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Trente-unième Année. — N° 23 P r i x du n u m é r o : 10 centime«

Mercredi 22 Mars 1916 Bureaux: R u e de la S e r r e , 58

OELOGERE

S U I S S E

ABONNEMENTS

Un an Six mois

Suisse . . . . Fr. 6.— Fr. 3.—

Union postale» 12.— > 6.—

Compte de Chèques postaux IV b 426

Paraissant ie MereredI et le Samedi à La Chani-dB-Fondï On s'abonne à tous les bureaux de poste

A N N 0 N 6 E S

suisses 20 ct., offres et demandes de places 10 et. la ligne, étrangères 25 centimes la ligne

Les annonces se paient d'avance

Organe de la Chambre-suisse de l'Horlogerie, des Chambres de commerce, des Bureaux de contrôle et des Syndicats professionnels Les Consulats suisses à l'étranger reçoivent le journal

Bureau des annonces : Soc. an. Suisse de publicité, Haasenstein & Vogler, 22, rue Leopold Robert, La Chaux-de-Fonds et succursales en Suisse et à l'étranger

On s'agite partout,

même chez les horlogers allemands

Affirmer qu'en Allemagne tout marche à la baguette.et que p e r s o n n e n'a le droit de dire ce qu'il pense, est considéré par beau- coup comme un axiome. P r é t e n d r e que d a n s , tout g r o u p e m e n t d'Allemagne, poli- tique, commercial, industriel ou autre, c'est un petit groupe qui c o m m a n d e et que la masse s'incline sans discuter, c'est ce que l'on e n t e n d dire par des personnes incomplètement informées sur les "choses de ce pays. ,

La vérité est qu'on discute et qu'on dis- pute m ê m e , tout comme chez nous et que l'accord parfait rie règne pas toujours entre p e r s o n n e s appartenant à la,même corpora- tion. U n . e x e m p l e frappant n o u s en est d o n n é en ce m o m e n t même.

D e p u i s , u n certain temps, la Uhrmacher- Woche, de Leipzig, publie de n o m b r e u s e s correspondances d'horlogers, sur la ques- tion suivante : « G o m m e n t un horloger peut-il de nouveau ajouter à son activité la Vente dès m o n t r e s et conserver l'exclu-

sivité du, rhabjllage?»

Le débat, q u e n o u s r é s u m o n s , fut pro- v o q u é par un horloger qui exposa le pro- b l è m e , d a n s les termes suivants :

Il y>a certainement peu d'horlogers qui pour- raient prétendre sérieusement qu'ils se trou- v e n t en .bonne situation, au point de vue com- mercial, c'est-à-dire que leur labeur, le temps qu'ils emploient, l'argent placé dans leur com- merce, soient récompensés dan.s de justes pro- portions, en regard des autres commerçants travaillant avec un capital égal.

Dans son apprentissage, l'horloger doit pos- séder un outillage qui représente déjà un petit capital qui, dans la plupart des cas, n'est pas remboursé à l'apprenti, tandis que dans d'au- tres métiers il reçoit déjà un salaire apprécia- ble. C'est évidemment là un motif de la pénu- rie des aides (G-ehilfenmangel).

Autrefois, un horloger indépendant faisait ses affaires sans grand capital engagé ; les con- ditions étaient modestes. Et aujourd'hui. La si- tuation actuelle., et déjà depuis 5 ans avant la gu.er.re, est déplprable, on peut le prouver par le fait que presque tous les horlogers doivent au,s§i vendre; des articles autres que des mon- tres. La montre.et pendule pouvaient être achetées autrefois exclusivement chez l'horlo- , ger. Le bénéfice était bon, les réparations

étaient d'un prix normal, en rapport aux con- ditions d'existence d'alors. La montre est de- venue un article de vente recherché par Pier- re et Jacques. Les fournisseurs-vendeurs de montres sont aujourd'hui: les Warenhäuser, les bazars, les magasins de vente par acomp- tes, les magasins de meubles, les colporteurs, les vendeurs d'occasion, les fabricants de pou- dre de savon, de café et de pommade. L'homme du métier par contre n'est bon que pour rha- biller cette marchandise. Il doit le faire pour exister. Alors l'atelier de rhabillage, le maga- sin, le stock? D'année en année, on attend avec optimisme des temps meilleurs. Mais il n ' i n - terviendra pas de changement sans autre ; nous- mêmes devons l'accomplir et aussi nos associa- tions doivent intervenir. D'abord les prix de réparations doivent être relevés, les associa- tions doivent élaborer des listes de prix, en- gager les horlogers sur parole d'honneur de s'en tenir aux prix fixés, faire une réclame col- lective, etc. etc. Le public doit savoir que le principal pour l'horloger est de vendre et que le rhabillage n'est en somme qu'un mal néces-

saire. M.

