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REVUE DE

PRESSE

2 mars 20 22

PRESSE

JOURNAUX

Radio

télé

M É D I A S M édias sociaux

information

PRODUIT PAR Afin de se conformer à la Loi sur le droit d’auteur,

la FCSSQ détient une licence autorisant une redistribution électronique restreinte de ce document.

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NIMA MACHOUF Épidémiologiste

lies traceurs GPS pour mieux voler votre véhicule

C'est risqué de retirer les masques au

retour de la relâche

ROXANE TRUDEL Le Journal de Montréal

Des experts craignent les effets du retrait du masque dans les écoles au retour de la semaine de relâche, tandis que de nombreuses familles ont déjà plié bagage pour profiter enfin de vacances sous le soleil.

« C'est un risque calculé, oui, mais pourquoi même prendre le risque en ce moment? Pourquoi ne pas attendre quelques semaines pour voir l'impact avant? La dernière fois que le gouver- nement a pris un risque calculé, en mi- novembre, ça n'a pas bien été », déplore Donald Vinh, infectiologue au CUSM.

Récemment, le gouvernement a annoncé des assouplissements pour les voyages dès le 28 février, dont le retrait de la quarantaine obli- gatoire de 14 jours pour les voyageurs de moins de 12 ans.

Les voyages ne seront d'ailleurs plus déconseillés.

Pour plusieurs familles, c'est tout ce que ça prenait pour se ruer sur un forfait vacances à l'étranger, remarque-t-on dans les agences de voyages.

«Il y a un engouement incroyable. Les gens ne sont plus capables. Ils ont besoin de vivre. [...] Il y en a qui m'appellent et veulent partir le lendemain ! » s'exclame Nathalie Godin, propriétaire de l'agence Voyage Vasco Laval, qui travaille dans l'industrie depuis plus de 20 ans.

L'impatience se reflète dans les prix.

Elle a vu des forfaits au triple du montant habituel.

« La demande est beaucoup plus élevée que l'offre, mais les gens achètent quand même, à tout prix. Il y en a beaucoup qui se sont restreints pendant deux ans ou qui ont dû annuler leurs vacances », précise quant à elle Patricia Corcos, présidente du Club voyage Sélectour.

IGNORER LA LEÇON

Mais ce qui inquiète les experts, c'est l'empressement du gouvernement à reti- rer le masque en classe dès la semaine suivante, alors que seulement la moitié de la population est adéquatement vac- cinée et que la ventilation demeure un enjeu.

« C'est comme si on faisait exprès pour favoriser une autre vague », soupire l'épi- démiologiste Nimâ Machouf, sans mâcher ses mots. Il y a des pays où la COVID est très prévalente encore. Enlever le masque dans les écoles sans s'occuper de la qualité de l'air, ce n'est pas une bonne idée. Si on veut l'enlever, on doit au moins compenser par un autre moyen », poursuit-elle.

Pourtant, en mars 2020, c'est la semaine de relâche qui a placé le Qué- bec dans une si mauvaise posture, rappelle-t-elle.

« Si on n'apprend pas de l'histoire, on est sûr de la répéter. Et il semble qu'on ignore les leçons au lieu d'apprendre », conclut à son tour Donald Vinh.

© Droits auteurs protégés, propriété de l'éditeur

La vente et la reproduction de ce document sont strictement interdites

Le Journal de Montréal, 2 mars 2022, page 11

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BASKETBALL

D'ANCIENNES JOUEUSES S'ATTAQUENT À LA

« CULTURE DU SILENCE »

KATHERINE HARVEY-PINARD LA PRESSE

« Il y a un avant 3 février et un après 3 février. » À la suite de l'arrestation de trois entraîneurs pour des crimes de nature sexuelle à l'école

secondaire Saint-Laurent, un regroupement d'anciennes joueuses de basketball a mis sur pied la Coalition des grandes soeurs du sport. Sa mission : mettre fin à la

« culture du silence » qui règne dans le sport.

Le 3 février, c'est cette journée où trois entraîneurs de basketball de l'école secondaire Saint-Laurent, Daniel Lacasse, Robert Luu et Charles-Xavier Boislard, ont été arrêtés pour avoir commis des crimes de nature sexuelle à l'endroit

d'anciennes élèves.

L'histoire a secoué le monde du sport québécois au cours du dernier mois.

