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Submitted on 1 Jan 1902
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Sur la dispersion anomale dans les cristaux de sulfate de néodyme et de praséodyme
H. Dufet
To cite this version:
H. Dufet. Sur la dispersion anomale dans les cristaux de sulfate de néodyme et de praséodyme. J.
Phys. Theor. Appl., 1902, 1 (1), pp.418-426. �10.1051/jphystap:019020010041800�. �jpa-00240625�
418
SUR LA DISPERSION ANOMALE DANS LES CRISTAUX DE SULFATE DE NÉODYME ET DE PRASÉODYME (1);
Par M. H. DUFET.
En étudiant, pour en faire la monograpliie cristallographique et optique, les sulfates de néodymc et de praséodyme, j’ai observé quelques faits d’un intérêt un peu plus général, touchant l’existence de la dispersion anomale dans ces sels. J’ai exposé, dans un autre
fruit et décrit ultérieurement (*). L’appareil de 1B1. 111ondel trace bien des courbes, nlais ces courbes sont enregistrées photographiquement et non pas directenlent,
à l’encre, sur un cylindre enregistreur. De plus, les balais sont mobiles, tandis que les nôtres sont fixes, et l’appareil exige autant de galvanomètres distincts
que de courbes à enregistrer, talldis que nous 11’e111p1Oy011S qu’un seul enregistreur
pour toutes les courbes. L’appareil de M. Blondel est commandé directement par la
dynamo génératrice, tandis que le notre est actionné par un llloteur synchrone,
ce qui permet de l’installer rapidement en uu point quelconque du circuit, et de supprimer le mouvement d’horlogerie commandant le dispositif stroboscopique.
Dans l’appareil de ~)1. F. Drexler (**), le glissement est obtenu par un nioteu1-
asynchrone et l’inscription est obtenue par des étillcelles. Le glissement d’un
moteur asynchrone est trop variable et trop grand pour être utilement employé
à l’inscription stroboscopique directe, et le dispositif ne pernlet pas le repérage exact de courbes tracées successivement, puisque le glissement n’est pas cinéma-
tiquement relié if la l’otation du cylindre enregistreur.
1B1....B. Laws (***) relllplace le moteur asynchrone par uni nloteur synchrone, et donne un léger retard angulaire aux balais en les faisant tourner par un train
d’engrenages : l’enregistrement se fait encore photographiquement.
Le seul appareil traçant directement une courbe de courant alternatif sur un
cylindre enregistreur est celui de NI. le professeur H.-L. Callendar (****).
L’appareil est basé sur le principe du potentiolllètre et de l’enregistreur à relais
et servomoteur bien connu de l’auteur. Le tambour est lllîi par un mouvement
d’horlogerie, et l’inscription d’nue courbe se fait en une heure, tandis que nous réalisons la même inscription entre dix et trente secondes.
L’ondographe se distingue des appareils précédents par le fait qu’il trace direc- tement une courbe continue sur uu papier d’enregistreur, sans photographie,
sans mouvement d’horlogerie, sans relais, sans faire tourner de balais et sans
utiliser le glissement esseiitielleiiieiit variable d’un moteur asynchrone fonction- nant à vide.
En ce qui concerne l’enregistreur de puissance Instantanée, qu"on pourrait appeler un é~ecl~’ocl~~~auu~o~~rccpl~e, HOUS le croyons el1lièreUlellt nouveau, car nous n’avons trouvé aucune indication d’un appareil analogue dans la littérature élec-
trique.
’
(*) A. L~LOVUEG, Sur la détermination des courbes périodiques des courants alternatifs et leur ins-
cription photographique (la l.2cnzi~·~°e élect7’ique, t. ~LI, pp. ’101 et 50Î; 18D 1).
(**) F.DnEXLEn, Ueber eine neue Méthode zur selb5thatyen Aufzeichnung’ von Wechselstrom-Curven (Zeitsch~~i ft fiir L’lectrotecltn ilc, no b ; 1k9Q).
(***) A. LAWS, Alternating~ current wave recorder (V éstern Eleci1’ician, 2;-) février 1901 ).
(*u*) HUGH-L. CALLENDAR, An alternatinâ cycle-ct’i’ve recorder (The I:LeeLi°ici~c~i, 26 août 1898).
(1) Communication faite à la Société française de Physique, Séance du
7 mars 1902.
Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:019020010041800
recueil B ), le r ésultat complet de mes déterminations ; j’en extrairai
ici ce qui a trait au point précité.
Dans le voisina ge des régions du spectre riches en raies d’absorp- tion, la dispersion anomale proprement dite, trop peu marquée pour
pouvoir être mise e n évidence par la mesure directe des indices de
réfraction, se manifeste par la variation rapide de l’angle des axes optiques, au voisinage et dans l’intérieur de ces bandes. De plus, les
deux sels, surtout le premier, présentent un phénomène connexe,
que je crois tout à fait nouve au c’est la ciispei-sion anomale des axes
d’élaslicit(," optique.