Aux doléances du c o r r e s p o n d a n t M. il fut r é p o n d u par l'opinion suivante, signée M. F . M. :

Chacun peut vendre des montres et des ar- ticles d'orfèvrerie, s'il satisfait en quelque sorte aux dispositions légales et, le principal, paye des impôts. Même si le propriétaire du magasin n'a pas appris, ou appris seulement par ouï-dire ou de visu le métier, mais possède l'argent nécessaire, il peut exercer le com- merce, en s'adjoignant des aides-employés ou en «sortant» les réparations à faire. Qui pour- rait donc entreprendre quelque chose contre lui ? Il est bien vrai qu'heureusement, ces dernières années, il s'est formé des corpora- tions obligatoires, pour lutter contre l'avilis- sement des prix, etc. Mais autant efficaces les résultats des décisions prises par les corpora- tions, autant efficaces sont restées les «germi- nations». Il n'a pas même été possible jus- q u ' à c e j o u r d'exterminer l'abus d'un cadeau lors d'une vente. Ce n'est pas la confiance en l'horloger qui a attiré le client, mais bien le soi-disant cadeau. Est-ce réjouissant et le pro- priétaire du magasin peut-il être fier d'avoir acquis un client ? Gela donne en tous cas l'ap- parence que nous gagnons encore assez d'ar- gent, aussi longtemps que nous pouvons don- ner des cadeaux.

Autrefois, l'horloger pouvait compter sur une clientèle fidèle. Aujourd'hui? Jusqu'à un certain point, dans des cas heureux, mais combien de clients sont pourvus par les Wa- renhäuser, ventes aux enchères, monts de piété, magasins privés, et enfin par les ambu-

lants, dans les cafés. Le Warenhaus a grand capital offre à tous libre visite des marchan- dises sans obligation d'achat, ce qui engage certainement à bien des achats. Chez nous, ce n'est pas du goût de tout le monde, d'entrer librement dans notre magasin et visiter la marchandise, sans être astreint à acheter. Le Warenhaus accepte aussi les réparations et les fait exécuter pour le client; ce dernier s'imagine être servi plus avantageusement, question prix et bienfacture. Mais qui n'exé- cuterait pas les rhabillages pour le compte du Warenhaus ? Si nous ne le faisons pas, il en- gagerait-des rhabilleurs. Pour empêcher l'en- gagement de rhabilleurs par les Warenhäuser, il n'y aurait que le moyen que les fabriques qui leur fournissent les montres neuves, ac- ceptent également de faire le rhabillage. Et alors, nos rhabilleurs seraient inutiles ! Ce qui est le cas pour les réparations, l'est aussi pour la vente des montres. Aussi longtemps que ces défauts subsistent, il sera très difficile d'obtenir ce que désir le correspondant M.

Groupez-vous étroitement, soyez unis et luttez contre chaque moyen déloyal ; mais avant tout abstenez-vous vous-mêmes d'en pratiquer.

Voici une deuxième o p i n i o n , signée K. S. :

Vieille question, également celle des remè- des proposés. Un seul ne peut rien entre- prendre et si beaucoup le veulent, l'ancienne dissension des horlogers apparaît si manifes- tement, qu'il semble exclu de prendre des dé- cisions en commun.

Un seul remède en dernière heure peut sauver la situation : se grouper si étroitement, que des existences obscures ne puissent plus subsister. Mais qui formera une pareille organisation ?