Plusieurs ont dénoncé « l'omerta de la direction » de l'école, tandis que le gouvernement Legault a ouvert une enquête sur la « manière » dont Basketball Québec a géré la situation.

Trois jours après les arrestations, le 6 février, 15 anciennes joueuses de basketball ont décidé de se

rencontrer virtuellement. Elles avaient besoin de se rassembler, de se vider le coeur. Et de passer à l'action.

« Il fallait qu'on se mobilise parce que tout le monde était outré, enragé, peiné », raconte la porte-parole de la nouvelle Coalition des grandes

soeurs du sport, Joëlle Martina, dans une entrevue avec La Presse.

« On se disait : ça ne se peut pas que ce soit ça qui se passe dans notre communauté depuis qu'on a quitté, continue-t-elle. Ce qui était difficile à réaliser, c'était que ce n'était pas surprenant pour beaucoup de personnes. Les gens savaient que [les entraîneurs] parlaient comme ça [aux joueuses]. »

Les femmes se sont rencontrées six fois au cours des dernières

semaines. C'est le 21 février qu'elles ont créé la Coalition, qui « valorise la pratique du sport dans un

environnement exempt de violence, qu'elle soit verbale, psychologique, émotionnelle, physique ou sexuelle », peut-on lire dans une lettre signée par les ex-athlètes.

Depuis, 350 personnes de tous les milieux se sont jointes au mouvement sur la page Facebook privée de la Coalition.

« Tu réalises tellement rapidement que ça se passe partout. On est tannées. Tu attends toujours que quelqu'un d'autre fasse quelque chose. Mais là, non, ç'a bien l'air que nous, on va devoir faire quelque chose. »

— Joëlle Martina, porte-parole de la Coalition des grandes soeurs du sport Le regroupement observe une zone grise, où ce « n'est pas illégal de crier, de sacrer après quelqu'un, de

dire que les joueuses sont stupides et de les traiter de noms », explique

Mme Martina. Mais « ça laisse des traces ». Et « ça ne se peut pas que ce soit juste parce que ce n'est pas illégal que c'est permis », dit-elle.

« Nous, ce qu'on va essayer de faire, c'est qu'il n'y ait plus de zone grise. » PREMIÈRE ACTION

La Coalition des grandes soeurs du sport n'a que quelques jours de vie, mais elle a déjà posé sa première action, celle de demander la démission du directeur général de Basketball Québec, Daniel Grimard.

Le conseil d'administration de la fédération lui a répondu qu'il était en train d'identifier les actions qui doivent être prises pour assurer la sécurité de ses athlètes, sans toutefois donner de réponse officielle à sa demande.

Le regroupement entend aussi faire beaucoup d'éducation. Non

seulement du côté des entraîneurs, mais aussi du côté des jeunes athlètes, filles et garçons. Leur enseigner quelles sont les limites.

« Il faut que tu éduques les jeunes pour qu'ils sachent ce qui n'est pas correct », soutient Joëlle Martina, elle-même entraîneuse pour l'équipe de sa fille. « [...] Il faut qu'on

normalise la dénonciation plutôt que de montrer du doigt quand quelqu'un dit quelque chose. »

La Presse Plus, 2 mars 2022, page S8

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« On peut s'attendre de la coalition qu'elle demande la

responsabilisation et l'engagement des institutions sportives,

scolaires et politiques. »

— Joëlle Martina, porte-parole de la Coalition des grandes soeurs du sport La femme de 41 ans et toutes ses acolytes ont conscience que changer la culture du sport sera un long processus, un « marathon à relais ».

La première étape sera de centraliser l'information, c'est-à-dire les

ressources déjà disponibles, mais qui ne sont pas nécessairement utilisées.

« Que ce soit des lignes pour dénoncer, des cours de formation...

Ce sont toutes des choses qui existent, donc pourquoi on ne les utilise pas ? Pourquoi ce n'est pas obligatoire ? Et même si tu le fais, qui vérifie, qui fait le suivi ? », questionne Mme Martina.

Cette dernière a elle-même eu affaire à des entraîneurs toxiques dans sa jeunesse. Elle a dû apprendre à vivre en se faisant « crier après », dit-elle.