On sait que le spectre d’absorption des sels de didyme, qui, dans
les dissolutions, se co mpose de bandes assez larges, prend dans les
sels cristallisés un aspect se rapprochant beaucoup plus des spectres
de raies, et présente, de plus, des différences marquées suivant la
direction des vibrations lumineuses. Ce fait, signalé d’abord par
Bunsen, a surtout été mis en lumière par M. H. Becquerel (2). J’ai
donné dans le mémoire cité plus haut la description et le dessin des spectres des sulfates de néodyme et de praséodyme, pour trois direc- tions remarquables de vibrations, la bissectrice aiguë, la bissectrice obtuse et la ligne moyenne ; dans le sulfate de samarium, qui exis-
tait aussi dans l’ancien sulfate de didyme, la direction de la vibration
ne paraît pas avoir d’influence sur l’absorption. Il n’y a aucune raie
commune aux trois métaux, ce qui est une preuve de la pureté rela-
tivement grande des sels que j’avais à ma disposition; c’étaient ces
beaux cristaux exposés en 1900 par M~1. Chenal et Douilhet, et qui
ont attiré si vivement l’attention des chimistes et des cristallo-
graphes.
Comme je n’ai pu suivre les phénomènes de dispersion des axes
en lumière spectrale qu’un peu au-delà de la raie F, je signalerai
seulement les particularités des spectres pour la région étudiée.
Dans le sulfate de néodyme, des raies, placées dans le rouge ex- trême, s’arrêtent très près de la raie du lithium (~ = 0,~,0 i 1 i) : c’est
là qu’ont commencé mes observations. Dans le rouge se trouvent
quelques raies (X = 0 ~,6380 à 01À,6225) sans influence sur les indices,
(1) H. DLFET, Etude cJ’istallog1Ylpltique el optique des sulfates de néodyrne, de pJYtséodY1ne et de scuncu’iun¿ ù 8H‘-’0 (Bulletin de la Société fi°an~ccise de JJfinér.,
t. XXIV, p. 3~~ ; 1901).
’
(2) H. BECQUEREL, Recherches sui, les 2‘ar’iattons des spectJ’8S d’absoz°plton dans
les enistcc2ex (~.~a~2celes de CILicrzie et de l’7z~siclue, 6° série, t. XIV, p. 208 ; 1888).
420
puis vient la grande bande de l’orangé ; elle s’étend de A = 0;>,5«)38,
très près de la raie D (),D = O/.,~)Hg3) Ü À = O~,J71 ~. Elle contient neuf raies principales, fines dans les cristaux minces, mais s’élargissant
avec l’épaisseur croissante, et finissant, sur des cristaux de 1,5 à
2 millimètres d’épaisseur, par former une bande presque uniforme.
Presque immédiatement après la raie du tliallitim (hTi = 0~,535),
pour it = 0:~,53~~, commence la bande du vert, avec six raies fortes
jusqu’à A = 0~,5~58, et des bandes moins absorbantes jusqu’à
), - 0,~,~00. Les groupes des raies du violet commencent un pen
après la raie F, à A -_-__ Oa,.~B?8 (ÀF = Oa,~8Gl.).
Dans le sulfate de praséodyme, on n’observe rien avant l’orangé ;
de ;, - 0:.1.,601 à A = 0:’,~)8î, se trouvent quatre raies, ou plutôt
quatre bandes. très variables avec la direction des vibrations, se réduisant, en particulier pour les vibrations parallèles à la bissectrice
aiguë, à une teinte plate peu intense avec une raie bien nette et forte
dont le milieu correspond il A = 0;1.,5916. Il n’y a rien dans le vert, jusqu’au voisinage de la raie F, où les bandes recommencent à i, = 0:1., i87. En général, dans le sulfate de praséodyme, les raies
sont moins fines, et le polv-clzroïsme est. plus marqué que dans le sulfate de néodyme,.
Ces faits rappelés, j’arrive a la description des phénomènes par- ticuliers dont j’ai à parler. Les indices de réfraction ont été mesurés par la méthode de la réflexion totale, au moyen du réfractomètre Abbe-Pulfriclz. On n’observe dans ces mesures rien de particulier ;
en opérant avec un oculaire muni d’un spectroscope, il n’y a, avec
des plaques bien polies, pas trace de raies d’absorption dans la
lumière réfléchie. La limite de réflexion totale s’étend régulièrement
dans le spectre ; les anomalies dans les indices que révélera la
mesure de l’angle des axes optiques n’atteignent pas la quatrième
décimale.