Une-troisième opinion, signée E. M. ac- tuellement en campagne :

Gomme ancien et éprouvé homme du mé- tier, je répondrai à la conclusion de M. : Ja- mais. C'est la faute de l'horloger même, si la vente des montres, pour la moitié, a lieu par l'entremise des Warenhäuser, orfèvres, com- merçants et colporteurs. Il y a environ 40 ans, l'horloger commença à étendre ses désirs que chaque montre achetait au grossiste devait marcher. Ce désir singulier s'est avec le temps tellement développé, qu'il provoqua la création des montres dites «schablons», ré- glées à la minute. Cela était encore suppor- table, aussi longtemps que ces montres étaient d'un prix assez élevé ; aujourd'hui cependant les exigences et la commodité ont augmenté à tel point qu'on exige de chaque montre de 3 à 8 marks, une marche exacte, sinon le fabri- cant et le grossiste sont aux yeux de l'horlo

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150 LA F É D É R A T I O N H O R L O G È R E S U I S S E ger, incapables (unleistungsiiihig). C'est évi-.

aemment très beau et agréable, si un tel chef- d'œuvre peut se vendre pour 3 marks, sans

•qu'il nous donne de la peine, mais personne ne peut rien reprocher à quiconque profite de cette commodité, et on ne l'exterminera par aucun moyen de ce monde. C'est le cas égale- ment avec les fournitures. Le cylindre à 35 pfennigs, doit être si exact que chaque cor- donnier et journalier peut le poser; d'où les innombrables « bousilleurs », qui font tous leurs affaires ! Il y a encore un remède, pour restituer de nouveau la vente des montres à l'horloger, c'est une montre non entièrement finie qui, en sortant de la fabrique, exige un repassage. Alors, le commerçant ou « bousil- leur » peut finalement vendre pour le moins de vieilles montres ! La montre qui marche, réglée, doit être d'un prix d'achat de 20 marks minimum, car cette sorte se trouve encore fort peu chez les colporteurs. C'est le moment où l'horloger peut augmenter les prix, puisque tout a augmenté et que les montres, ainsi que de bonnes réparations sont le moins bien payées. (A suivre.) Les conséquences de la baisse du change

O n mande de Berlin :

A partir du Ie r avril, les paiements à effectuer à l'étranger ne p o u r r o n t plus avoir lieu par le moyen de rembourse- m e n t s ; p o u r les expéditions de marchan- dises à l'étranger par chemin de fer, le port doit être payé par délégation. Les en- vois de marchandises de l'étranger ne se- ront acceptes que si le port a été payé à l'étranger.

gers avec lesquelles il est interdit de faire du commerce. La liste renferme un certain nom- bre de maisons de Perse, trois maisons de l'Ar- gentine, une de la Hollande, une du Maroc, une de la Suède et quatre de l'Est Africain portugais.

Le nouvel emprunt de guerre russe Un ukase impérial ordonne l'émission d'un nouvel emprunt de guerre de deux milliards de roubles 5 Y2"/», amortissable en dix ans.

La hausse du fret

L'amiral Corsi, ministre de la marine ita- lienne expose l'action du ministère dans la question du trafic maritime et notamment du fret. Il relève les difficultés du trafic mondial, à la suite de la réduction du 35°/<> du nombre des navires. Ces difficultés se sont accrues du fait qu'il est devenu nécessaire d'aller chercher au delà des océans des denrées de ravitaille-

ment que jadis on importait des.pays voisins ou méditerranéens. La hausse du fret est un phénomène commun à tous les pays. Il est res- senti particulièrement en Italie, où la ilotte marchande a pu faire face seulement au quart du trafic maritime. Pour l'avenir, il faut être persuadé qu'une forte marine marchande est absolument nécessaire non seulement à la puis- sance économique, mais encore à la puissance militaire et politique du pays.

Finances et douanes

Le Conseil fédéral a approuvé le rap- port de gestion du Département fédéral des finances et douanes, p o u r l'année 1915, A propos de la Pologne

Des représentants du commerce allemand et autrichien se sont dernièrement réunis à Berlin à l'effet de délibérer sur les rela- tions à créer avec le royaume de Pologne.

Dans cette conférence, ont été communi- qués des rapports sur les conditions d'é- coulement des marchandises, sur la solva- bilité des marchands polonais, sur les ques- tions de change, les pratiques judiciaires, les tarifs de douanes, etc., et il a été dé- cidé d'organiser une exposition des articles que jusqu'ici le royaume importait des pays actuellement en guerre avec les em- pires du centre, p o u r que l'industrie de ceux-ci puisse se préparer à remplacer les fournisseurs d'avant la guerre.