« [Plus tard], quand j'ai atteint l'âge [qu'avaient mes entraîneurs quand je jouais], je me suis dit : "Oh, mon Dieu, ils pouvaient faire mieux." »

« Ce n'est pas parce que tu coaches d'une façon bienveillante et que tu as vraiment la réussite des jeunes à

coeur que tu ne peux pas gagner, rappelle-t-elle. Les deux choses peuvent exister. »

Et la Coalition est là pour le rappeler.

« Pour celles qui ne peuvent pas parler, nous allons aller de l'avant pour essayer de les protéger et faire en sorte que la zone grise ne soit plus là », laisse entendre

Mme Martina.

« On sait, maintenant. On a entendu et on va agir. Peu importe ce qu'agir veut dire. Que ce soit d'aller dans les gyms avec nos chandails de la Coalition pour dire : "Hé, le coach, je te regarde, je suis là." Si ça prend ça... »

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1 Tribune

rvUmt:K,,.--

La Tribune

Devra-t-on repousser une autre fois l'arrivée des élèves dans l'école primaire rénovée du secteur Omerville à Magog?

Force est de constater que les travaux de construction et de rénovation de l'école Deux-Soleils ne sont pas terminés.

Plusieurs équipements de chantier sont encore en place, a pu observer La Tribune sur place.

Rappelons qu'en novembre dernier, on avait dû repousser le retour des enfants de l'école de décembre à mars, après la présente semaine de relâche scolaire. On évoquait des problèmes d'approvisionnement en matériaux notamment pour expliquer le retard,

Quand on avait lancé les travaux préparatoires, il y a un an, on avait prévu que les élèves allaient pouvoir retourner dans leurs classes sur la rue Gérin pour décembre 2021. Toutefois, des retards de construction avaient forcé la direction du Centre de services scolaire des Sommets (CSSDS) à repousser ce retour à après la semaine de relâche 2022.

Il n'a pas été possible d'obtenir des éclaircissements auprès du CSSDS, puisque plusieurs membres du personnel sont en congé.

Lors du passage de La Tribune lundi au milieu de l'après- midi, aucune activité de construction n'était visible et audible.

Des déménageurs s'affairaient toutefois à transporter des meubles et autres équipements dédiés aux classes.

On peut constater que les travaux de certaines sections des pavillons ne sont pas achevés. L'installation du revêtement

extérieur n'est pas terminée. Une pelle rétrocaveuse côtoie les jeux de la cour de récréation. Le site est clôturé.

Le débarcadère des autobus menant les enfants vers l'école La Relance, sur la rue Sherbrooke à Magog, est toujours en place sur la rue Pie-XII Est, devant l'église Saint-Jude.

Jointe à ce sujet, la conseillère municipale Nathalie Laporte dit ne pas avoir eu vent des derniers développements, malgré les démarches effectuées de son côté au cours de la journée de lundi.

Selon elle, il serait surprenant que les élèves soient de retour dans l'école rénovée le 8 mars, date prévue de la reprise des cours au calendrier scolaire du CSSDS.

Rappelons que ce chantier comprend un ajout d'espace de près de 1000 mètres carrés, où seront notamment logés un gymnase double et un corridor actif. La structure du bâtiment est conçue pour maximiser l'apport de lumière naturelle dans les espaces intérieurs.

Plusieurs travaux de réfection et de mise aux normes seront également effectués dans les bâtiments actuels (système de ventilation, de déshumidification, de chauffage et de climatisation, plomberie, etc.). Une agora extérieure sera également aménagée.

Les deux pavillons de l'école ne feront plus qu'un après ces travaux.

En juin dernier, on avait officiellement lancé les travaux en présence du ministre de l'Éducation, Jean-François Roberge.

Le projet, dont on parle depuis des années et qui prévoit unir les deux pavillons de l'école Deux-Soleils, est estimé à plus de 10 millions $.

Encore des travaux en cours à l'école d'Omerville

CLAUDE PLANTE

La Tribune (Numérique), 2 mars 2022, page A13

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Maternelle 4 ans: une popularité grandissante, malgré les doutes

KATHERINE BOULIANNE Le Quotidien

La maternelle 4 ans accueille de plus en plus d'enfants au Saguenay-Lac-Saint-Jean, mais ses bienfaits ne semblent pas encore convaincre tout le monde. Si les élèves qui la fréquentent en ressortent avec de nets acquis pour leur parcours scolaire, des réticences subsistent chez les parents, qui hésitent encore avant d'y envoyer leur tout- petit.

