion traditionnelle faible
Actuel 0 %
20 % 40 % 60 % 80 % 100 %
4Gestion différenciée
Actuel 0 %
20 % 40 % 60 % 80 % 100 %
5Pas de gestion
Actuel 0 %
20 % 40 % 60 % 80 % 100 %
CUB Ville Services de l’État Bailleurs Associations Privés Autres
Organe de gestion Service Opérations principales
critère renseigné à 100 %