L'industrie française

Pendant les deux premiers mois de 1916 le commerce extérieur de la France s'est élevé, pour les importations à L308.970.000 francs, contre 853.360.000 francs en 1915 ; pour les ex-

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»ortationsà 497.362.000 francs, contre 387 mil- ions 378.000 francs en 1915.

Si, pendant ces deux mois la France a im- porté pour 78 millions en plus d'objets d'ali- mentation pour fair,e face à une situation dé- ficitaire, en revanche le chapitre des matières premières a augmenté de plus de 255 millions et demi, ce qui prouve que l'industrie se réap- provisionne.

L'accroissementdessortiesd'objels fabriqués est d'ailleurs de 80.762.000 francs.

Plus d'exonérations d'impôts

L'union impériale des villes allemandes réunie en assemblée extraordinaire à Leipzig, a décidé que, pour contribuer à augmenter les recettes de l'empire, il est nécessaire de rompre avec les privilèges exonérant les fonc- tionnaires ecclésiastiques et les instituteurs du paiement des contributions.

La guerre économique

Le Journal officiel anglais publie une nou- velle liste des personnes de divers pays étran-

fait ressortir que la loi projetée r é p o n d à une nécessité urgente. Les travaux sont avancés de telle façon que le projet d'une loi fédérale sur les b a n q u e s pourra être publié dans le courant de l'été. Le Dépar- tement insiste aussi sur la nécessité de compléter la législation par u n e loi sur l'émission de valeurs en vue de protéger le public contre les dangers dans le do- maine économique.

Les désastres financiers On écrit de Berne à la Repue :

Le département fédéral de l'économie pu- blique, qui prépare un projet de loi sur les banques, a dressé un intéressante statistique des pertes subies par les capitalistes suisses à la suite des krachs des dernières années. Il en résulte que de 1910 au début de la guerre, soit pendant 4 '/» années, 50 établissements de cré- dit ont été ébranlés dans leurs bases même et ont fait perdre 112 '/» millions au pays, soit 53 7« millions aux actionnaires et 59 millions aux créanciers de ces établissements. On trou- verait difficilement un motif plus sérieux à l'appui du projet de loi qui est actuellement à l'étude et qui sera publié au cours de l'année sous forme d'avant-projet du département.

Bénéfices de guerre On écrit à la Reçue :

« Lorsqu'un destinataire en Suisse reçoit de Paris un envoi grevé d'un remboursement de 100 francs, la poste suisse encaisse cette som- me et la transmet à l'expéditeur par un man- dat de 110 francs. Il n'y a donc pas de bénéfi- ce pour les postes suisse et française. C'est, en résumé, aux intéressés à s'entendre sur le mo- de de paiement. Si l'envoi en question repré- sente une valeur de 100 francs à Paris, il de- vrait être grevé d'un remboursement de 90 francs seulement. Ce faisant, grâce au cours du change, l'expéditeur recevra néanmoins 100 francs. »

Production du cuivre

La production du cuivre s'est élevée, en 1915, à 1,061,283 tonnes, contre 923,888 en 1914 et 1,005,978 tonnes en 1913. Celle de l'Al- lemagne est comprise dans ce chiffre et elle est estimée, pour l'année 1915, à 35,000 tonnes, contre 30,480 en 1914 et 25,308 en 1913.

Le plus gros producteur de ce métal est na^

turellement l'Amérique, avec 646,212 tonnes pour les Etats-Unis, contre 525,829 tonnes en 1914 et 555,990 tonnes en 1913. Les mines du Mexique ont donné, en 1915, 30,969 tonnes, contre 36,337 et 58,323, respectivement. L'ex^

traction canadienne a atteint 47,202 tonnes, contre 34,027 et 24,889, respectivement; le Pé- rou a fourni 32,410 tonnes, contre 23,647 et 25,487; le Chili, 47,142 tonnes, contre 40,876 et 39,434. -

L'extraction en Espagne n'a été que de 35 mille tonnes, contre 37,000 et 54,697. La pro- duction russe a fléchi à 16.000 tonnes, contre 31,938 et 34,316. Cellle du Japon s'est quelque peu augmentée, à 75,000 tonnes, contre 72,938 et-73,152.