Alors que la période d'inscription a débuté à la mi-février, on constate une hausse dans les centres de services scolaires (CSS) du Pays-des-Bleuets et De La Jonquière, lesquels prévoient pour l'instant accueillir 150 élèves chacune pour la rentrée 2022, soit entre 20 et 30 enfants de plus que l'an dernier.

Au CSS du Lac-Saint-Jean, trois écoles supplémentaires offriront la maternelle 4 ans l'an prochain. Malgré cela, le nombre d'inscriptions est encore inférieur à celui de l'an dernier. Le CSS s'attend cependant à ce que ces données progressent au cours des prochains mois, alors que 186 élèves fréquentent la maternelle 4 ans actuellement.

« Nous avons reçu 113 inscriptions pour l'instant. C'est un portrait préliminaire et il est toujours possible pour les parents d'inscrire leur enfant. Nous aurons un portrait plus complet dans quelques semaines », mentionne le conseiller en communication du Centre de services scolaire du Lac-Saint- Jean, Daniel Migneault.

Outre les données recueillies par les CSS de la région, celles obtenues par les services de garde dénotent également que la clientèle de 4 ans se déplace de plus en plus vers la maternelle.

La directrice adjointe de la Garderie urbaine d'Alma, Maggie Couture, a elle-même remarqué une baisse de fréquentation chez ce groupe d'âge dans son établissement.

« Avant, c'était facile pour nous de se rendre sur la Place 0-5 ans et de trouver des enfants de 4 ans pour les inscrire.

Maintenant, c'est beaucoup plus difficile », explique cette dernière, alors que la liste d'attente pour intégrer sa garderie contient pourtant plus d'une centaine de noms.

Un impact évident en classe

À l'école Saint-Sacrement d'Alma, la première cohorte d'élèves de maternelle 4 ans a fait son apparition il y a deux ans, alors que huit enfants en faisaient partie. Cette année, les deux classes de 17 enfants sont toutes comblées. S'il est vrai que les élèves qui en font partie doivent s'adapter doucement à un monde de grands, dans des écoles où tout est encore un peu trop haut pour eux, ils en retirent néanmoins de nombreux acquis.

« On le voit beaucoup en début d'année, quand on commence à ancrer les routines, prendre le rang, les collations et tout ça

», raconte Carine Duchesne, enseignante en maternelle 5 ans.

C'est désormais 50 % de sa classe qui provient directement de la maternelle 4 ans. « C'est sûr que la différence est grande, en septembre et octobre. Pour ceux qui l'ont déjà fait, c'est beaucoup plus facile », ajoute-t-elle.

Les impacts de la maternelle 4 ans continueraient même à se faire sentir une fois en première année, ceux qui ont commencé leur cycle scolaire un peu plus tôt ayant plus de facilité à assimiler certaines notions phonétiques, par exemple.

Ces apprentissages ne semblent toutefois pas être suffisants pour convaincre tous les parents. Bon nombre d'entre eux hésitent encore à faire entrer leur tout-petit dans le système scolaire à un si jeune âge, et préféreraient laisser le temps à l'enfant « d'être un enfant ».

« Souvent, on va dire que la vie en installation et la maternelle 4 ans, c'est sensiblement la même chose, mais pas du tout.

Nous avons encore l'approche de "maman" et de réconfort.

Beaucoup de parents ont un peu peur que ce soit trop tôt. C'est vraiment 50/50 chez les parents comme façon de penser », témoigne Maggie Couture de la Garderie urbaine d'Alma.

Et même si tous les intervenants consultés par Le Quotidien s'entendent pour dire que la maternelle 4 ans ne sera pas nécessaire au parcours de tous les enfants, ils soulignent que certains tout-petits en retireront de plus grands bénéfices.

« Dans les milieux défavorisés, pour des enfants qui ont été moins stimulés et qui ont plus de besoins, c'est un gros plus

Le Quotidien (Numérique), 2 mars 2022, page A16

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pour eux de pouvoir participer à ça, et de pouvoir consolider ce qu'ils ont appris en maternelle 5 ans », conclut l'enseignante Carine Duchesne.