Voici les valeurs observées :
1. ~~ZC~~’e des a:ces optiques. - L’angle des axes peut s’observer
facilement,. Les cristaux appartiennent au système clinorhombique ;
la bissectrice aiguë est parallèle à l’axe de symétrie, et la bissectrice obtuse est, dans les deux sels, très près d’être normale à la base. qui
est un plan de clivage parfait.
Des lames de clivage, immergées dans la naphtaline bromée, mon-
treront les anneaux autour de la bissectrice obtuse, car l’angle des
axes est voisin de 90°.
1° ~S’ZCl faCe de ~ZéocZyrrme.
L’angle des axes mesuré à 20° C., sur la bissectrice obtuse, est
~38° 24’ pour la lui-nière du lithium et 8i° 34’ pour celle du thallium.
Avec l’indice de la naphtaline, mesuré immédiatement après la
mesure, on calcule pour l’angle aigu intérieur :
En observant les axes en lumière spectrale, on voit que l’angle augmente assez brusquement en approchant de la bande d’absorp-
tion placée entre X = 0~,594 et X = 0:~571, pour présenter après
cette bande sa valeur n1iuin1um; il augmente ensuite très lente- ment jusqu’à la valeur relative à la lumière du thallium. Celle-ci
(A = 0~,~3~j est très voisine de la bande d’absorption du vert qui
commence à i- = 0~,534.
En lumière spectrale, les hyperboles passant par l’axe optique
sont élargies ou resserrées, suivant que la dispersion des axes optiques se fait dans le sens des couleurs spectrales ou en sens
inverse ; cet élargissement, symétrique quand la loi de la variation de la dispersion avec la longueur d’onde est la même, linéaire par
exemple, pour le prisme et les axes optiques, cesse de l’être dans le
cas contraire. On éliminera suffisamment cette cause d’erreur en retournant la plaque de 180, dans son plan et en prenant la moyenne des valeurs observées.
422
La moyenne des nombres obtenus dans plusieurs’ observations bien concordantes est représentée par la courbe de la ,~~~. 1 ; les abscisses sont les valeurs
de 1 et
~2 les ordonnées les angles intérieursdes axes optiques. On voit que cette courbe a tout à fait l’allure des
FIG. ~1.
courbes représentant les indices dans la dispersion anomale ; c’est
très certainement à la dispersion anomale des indices principaux
que sont dues ces variations de l’angle des axes, petites il est vrai,
mais pourtant facilement mesurables.
L’angle des axes pour la raie D a pu être mesuré en ouvrant
largement la fente du spectroscope et en l’éclairant par la lumière du sodium ; on élimine ainsi, par la dispersion, la lumière étrangère,
et l’on peut, bien qu’assez difficilement, apercevoir les hyperboles ;
il n’y a pas, en effet, de maximum d’absorption coïncidant rigoureu-
sement avec les raies du sodium.
Voici le résumé des nombres obtenus : "
On voit que ces valeurs sont suffisalnment d’accord avec celles déduites des indices, étant donnée la faible biréfringence de la
substance.
20 j.’iulfate cle ~r~cséod~~~~ae.
Le sulfate de praséodyme présente des phénomènes analogues,
mais plus marqués et plus intéressants, parce qu’on peut suivre les
axes optiques dans lintérieur de la bande d’absorption. On peut,
en particulier, facilement déterminer l’angle des axes avec la lumière
du sodium.
L’angle des axes mesuré en lumière monochromatique est presque
identique pour les radiations du lithium et du thallium :
~
tandis que, pour la lumière du sodium, il atteint 85, 28’.
Ces résultats se rapportent à la température de 24° C.
Ces nombres s’accordent parfaitement avec ceux déduits des
mesures d’indices, à la même température :
J’ai indiqué plus haut comment est constituée dans ce sel la bande de l’orangé, de ~, = 0~,601 à 0~580. , ,
En suivant en lumière spectrale la dispersion propre des axes optiques, on voit que l’angle diminue à peine depuis l’extrémité rouge du spectre jusqu’à la bande d’absorption. On peut encore
suivre un peu les axes dans l’intérieur de la bande du côté le moins
réfrangible, quoique assez difficilement.
L’observation est beaucoup plus facile dans la moitié de la bande
plus ré1’rangible que la raie 5916. L’angle des axes décroit très rapidement, à partir de la valeur relative à la raie D, et arrive à
un minimum de 84° 3ï’, exactement à la limite extrême de la bande
d’absorption. A ce moment, l’angle augmente assez rapidement, et
continue à croître très lentement à partir de la valeur relative au
thallium. Il m’a été impossible, à cause du défaut de lumière, de
suivre les axes jusqu’aux bandes d’absorption du violet.