Au canal de Panama

Un télégramme de Colon au Lloyd annonce que les charbonniers américains «Mars»,

«Prometheus» et «Maume» avec un tirant d'eau maximum de 6 m. 40, ont traversé le canal vendredi.

Le courrier suisse à bord du « Tubantia » perdu

La direction générale des postes vient d'être informée par 1 administration des postés des Pays-Bas que le courrier de la Suisse, embar- qué à bord du paquebot Tubantia, parti le 25 courant d'Amsterdam pour Buenos-Ayres, doit être considéré comme perdu.

Ce courrier se composait, selon toutes pré- visions, de quinze sacs pour le Brésil, avec«

gers avec lesquelles il est interdit de faire du commerce. La liste renferme un certain nom- bre de maisons de Perse, trois maisons de l'Ar- gentine, une de la Hollande, une du Maroc, une de la Suède et quatre de l'Est Africain portugais.

Le nouvel emprunt de guerre russe Un ukase impérial ordonne l'émission d'un nouvel emprunt de guerre de deux milliards de roubles 5 Y2"/», amortissable en dix ans.

La hausse du fret

L'amiral Corsi, ministre de la marine ita- lienne expose l'action du ministère dans la question du trafic maritime et notamment du fret. Il relève les difficultés du trafic mondial, à la suite de la réduction du 35°/<> du nombre des navires. Ces difficultés se sont accrues du fait qu'il est devenu nécessaire d'aller chercher au delà des océans des denrées de ravitaille-

ment que jadis on importait des.pays voisins ou méditerranéens. La hausse du fret est un phénomène commun à tous les pays. Il est res- senti particulièrement en Italie, où la flotte marchande a pu faire face seulement au quart du trafic maritime. Pour l'avenir, il faut être persuadé qu'une forte marine marchande est absolument nécessaire non seulement à la puis- sance économique, mais encore à la puissance militaire et politique du pays.

Finances et douanes

Le Conseil fédéral a approuvé le rap- port de gestion du Département fédéral des finances et douanes, p o u r l'année 1915, qui contient entre autres les résultats pro- visoires de la statistique commerciale. Il en ressort que l'on peut enregistrer un recul considérable des importations dont voici quelques chiffres:

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Par contre, deux articles présentent une augmentation. Les denrées coloniales sont montées de 1.065.000 quintaux en 1913, à 1.759.000 quintaux en 1914 et 1.749.000 quintaux en 1915|; et le coton, qui est m o n t é d e 464.000 quintaux en 1913 et 338.000 quintaux en 1914 à 522.000 en 1915.

Au cours des travaux préparatoires en vue de la loi sur la surveillance des ban- ques, de Département d'économie publi- que a procédé à une enquête au sujet des pertes causées par la déconfiture d'établis- sements financiers. Il ressort de cette en- quête que, depuis le commencement de l'année 1910, 112 millions et demi ont été p e r d u s de cette façon. Le Département

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L A F E D E R A T I O N H O R L O G E R E S U I S S E 151 304 e n v o i s e n r e g i s t r é s et 600 objets o r d i n a i r e s ;

de t r e i z e sacs p o u r la R é p u b l i q u e a r g e n t i n e avec 279 e n v o i s e n r e g i s t r é s et 500 objets ordi- n a i r e s ; de t r o i s sacs p o u r l ' U r u g u a y avec S0 e n v o i s e n r e g i s t r é s et e n v i r o n 60 objets o r d i - n a i r e s ; de six sacs p o u r le Chili, avec 61 en- vois e n r e g i s t r é s et 200 objets o r d i n a i r e s .

L'assurance-maladie en 1915

L'oflice fédéral des a s s u r a n c e s c o n s t a t e q u e le n o m b r e des caisses-maladie r e c o n n u e s é t a i t , a u 31 d é c e m b r e 1915, de 534, ou, si l'on fait le c o m p t e d e s s e c t i o n s d e s g r a n d e s caisses, de 2167. A u 31 d é c e m b r e 1914, on c o m p t a i t 453 caisses avec 361.621 m e m b r e s , p o u r l e s q u e l s la C o n f é d é r a t i o n a v e r s é 1,4 million de s u b - v e n t i o n s .