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Communiqué (s)

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02/03/2022 07:58 Centre de services scolaire Marguerite-Bourgeoys - La biénergie à l'essai

https://ameqenligne.com/article/education/niveau/primaire-secondaire/3/947032/b-la-bienergie-a-l-essai.html 1/2 CENTRE DE SERVICES SCOLAIRE MARGUERITE-BOURGEOYS

La biénergie à l'essai

2 mars 2022

Dans le cadre d'un partenariat avec Hydro-Québec et Énergir, l'école primaire Très-Saint-Sacrement fera l'essai de différents appareils utilisant une combinaison d'électricité et de gaz naturel. Le recours à la biénergie lui permettra de réduire sa consommation de gaz naturel en utilisant l'électricité la grande majorité du temps et en laissant le gaz naturel prendre le relais par temps froid.

L'objectif de cet exercice (qui est également en cours à l'Aquarium de Québec et auCentre multifonctionnel de Contrecœur)est de tester les technologies existantes et de déterminer la bonne permutation entre l'électricité et le gaz naturel afin de préparer la mise en place d'une offre commerciale pour les secteurs commercial et institutionnel.

« La conversion des systèmes de chauffage de l'école Très-Saint-Sacrement vers un mode biénergie électricité-gaz naturel s'inscrit parfaitement dans nos orientations et notre adhésion aux 17 objectifs de développement durable à l'horizon 2030 de l'ONU. En réduisant les émissions de gaz à effet de serre, nous offrons un environnement plus vert aux élèves et à l'ensemble de la métropole. » conclut le directeur général Dominic Bertrand.

Pour plus d'information

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Programme d'électri cation du transport scolaire - 18 M$ pour électri er les autobus scolaires à Montréal

NOUVELLES FOURNIES PAR

Cabinet de la ministre déléguée aux Transports

Mars 01, 2022, 10:00 ET

Montréal, le 1er mars 2022 /CNW Telbec/ - Le gouvernement du Québec est er d'accorder une somme maximale de 18 000 000 $ pour soutenir le projet d'achat, par Autobus Transco, de 120 autobus scolaires propulsés à l'électricité de la compagnie Lion Électrique. La ministre déléguée aux Transports et ministre responsable de la Métropole et de la région de Montréal, M  Chantal Rouleau, en a fait l'annonce aujourd'hui à l'occasion d'une conférence de presse en présence de dirigeants d'Autobus Transco et de Lion Électrique.

Ce soutien s'inscrit dans le Plan pour une économie verte 2030 (PEV 2030) du gouvernement du Québec. Une mesure phare de ce plan ambitieux est d'accompagner les transporteurs dans l'électri cation de leur parc de véhicules en remplaçant les autobus scolaires en n de vie par des modèles propulsés à l'électricité.

Avec cette annonce, le gouvernement s'approche de sa cible de réduction des gaz à effets de serre (GES) liés aux transports notamment en électri ant 65 % du parc d'autobus scolaires québécois d'ici 2030.  

Citations

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« Notre gouvernement est résolument engagé dans la transition écoresponsable du transport.

Cette annonce est un pas de plus vers l'électri cation des autobus scolaires. C'est un geste concret a n de réduire nos émissions de gaz à effet de serre tout en mettant à pro t notre hydroélectricité. Cette annonce est un exemple de plus du fait que le Québec est un leader en matière d'électri cation des transports. »

Chantal Rouleau, ministre déléguée aux Transports et ministre responsable de la Métropole et de la région de Montréal

« Le secteur des transports est responsable de près de 45 % des émissions de GES au Québec.

C'est pour cette raison que notre gouvernement pose des gestes concrets pour accélérer l'électri cation des transports. Je suis convaincu que nos actions, combinées à celles des transporteurs scolaires, nous aideront à atteindre nos ambitieux objectifs en matière de réduction des émissions de GES. »

François Bonnardel, ministre des Transports et ministre responsable de la région de l'Estrie

« Nous sommes ers de soutenir, par l'entremise du Plan de mise en œuvre de notre Plan pour une économie verte 2030, des entreprises telles que Autobus Transco, qui ont à cœur de

contribuer à la création d'une économie sobre en carbone, résiliente face aux changements climatiques et plus prospère. L'électri cation de nos autobus scolaires réduit non seulement nos émissions de GES, mais contribue à diminuer la pollution sonore et améliore la qualité de l'air en général, et plus particulièrement dans des zones fréquentées par nos enfants.