Ces observations ont été faites sur une plaque de clivage, dans la naphtaline bromée; dans la cuve, se trouvait un thermomètre, de
424
manière à corriger chaque lecture particulière et à la ramener à la température moyenne de l’expérience.
La f;~. ~ représente la moyenne des observations, en prenant pour abscisses
1
. On remarquera la forme nettement asymptotique.de la courbe au voisinage de la raie ~)91(): c’est la forme observée
Fi(~. 2.
en particulier dans la dispersion anomale de la vapeur de sodium par ~1 H. Becquerel.
Il. DislJersion anomale des ~~ssect~,ice.5~. - Quand on examine
les anneaux en lumière spectrale, on voit, en déplaçant le collima- leur du spectroscope, un déplacement brusque et relativement con-
sidérable des anneaux de part et d’autre de la bande d’absorption de l’orangé. Les mesures ont été faites sur une plaque sensiblemcnt normale à l’axe optique, im mergée dans la naphtaline bromée. Le plan des axes optiques est disposé parallèlement à l’axe de rotation de la plaque, les sections principales des nicols étant l’une parallèle,
l’autre perpendiculaire au plan des a~es ; on obtient alors une frange
noire verticale qui se déplace quand on change la longueur d’onde
de la lumière. En multipliant les angles observés par le rapport des
indices de la naphtaline bromée et du cristal, on a les angles pour les axes intérieurs. Enfin, en divisant ces angles .par le sinus du
,demi-angle vrai des axes optiques, on obtint, comme il est facile
425 de le voir, l’angle des bissectrices obtuses placées dans le plan de symétrie avec une d’elles prise comme origine.
Dans le sulfate de néoclyme, j’ai trouvé que le plan des axes rouges fait un angle de 0° 43’ avec l’axe vertical dans l’angle aigu des axes cristaHographiques. Cet angle augmente quand on se rapproche de
la bande d’absorption de l’orangé et atteint, a la limite la moins
réfrangible de cette bande, un maximum de 0°58’. D’un bord à l’autre de la bande, l’angle varie de près de 1° et atteint la valeur minimum de 0° 2’ ; j’ai pu faire quelques mesures dans l’intérieur de la bande, d’où il résulte que le plan des axes se déplace du maximum au
minimum proportionnellement
à ~,2
).° Entre la bande de l’oraogé etcelle du vert, l’angle du plan des axes optiques avec l’axe vertical
augmente et passe, immédiatement après la raie du thallium, au
>
contact de la bande du vert, par un maximum relatif de 0° 26’30",
pour décroître ensuite jusqu’à la valeur de 0°17’ (raie Ii).
La ~~. 3 représente les résultats des mesures ; les abscisses sont données
en j;
l’échelle est suffisante pour que cette ligure remplace avantageusement un tableau numérique.426
J’ai, dans un travail déjà ancien (1), montre que, dans les cristaux.
clinorhombiques, la dispersion des axes d’élasticité optique suivait
à peu près la même loi que les indices de réfraction, c’est-a-dire que la courbe donnant les angles des bissectrices avec l’une d’elles, en fonction de
IT2
1était voisine d’une droite. Nous trouvons ici une véri-.
fication remarquable du même fait, où la dispersion anomale rem- place la dispersion régulière, qui n’est pas loin d’être proportion-
nelle
~i 1
~~ 2 La courbe de la fig. 3 présente, en effet, une analogie complète avec les courbes qui représentent les indices anomaux enfonction de
2013~’
’ .On rencontre dans le sulfate de praséodyme des phénomènes du
même ordre, mais beaucoup moins marqués. Ils ont été mesurés- exactement de la même manière, sur une plaque perpendiculaire à
un axe optique. Les axes optiques pour la raie D, qui présentent
une forte anomalie au point de vue de la dispersion propre des.
axes, en présentent aussi une notable au point de vue de la disper-
sion des bissectrices. La position de l’axe pour la raie D a été repé-
rée en lumière monochromatique, en ouvrant largement la fente du
FIG. 4.
spectroscope, ainsi due je l’ai indiqué plus haut. La fly. 4 représente-
la marche du phénomènes, à la méme échelle que la /~/. 3. On voit qu’ici la dispersion des axes se fait dans le sens contraire à celui du néodyme, ce qui exclut l’hypothèse d’une impureté. L’angle du plan
des axes optiques avec l’axe vertical, qui, pour la lumière du lithium,
est de 00 4~r, augmente jusqu’à 102’ 30" (raie F), en mettant à part la
valeur anomale relative à la raie D (1° 4’ 20").
(1) Il. DOFE’L’, ICI dispe¡’sion des axes d’ëlaslicité optique dans les cl’istaux
clinc~~°hor~2bic~uPS (l3uLl. Soc. cle Jliné1’.. t. X, p. 214: 1887).