L ' e x a m e n d e s comptes a fait c o n s t a t e r que 70 d e s caisses r e c o n n u e s n ' a c c u s a i e n t p a s u n e f o r t u n e suffisante p o u r g a r a n t i r l'exécution de l e u r s e n g a g e m e n t s . Elles ont été obligées de c o n s a c r e r à l ' a v e n i r u n e p a r t i e de l a s u b v e n - t i o n fédérale à la c o n s t i t u t i o n d ' u n e r é s e r v e 3 u i d e v r a a i n s i parfaire p e u à peu le m o n t a n t

e la f o r t u n e exigée.

D e s 534 caisses a s s u r é e s à la fin de 1915, 214 n ' a s s u r a i e n t à l e u r s m e m b r e s q u e l ' i n d e m n i t é de c h ô m a g e . 30 d ' e n t r e elles n ' a s s u r a i e n t q u e lès s o i n s m é d i c a u x . L e s 290 a u t r e s c o m b i n a i e n t l e s d e u x s y s t è m e s , m a i s s o u v e n t en r é s e r v a n t les s o i n s m é d i c a u x à c e r t a i n e s c a t é g o r i e s de l e u r s m e m b r e s , t a n d i s que les a u t r e s n e tou- c h a i e n t q u e l ' i n d e m n i t é de c h ô m a g e . Il est évi- . d e n t q u e b e a u c o u p de caisses h é s i t e n t à se

l a n c e r d a n s l ' a s s u r a n c e des s o i n s m é d i c a u x , où les r i s q u e s s o n t difficilement a p p r é c i a b l e s . O n c o n s t a t e m ê m e q u e les e x p é r i e n c e s faites a v e c les m é d e c i n s s u r la b a s e d e s c o n v e n t i o n s o n t déjà engagé u n e de ces caisses à a b a n d o n n e r le s y s t è m e d e s s o i n s m é d i c a u x p o u r a d o p t e r celui de l ' i n d e m n i t é de c h ô m a g e , et q u e d'au- t r e s s ' a p p r ê t e n t p o u r le m ê m e motif à s u i v r e son e x e m p l e . U n g r a n d n o m b r e de caisses q u i o n t passé des c o n v e n t i o n s avec les m é d e c i n s

se p l a i g n e n t en effet que ceux-ci c o m p e n s e n t la m o d i c i t é des tarifs p a r la fréquence de l e u r s v i s i t e s , et l e u r i m p o s e n t a i n s i des frais d i s p r o - p o r t i o n n é s à l e u r s r e s s o u r c e s . L'office des as- s u r a n c e s e x p r i m e le v œ u q u e l'on s ' a r r ê t e s u r cette p ç n t e et que la confiance r e n a i s s e e n t r e les m é d e c i n s et les caisses.

L'exportation en Allemagne

O n d o n n e ce r e n s e i g n e m e n t a u National suisse :

« D ' i n f o r m a t i o n s t r è s précises, il r é s u l t e q u e les f a b r i c a n t s d e m o n t r e s p e u v e n t t o u t de mê- m e i n t r o d u i r e en A l l e m a g n e des b r a c e l e t s , s'ils sont de fabrication a l l e m a n d e . Mais p o u r cela il faut les a d r e s s e r a u f a b r i c a n t d e brace- lets avec la c a l o t t e , m o n t é e ou n o n . Celui-ci d é d o u a n e , d é c l a r e q u e ces b r a c e l e t s ont b i e n été l i v r é s p a r l u i et les r é e x p é d i e a u c l i e n t d u f a b r i c a n t c o n t r e r e m b o u r s e m e n t des frais de d o u a n e » .

* * C e q u i p r é c è d e est-il e x a c t ?

Q u a n d b r a c e l e t s e t c a l o t t e s s o n t e n m a i n s d u f a b r i c a n t d e b r a c e l e t s d ' A l l e m a g n e , ce- lui-ci d o i t e n c o r e l e s r é e x p é d i e r a u d é t a i l - l a n t o u g r o s s i s t e , c l i e n t d u f a b r i c a n t s u i s s e a u q u e l il a c o m m i s s i o n n é l e s m o n t r e s - b r a - c e l e t s .

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