L'investissement annoncé aujourd'hui est un exemple clair de notre vision d'une transition verte pour le transport des élèves. »

Benoit Charette, ministre de l'Environnement et de la Lutte contre les changements

climatiques, ministre responsable de la Lutte contre le racisme et ministre responsable de la région de Laval

« En tant que chef de le de l'industrie en matière d'innovation en transport scolaire, Autobus Transco reconnaît le rôle important que jouent l'électri cation et les technologies zéro émission dans notre avenir. Nous sommes donc particulièrement ers de pouvoir contribuer de façon

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signi cative à la réduction des émissions de gaz à effet de serre et d'offrir des options de transport propre à nos élèves de Montréal, grâce à l'acquisition de ces 120 véhicules électriques. »

Laurie Henner, directrice régionale de Transco

« Le Québec fait gure de leader en électri cation du transport scolaire et Lion est heureux de pouvoir y contribuer. Ces 120 LionC 100 % électriques, qui font référence à la commande de Transco annoncée en mai dernier, se retrouveront sur les routes de Montréal et auront des répercussions directes sur les émissions de gaz à effet de serre de la région métropolitaine.

Chez Lion, nous sommes ers de travailler avec des partenaires comme Transco et le gouvernement du Québec a n d'offrir un avenir plus durable à nos enfants. »

Marc Bédard, président-fondateur de Lion Électrique Faits saillants

Doté d'une enveloppe de 250,7 M$ jusqu'en 2024, le Programme d'électri cation du transport scolaire est nancé dans le cadre de la mesure 1.1.1 du Plan de mise en œuvre 2021-2026 du PEV 2030, laquelle vise à « électri er le transport des personnes : véhicules légers, transport collectif et scolaire ».

Ce programme soutient nancièrement les transporteurs scolaires dans le cadre de l'électri cation de leur parc de véhicules et vise à :

réduire les émissions associées au transport scolaire au Québec de près 65 000 tonnes de GES d'ici le 31 mars 2024;

favoriser l'usage des autobus électriques dans le transport scolaire au Québec en visant un taux d'électri cation de 14 % d'ici mars 2024.

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Le PEV 2030 est la première politique-cadre d'électri cation et de lutte contre les changements climatiques du Québec. Il édi era les bases d'une économie sobre en

carbone, résiliente face aux changements climatiques et plus prospère à l'horizon 2030. Il place aussi le Québec sur la bonne trajectoire pour atteindre sa cible de réduction

d'émissions de GES pour 2030 et la carboneutralité d'ici 2050. Le PEV 2030 mise sur les forces du Québec, dont son énergie propre, a n d'accélérer la transition climatique avec le plus de béné ces possible pour la population et les entreprises québécoises.

Liens connexes

Programme d'électri cation du transport scolaire Plan pour une économie verte 2030

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SOURCE Cabinet de la ministre déléguée aux Transports

Renseignements: Sources : Catherine Boucher, Attachée de presse, Cabinet de la ministre déléguée aux Transports et ministre responsable de la Métropole et de la région de Montréal, Tél. : 418 802-6833; Rosalie Tremblay-Cloutier, Attachée de presse, Cabinet du ministre de

l'Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques, ministre responsable de la Lutte contre le racisme et ministre responsable de la région de Laval, Tél. : 438 777-3777; Pour information : Relations avec les médias, Direction des communications, Ministère des

Transports, Tél. : Québec : 418 644-4444, Montréal : 514 873-5600, Sans frais : 1 866 341-5724

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Les parents québécois estiment que leurs enfants se sont bien adaptés à

l'apprentissage en ligne à la maison durant la pandémie

NOUVELLES FOURNIES PAR Université Laval

Mars 02, 2022, 07:30 ET

QUÉBEC, le 2 mars 2022 /CNW Telbec/ - Selon une enquête NETendances rendue publique aujourd'hui par l'Académie de la transformation numérique (ATN) de l'Université Laval, 82 % des parents québécois dont les enfants ont dû demeurer à la maison à cause de la pandémie estiment que ceux-ci se sont bien adaptés aux apprentissages scolaires réalisés en ligne.

L'enquête menée en 2021 et intitulée La famille numérique révèle également qu'une forte majorité de ces parents (76 %) se sentent généralement à l'aise pour soutenir leurs enfants dans ces apprentissages.

Selon l'enquête, 89 % des enfants âgés de 6 à 17 ans sont demeurés à la maison en 2021 pour effectuer des apprentissages scolaires en ligne en raison de la pandémie. Les jeunes de 13 à 17 ans (94 %) ont été plus nombreux dans cette situation que ceux âgés de 6 à 12 ans (85 %).

Le temps passé par les jeunes sur Internet

L'enquête rapporte que 51 % des jeunes ont passé en moyenne 10 heures ou moins à naviguer sur Internet chaque semaine, 14 % y ont consacré de 11 à 15 heures et 28 % y ont passé plus de 15 heures. Ce sont 61 % des jeunes âgés de 13 à 17 ans qui consacrent plus de 10 heures par semaine à naviguer sur Internet, comparativement à 28 % des jeunes âgés de 6 à 12 ans.

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Vulnérables aux risques d'intimidation sur Internet

Un peu plus du quart (28 %) des parents de jeunes âgés de 6 à 17 ans considèrent comme étant très probables les risques que leurs enfants soient victimes d'intimidation sur Internet, que ce soit par des pairs ou par des personnes inconnues. Il s'agit d'une hausse de 13 points de

pourcentage par rapport à l'an dernier. Cette situation est encore plus notable lorsque le jeune fait partie du groupe d'âge des 6 à 12 ans (35 %), comparativement au groupe d'âge des 13 à 17 ans (18 %).

Le contrôle parental par logiciel est de plus en plus populaire

Près de la moitié (49 %) des parents de jeunes âgés de 6 à 17 ans admettent avoir déjà utilisé, de façon régulière ou occasionnelle, un logiciel de contrôle parental. Il s'agit d'une hausse de 9 points de pourcentage par rapport à l'an dernier. Les parents de jeunes âgés de 6 à 12 ans (59

%) sont relativement plus nombreux à en faire usage comparativement aux jeunes âgés de 13 à 17 ans (37 %).

Le téléphone intelligent domine

Pour une première fois, le téléphone intelligent (74 %) est devenu l'appareil électronique préféré des jeunes Québécois et a dépassé en popularité l'ordinateur portable ou de table (70

%), la console de jeu vidéo (67 %) et la tablette électronique (62 %). C'est d'ailleurs le téléphone intelligent qui a connu la plus forte croissance au cours de la dernière année avec une

augmentation de 12 points de pourcentage. La tablette électronique a connu un recul de 9 points de pourcentage en un an, passant de 71 % à 62 %.

Plus nombreux à détenir un pro l sur les réseaux sociaux

Près de 6 jeunes sur 10 (59 %) possèdent une page de pro l personnel sur un réseau social tel Facebook ou Instagram, une hausse de 12 points de pourcentage par rapport à l'année

précédente. Les jeunes âgés de 13 à 17 ans (83 %) sont plus nombreux à en détenir que ceux âgés de 6 à 12 ans (40 %).

Consultez les résultats détaillés et les infographies de l'enquête : www.atn.ulaval.ca/enquetes- et-mesures/netendances. 

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À propos de NETendances 2021

L'enquête NETendances dresse depuis plus de 20 ans un portrait intégré et actualisé des

grandes tendances en matière d'utilisation du Web et du numérique au Québec. NETendances 2021 est réalisé grâce au soutien nancier du Mouvement des caisses Desjardins, d'Hydro- Québec, de Services Québec, ainsi qu'avec la collaboration de BIP Recherche.

À propos de l'Académie de la transformation numérique (ATN)

L'Académie de la transformation numérique (ATN) a été créé dans le but de répondre aux besoins criants des ministères, des organisations publiques et des municipalités en matière de transformation numérique. Née d'un partenariat entre l'Université Laval et le gouvernement du Québec, l'ATN permet à ces organisations d'assumer un véritable rôle de leader du numérique et de soutenir leurs employés dans l'acquisition de connaissances et le développement de compétences et de savoir-être pour relever les dé s de cette grande transformation. Par son adéquation unique entre l'emploi, la recherche et la formation, l'ATN positionne l'humain au cœur de sa démarche et est engagée dans le développement d'une culture durable du numérique et en exerçant un rôle de premier plan dans l'évolution des talents et plus globalement, de la société.

SOURCE Université Laval

Renseignements: Claudine Vézina, Chargée de communication, Académie de la transformation numérique, Université Laval, 418 656-2131, poste 408891, claudine.vezina@atn.ulaval.ca; Source : Équipe des affaires publiques, Université Laval, 418 656-3355, medias@ulaval.ca

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